Des chercheurs russes de Vladikavkaz ont inventé un vaccin qui neutralise l’impact de la radiation sur un organisme vivant. Leurs collègues japonais, intéressés par cette préparation, envisagent de l’utiliser pour neutraliser les doses ionisantes reçues par les liquidateurs de Fukushima.

Le travail sur le vaccin, qui touche à sa fin, est effectué par les chercheurs russes conjointement avec la NASA (Etats-Unis), indique le professeur Viatcheslav Maliev, chef de la section des biotechnologies du Centre scientifique de Vladikavkaz (Ossétie du Nord) de l’Académie russe des sciences. Les scientifiques américains se sont joints à cette recherche en 2006.

Le vaccin, testé sur les animaux et sur les hommes, s’est avéré efficace en cas de doses de radiation reçues mille fois supérieures à la norme, affirment les chercheurs de Vladikavkaz. Mais son utilisation clinique n’est pas pour l’instant envisagée.

L’élaboration de préparations qui traitent les maladies provoquées par la radiation prend des années, raconte Voldemar Tarita, chef de laboratoire au Centre russe de médecine d’urgence et de radiation du ministère russe des Situations d’urgence.

Parmi les moyens les plus simples pour réduire l’impact de la radiation, le chercheur a cité des préparations d’iode qui protègent la glande thyroïde. Mais si le niveau de radiation est normal, souligne l’expert, il ne faut pas se livrer à l’automédication en consommant des médicaments contenant de l’iode. Leur surdosage entraîne des conséquences négatives : allergie, dermatites etc. En tant que mesure de prévention, il suffit de manger de la laminaire.

Source: http://french.ruvr.ru/2011/03/23/47843741.html

N'importe quoi, encore un truc pour contrôler nos esprits!
Ils utilisent la peur de la contamination pour faire gober tout et n'importe quoi au plus ignorants.

Le nom scientifique du micro organisme qui dévore les déchets nucléaires est Deinococcus Radiodurans qui signifie "baie étrange qui résiste aux radiations".
Le Deinococcus peut oxyder le toluène et le dévorer.
Michael Daly et son équipe pensent rendre capable la bactérie d'avaler et d'oxyder le toluène radioactif et le trichloréthylène radioactif



qu ont vienne pas me raconte que les chercheur ne savent pas comment nettoyer la radioactivité

Je vois mal comment un vaccin quel qu'il soit puisse nous immuniser contre des radiations Et puis quel idée d'appeler ça un vaccin , ils nous prennent vraiment pour des buses !!!

Et ce "Deinococcus Radiodurans" que vas t-il rejeter après avoir mangé?!

qui ta dit qu il rejeterai quelque chose

Personnellement, je ne vois pas en quoi un vaccin pourrait arrêter l'excitation d'atomes qui s'entre-choquent et qui créer la radio activité...

C'est du grand n'importe quoi...

Merci Axel Aire , je comprends mieux pourquoi les scientifiques avaient recherché le moyens de conserver des informations dans des bactéries .

Certaines espèces de scorpions ont des capacités exceptionnels de résistances à la radioactivité de par leurs patrimoine génétique , mais pas aussi élevés que cette bactérie !

Manureva a écrit:

Certaines espèces de scorpions ont des capacités exceptionnels de résistances à la radioactivité de par leurs patrimoine génétique , mais pas aussi élevés que cette bactérie !

Pour ceux du signe astrologique du scorpion ca marche aussi , parce que je ne compte pas me faire vacciner

pourquoi pas mais bon, encore une façon de nous refourguer leur nanomerde ?? la grippe ils arrivent pas peut être que le nucléaire fait plus peur ...

Sans même lire la source ça n'a aucun sens.
Un vaccin c'est fait pour faire développer à l'immunité une réponse plus importante et plus rapide lors d'une exposition à un virus.
Donc quel rapport avec les radiations ?
Le système immunitaire est incapable de faire la différence entre ce qui est radioactif et ce qui ne l'est pas, tout simplement parce que les isotopes radioactifs ont des propriétés chimiques extrêmement proches des non radioactifs et que les atomes sont intégrés dans les molécules.
Donc aucun traitement chimique ne peut supprimer la radioactivité, à moins que les forces de liaison dans les molécules puissent influencer ou jouer un rôle dans la désintégration...

Par contre on peut peut-être s'arranger pour que les isotopes radioactifs ne restent pas dans le corps humain pour qu'ils ne soient pas trop intégrés par celui-ci.
Cependant la radioactivité elle-même, je pense en fait aux rayonnements gamma, on ne peut rien faire contre si on y est exposé par notre environnement ou par des éléments que l'on aurait en nous.


