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 Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule

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MessageSujet: Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule   Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule I_icon_minitimeLun 12 Sep 2011 - 9:39

civil "mouton" comme un autre !

Ici un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule. Là ou l'on se pose des question c'est pourquoi certains "ex" peuvent dire ce qu'ils vuelent sans même se prendre une tomate ( lol) et d'autres sont brutalisé, voire assassinés ( oups suicidés ...).
Remarque il est pas le seul à ne pas aimer Hilary, il y a quelque chose de terriblement faux et méchant dans cette femme, qui a été la chouchoute de G.W Bush, et doit suivre des plans du même acabit.
Regardez plutôt en video ( sous titrée anglais, désolée j'ai pas encore trouvé de VF)




Ray qui defend Assange et Wikileaks, sûr qu'il agace ce brave homme...



Qui est Ray Mc Govern?
Raymond McGovern est un agent de la CIA puis militant politique, connu notamment pour ses positions contre l'intervention en Irak.

McGovern est né et a été élevé dans le Bronx. Sorti diplômé avec la mention très bien de l' Université Fordham, il sert dans l'armée américaine de 1962 à 1964 comme officier de renseignement. Il a également une maîtrise en arts d'études russes de université Fordham, un brevet de théologie de l'université jésuite de Georgetown et un diplôme en management de la Harvard Business School.
Dans les années soixante, il travaille comme agent subalterne à la CIA où il est chargé de l'analyse de la politique de l'URSS face au Vietnam. De 1981 à 1985, il est l'un des officiers de renseignement chargé du briefing quotidien du président Ronald Reagan, du vice-président George H. W. Bush, du chef d'état-major interarmes, de membres du gouvernement et du Conseil de sécurité nationale. Par la suite, il est l'un des analystes principaux chargés de la rédaction du rapport quotidien de la CIA (President's Daily Brief) au président George Herbert Walker Bush.
Lors de son départ à la retraite, McGovern est décoré de la Intelligence Commendation Medal par le président George H. Bush, médaille qu'il renvoie plus tard en signe de portestation contre l'utilisation de la torture en Irak. Il travaille pour des organisations à but non lucratif basées à Washington, avant de devenir co-directeur de l'école de formation des cadres de la fonction publique dans la capitale fédérale.
Après avoir été admis à la retraite, il constitue la Veteran Intelligence Professionals for Sanity, une association d'anciens officiers de renseignement opposés à l'instrumentalisation des services secrets par le pouvoir politique.

En diverses occasions, il accuse l'administration Bush d'être impliquée dans les attentats du 11 septembre 2001
Il déclare le 27/06/2006 : « Je pense, pour le dire de façon la plus simple, qu'il y a là une opération de dissimulation. Le rapport officiel sur le 11/9 est une plaisanterie. La question est : Qu'est-on en train de dissimuler ? S'agit-il d'une grossière incompétence des pouvoirs publics, d'une grossière négligence, d'un grossier dysfonctionnement ?(...) Il y a à présent une foule de questions sans réponses. Et la raison pour laquelle elles n'ont pas de réponses c'est que l'administration actuelle ne répondra pas à ces questions. (...) Je veux juste réaffirmer ce que Scott [Ritter, ancien Commandant des U.S. Marines Corps, ancien inspecteur en chef pour la Commission Spéciale en Irak diligentée par les Nations Unies] disait,et c'est pour moi la base de l'histoire : tout comme Hitler en 1933 a cyniquement exploité l'incendie du parlement,le Reichstag, notre président a procédé exactement de la même manière en exploitant le 11/9. La manière cynique qu'il a eu de jouer sur notre trauma, a utilisé ce trauma pour justifier une attaque, et lancer ainsi une campagne d'agression envers un pays qu'il savait sans aucun lien avec le 11/9. Cela me suffit, je pense que Scott a complètement raison, il s'agit là à n'en pas douter, d'un délit passible d'une mise en accusation. »





Dernière édition par Nanette67 le Sam 8 Oct 2011 - 12:41, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule   Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule I_icon_minitimeLun 12 Sep 2011 - 9:44

D'autres ont parlé et sont morts ( Chip Tatum). Le NWO aurait ses limites à ne pas dépasser ?

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MessageSujet: Re: Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule   Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule I_icon_minitimeVen 7 Oct 2011 - 10:38

Et puis il y a ceux qui survivent à la chasse aux "sorcières": entendez par là, ceux qui dénoncent les évenements croustillants de la politique nationale / mondiale, comme par ex Robert Baer alias "bob" ( oui il n'y pas que l'éponge en D.A). Une légende à lui tout seul...

Qui est Bob ( who's that guy? lol! )

Robert Baer (né le 1er juillet 1952) est un ancien agent de la CIA. Aujourd'hui consultant international, il a effectué sa carrière en tant qu'agent des opérations clandestines. Au sein des services secrets américains, il a lutté contre la bureaucratie, qu'il jugeait trop peureuse et à la source même des attentats du 11 septembre 2001, conséquence de nombreuses négligences de la part de ses supérieurs selon lui. Il a démissionné de la CIA en 1997.

Biographie
Robert Baer est né à Aspen. Il grandit dans le Colorado, pratiquant la compétition en ski et espérant devenir plus tard un professionnel. Après un passage à l'Académie militaire de l'Indiana, des études à l'Université de Georgetown et à l'université de Berkeley, en Californie, il décide d'entrer à la CIA en 1976. Après une année de formation, notamment paramilitaire, il rejoint l'Agence en tant qu'officier de renseignement, à la division des opérations clandestines.

