IScaR
  
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 |  Sujet: Les dauphins passeurs nous entraînent dans un voyage intérieur à la découverte de nous-même.  Dim 8 Nov 2009 - 0:27 | |
| Les dauphins passeurs nous entraînent dans un voyage intérieur à la découverte de nous-même. Les dauphins et leur impact
Les rencontres que nous avons avec ces dauphins passeurs sont transformatrices. Les dauphins éveillent en nous des émotions positives de joie, d'enthousiasme, et un sentiment de bonheur. En un mot, ils nous permettent de prendre contact avec notre enfant intérieur, et nous permettent d'aller vers un mieux-être. Le regard émerveillé de chaque personne qui les voit pour la première fois est révélateur de ce qu'elle vit. Ces rencontres et l'ouverture qu'elles produisent en nous, nous invitent à des prises de conscience nouvelles, à nous rencontrer autrement, nous révèlent à nous-même. Il semble que chaque personne trouve dans cette expérience exactement ce qu'elle est venue chercher. Ces trente dernières années, d'intensives recherches ont été menées sur les dauphins et sur les effets positifs que ceux-ci ont sur l'homme. Des scientifiques et des psychologues ont eu d'excellents résultats avec des personnes déprimées ou autistes. De nombreuses théories ont été avancées concernant le « potentiel » que possèdent les dauphins à soigner l'homme. Certains pensent que l'écholocation produit des changements dans la structure des cellules et dans le tissu corporel. D'autres, que le son émis par les dauphins stimule la guérison. Pour Michael Hyson, chercheur à Hawaî, une transformation chimique se produit dans le corps humain au contact des dauphins. Notre ADN serait modifié par les sons et les champs électromagnétiques générés par les dauphins. Enfin, d'autres chercheurs émettent l'hypothèse selon laquelle la guérison pourrait être dû au bonheur que les dauphins procurent avec leur nature joyeuse et compatissante. Toujours est-il que les dauphins semblent bien réveiller le centre émotionnel de l'être humain. Lorsqu'on nage avec les dauphins, ils n'ont jamais le même comportement. Ils semblent toujours répondre exactement à notre état intérieur et notre état émotionnel. S'ils sont distants, il se peut que notre attitude intérieure appelle cette distance. S'ils sont proches, qu'ils jouent avec nous, c'est peut-être parceque nous sommes ouverts. Et inévitablement, grâce à ce jeu de ce miroir, des prises de conscience et des changements se produisent en nous. Quel que soit l'état dans lequel nous nous trouvons, fatigué, en colère ou avec le mal de mer, le fait de voir et plus encore de nager avec les dauphins, modifie cet état et nous met en joie.  L'exemple des dauphins : le groupeDans le cadre d'un groupe, l'impact des dauphins, ce sont ces rencontres qui se font entre les personnes, ces richesses qui s'échangent, ces amitiés qui se créent, ces fils qui se tissent, ces différences qui se rapprochent et s'apprécient. C'est, cette alchimie subtile et vivante qui se crée entre les personnes du groupe : Elles se rencontrent dans leurs différences, s'harmonisent et s'enrichissent les unes des autres. Très souvent dans la joie et aussi dans la profondeur. Beaucoup d'échanges dans l'énergie des dauphins et parfois de très belles aventures humaines. Les dauphins et la conscience.
Les dauphins semblent actuellement remplir un rôle d'éveilleur et participer ainsi activement à l'évolution de l'humanité. Ils le font au travers de nos rêves, sur un plan « inconscient » et ils le font de façon très concrète au travers de nos rencontres avec eux.  http://www.consciencedauphins.com |
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IScaR
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| | Sujet: dauphin suite Dim 8 Nov 2009 - 1:01 | |
| Nager avec des dauphins captifs
en delphinarium, ou en lagons fermés
Pour ceux qui auraient envisagé de cautionner les Hôtel-prisons, un avant-goût de ce qui vous y attend. Un témoignage satirique de Marcel Guillemin qui a expérimenté la nage avec les dauphins captifs au Mexique.
