no comment.................................

Merci Partisan d'avoir renouvelé cet appel mais sont ils prêts???

J'en doute!!!

cassandre173 a écrit:

Merci Partisan d'avoir renouvelé cet appel mais sont ils prêts???

J'en doute!!!

Bonsoir cassandre.

Ne doute pas, beaucoup travaillent et sont prêts. Il ne le feront pas nécessairement savoir par écrans interposés!
Observer, écouter, comprendre donne pour résultat une action puissante et surprenante. Les mots sont peu de choses.

Bonsoir cassandre, , je sais pas si il sont prêt........c'est rien ne pas etre prêt, ce qu'il serait dommage serais ne pas essayer, bien sur ont a tous des problemes plus ou moins durs a affronter.....essayons en acceptant l'aide des autres.....l'aides n'es pas une mendicité"cela si celui qui donne ne le fait pas avec un but"
les generosité n'es pas une faiblesse .....c'est une noblesse"pour moi"


arretons de regardez nos interets personnel pour une cause mutuelle et cela nous devons le faire tous ensemble, sans toi....vous

je ne suis rien......et vous ?

ffl

Merci mes amis de me rassurer car oui parfois je doute de voir trop d'aliénation de souffrances de haines et de choses "pas très belles"
j'attends avec foi et espérance la fin de l'esclavage et de la manipulation du retour à la paix mais je sais que cela ne se fera pas sans douleurs!

j'attends avec foi et espérance la fin de l'esclavage et de la manipulation du retour à la paix mais je sais que cela ne se fera pas sans douleurs!

Il ne faut pas attendre le changement, il faut être le changement, tous les jours à notre niveau, et multiplié par le nombre, le château de carte s'écroulera obligatoirement....

77Scred77 a écrit:

Bonsoir cassandre.

Ne doute pas, beaucoup travaillent et sont prêts. Il ne le feront pas nécessairement savoir par écrans interposés!
Observer, écouter, comprendre donne pour résultat une action puissante et surprenante. Les mots sont peu de choses.

Je confirme. En Europe aussi.

Merci encore mes amis je suis confiante en voyant vos réponses et ma joie revient de savoir que ce monde à encore une chance de "survivre"dans la justice et la sagesse!
Il y à tant à dire et surtout tant à faire pour unifier nos moyens et nos consciences j'espère de tout mon cœur que bientôt un rassemblement "massif" aura lieu!

La résistance commence en nous et part nous, notre clairvoyance, notre amour, notre volonté; un autre monde, un autre système, une autre Vie, c'est nous même qui choisissons, nous avons le pouvoir de dire non a ce qui ne va pas, nous avons le pouvoir de tendre nos main, d’offrir notre Amour.

- CROIRE EN NOUS est une force subtil, nous avons tous le pouvoir de changer les choses, mais beaucoup ont perdu cette foi en eux, ne les Blâmer pas, ouvre leur coeur, montrée leur la beauté de la vie, la force de l'amour, et la résistance ce fera tout seul.


Bien a vous, Paix et amour a tous.

Le Lynxx

Voici une nouveauté à écouter qui vient d'être mise en ligne sur leveil2011
http://leveil2011.syl20jonathan.net/?p=3060
Site de Ben Peri - http://www.benperi.eu/
-
Ben Peri sur Presse Libre Internationale avec Nenki
1o4 - https://www.youtube.com/watch?v=MV6Ls26eiCI
2o4 - https://www.youtube.com/watch?v=zekzQFPd0fU
3o4 - https://www.youtube.com/watch?v=ru0UrzGBPW8
4o4 - https://www.youtube.com/watch?v=8OVGcuwWQzw
-
Les quatre parties sont intéressantes jusqu'au bout.
Il est juste dommage qu'il y a une petite rupture entre les quatre parties.
-
Ben Peri parle de mondialisation, et des divers sujets de la dictature mondiale qui s'installe.
Il utilise les mots adaptés comme traîtres, salopards, dictature,...
Il parle aussi de la création d'un parti citoyen pour reprendre le pouvoir par les urnes...
Nous attendons avec impatience la mise en ligne.