Pendant une vingtaine d'années, Robert Baer a l'occasion de combattre l'islamisme sur tous les fronts, mais également les hésitations de la Maison Blanche. Il démissionne de l'Agence après avoir tenté en vain d'obtenir le soutien de l'Administration Clinton pour le renversement de Saddam Hussein, en 1995. Il commence alors la rédaction d'un premier livre, La Chute de la CIA - Les mémoires d'un guerrier de l'ombre sur les fronts de l'islamisme (2002), dans lequel il raconte sa carrière de façon chronologique. L'ouvrage reflète l'état du Moyen-Orient à l'époque des guerres fratricides, des années 1970 jusqu'à nos jours. Il y parle de ses activités au sein de la centrale, tout en démontrant de quelle manière la CIA est passée d'une agence de terrain à une agence de bureau.

Dans son troisième roman ...et la maison s'envolera, Robert Baer aborde de façon romanesque, une approche plausible des mois qui ont précédé les attentats du 11 septembre 2001.
Arabisant et francophone, il est aujourd'hui consultant international et partage son temps entre Washington, Paris et la Bourgogne, région dans laquelle il possède une maison.
Œuvres:
La Chute de la CIA - Les mémoires d'un guerrier de l'ombre sur les fronts de l'islamisme, Gallimard, collection « Folio documents », Paris, 2002.
Or noir et Maison blanche - Comment l’Amérique a vendu son âme pour le pétrole saoudien, Gallimard, collection « Folio documents », Paris, 2002.
... et la maison s'envolera, JC Lattès, 2007, Paris, Blow the house down, Robert Baer, 2006.
Iran l'irrésistible ascension, JC Lattès, 2008, Paris, ......, Robert Baer, 2008.

Documentaires:
On peut voir Robert Baer dans un documentaire en trois volets :

CIA, Guerres secrètes - 1947-1977, Opérations clandestines (2003) de William Karel.
CIA, Guerres secrètes - 1977-1989, La fin des illusions (2003) de William Karel.
CIA, Guerres secrètes - 1989-2003, D'une guerre à l'autre (2003) de William Karel.

Toujours en tant qu'ancien agent de la CIA, il est intervenu dans :
Le Monde selon Bush (2004) de William Karel.

Fictions:
Syriana, de Stephen Gaghan, avec George Clooney et Matt Damon, sorti en France le 22 février 2006.

Ce film est basé sur les mémoires de Robert Baer; le rôle principal, tenu par George Clooney, y est largement inspiré de son personnage et lui-même y fait une petite apparition en tant qu'agent de la sécurité de la CIA.
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MessageSujet: Re: Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule   Un ancien agent ( analyste) de la CIA qui conteste les dire d'Hilary Clinton et en prend pour son matricule I_icon_minitimeSam 8 Oct 2011 - 11:30

Ma préférée - LOL Very Happy

Susan Lindauer (né le 17 Juillet 1963) ancien agent de la CIA est aussi une journaliste américaine, auteur et militant anti-guerre. Elle a été accusée d'avoir conspiré pour agir comme agent pour le service de renseignement irakien et s'engager dans des transactions financières interdites impliquant le gouvernement de l'Irak sous Saddam Hussein. Lindauer a été jugé mentalement inapte à subir son procès et toutes les charges ont été abandonnées en 2009.

Elle est la fille de John Howard II Lindauer, l'éditeur du journal et ancien candidat républicain pour le gouverneur de l'Alaska. La mère de Suzanne était Jackie Lindauer (1932-1992) qui mourut d'un cancer en 1992. En 1995, son père a épousé Dorothy Oremus, un avocat de Chicago qui, avec d'autres membres de sa famille possédait la plus grande entreprise de ciment dans le Midwest .
Lindauer est aussi un cousine au second degré du chef de l'ancienne Maison Blanche Andrew Card.

Lindauer a assisté East High School Anchorage à Anchorage, en Alaska, où elle était une étudiante d'honneur Elle est diplômée du Smith College en 1985. Elle a obtenu une maîtrise en politique publique de la London School of Economics.] Elle a travaillé comme journaliste temporaire au Seattle Post-Intelligencer pendant 13 semaines en 1987, et comme éditorialiste au Herald Le Everett à Everett, Washington en 1989. Elle a ensuite été journaliste et chercheur au Etats-Unis Nouvelles & World Report en 1990 et 1991. Ses collègues a dit qu'elle était une femme "sujettes à des sautes d'humeur et de comportement erratique".