De nombreux endroits au monde vous permettront de réaliser votre rêve d'enfant : Nager avec des dauphins
Des brochures d'agences de voyage peuvent vous le proposer, mais arrivés vers votre lieu de séjour, vous pouvez aussi découvrir les publicités de sociétés qui le proposent.
Cancun au Mexique, saint Domingue, Cuba, Les Bahamas,... Et tout autres paradis tropicaux ou non, où l'on vous proposera la plus belle expérience de votre vie « a lifetime experience ».
Bien sûr, ce n'est pas gratuit, il faudra débourser au moins 120 $ ou 200 $ pour la plus belle expérience de votre vie.
Alors, n'hésitez surtout pas, allez-y, et préparez-vous à vivre ce moment magique avec les dauphins. Pour être moi-même personnellement, un passionné des dauphins, j'ai investi, avec ma famille, 2 600 $ auprès de la société Dolphin Discovery au Mexique, et y ai accompli tous leurs programmes sur 3 sites : Cozumel, Isla Mujeres et Puerto Adventuras.
Le prix est justifié, car un dauphin, ça mange quelques harengs dans une journée !
Et les actionnaires et propriétaires de l'entreprise, doivent bien survivre, car leurs yachts et palaces génèrent des frais. Notre analyse porte sur le cas de l'entreprise Dolphin Discovery (Mexique), qui propose 4 programmes de nage avec les dauphins :
- Le programme Encounter
- Le programme Royal Swim
- Le programme Dive
- Le programme Snorkelling swim
Pas de doute, nous avons affaire à de vrais professionnels, qui maîtrisent totalement l'espèce dauphin. Une entreprise de 400 personnes, des dresseurs de dauphins aguerris, des magasins de souvenirs (vêtements dauphins, statuettes, porte-clé dauphin, maroquinerie en tous genres, élixir dauphins... et j'en passe), une nuée de photographes et vidéoman pour immortaliser l'instant unique que vous allez vivre, des autobus pour vous y transporter... Le rêve !A - ENCOUNTER PROGRAM
B - ROYAL SWIM
C - DIVE PROGRAM
Vous l'aurez compris, cette description se voulait cynique, car en fait « d'expérience d'une vie », ce n'est qu'un simulacre d'interactivité utilisant de pauvres dauphins en prison, dressés à exécuter des mimiques qui doivent ravir les touristes, 10, 20 fois par jour, tous les jours contre récompense de nourriture. C'est facile, ce type de personnel n'est pas syndiqué, et il ne revendique rien, sinon quelques poissons.
Comment a-t-on pu accomplir une telle atrocité sur une espèce dont le degré d'intelligence et de facultés cognitives et sociales sont l'égal même de l'homme ?
Tout ceci n'existe que grâce aux gigantesques profits engendrés sur le « dos du dauphin », qui n'a vraiment pas le choix. Son seul choix est de se suicider, ce qu'il fait souvent en bloquant sa respiration, las de reproduire les mêmes numéros de cirque, pour lesquels il n'est pas né.
Le comportement du dauphin captif peut paraître, pour le profane, tout à fait normal et jovial. Détrompez-vous, car il ne fait que reproduire des gestes et attitudes mécaniques que le dresseur lui a imposé. On peut parler, de véritable conditionnement pavlovien, asservissement sous couvert de nourriture, parfois de brutalité ! Prenons un exemple flagrant : Toutes ces sociétés font exécuter aux dauphins le fameux « kiss », le baiser magique. Chaque touriste aura la forte impression que le dauphin accourt dans un élan de spontanéité vers lui, et le gratifie de son baiser et d'un regard... Tellement heureux !!!