Ben Peri parle de mondialisation, et des divers sujets de la dictature mondiale qui s'installe.
Il utilise les mots adaptés comme traîtres, salopards, dictature,...


tu as raison tipol, il est grand temps d’appeler un chat un chat, même si cela n'es pas politiquement correct........ de toutes façon la politique n'es pas correct avec le peuple




Il parle aussi de la création d'un parti citoyen pour reprendre le pouvoir par les urnes...
Nous attendons avec impatience la mise en ligne.




+2 c'est certainement l'une des solutions "pacifiste" mais laisserons ils faire une démocratie participative, tous a le droit aux fonctions d’état.............il sortent tous des même école, plus de représentant issus du peuple.......................

Partisan, comme dit Lynx, la première guerre la première révolution commence à l'intérieur de soi-même.

Par ailleurs je ne comprends pas comment pour certains vous pouvez oser dire 'sont-ils prêts ?'. Prêts à quoi ?

à appuyer sur le bouton d'une bombe nucléaire ????

je ne veux pas être incluse dans ce lot du "sont-ils" merci.

la guerre toute guerre détruit. la guerre c'est la destruction c'est tout rien de plus rien de moins.

pret a la resistance, peu importe les armes utiliser, l'essentiel est il de ne pas avoir prevus un petits peu, appris a manipuler nos armes, quelles soient d'amour, d'information, de musique.......................et pour certains les armes............ moi chaque jour je prie dieu pour/ ne pas etre mis en face de circonstances que je ne pourrais plus controlé, ex/ me retrouver a la pla ce d'un allemand a varsovie."

je vais me permettre de de conseiller un livre, il fait 8.........pages mais il est.............par son témoignage.

"Les bienveillantes" de Jonathan Littell : Le destin d'un monstre ordinaire au coeur de la mécanique nazie


je me permet de mettre ce petit condensé, ce bouquin il a modifié ma vie, ma manière de voir les choses"c'est perso bien sur"








Son nom est sur toutes les lèvres et fait bruisser tout le petit milieu littéraire depuis le printemps dernier : Jonhatan Littell, un romancier de nationalité américaine, d'à peine 40 ans et parfaitement bilingue en français, signe un colossal premier roman de 900 pages, "Les bienveillantes" (qui tire son nom de la mythologie grecque, les Erinyes, ou Euménides, ces déesses persécutrices, vengeresses, hideuses sont appelées par euphémisme, et par crainte "les bienveillantes"), qui devrait faire grand bruit en septembre. Une époustouflante fresque, de 1941 à 1944, archi-documentée, au coeur de l'administration nazie meurtrière et sa folie industrieuse, retraçant le destin de l'un de ses bourreaux. Pour une nouvelle fois essayer de comprendre ou du moins d'interpréter l'indicible...



"Frères humains, laissez-moi vous raconter comment ça s'est passé..."

Situé en pleine seconde guerre mondiale, il raconte, à la première personne, l'histoire d'un trentenaire franco-allemand (né en Alsace), à la formation de juriste, cultivé (grand amateur de Lermontov, Stendhal ou encore Flaubert)..., perturbé par une relation incestueuse avec sa soeur (dont les fantasmes le hanteront toute sa vie), tout en s'adonnant par intermittence à des expériences homosexuelles qu'il refoule.

Bref un homme, avec ses petits mensonges, ses perversités, ses hyprocrisies et ses grandes certitudes. Fonctionnaire convaincu, il rêve de servir son pays avec une abnégation qu'on ne pourrait que louer... Cet homme érudit, doué d'un esprit de synthèse peu commun, se voit mandater par sa direction pour effectuer des missions à l'étranger. Objectif : "améliorer le rendement" ou encore perfectionner les infrastructures ferrovaires entre l'Allemagne et ses voisins frontaliers... Aller toujours plus loin et plus vite. Laborieusement, il met tout son "coeur" à l'ouvrage, assistant à d'incessantes réunions avec ses collègues, se rendant sur "le terrain", n'hésitant pas à "mouiller sa chemise" auprès de ses subalternes...
Il est un serviteur de son Administration exemplaire et zélé. Mais cela ne suffira pas à gripper la machine de cette "entreprise florissante" qu'il s'est acharné à édifier : jalousies, insultes, dénigrements déchirent progressivement ce microcosme putrifère de hauts-fonctionnaires.