Elle a ensuite travaillé pour le Représentant Peter DeFazio, D-Oregon (1993) puis Représentant Ron Wyden, D-Oregon (1994) avant de rejoindre le bureau du sénateur Carol Moseley Braun, D-Illinois, où elle a travaillé comme attaché de presse et rédacteur de discours

Elle a commencé à faire des visites à la mission libyenne auprès des Nations Unies en 1995 . Elle a tenu des réunions avec des responsables irakiens Intelligence Service au sein des Nations Unies en 1999 . Andrew Card, est son cousin au second degré. Son premier contact avec l'ancien chef de cabinet du président George W. Bush était d'environ 2001. Le Janvier 8 mai 2003, elle a remis une lettre à la carte exhortant la Maison Blanche pour ne pas envahir l'Irak. [9] [10]

Dans son livre, Extreme Prejudice: L'histoire terrifiante de la Patriot Act et le Cover Ups-du 11 / 9 et en Irak et dans une interview à la radio de Radio No Lies, elle prétend avoir eu connaissance préalable des attaques du 11 Septembre

Lindauer a été arrêté le jeudi 11 Mars 2004 à Takoma Park, Maryland et inculpé de «agissant en tant qu'agent non enregistré d'un gouvernement étranger». L'acte d'accusation allègue qu'elle a accepté des États-Unis $ 10 000 des services de renseignement irakiens en 2002. Lindauer nie avoir reçu l'argent, mais admet faire un voyage à Bagdad. Elle a été libérée sous caution le 13 Mars 2004, et à assister à une mise en accusation la semaine suivante. En 2005, elle a été incarcéré dans Carswell Air Force Base à Fort Worth, au Texas pour une évaluation psychologique, ensuite déménagé au Centre correctionnel métropolitain de Manhattan.
En 2006, elle a été libérée de prison après Michael B. Mukasey a statué que Lindauer était inapte à subir son procès et ne pouvait pas être forcé de prendre des médicaments antipsychotiques pour la rendre apte à être jugée.
En 2008, Loretta A. Preska de la Cour de district fédérale de New York a réaffirmé que Lindauer était mentalement inapte à subir son procès.

Le 16 Janvier 2009, le gouvernement a décidé de ne pas aller de l'avant avec les poursuites en disant "poursuivre Lindauer ne serait plus dans l'intérêt de la justice."

Lindauer a écrit un livre "Extreme Prejudice: L'histoire terrifiante de la Patriot Act et le camouflage de 9 / 11 et l'Irak".

Une vidéo en anglais:


ReOpen911:
L’ex-agent Susan Lindauer : la CIA savait en avril 2001 que le 11-Septembre allait se produire
23 mai, 2011 by GeantVert

L’ex-agent de la CIA Susan Lindauer vient de publier un livre intitulé "Extreme prejudice" dans lequel elle réitère ses affirmations sur la pré-connaissance par la CIA des événements du 11/9. Selon cette "lanceuse d’alertes" qui a servi pendant la période précédant les attentats de 2001 d’intermédiaire entre les USA et la diplomatie irakienne, les cibles des Tours Jumelles et l’utilisation d’avions détournés étaient des éléments connus de la CIA depuis avril-mai 2001. Son témoignage pourrait paraître exubérant s’il n’avait été corroboré à plusieurs reprises par des témoins à qui elle avait fait part de ses inquiétudes durant l’été 2001, dont son frère John Lindauer, qui l’a rapporté au New York Times en juillet 2004

On savait déjà grâce à l’autre lanceuse d’alertes Sibel Edmonds, que le FBI avait aussi été informé d’opérations kamikazes imminentes, mais qu’aucune mesure visible n’avait été prise, au grand désarroi des deux agents du FBI qui avaient recueilli ces informations.

Notons aussi que Susan Lindauer est une cousine lointaine d’Andrew Card, le chef de cabinet de George W. Bush, et qu’elle dit avoir tenté à plusieurs reprises de le prévenir de ces attentats en août 2001. Sa dénonciation du camouflage entourant le 11/9 et la guerre en Irak lui a valu d’être poursuivie par la justice américaine et de passer une année en prison. Quel crédit apporter à ses déclarations ? Aux lecteurs de se faire leur propre idée. Toujours est-il que nous ne pouvions pas omettre de relayer cet article saisissant paru récemment sur le site The Intel Hub.

Enfin, même si cela n’a pas encore paru dans nos pages, qu’au moment même où les lois liberticides PATRIOT ACT sont reconduites pour quatre ans aux USA, des mesures drastiques sont sur le point d’être adoptées contre les lanceurs d’alertes menacés notamment de perdre leur droit à la retraite fédérale sur la seule décision de l’administration, c’est-à-dire sans recours juridique. A l’instar du soldat Manning toujours incarcéré pour avoir soi-disant transmis des documents classifiés à Wikileaks, il est clair que les avertissements se multiplient. On voudrait faire taire les contestataires, ou ceux qui en savent un peu trop, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

Le livre de Susan Lindauer :
Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act
and the Cover Ups of 9/11 and Iraq

Un temps pour la vérité : La mort de Ben Laden ne mettra pas fin à la Guerre contre le terrorisme tant que les Américains ne comprendront pas que la vraie menace a toujours été l’Amérique elle-même.

paru sur TheIntelHub, le 10 mai 2011

Traduction Vincent pour ReOpenNews

Susan Lindauer, lanceuse d’alertes (whistle Blower) sur les événements du 11-Septembre et auteur du livre Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Irak. qui relate son calvaire en tant que deuxième Américaine non arabe à avoir été inculpée au travers des lois Patriot Act, et à avoir dû faire face à des accusations secrètes, des preuves secrètes, des témoignages secrets d’un jury d’accusation, ainsi qu’à des menaces de détention illimitée.

Certains de nos dirigeants pensent que les Américains n’ont pas besoin de connaitre la vérité au sujet du 11-Septembre maintenant qu’Oussama est mort et que tout est terminé. En tant que personne qui a souffert pendant presque dix ans des dissimulations entourant le 11-Septembre, je veux dire mon plus complet désaccord. J’en ai ma claque de demander une vraie enquête par le Congrès. Le Congrès connaît déjà la vérité sur le 11-Septembre.