Je pense néanmoins que le rayonnement gamma étant une onde électromagnétique, on doit pouvoir trouver dans le futur un moyen de fragmenter cette énergie en énergies plus faibles et ainsi rendre moins nocifs les déchets.
Je pense même qu'il doit être possible par certaines ondes émises en continu ou certaines conditions, d'empêcher toute désintégration d'isotope.
Parce que si les noyaux des atomes radioactifs peuvent rester aussi bien 1 seconde que 100 ans sans se désintégrer sans qu'on comprenne pourquoi à un moment donné il se désintègre, ça veut quand même dire qu'il y a une raison à trouver, et qu'en lui faisant conserver les conditions durant lesquelles il ne se désintègre pas on ne produit alors aucun rayonnement radioactif.
De même à l'inverse, on pourrait décharger toute cette radioactivité d'un coup pour que les déchets radioactifs ne le soient plus et que les matériaux qui absorbent les ondes émises soient les moins dangereux une fois irradiés.

Deinococcus radiodurans:

Deinococcus radiodurans est un extrêmophiles bactérie , l'un des plus radiorésistantes organismes connus. Il peut survivre au froid, la déshydratation, à vide, et l'acide , et est donc connu comme un polyextremophile et a été classée comme la plus difficile du monde bactérie dans Le Livre Guinness des records du monde

Résistance des rayonnements ionisants

D. radiodurans est capable de supporter une dose aiguë de 5.000 Gy de rayonnement ionisant avec presque aucune perte de la viabilité, et une dose aiguë de 15.000% Gy avec la viabilité Une dose de 5,000 Gy est estimé à introduire plusieurs centaines de cassures double brin (CDB) dans l'organisme de l'ADN de la (~ 0,005 ORD / Gy / Mbp (génome haploïde)). Pour comparaison, une radiographie du thorax ou de la mission Apollo implique environ 1 milligray, 5 Gy peuvent tuer un être humain, 200-800 Gy tuera E. coli , et plus de 4.000 Gy va tuer les résistants à l'irradiation tardigrade .
Plusieurs bactéries de radiorésistance comparables sont maintenant connues, dont certaines espèces du genre Chroococcidiopsis (phylum cyanobactéries ) et certaines espèces de Rubrobacter (phylum actinobactéries ); parmi les archées , les espèces Thermococcus gammatolerans comparables. radiorésistance montre radiodurans Deinocuccus a également un capacité unique de réparation de l'ADN endommagé. Il isole les segments endommagés dans une zone contrôlée et le répare. Cette bactérie peut aussi réparer de nombreux petits fragments d'un chromosome entier.

Applications

Deinococcus a été génétiquement modifié pour une utilisation dans la biorestauration à consommer et à digérer les solvants et les métaux lourds , même dans un site hautement radioactifs. Par exemple, les bactéries réductase mercurique gène a été cloné à partir d'Escherichia coli dans Deinococcus pour détoxifier le ioniques du mercure des résidus trouve fréquemment dans les déchets radioactifs générés par les armes nucléaires de fabrication. Ces chercheurs ont développé une souche de bactérie Deinococcus qui pourrait détoxifier la fois le mercure et le toluène dans des mélanges de déchets radioactifs.
Le Craig Venter Institute a utilisé un système dérivé de l'ADN des mécanismes de réparation rapide de D. radiodurans à assembler des fragments d'ADN de synthèse dans les chromosomes, dans le but ultime de produire un organisme de synthèse qu'ils appellent laboratorium Mycoplasma .
En 2003, les scientifiques américains ont démontré que D. radiodurans pourrait être utilisé comme un moyen de stockage de l'information qui pourrait survivre à une catastrophe nucléaire. Ils ont traduit la chanson C'est un petit monde en une série de segments d'ADN 150 paires de bases de long, inséré dans ces bactéries, et ont pu les récupérer sans erreur 100 générations de bactéries plus tard.

les chercheurs ne savent plus quoi faire pour faire ce genre d'expérience sur une bactérie...
si elle est résistante à un haut degré de radioactivité donc ce serait parce qu'elle peut réparer son ADN sans erreur.
Est-ce que ça veut dire qu'elle n'a aucun brassage génétique et qu'elle a toujours l'exact même code génétique et ne peut pas évoluer ?
Dans ce cas est-ce vraiment un bien ?
Quoi qu'il en soit, elle ne peut décontaminer un lieu car que la radioactivité soit dans la terre ou dans une bactérie, ça ne supprime pas cette radioactivité.
De même pour le plomb, c'est pareil que faire pousser des plantes pour décontaminer un lieu, les plantes prennent par exemple le mercure ou ce que vous voulez, et ensuite que fait-on des plantes ? si elles se décomposent ou sont brûlées on retrouve le mercure. ça ne fait que déplacer le problème.

Ensuite, elle ne peut pas aider l'homme à devenir résistant comme elle l'est contre la radioactivité puisque pour imposer à un homme un bien plus fort taux de réparation de son ADN il faudrait faire intervenir le génie génétique... toucher à son ADN donc.
Mais si l'homme est tel qu'il est, c'est qu'il y a une raison.