S'il pouvait vous parler, il vous dirait : "je suis là,emprisonné, je dois le faire, je n'ai pas le choix !" J'ai capté ce cri de détresse, et c'est terrible ! Observons aussi que chaque exercice est accompli suite à un ordre donné, et que la spontanéité et l'initiative n'existent pas. On a imposé aux dauphins de réaliser des figures et mimiques tendres, dans un temps imparti le plus court possible, celui pour réaliser les prises destinées à être vendues. Chaque exercice est récompensé par une distribution de poissons, principal salaire du dauphin ;l'interactivité ne peut exister dans de telles conditions. Alors de grâce, n'allez pas imaginer que ces dauphins sont venus vers vous, avec amitié et amour, pour vos beaux yeux. Ils sont venus, car ils n'avaient pas le choix.
Pour ceux qui ont la chance de pouvoir rencontrer les dauphins dans leur milieu naturel, la mer, il sera orchestré une version toute différente : ni foot push, ni traction dorsale, ni baiser ravageur, mais un message énergétique fort, un ballet surréaliste, le chant aquatique inoubliable, des regards intimes et furtifs authentiques,... une réelle inter-activité entre eux et vous, car LIBRES !
Certains rétorqueront : "Oui, mais ces dauphins en parc clos ont l'air heureux, bien nourris". Bien sûr, ceux qui sont nés en vase clos ne connaissent que la captivité... Et alors ! Relâcher des dauphins asservis et captifs depuis suffisamment longtemps, reviendrait peut être à les condamner à mort. Dans leur milieu naturel, inconnu pour eux, il leur serait difficile de survivre. C'est donc bien en amont que l'homme doit cesser ses bêtises, en stoppant la capture de dauphins sauvages, et par là même, contenir, puis supprimer le profit touristique avec les dauphins.
De nombreuses associations, de par le globe, consacrent force et temps à atteindre cet objectif, mais... c'est aussi à nous, à vous, touristes, voyageurs, et enfants, qu'il convient de ne pas fréquenter les delphinariums, afin de ne pas cautionner leur pérennité.
J'ai pu observer le comportement brutal de certains dresseurs, face à des dauphins refusant d'exécuter les ordres. La rébellion existe aussi parmi les cétacés et autres animaux asservis.
Que dire de celle dauphine, devant mettre bas en décembre 2003, et à qui sous nos yeux, on a fait accomplir en novembre 2003, divers exercices et sauts !
Que dire de cette grand-mère de 30 ans, qui, parce qu'elle ne rapporte plus d'argent, est confinée dans l'enclos le plus réduit, sans que personne ne la regarde !
Que dire de ces 3 lamentins qui ont juste l'espace d'une marche avant, marche arrière, dans leur bac, et que diriez-vous si vous deviez vivre dans 5 m² pendant 80 ans !
Alors, revenons à la raison.
- Un dauphin n'est pas dangereux pour l'homme, c'est le contraire !
- Un dauphin n'est pas sale et ne véhicule pas de microbes tueurs, c'est le contraire.
- Une séance préliminaire de gym -tonique est à ce point ridicule, que mon épouse a provoqué un scandale pendant que je la filmais avec ma caméra vidéo.
- La traction dorsale n'a rien de prodigieux, mais elle est dangereuse... pour les dauphins qui risquent la fracture de leurs ailerons ! En ce sens elle devrait être absolument interdit.
- Le foot push n'est qu'une attraction de cirque supplémentaire, où bien souvent, un dauphin abandonne l'exercice en cours de jeu !
Que voulez-vous, le hareng ça n'attend pas !
- La plongée bouteille est un scandale : Le temps pressant, certaines mesures de base ne sont pas respectées et, de plus, amusez-vous à calculer le ratio prix/minutes de plongée !
- Les dauphins ne sont pas heureux, mais stressés et confinés par la bêtise lucrative de l'Homme.
- Le dauphin qui vous embrasse ne vous manifeste aucun signe de tendresse : de vous, il s'en fout, c'est le hareng qui l'intéresse !