Voilà pourquoi ils ne fouillent pas. Mais ce serait une grossière erreur d’attendre la permission de parler pour tous ceux d’entre nous qui connaissent la vérité, du moins en partie. L’Amérique s’est elle-même prise au piège dans le cauchemar mythologique d’un terrorisme qui exagère [la puissance de] nos ennemis, pendant que nos dirigeants utilisent notre patriotisme et nous aveuglent en faisant passer des mesures erronées de politique de sécurité nationale. Cette politique ne peut pas être efficace si elle affaiblit notre pays.
Les États-Unis ont atteint un moment charnière, celui où il faut considérer la fin de l’ « Ere de l’Amérique ». C’est ce qui rend impératif un examen impartial du 11-Septembre.
Les Américains doivent démystifier le 11-Septembre, et crever enfin cette bulle terrifiante qui entoure la « Guerre au Terrorisme », et ils pourront ainsi balayer les menaces bidon dont Washington se sert pour fomenter des guerres au Moyen-Orient, tout en ruinant notre économie par des dépenses militaires hors de tout contrôle au détriment de nos droits civils, tout cela au nom de la sécurité nationale. Le mensonge lui-même est parfaitement effrayant. Valerie Plame, une femme que j’admire profondément, a récemment tenté d’expliquer aux Américains que le gouvernement des États-Unis n’aurait pas pu cacher aussi longtemps un secret aussi énorme et dévastateur.

Vous voulez parier ? J’ai moi-même été récompensée de cinq années d’inculpation, accusée d’être un ‘agent irakien’, avec à la clef une année de prison dans la base aérienne de Carswell à Forth Worth au Texas – sans aucun procès ni audition – après que j’eus demandé à témoigner au sujet de l’Irak et du 11-Septembre.
Trente jours après avoir parlé avec des hauts responsables de l’équipe des Sénateurs Trent Lott et John McCain, le FBI s’est présenté avec un mandat d’arrêt à mon encontre.

Mon acte d’accusation de 5 ans sous couvert du Patriot Act m’a valu le surnom de ‘Symbol Susan’. Ce n’était pas très subtil. L’acharnement dont j’ai fait l’objet était résolument destiné à effrayer quiconque aurait envisagé de parler. Les dissimulations autour du 11-Septembre et de l’Irak ont mis le PATRIOT ACT en exergue comme l’outil de prédilection pour faire taire les « lanceurs d’alertes » (whistle blowers)
Aux autres [lanceurs d’alertes] je dis ; ils ne peuvent pas nous faire taire si nous refusons de nous taire. Je mets au défi le Congrès de remettre notre pays sur la bonne voie en organisant des auditions sur le 11-Septembre afin de prendre en compte notre témoignage. Je serais heureuse de prêter serment devant tous.

La vérité : un été plein d’avertissements
La vérité est que notre équipe, qui triangulait avec la CIA et la DIA (Defense Intelligence Agency) a discuté pendant tout l’été 2001 du scénario exact des attentats du 11-Septembre et de leur planification.
Nous en avons parlé pratiquement chaque semaine lors de nos réunions. Nous en avons également discuté par téléphone, plaisantant ouvertement – ‘Bonjour la NSA ! Allez, décrochez ce téléphone – ’ sachant bien que la NSA avait mis mes lignes sur écoute.
Il ne fait aucun doute que l’histoire de la conspiration du 11-Septembre a été fabriquée plusieurs mois à l’avance afin de préparer les milieux du Renseignement à une réaction du gouvernement. Et cela s’est déroulé exactement comme ils nous l’avaient dit – avec l’aide d’une équipe autonome chargé des explosifs. Cela sera expliqué dans un deuxième article. Les deux ne sont pas contradictoires.
Avant d’en arriver là, les Américains doivent d’abord accepter les motivations qui ont conduit au 11-Septembre, et les raisons pour lesquelles le gouvernement des États-Unis a permis que cela se produise. C’était comme pour Pearl Harbor. Cela répondait à un agenda bien défini. Lorsque j’ai été prévenue du 11-Septembre, en avril-mai 2001, j’ai aussi appris que les États-Unis avaient prévu de déclarer la guerre à l’Irak immédiatement après les attentats. Les deux étaient déjà liés, de cause à effet.

Menaces de guerre contre l’Irak

Je peux en attester de manière catégorique, car j’étais la personne mandatée pour faire part de ces menaces aux diplomates irakiens à l’ONU. J’étais chargée de leur expliquer que « les États-Unis avaient l’intention de déclarer la guerre à l’Irak si Bagdad échouait à fournir des renseignements exploitables pour stopper le complot impliquant des détournements d’avion et une frappe contre le World Trade Center. Nous bombarderions l’Irak plus sauvagement que jamais – et le renverrions à l’âge de pierre. »

Mon responsable à la CIA m’a en outre demandé de souligner le fait que la menace de guerre « qui émanait des plus hauts niveaux du gouvernement – au-dessus du Directeur de la CIA et du Secrétaire d’État. » Il a estimé que les avertissements auraient plus de poids si les diplomates irakiens avaient conscience du pouvoir de ceux qui formulaient ces menaces.

