Ma fille et moi nous adonnons à la marche sportive plusieurs fois par semaine en fin d'après-midi.
Nous nous lançons à l'assaut d'une côte bien pentue de 3 km sur la colline derrière notre lieu de résidence.
Hier après avoir traversé le village surplombant notre vallée, nous décidâmes de poursuivre notre chemin jusqu'à la cîme de la colline.

Là un grand carrefour réunissant plusieurs petites routes de campagne offre un vaste panorama à perte de vue.
(Dans ce coin proche de chez moi, le département du Lot et celui de la Dordogne s'entremêlent inlassablement. Parfois sur la route nous sommes dans l'un et parfois dans l'autre. Je ne saurais donc affirmer si l'endroit où nous étions pouvait être l'un ou l'autre.)

Face à nous s'offrait à nos yeux une belle vallée encerclée de collines, au loin la rivière Dordogne serpente. Ma fille sortit son portable histoire de prendre des photos. Nous descendîmes de quelques pas un sentier et elle commença à photographier, puis elle descendit encore une dizaine de mètres. Pendant ses prises de vue nous poursuivions nos bavardages.

A un moment je tournai mon regard vers l'horizon lointain et là j'aperçus dans le ciel à plusieurs centaines de mètres de moi, 2 boules gris foncé. J'en fis aussitôt part à ma fille et lui dis de me rejoindre le plus rapidement possible puisqu'elle ne pouvaient les voir d'où elle se trouvait et lui demandai de mitrailler photographiquement ces 2 objets insolites et totalement immobiles.

Au premier abord elle pensa à des boules suspendues à des câbles, de celles qui servent à indiquer aux avions et aux hélicos la proximité de lignes à très haute tension.

"A mon avis lui dis-je elles sont trop hautes et de plus les lignes électriques à haute tension passent au nord-est, et nous sommes à l'opposé".

Quelques minutes plus tard les sphères se déplacèrent légèrement ensuite l'une d'entre-elle s'éloigna lentement vers la gauche de la vallée, nous la perdîmes de vue, sa couleur se confondit avec la légère brume (de beau temps) recouvrant les collines. l'autre resta un moment au même endroit puis elle s'éloigna vers la droite, elle accéléra un peu en direction de l'horizon en face de nous.

Plusieurs minutes durant elle fut immobile juste au-dessus de l'horizon enfin ce fut l'impression qu'elle donnait,et disparut à son tour.

Puis nous les revîmes à nouveau près de l'endroit où on les avait aperçu la première fois. Elles apparurent sans que nous les ayons vu venir de quelque endroit que ce soit. Elles s'éclipsèrent encore.

Le soleil couché nous décidâmes de rentrer. Avant d'avoir franchi les derniers mètres me séparant du carrefour, je me retournai convaincue qu'elles avaient réapparues, de fait elles étaient bien là.

Une série de photos immortalisa leur dernière apparition, ainsi qu'une courte vidéo d'une quinzaine de secondes.
Il était temps de rentrer au bercail la nuit ne tarderait plus à venir.

En arrivant, je pensai aux 2 grosses lumières blanches que j'avais vu une nuit à la fin juillet et me demandai s'il s'agissait des 2 mêmes ovnis.

"Demain, normalement, nous reprendrons notre course effrénée, on verra si elles sont au rendez-vous".

-Sur le retour, arrivées dans la combe, nous eûmes le plaisir de voir une biche et 2 faons.




Au centre de cette photo on distingue nettement les 2 sphères dans le ciel





Ici l'ovni qui est à la position la plus basse, s'éloigne mais on ne peut pas le distinguer sur la photo trop claire.
On le voyait bien à l'oeil nu.




Là les 2 ovnis partis vers l'horizon, un seul est visible l'autre près du premier se confond avec la couleur de la colonie.

Une pensée est une infime projection. Elle s'introduit dans notre niveau de perception, on la considère ou non comme valable.

Elle ne peut se pétrifier puisqu'une pensée est une unité électromagnétique, c'est donc de l'énergie, si tu la rejettes d'autres s'en empareront et l'utiliseront à leur profit que tu en sois conscient ou non.

Le monde n'évolue pas, ce sont les individualités -les âmes qui "évoluent"- je dirais qu'elles expérimentent diverses attitudes, émotions, sentiments. Là se situe la véritable "évolution".