Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise !
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claude.c31
Messages : 1292 Date d'inscription : 25/11/2010 Localisation : ici et là
Sujet: Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise ! Lun 30 Jan 2012 - 0:11
Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise !
Comme vous le savez tous certainement, notre cher megaupload n’est plus… En effet, à cause d’une nouvelle loi des états-unis « SOPA« , le FBI ont fait fermer megaupload et son créateur Kim Dotcom a été arrêté et mis en prison pour 14 mois. Heureusement, la loi « SOPA » vient d’être reportée dû aux nombreuses critiques négatives.
Suite à cela, les autres hébergeurs comme videobb, videozer, fileserve, filesonic, etc… ont pris peur et ont entamé une suppression massive des vidéos de séries, de films et d’animes en streaming illégal.
Il est clair, mes chers amis, que le streaming vidéo de séries et films est en crise.
Mais nous allons nous reprendre, la communauté du streaming gagnera ! Car il reste mixturevideo.com et purevid.com, deux très bons hébergeurs mais temporairement en accès membre obligatoire pour le visionnement des vidéos. Dans le cas mixturevideo, il faut seulement vous inscrire ou aller voir la vidéo sur le site directement alors que pour purevid il faut vous inscrire et payer un abonnement en plus.
Mais tout cela est temporaire parce que la chute de megaupload a redirigé des masses de visiteurs et personnes comme vous et moi en soif de streaming, vers les autres hébergeurs (mixturevideo et purevid notamment), c’est pour cela que ces deux hébergeurs vidéos filtrent l’accès temporairement à leurs vidéos en attendant d’acheter de nouveaux serveurs qui supporteront tout ces visiteurs en soif de séries, d’animes et de films
SOURCE: StreamingSeries.net
Filesonic et fileserve se sabordent Ecrit par Matkill de Redlist...
Le site Filesonic, au fonctionnement identique à Megaupload, a supprimé ce week-end sa fonction de partage de fichiers. Il nest plus, pour le moment, quun simple site dhébergement de fichiers personnels en ligne.
Cest ce qui sappelle un sabordage en règle. Pour tenter déviter de subir la même mésaventure que celle arrivée à Megaupload la semaine dernière, le site de téléchargement direct Filesonic a pris un certain nombre de mesures qui remettent en cause son intérêt et son activité.
Celui qui était présenté comme lun des principaux recours après la fermeture de Megaupload a en effet décidé de stopper avec effet immédiat sa fonction de partage de fichiers. Seuls ceux qui ont mis en ligne un fichier ont encore accès à son lien de téléchargement. Autrement dit, plus la peine de rechercher un film ou un épisode de série TV par lintermédiaire de ce site, puisque même si vous obtenez le lien de téléchargement direct, vous ne pourrez rien en faire. Une mesure prise pour plaire aux ayant-droits.
Mais pour ne pas déplaire non plus au FBI, Filesonic a également mis fin à son système de primes qui rétribuait les personnes ayant mis en ligne les fichiers les plus téléchargés. Un système qui de toute façon navait plus lieu dêtre puisque plus aucun fichier ne peut être téléchargé.
Aujourdhui donc, Filesonic nest plus quun site dhébergement de fichiers personnels. Pas sûr quil survive à cette décision. Mais après tout, celle-ci nest peut-être que temporaire, le temps que les choses se calment sur le plan judiciaire et quun contexte législatif plus clair apparaisse.
Fileserve vient de faire la même chose que filesonic.. Restera t-il un hébergeur sur le web?
Concernant les liens sur Redlist, ils seront, tout comme MU, désactivés de Redlist...
ACTA : le traité secret qui pourrait changer la face dinternet
38 pays, dont la France, ont signé cette semaine un traité international négocié dans le plus grand secret, qui doit lutter contre la contrefaçon au niveau mondial. Ce traité baptisé ACTA, extrêmement polémique, doit encore être ratifié par le Parlement européen.
Imaginez le principe de la grande coopération internationale qui a mené à la fermeture de Megaupload couché sur le papier. Cette opération qui pourrait faire croire qu'il existe une "loi du monde" contre le piratage, inspirée fortement par les Etats-Unis où sont basés les grands ayants-droit. On n'en est peut-être plus très loin, après la signature jeudi du traité international ACTA, entre autres par l'Union Européenne (dont la France) et les Etats-Unis. Un traité qui sent le souffre depuis le départ.