Étant donné que je représentais le principal canal « secret » de communication avec Bagdad entre 1996 et 2003, j’ai continué de transmettre ce même message avec toutes les précisions voulues, d’avril-mai 2001 jusqu’au 4 août 2001. Je peux déterminer la date avec précision, car la conversation avec mon chef à la CIA eut lieu le jour même où se tint l’audience du Sénat pour confirmer la nomination de Robert Mueller à la tète du FBI.
Mon responsable à la CIA, le docteur Richard Fuisz a supposé tout haut que l’attaque du 11-Septembre pourrait survenir, et il l’a fait avant même que Mueller ne prenne officiellement le poste de Directeur du FBI.

Dans la même conversation, le docteur Fuisz m’a avertie que je ne devais pas retourner à New York, parce que l’attaque était ‘imminente’ et que la CIA s’attendait à des ‘pertes massives’ et à un ‘éventuel dispositif thermonucléaire miniature’. Passant outre ses objections, j’ai insisté pour retourner une dernière fois à l’ambassade d’Irak à l’ONU afin de vérifier si les diplomates avaient reçu des rapports de Bagdad. J’ai ensuite promis de ne pas remettre les pieds à New York jusqu’à ce que les attentats aient eu lieu.

Ma réunion avec les diplomates irakiens s’est déroulée deux jours plus tard, le samedi 4 août. Et je ne suis retournée à New York que le 18 septembre. Soyons clairs : la menace n’était ni vague ni indéterminée. Nous nous attendions vraiment à des détournements d’avion et à une certaine forme de frappe aérienne visant spécifiquement le World Trade Center. Aucune autre cible ou lieu n’a jamais été évoqué.

Les détails du complot du 11-Septembre et le récit complet du Renseignement d’avant la guerre en Irak sont révélés dans mon livre, “Extreme Prejudice: The Terrifying Story of the Patriot Act and the Cover Ups of 9/11 and Iraq.” Cet ouvrage constitue un authentique thriller d’espionnage, et s’attache au vrai fond du problème, alors que cet article ne fait qu’en effleurer la surface.
‘Extreme Prejudice’ révèle une réalité très différente de ce que l’Amérique a entendu jusque-là. Je défie le Congrès de me faire prêter serment et de me poser toutes les questions qu’ils veulent. Les Américains ont le droit d’entendre mon témoignage direct, qui révélera la chronologie complète de nos discussions à propos de ce complot, et aussi celle de tous nos efforts pour empêcher ces attentats.

Attendez-vous à être surpris. En tant qu’activiste antiguerre de longue date, j’ai vraiment été troublée par les menaces qu’il m’avait été demandé de délivrer aux diplomates irakiens. Et je ne suis pas quelqu’un de passif.
Ajoutant à la tension, durant l’été 2001 la communauté internationale avait développé un profond écœurement à l’égard des sanctions de l’ONU qui détruisaient le tissu social et l’infrastructure publique de l’Irak. Les sanctions de l’ONU – que j’ai également condamnées – étaient sur le point de se terminer. La communauté internationale aurait condamné toute intervention militaire unilatérale contre l’Irak.

La CIA connaissait à l’avance le sort réservé à l’Irak. A l’insu du public, depuis les premiers jours de l’administration Bush en janvier 2001[1], notre équipe avait commencé à élaborer un plan d’ensemble pour que tous les objectifs des USA soient atteints – y compris les inspections d’armes sur le terrain – et que les États-Unis puissent prétendre à une victoire significative tout en cédant à la pression pour que les sanctions de l’ONU prennent fin.

L’anti-terrorisme était une composante centrale de notre plan de paix. En fait, l’Irak avait donné son accord en février 2001 pour qu’une unité opérationnelle du FBI vienne sur place enquêter sur le terrorisme irakien. La CIA avait également obtenu l’accord de l’Irak sur des contrats de grandes reconstructions pour les sociétés américaines dans les télécommunications, les hôpitaux et les soins de santé, les transports – et le pétrole. Les États-Unis prenaient tout ce qu’ils voulaient. Et la CIA voulait tout.

Nos efforts conjugués pour stopper le 11-Septembre
Lorsque mon responsable à la CIA, le docteur Fuisz m’a informée le 2 août que l’attaque du 11-Septembre était en train de se mettre en place et était même considérée comme ‘imminente’, nous avons décidé d’un commun accord de tout faire pour empêcher cette tragédie. Je ne suis pas en train de vous parler de ce qu’on fait les autres, mais de ce que j’ai moi-même entrepris ‘en temps réel’ pour empêcher les attentats du 11-Septembre de se produire.

Le lundi 6 août, j’ai remis mon rapport au docteur Fuisz suite à mon voyage à New York. Je lui ai dit que les diplomates irakiens avaient baissé les bras. Ils n’avaient rien à nous donner. Oui, m’ont-ils assuré, Bagdad était pleinement conscient que l’Irak faisait face à une menace de guerre de grande ampleur si une attaque du style du 11-Septembre survenait. Ils ont compris qu’il était dans leur intérêt de nous fournir même le plus petit renseignement qui pourrait nous aider à stopper l’attaque. Ils ont compris que le 11-Septembre compliquerait notre plan de paix exactement au moment où la communauté internationale s’apprêtait à rejeter les sanctions de l’ONU. Résultat des courses, ils n’avaient rien à nous offrir.