En conclusion, si vous aimez vraiment les dauphins, ou sans les aimer, souhaitez aller à leur rencontre, ne le faite pas, au travers de tous ces parcs, qu'ils soient Marineland, parc Astérix, Dolphin Discovery, Via Dolphin... et tant d'autres, mais, de grâce, rencontrez les chez eux, en mer.
www.consciencedauphins.com
note de iscar
le dauphin en captivité a une vie plus courte que ceux qui sont en liberté
pour rencontrer des dauphin il faut avoir la conscience du lacher prise c'est a dire qu il ne faut pas les approcher dans leur habitat naturel il faut les laisser venir il ont tellement de fierté que trouverons cela bizarre que vous les regarder pas
les dauphins ont une societe qui rivalise la notre des qu un bebe est menacer c est tout la horde qui entoure le dauphin pour le protege
les bebe dauphin peuvent avoir des nounous c est a dire chaque femelle de la horde peuvent adopté les bebe dauphins
si on place devant un miroir à son réveil, il se frotte le front et essaie de la toucher, on conclut qu’il possède une image mentale de lui-même.
Cet examen de conscience n’a été franchi avec succès que par les singes les plus proches de l’homme : chimpanzé, orang-outan et gibbon.
Cependant, une expérience a été effectuée avec deux dauphins du New York Aquarium il y a 4 ans. Apparemment, ils ont été capables de se reconnaître dans un miroir.
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Cette expérience est bien sur controversée quant à l’analyse des résultats obtenus. Cependant, comme le montre les photos, « quelque chose » s’est effectivement produit.
Simple curiosité ou réelle conscience de soi ?
Si d’autres expériences confirmaient ces premiers résultats, il faudrait alors remettre en question nos acquis sur la définition de la conscience qui n’est en aucune manière le propre de l’homme.
Les cétacés - ici le cachalot - ne disposent pas seulement des plus gros cerveaux du monde. Leur cortex est aussi plus riche en circonvolutions que celui de n'importe quel animal, y compris l'homme...
Pourquoi un gros cerveau ?
"Nous devons nous souvenir que le monde mental du dauphin est élaboré par l'un des systèmes de traitement de l'information parmi les plus vastes qui ait jamais existé parmi les mammifères " déclare H.Jerison, insistant sur le fait que " développer un gros cerveau est extrêmement coûteux en énergie et en oxygène. Cet investissement a donc une raison d'être en terme d'évolution darwinienne. Nous devons dès lors considérer la manière dont ces masses importantes de tissu cérébral ont été investies dans le contrôle du comportement et de l'expérimentation du monde, ceci en comparaison avec l'usage qu'en font les petites masses cérébrales".
Un cerveau est par essence un organe chargé de traiter l'information en provenance du monde extérieur. Les grands cerveaux exécutent cette tâche en tant qu'ensemble élaborés de systèmes de traitement, alors que le cerveau de la grenouille ou de l'insecte, par exemple, se contente de modules moins nombreux, dont la finesse d'analyse est comparativement plus simple.
Cela ne nous empêche pas cependant de retrouver des structures neuronales étonnamment semblables d'un animal à l'autre : lorsqu'un promeneur tombe nez à nez avec un crotale, c'est le même plancher sub-thalamique dévolue à la peur qui s'allume chez l'une et l'autre des ces créatures. Quant un chien ou un humain se voient soulagés de leurs angoisses par le même produit tranquillisant, ce sont évidemment les mêmes neuromédiateurs qui agissent sur les mêmes récepteurs neuronaux qui sont la cause du phénomène.
A un très haut niveau de cette hiérarchie, le traitement en question prend la forme d'une représentation ou d'un modèle du monde (Craik, 1943, 1967, Jerison, 1973) et l'activité neuronale se concentre en "paquets d'informations " (chunks) à propos du temps et de l'espace et à propos d'objets, en ce compris les autres individus et soi-même.