Négocié dans le plus grand secret par les exécutifs d'une quarantaine de pays, sans inclure les parlements ni la société civile dans les discussions, il continue de faire polémique. Au point que le rapporteur du texte au Parlement européen, l'eurodéputé socialiste français Kader Arif, a démissionné cette semaine de sa mission. En Pologne, cela fait plusieurs jours que des milliers d'internautes sont dans la rue pour protester contre ce traité. Aux Etats-Unis, maintenant que SOPA et PIPA sont enterrés, l'ACTA est le nouveau cheval de bataille des défenseurs des libertés sur internet. A ceci près : Obama ne soutenait pas SOPA ; il a signé ACTA.
Le piratage, dans le même sac que la contrefaçon
Le traité ACTA ne porte pas seulement sur la violation des droits d'auteur, mais plus largement sur la contrefaçon (Anti Counterfeiting Trade Agreement). A ce titre, il vise aussi bien à lutter contre la contrefaçon de marchandises (produits de luxe, jouets, médicaments...) que d'oeuvres culturelles (téléchargement illégal...). Mettre le piratage dans le même sac que le reste ne choque pas Bernard Lamon, avocat du cabinet Lamon & Associés, spécialiste du droit des nouvelles technologies, qui explique que le "piratage" est en fait une "contrefaçon du droit d'auteur". Il précise toutefois que "les intérêts en jeu ne sont pas les mêmes", la contrefaçon pouvant entraîner dans certains cas des risques pour le consommateur, alors que la lutte contre le piratage a uniquement pour but de protéger les intérêts des ayants-droit. Ce qui pose le problème de la proportion des sanctions à appliquer dans les différents cas.
Qu'est-ce qui fait peur dans ce texte ?
Le pire, c'est que ce n'est pas très clair, du fait de l'imprécision des textes et parce que les débats n'ont jamais été publics. Les principales craintes portent sur la responsabilité des intermédiaires techniques (hébergeurs, fournisseurs d'accès internet...) qui peuvent être considérés comme complices, sur la criminalisation des échanges de fichiers copyrightés (les procédures criminelles sont censées concerner les contrefaçons commises à l'échelle commerciale, mais celle-ci n'est pas clairement définie), et l'application de sanctions préventives sans faire appel à un juge.
"L'accord ACTA pose problème, qu'il s'agisse de son impact sur les libertés civiles, des responsabilités qu'il fait peser sur les fournisseurs d'accès à internet, des conséquences sur la fabrication de médicaments génériques ou du peu de protection qu'il offre à nos indications géographiques", déclare Kader Arif dans un communiqué, expliquant pourquoi il ne "participerait pas à cette mascarade".
"ACTA créerait de nouvelles sanctions pénales forçant les acteurs de l'Internet à surveiller et à censurer les communications en ligne. Cet accord est donc une menace majeure pour la liberté d'expression en ligne et est porteur d'insécurité juridique pour les entreprises de l'Internet. Au nom du droit des marques et des brevets, il pourrait également freiner l'accès aux médicaments génériques dans les pays pauvres" estime pour sa part la Quadrature du Net.
"Il représente une menace pour les internautes dont la liberté risque d'être supprimée en même temps que les principes fondamentaux de justice que sont la présomption d'innocence et la charge de la preuve", dénonce Eva Joly, qui "appelle les citoyens européens à faire barrage à ACTA".
Qu'est-ce que changerait l'adoption d'ACTA ?
D'après Bernard Lamon, pour les entreprises françaises, cela ne changerait rien, car les textes permettant de lutter contre la contrefaçon et même de bloquer des sites web existent déjà dans le droit français (Loppsi, Hadopi...). En outre, bien qu'un traité international ait le même statut qu'une directive, il n'a pas d'effet direct si le Parlement français ne modifie pas la loi. Autrement dit, "le législateur a totale liberté de dire 'zut' à l'éxécutif", explique-t-il.
Les craintes suscitées par ACTA viennent donc surtout du fait qu'on ne sait pas où veulent en venir les gouvernements des pays signataires. C'est la peur du complot. La bonne nouvelle, c'est qu'il sera toujours temps de le déjouer. A condition de ne pas céder aux pressions de toutes sortes.