Ma position dans cette discussion avait quelque chose d’étrange, car j’éprouvais une profonde antipathie envers les sanctions et envers la violence du terrorisme et de la guerre. Pour ces raisons, j’ai informé le docteur Fuisz que je me sentais très motivée pour faire tout ce qui était en mon pouvoir pour stopper le 11-Septembre, à la fois pour protéger les citoyens de la ville de New York et pour empêcher une guerre inutile – exactement au moment où notre équipe réalisait ce remarquable plan de paix qui allait permettre aux USA d’atteindre tous leurs objectifs.

Sur instructions données par le docteur Fuisz le 6 août, j’ai personnellement téléphoné au cabinet du Procureur général John Ashcroft au Département de la Justice le 7 ou le 8 août. M’identifiant comme l’agent de la CIA couvrant les ambassades d’Irak et de Libye aux Nations Unies, j’ai personnellement demandé que le Bureau d’Ashcroft publie « un bulletin d’alerte d’urgence dans toutes les agences, pour rechercher toute source d’information sur des détournements d’avion, avec comme cible privilégiée le World Trade Center. »

J’ai décrit l’attaque comme ‘imminente’, avec la possibilité de ‘pertes massives’. J’ai demandé le maximum de coopération entre toutes les agences, et aussi que toute information [pertinente] soit immédiatement envoyée à la CIA.
Suite à ma requête, le personnel du sacro-saint bureau du Procureur Général John Ashcroft m’a transmis le numéro de téléphone du Bureau du Contre-terrorisme au Département de la Justice, et m’a urgemment prié de répéter exactement ce que je venais de leur dire. Ce que je fis sans délai. J’ai composé le numéro. J’ai parlé aux employés.

Je ne prenais pas vraiment de risques. Quelques jours plus tard, je rendis visite à mon cousin Andrew Card, Chef de Cabinet à la Maison Blanche. J’ai patienté dans ma voiture pendant que ses voisins épiaient à la fenêtre ; j’étais bien déterminée à le prévenir au sujet de notre scénario du 11-Septembre, et à demander de l’aide au niveau du cabinet pour contrecarrer l’attaque. Hélas, Andy n’est pas rentré. Lorsque je suis partie deux heures plus tard, j’ai pensé que j’étais en train de commettre la plus grande erreur de ma vie.

Il restait beaucoup de temps pour contrecarrer l’attaque. Les Américains ont le droit de connaître la façon dont les hauts responsables du gouvernement ont accueilli nos avertissements, et ont en réalité contrarié nos efforts dès août 2001.
Beaucoup de choses se sont produites durant ce mois d’août 2001 – y compris une seconde série d’événements dont j’ai eu vent plusieurs années après, qui impliquait une équipe autonome non-identifiée chargée de poser des explosifs dans les Tours Jumelles. Mon prochain article expliquera comment ces deux complots ont convergé. Contrairement à ce que suppose l’association pour la vérité sur le 11/9, ces deux opérations ne s’annihilent pas l’une l’autre.

Mais les Américains doivent d’abord comprendre que l’opération du 11-Septembre fut réellement une forme d’abdication, un authentique Pearl Harbor, autrement dit, les services de Renseignement américains et étrangers avaient très bien compris ce qui allait arriver.

Les hautes sphères de l’administration américaine ont pris la décision de laisser l’attaque se produire – parce que la décision d’utiliser le 11-Septembre comme prétexte pour déclarer la guerre à l’Irak avait déjà été prise. Alors même qu’à l’époque la paix s’installait au Moyen-Orient, le « Parti de la Guerre » a exigé une menace massive pour pouvoir renverser le processus de paix. Ils ont décidé clairement que rien ne pourrait faire obstacle à cet objectif.

Une fois que l’on a ces éléments en tête, le 11-Septembre devient compréhensible.

Une partie de mon témoignage surprendra l’Amérique – comme les efforts du gouvernement de Saddam Hussein pour garantir une coopération totale de l’Irak dans la lutte anti-terroriste internationale avant et après le 11-Septembre. Ceci sera expliqué dans un prochain article. En fin de compte, mon livre, « Extreme Prejudice »fournit une vision d’ensemble de la brutalité utilisée par le Département de la Justice pour me réduire au silence, moi et d’autres agents, en utilisant le PATRIOT ACT comme arme pour garantir la réussite de sa supercherie. (Un indice : C’est en regardant la télévision depuis la prison que d’autres agents ont assisté [comme moi] aux dissimulations sur le 11/9. J’étais loin d’être la seule prisonnière).

Oh tout n’a pas été si mal ! Mon responsable de la CIA a reçu en novembre 2001 la somme de 13 millions de dollars exonérés d’impôts pour les enquêtes sur le 11-Septembre – il s’est construit une immense demeure située à un jet de pierre du quartier général de la CIA à McLean, en Virginie. Pas un centime n’a été dépensé pour le 11-Septembre.
Cela dit, le gouvernement ne s’en plaint pas. Mais détourner l’argent du contribuable destiné à la coopération irakienne pour l’enquête sur le 11-Septembre, c’est enlever le pain de ma bouche. J’ai payé un prix terrible. Plus d’informations très bientôt.