"Puisque le modèle du monde qui est construit de la sorte " insiste H.Jerison, "se trouve fondé sur des variables physiquement définies issues directement du monde externe et puisque ces informations sont traitées par des cellules nerveuses et des réseaux neuronaux structurellement semblables chez tous les mammifères supérieurs, les modèles du monde construits par différents individus d'une même espèce ou même chez des individus d'espèces différentes, ont de bonnes chances d'être également similaires ".
Et à tout le moins compréhensibles l'un pour l'autre.
La conscience du dauphin
Bien entendu, les modèles du monde ne manqueront pas de différer selon le degré où les systèmes sensoriels périphériques diffèrent. Le travail du cerveau est en effet, au moins en partie, de construire une réalité cohérente à partir de données sensorielles spécifiques, réalité qui constitue d'ailleurs la seule connue par celui qui l'expérimente au détriment de toutes les autres.
Dans le cas du dauphin, le système nerveux est celui d'un herbivore retourné à la mer, il y a quelques millions d'années, et ne diffère donc pas fondamentalement de celui de n'importe quel autre grand mammifère.
Le monde physique en revanche, au sein duquel il évolue, nous poserait à nous, humains, d'impossibles défis. C'est pourquoi les cétacés ont développé tout à la fois des formes physiques mieux adaptées au milieu marin mais surtout tout un outillage sensoriel susceptible des les aider à survivre dans un monde humide, froid et obscur, où règnent de fortes pressions.
Faire l'expérience d'une telle subjectivité est par définition une tâche impossible. Même entre époux, entre amis, entre enfants et parents, cette connaissance ne peut s'acquérir que par le biais maladroit du discours mais jamais nous ne pourrons accéder au " goût du monde " d'une autre espèce que la nôtre.
Il se fait heureusement que nos organes sensoriels et nos structures cérébrales sont des outils communs à tous les êtres humains, ce qui nous permet de fonder l'illusion d'un univers de formes stables et tangibles, dont l'existence fait l'unanimité mais que nous sommes les seuls à percevoir comme telles.
En revanche, nous sommes génétiquement incapables de nous figurer un monde filtré par d'autres sens que les nôtres, de la même manière qu'il nous est impossible de visualiser un cube en quatre dimensions ou simplement le monde des abeilles....
"Pouvez-vous imaginer l'expérience que représente le fait d'être sans cesse corrélé à une boussole solaire ?" nous demande le neurologue H.Jerison à ce propos "L'information consiste en la triangulation des objets externes relativement à un observateur (le je) et au soleil comme point de référence. Si cette réaction devait être représentée en terme de perception, on pourrait dire que l'abeille ou la fourmi ressent de manière constante l'existence des points cardinaux au sein d'un monde tridimensionnel de type euclidien. Si notre système sensoriel était celui des hyménoptères, c'est cela la seule réalité que nous pourrions percevoir.
L'intégration de deux points de référence, le soi et le soleil, plutôt qu'un seul soi unitaire en tant qu'origine et centre d'un monde périphérique, doit certainement mener à d'autres perspectives sur les dimensions fondamentales de la réalité. Il est intéressant d'imaginer les catégories additionnelles que Kant aurait pu reconnaître en tant qu' a priori si nous avions été équipés d'un tel système de navigation!"
Les expériences de Louis Herman nous apprennent que les dauphins partagent tout de même les mêmes dimensions que nous : le haut, le bas, la gauche la droite, devant, derrière, tout cela existe chez eux mais il semble qu'ils ignorent la nuance entre les adjectifs "grand " et " petit " et qu'ils construisent leurs phrases selon un mode syntaxique particulier. Ces expériences, profondément anthropocentristes, n'offrent qu'un pâle reflet d'un monde mental autrement plus riche et foisonnant en liberté, comme le montre avec bien plus d'éclat le très étrange langage delphinien mis à jour par le chercheur russe Vladimir Markov, mais elles sont à tout le moins significatives de la nature d'une conscience "autre" qui ne s'appuie pas sur nos paramètres
www.dauphinlibre.be
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