Le texte, in fine entre les mains des parlements
Le Parlement européen devrait examiner le texte d'ici au mois de juin. Reste à savoir dans quelles conditions. "En tant que rapporteur sur ce texte, j'ai également fait face à des manoeuvres inédites de la droite de ce Parlement pour imposer un calendrier accéléré visant à faire passer l'accord au plus vite avant que l'opinion publique ne soit alertée, privant de fait le Parlement européen de son droit d'expression et des outils à sa disposition pour porter les revendications légitimes des citoyens", déplore Kader Arif, qui dénonce la "mise à l'écart des revendications du Parlement Européen pourtant exprimées dans plusieurs résolutions de notre assemblée".
Le Premier ministre polonais Donald Tusk, qui fait face dans son pays à des manifestations de jeunes en lutte contre ACTA, a annoncé que s'il s'avérait être "un danger à la liberté", la Pologne pourrait ne pas ratifier le traité.
Une pétition, comme celle qui a eu lieu pour stopper SOPA et PIPA (qui a plutot bien réussi), circule sur le net : Pétition
Bien entendu, les Anonymous ont eux aussi mis en garde les internautes sur ce que cette Loi pourrait avoir comme impact sur Internet :
Kader Arif, le rapporteur de l'ACTA au Parlement Européen, a décidé de démissionner par surprise de sa mission cruciale pour la ratification de l'accord anti-contrefaçon.
C'est bien la signature de l'accord par l'Union Européenne à Tokyo ce jeudi qui a motivé sa décision.
"Je tiens à dénoncer de la manière la plus vive l'ensemble du processus qui a conduit à la signature de cet accord : non association de la société civile, manque de transparence depuis le début des négociations, reports successifs de la signature du texte sans qu'aucune explication ne soit donnée, mise à l'écart des revendications du Parlement Européen pourtant exprimées dans plusieurs résolutions de notre assemblée", dénonce-t-il.
L'eurodéputé confirme également ce que nous signalions au sujet du calendrier imposé au pas de charge aux commissions parlementaires chargées d'exprimer leur avis sur le contenu de l'accord. "En tant que rapporteur sur ce texte, j'ai également fait face à des manuvres inédites de la droite de ce Parlement pour imposer un calendrier accéléré visant à faire passer l'accord au plus vite avant que l'opinion publique ne soit alertée, privant de fait le Parlement européen de son droit d'expression et des outils à sa disposition pour porter les revendications légitimes des citoyens".
Pour Kader Arif, "chacun le sait, l'accord ACTA pose problème, qu'il s'agisse de son impact sur les libertés civiles, des responsabilités qu'il fait peser sur les fournisseurs d'accès à internet, des conséquences sur la fabrication de médicaments génériques ou du peu de protection qu'il offre à nos indications géographiques".
"Cet accord peut avoir des conséquences majeures sur la vie de nos concitoyens, et pourtant tout est fait pour que le Parlement européen n'ait pas voix au chapitre. Ainsi aujourd'hui, en remettant ce rapport dont j'avais la charge, je souhaite envoyer un signal fort et alerter l'opinion publique sur cette situation inacceptable. Je ne participerai pas à cette mascarade".
A l'heure actuelle, nul ne semble savoir qui va remplacer Kader Arif. Mais ses propos mettent d'emblée la pression sur son successeur, qui ne pourra agir dans l'ombre.
38 pays, dont la France, ont signé cette semaine un traité international négocié dans le plus grand secret.
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Citation :
C'est passé relativement inaperçu, et pourtant la signature de ce traité, négocié pendant plus de trois ans, par les autorités européennes alerte les associations de défense des libertés numériques, ainsi que certains candidats à l'élections présidentielle
Ajoutée par TheChiefgp le 8 oct. 2010 > vu 34 211: ACTA : STOP AU KRAKEN ! A DIFFUSER IMPORTANT POUR LA LIBERTE D'INTERNET !!
HADOPI, n'est qu'une blague...Française uniquement. !
La c'est international, et les Lobby s'en mêlent encore plus !!