La démocratie exige la transparence

Tous les avertissements concernant le 11-Septembre, la dissimulation – les arrestations et les pots de vin – devraient déranger aussi bien les Démocrates que les Républicains qui se vantent du soutien de leur hiérarchie envers les personnes activement engagées dans la lutte contre le terrorisme. Cela revient à trahir leur serment de fidélité, c’est évident. Et cela noircit leur rôle de garant de la sécurité nationale, qui sera une mis à l’épreuve lors de la campagne électorale de 2012. Ceux qui ne se soucient pas du bien-être des citoyens ne doivent par être au gouvernement.
En deux mots, la démocratie exige la transparence envers le citoyen. Les Américains ont le droit fondamental de connaître la vérité sur le 11-Septembre, et sur la décision prise plusieurs mois avant les attentats de déclarer la guerre à l’Irak – par les temps qui courent, la sécurité nationale est une affaire sérieuse. Les Américains exigent des éclaircissements, pour évaluer la performance des dirigeants et la qualité de la politique mise en œuvre en leur nom.

Les dirigeants sincères et bien intentionnés ne doivent pas avoir peur. En revanche, les dirigeants malveillants doivent être renvoyés, et ce, pour le bien du gouvernement. Plus inquiétant, l’héritage du 11-Septembre s’est révélé être préjudiciable pour la sécurité de notre pays.

Selon le National Journal, la lutte contre ce monstre fantomatique du terrorisme met en jeu aujourd’hui 1 271 agences gouvernementales, générant 50 000 rapports par an du renseignement que d’ailleurs personne ne lit. Pendant ce temps, ‘les budgets secrets’ pour des opérations de renseignements se sont multipliés à raison de 75 milliards de dollars par an, finançant la surveillance nationale et internationale qui contrôle les citoyens respectueux des lois de ce pays.

Il n’existe aucune autorité de contrôle fédéral ou de surveillance du Congrès pour ces ‘budgets secrets’. Le tout est exonéré d’impôts et non régulé. C’est un gouvernement secret devenu incontrôlable.

La mort d’Oussama Ben Laden a peut-être été une grande victoire pour la CIA, mais elle ne ramènera pas les soldats américains d’Irak et d’Afghanistan, où les opérations militaires ont coûté 1 600 milliards de dollars et cela continue. Elle ne mettra pas fin au non-sens de la guerre contre la Libye, qui n’a aucune justification.[2]
La mort d’Oussama Ben Laden n’annulera pas les étapes programmées pour les futures guerres contre la Syrie, et Dieu nous en protège, l’Iran.

Est-ce vraiment patriotique de rester silencieux pendant que le complexe militaro-industriel dévore notre économie pour ses propres intérêts ? Et sans que cela bénéficie aux soldats américains ? L’Amiral Mullen, chef d’état-major, ne le considère pas de cette manière. Il a décrit la dette nationale américaine comme ‘la plus grande menace pour notre sécurité nationale’.
Notre pays se trouve au bord du précipice. Si nous voulons restaurer les grandes traditions de liberté et d’autorité morale, nous devons réapprendre l’histoire du 11-Septembre.

Nous devons reconnaître que les menaces réelles pour notre qualité de vie ne se trouvent pas ‘dehors’. Elles commencent ici. Et ces menaces sont perpétrées par les mythes que nos dirigeants ont inventés au cours de cette tragique matinée.
Aujourd’hui sonne le glas du mensonge. La réussite de notre politique de sécurité nationale, et notre capacité à éviter de futures guerres qui ne feront que détruire cette planète, en dépendent.

Le prochain article de cette série montrera comment la théorie des explosifs va de pair avec celle des détournements d’avion et de la frappe aérienne sur le World Trade Center. Les Américains comprendront pourquoi les deux ne sont absolument pas contradictoires.

Susan Lindauer


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Flynt Leverett

Flynt Leverett (né le 6 Mars 1958 à Memphis, Tennessee) est un membre éminent de la New America Foundation à Washington, DC, et professeur à l'École Pennsylvania State University of International Affairs. De Mars 2002 à Mars 2003, il a servi en tant que directeur senior pour les affaires du Moyen-Orient au Conseil national de sécurité. Avant de servir sur le NSC, il était un expert de l'antiterrorisme sur le personnel du Département d'Etat des politiques de planification, et avant cela il a servi comme analyste de la CIA depuis huit ans. Depuis qu'il a quitté la fonction publique, Leverett a servi de professeur invité à la Brookings Institution de Saban Center for Middle East Policy, avant de devenir le directeur de la géopolitique de l'énergie Initiative dans le programme Stratégie américaine à la New America Foundation.

Op-ed la controverse:
En tant que responsable de la sécurité nationale l'ancien a accordé une autorisation de sécurité, Leverett doit nécessairement demander l'approbation préalable du conseil des articles de la CIA (Publication examen). Ces examens sont effectués à titre de précaution pour éviter les fuites d'informations classifiées.
Le 16 Décembre, 2006 Leverett a refusé l'autorisation de publier un article d'opinion de 1000 mots, co-écrit avec son épouse, Hillary Mann et basé sur la manière de «Traiter avec Téhéran:. Évaluer les options diplomatiques américaines envers l'Iran" Le document est la critique du refus de l'administration Bush à s'engager dans des négociations avec le gouvernement de l'Iran.

Leverett avait l'intention de publier un court article paru dans The New York Times. Dans une déclaration à la publication en ligne Talking Points Memo, il conteste la justification officielle de la décision.
"La Maison Blanche a exigé, avant d'envisager la compensation des op-ed à la publication, que je censure des paragraphes entiers traitant de questions que j'ai écrites sur le sujet (et reçu l'autorisation de la CIA pour le faire) dans plusieurs autres pièces, qui ont été publiquement reconnus par la secrétaire Rice, ancienne secrétaire d'Etat et Colin Powell, ancien secrétaire d'Etat adjoint Richard Armitage, et qui ont été largement couverts dans les médias. "


Dans la même déclaration, Leverett revele le blâme pour l'annulation de la lettre d'opinion sur «employés de la Maison Blanche ... travaillant pour Elliott Abrams et Meghan O'Sullivan, deux députés nommés politiquement par le président Bush pour la sécurité nationale, Stephen Hadley."