ACTA : les négotiations secrètes se poursuivent pour museler internet Par Admin le 3 avril 2010 à 13:58 ( http://911nwo.info/2010/04/03/acta-les-negotiations-secretes-se-poursuivent-pour-museler-internet/ )
Ajoutée par UnPeuDeLumiere1 le 8 sept. 2011 > vu 346 Aprés avoir détruit la souveraineté des nations européennes, le Nouvel Ordre Mondial s'attaque à la liberté sur Internet. Une fois de plus, Marine Le Pen, est la seule femme politique à combattre l'oligarchie mondialiste.
Dans une vidéo tournée en Mai 2011, Marine Le Pen s'exprime sur le thème de la liberté sur Internet, très menacée actuellement par le Traité ACTA (Accord Commercial anti-contrefaçon), l'Hadopi, et la Loppsi 2. Ajoutée par UnPeuDeLumiere1 le 8 sept. 2011 > vu 4 504
Ajoutée par 31blackdemon le 12 avril 2010
Secret ? > ou < ...!?
La Commission européenne organiserait des tables rondes "secrètes" afin d'endiguer le téléchargement illégal, notamment en imposant un filtrage des contenus. ( http://tempsreel.nouvelobs.com/high-tech/20110131.OBS7251/telechargement-les-negociations-secretes-de-bruxelles.html )
Et nous; ... > a ce jour > Les opposants à l’ACTA manifestent partout en France Le 30 janvier 2012 à 10:00, > vu 12396 http://mcetv.fr/mon-mag/3001-les-opposants-a-lacta-manifestent-partout-en-france
comme toujours il faut que l'accident est lieux pour que les gens bouge, et c'est pas fini, cela ne fait que commencer > Après avoir fermé MegaUpload, le FBI veut infiltrer Facebook et Twitter, Le FBI vient de lancer un appel d’offre pour la création d’une application permettant d’infiltrer et d’espionner les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Myspace, ont rajoute a ça RFID, et le tour est joué. quand a la pétitions je doute très fort que cela change quelque choses, souvenez vous pour la lois sur les plantes médicinal, il y a eu plus de 1.500.000 signatures et la lois est quand même passé.
Bienvenu au 21 siècles aire de l'informations et du contrôle.
Dernière édition par lynxx767 le Lun 30 Jan 2012 - 12:43, édité 5 fois
y0y0
Messages : 94 Date d'inscription : 26/08/2011 Age : 39
Sujet: Re: Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise ! Lun 30 Jan 2012 - 11:49
Oui, j'ai remarqué... Moi qui voulait visionner des séries en streaming.. c'est foutu !
claude.c31
Messages : 1292 Date d'inscription : 25/11/2010 Localisation : ici et là
Sujet: Re: Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise ! Lun 30 Jan 2012 - 19:55
Megaupload : Libération interroge les députés à l'Elysée
Quand les journalistes de Libération s'adressent aux députés à l'Elysée pour leur demander ce qu'est Megaupload, on ne peut pas franchement dire que l'explication est limpide.
Les députés de l'Elysée semblent avoir du mal à expliquer ce qu'est un site comme Megaupload. Le Libé Labo a obtenu toutes sortes de réponses, sauf Jean-François Copé qui ne prend même pas la peine d'échanger un regard avec les journalistes. Sur les nombreux députés interrogés, on ne peut pas dire que le sujet soit absolument maîtrisé. En effet, les hommes politiques se défilent devant la caméra usant de pirouettes rhétoriques plus ou moins fumeuses. On retiendra notamment à cet effet le "Joker" de Patrick Ollier, ministre chargé des relations avec le parlement, ou encore Christian Vanneste, député nord, qui nous avoue utiliser YouTube pour visionner des films (ah bon ?). Voilà une séquence qui résume assez bien les lacunes en matière de culture 2.0 qui règne à l'Elysée, pas très rassurant tout ça, n'est-ce pas ?
La vidéo ICI - cliquer sur Libération intérroge les députés à l'Elysée
Quel beau gouvernement que nous avons là
Ecrit par Matkill de Redlist
Dernière édition par claude.c31 le Lun 30 Jan 2012 - 20:09, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise ! Lun 30 Jan 2012 - 20:05
Même s'il y a des perturbations et des zones de turbulences sur le net, Y'aura toujours moyen de moyenner ... Ne stressons pas ! Faut juste être patients... Je suis sure que vous le savez au fond de vous !