Leverett, Flynt (2006-12-14) (PDF). Faire face à Téhéran: Évaluation des options diplomatiques américains vers l'Iran. La Fondation Century. Récupérée 18/12/2006.

Vidéo:
Leverett, Flynt. (2006-12-18). New America Foundation Discussion sur les questions Iran. [TV-Affaires publiques]. Washington, DC: C-SPAN.

Livres:

Héritant Syrie: Bachar essai par le feu d'une étude de la politique et l'élaboration de politiques en Syrie, ISBN 0815752032
The Road Ahead: Politique au Moyen-Orient dans un deuxième mandat à l'Administration Bush (édité par Leverett avec la contribution de Kenneth Pollack, James Steinberg, Shibley Telhami, et Martin Indyk), ISBN 0815752059

Un peu plus sur interet-general Info:

Reuters, 15 février 2007
Iran : Le gouvernement des Etats-Unis a rejeté une proposition de détente en 2003

Flynt Leverett
WASHINGTON (Reuters) - L’administration américaine a-t-elle laissé passer une occasion d’un rapprochement avec l’Iran ? La polémique a enflé, mercredi 14 février 2007, aux Etats-Unis, avec les révélations d’un ancien assistant de Condoleezza Rice. Flynt Leverett, qui travaillait au Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, lorsque l’actuelle secrétaire d’Etat le dirigeait, a affirmé qu’une proposition approuvée par les plus hauts dirigeants de la république islamique avait été adressée aux Etats-Unis en mai 2003.

Iran
Cette "proposition sérieuse", a ajouté Flynt Leverett, lors d’une conférence organisée au Congrès par la New America Foundation, était comparable à l’ouverture amorcée, en 1972, par les Etats-Unis, à l’égard de la Chine. Flynt Leverett s’est dit sûr que cette lettre iranienne avait été vue par Condoleezza Rice et par son prédécesseur à la tête du département d’Etat, Colin Powell, mais, a-t-il ajouté, "l’administration a rejeté cette ouverture". "L’administration Bush, jusqu’à et y compris la secrétaire Rice, induit en erreur le Congrès et l’opinion publique américaine sur cette proposition de l’Iran", a-t-il accusé.

Colin Powell
Un porte-parole de la secrétaire d’Etat a démenti que Condoleezza Rice ait trompé le Congrès et a réaffirmé qu’elle n’avait pas vu cette proposition de Téhéran. "Ce qu’elle a dit est qu’elle n’a pas souvenir de l’avoir vue. Elle l’a dit à maintes reprises", a affirmé Sean McCormack. La semaine dernière, interrogée lors d’une audition devant une commission parlementaire sur de précédents propos de Leverett, Condoleezza Rice avait dit : "J’ignore de quoi Flynt Leverett parle." Elle avait contre-attaqué en estimant que son ancien assistant aurait dû attirer son attention sur cette proposition. Pour Leverett, La défense de Condoleezza Rice ne tient pas. Il explique qu’il a quitté le Conseil de sécurité nationale en mars 2003, avant donc que la lettre de Téhéran n’arrive, pour réintégrer la CIA. Il n’était donc pas en mesure d’alerter directement Condoleezza Rice. En revanche, il a fait mention d’une conversation avec Colin Powell au sujet de la proposition des Iraniens et a affirmé que le chef de la diplomatie de l’époque lui avait confié qu’il "n’avait pas pu la faire accepter par la Maison Blanche". C’est la preuve, dit-il, qu’il y a eu des discussions au plus haut niveau sur l’initiative de Téhéran.

Condoleezza Rice
D’après une copie de cette proposition mise en ligne sur le site internet du Washington Post et citée par Flynt Leverett, les Iraniens exposaient dans le détail les modalités d’une possible détente. Ils évoquaient, notamment, la fin du soutien apporté par l’Iran aux groupes résistants anti-israéliens et la reconnaissance du droit à l’existence d’Israël. Les Etats-Unis et l’Iran n’entretenant plus de relations diplomatiques depuis la prise d’otages à l’ambassade américaine de Téhéran, cette proposition a été transmise par la diplomatie suisse, qui sert de liens entre les deux pays. Dans une lettre accompagnant l’initiative iranienne, Tim Guldimann, ambassadeur de Suisse à Téhéran, précisait qu’elle était approuvée par le Guide suprême de la révolution islamique, l’ayatollah Ali Khamenei, et par le président de l’époque, Mohammed Khatami. Cette lettre, estime Flynt Leverett, constitue une occasion manquée qui aurait pu, si elle avait été prise en considération, désamorcer les tensions entre les Etats-Unis et l’Iran.

Reuters
Ali Khamenei

En clair le gouvernement Bush a volontairement ignoré des propositions de paix ou d'aide contre le terrorisme pour pouvoir appuyer avec certitude un déclenchement en chaine de conflits au Moyen Orient

Flynt Leverett et son épouse ont sacrifié leur carrière pour apporter la paix: Video choc à voir, vous serez dégouttés...
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