Je fais confiance à tous les petits malins qui œuvrent pour nous trouver des solutions ! (un grand merci à eux !)
Qui a dit son dernier mot ? heuuuu... pas moi !
claude.c31
Messages : 1292 Date d'inscription : 25/11/2010 Localisation : ici et là
Sujet: Re: Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise ! Lun 30 Jan 2012 - 21:29
MegaUpload : les données des utilisateurs pourraient être supprimées le 2 février
Juridique - Les fichiers de MegaUpload, gérés par ses prestataires Carpathia Hosting et Cogent, pourraient être supprimés définitivement dès le jeudi 2 février. Pour lavocat de MegaUpload, ces informations doivent être préservées dans lintérêt de la défense de lentreprise.
Les données mises en ligne sur les services de MegaUpload pourraient être définitivement supprimées dès jeudi 2 février explique le ministère public américain dans un document remis à la justice, et auquel a eu accès Associated Press. Ces fichiers sont hébergés sur des serveurs de l’hébergeur Carpathia Hosting et par Cogent ; ces prestataires pourraient donc très bientôt procéder à leur suppression. Selon une source proche du dossier interrogée ce matin par ZDNet.fr, cette décision soudaine aurait des motivations économiques. « Le FBI a bloqué tous les comptes en banque de Megaupload qui ne peut plus payer les sociétés qui fournissent ses serveurs. Ces dernières veulent les recycler pour pouvoir les louer à dautres, sinon ils perdent des sous ».
Des sommes en jeu importantes pour des données colossales
Les sommes en jeu sont vraisemblablement importantes étant donné que Megaupload comptait 50 millions dutilisateurs, dont plus de 10 millions en France qui, selon nos informations, était lun des plus gros marchés du service. On parle donc dun volume de données colossal. Toujours selon notre source, cela doit « avoisiner la centaine de pétaoctet. Soit environ 100.000 disques dur d'un téraoctet ».
Les autorités américaines précisent avoir copié une partie de ces données, mais ne pas avoir saisi physiquement les serveurs sur lesquels elles sont enregistrées. Les mandats du FBI ne lui permettent plus daccéder légalement aux fichiers restants précise ainsi AP.
Difficile dévaluer aujourdhui la proportion de contenus illicites par rapport aux données légales stockées par des utilisateurs de bonne foi. « Cest une chose que de déposer une plainte pour violation des droits dauteurs, cen est une autre que de fermer lintégralité du service de stockage cloud de Megaupload qui compte une part substantielle dusages non illicites dun point de vue légal », nous a déclaré Ira Rothken, lavocat américain de Megaupload.
Difficile d'évaluer la part des contenus illicites et celle des données légales
Dans un communiqué quil nous a adressé ce matin, il confirme la possibilité dune destruction « imminente » des données des utilisateurs. « Les actifs de Megaupload ont été gelés aux États-Unis. Mega a besoin que ses fonds soient débloqués pour pouvoir payer sa bande passante, son stockage, ses systèmes dadministration afin de permettre aux consommateurs davoir accès à leurs données stockées dans le cloud Mega pour quils puissent les sauvegarder ( ) »
Ira Rothken, déclare chercher des solutions avec la justice pour prévenir la suppression totale des données de ses millions dutilisateurs. « Nous aimerions penser que les États-Unis et Megaupload pourraient sunir pour essayer déviter une telle calamité pour la protection des consommateurs où des usagers innocents pourraient définitivement perdre laccès à toute leurs données, du document texte aux photos de famille et beaucoup dautres choses qui ne pourraient pas être considérées comme illicites».
Des données qui pourraient être importantes pour assurer la défense de MegaUpload.
Source : zdnet.fr
Intérieur d’un data center - Photo CC BY s_w_ellis
Tout savoir sur l’affaire MegaUpload : MegaUpload : entretien exclusif avec le responsable technique du site MegaUpload : décryptage de l’affaire et des accusations L’annonce de la fermeture par le FBI Une fermeture critiquée et un débat qui se politise Nicolas Sarkozy, la Hadopi et les ayants droit se réjouissent Infographie : l'univers MegaUpload en une image
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Le Streaming vidéo de séries et de films est en crise !