Un demi-siècle plus tard, nous retrouvons Herr Maximilien Aue, sous un nom d'emprunt, devenu directeur d'une fabrique de dentelles. On apprend que des "accidents" ont fait échouer les ambitions grandioses de son Administration. Et éclate alors, à travers ses souvenirs, la vérité sur toute l'épouvante que fut sa vie : celle d'un officier SS oeuvrant à la destruction de l'Est, au génocide des juifs, des tziganes, des polonais et des bolcheviques au sein des horribles Einsatzgruppen SS (les équipées mobiles qui dans le sillage de l’armée allemande assassinaient les communistes et les juifs des territoires conquis). Allant jusqu'à commettre un paricide. Un monstre inconscient, endoctriné, qui ne regrette rien si ce n'est de n'avoir pu réussir la mission qui lui avait été assignée... "Ce que j’ai fait, je l’ai fait en pleine connaissance de cause, pensant qu’il y allait de mon devoir et qu’il était nécessaire que ce soit fait, aussi désagréable et malheureux que ce fût", dit-il en introduction à ses mémoires.

Littell dépeint ici une fresque magistrale du destin d'un homme embrigadé dans les mécanismes industriels de l'horreur nazie, la mise en œuvre organisée du génocide qu'il décrypte avec précision, sans verser dans le pathos. Un chantier littéraire ambitieux voire démesuré dans sa plongée vu de l'intérieur du Mal et ses ramifications sinistres qui tueront des millions d'innocents. Le choix de la première personne était une difficulté supplémentaire car il ne pardonne aucune fausse note.

L'auteur pêche cependant par ses dialogues, nourris d'une documentation fouillée (il a étudié pendant deux années les archives écrites, sonores ou filmées de la guerre et du génocide, les actes des procès, les organigrammes administratifs et militaires, les études historiques et interprétatives, lu près de 200 ouvrages sur l'Allemagne nazie et en particulier le front de l'Est et s’est aussi rendu à Kharkov, à Kiev, à Piatigorsk, à Stalingrad..., sur les traces de l’invasion sanglante de la Wehrmacht s’enfonçant en URSS, à partir de juin 1941 selon le magazine Télérama), qui sonnent parfois faux et semblent plaqués artificiellement. De même que ses descriptions sans fin des différents organes responsables de l'extermination frôlent l'indigeste. L'ensemble n'en reste pas moins très impressionnant.

Voir aussi : le roman de Martin Amis sur le même thème retraçant le destin d'un médecin nazi

Extrait :
«En fait, j'aurais tout aussi bien pu ne pas écrire. Après tout, ce n'est pas une obligation. Depuis la guerre, je suis resté un homme discret ; grâce à Dieu, je n'ai jamais eu besoin, comme certains de mes anciens collègues, d'écrire mes Mémoires à fin de justification, car je n'ai rien à justifier, ni dans un but lucratif, car je gagne assez bien ma vie comme ça. Je ne regrette rien : j'ai fait mon travail, voilà tout ; quant à mes histoires de famille, que je raconterai peut-être aussi, elles ne concernent que moi ; et pour le reste, vers la fin, j'ai sans doute forcé la limite, mais là je n'étais plus tout à fait moi-même, je vacillais, le monde entier basculait, je ne fus pas le seul à perdre la tête, reconnaissez-le. Malgré mes travers, et ils ont été nombreux, je suis resté de ceux qui pensent que les seules choses indispensables à la vie humaine sont l'air, le manger, le boire et l'excrétion, et la recherche de la vérité. Le reste est facultatif.»

Le mot de l'éditeur :
Avec cette somme qui s'inscrit aussi bien sous l'égide d'Eschyle que dans la lignée de Vie et destin de Vassili Grossman ou des Damnés de Visconti, Jonathan Littell nous fait revivre les horreurs de la Seconde Guerre mondiale du côté des bourreaux, tout en nous montrant un homme comme rarement on l'avait fait : l'épopée d'un être emporté dans la traversée de lui-même et de l'Histoire.

Deux ou trois choses que l'on sait sur l'auteur :
Jonathan Littell est né en 1967 à New York. Il a longtemps travaillé pour l'organisation humanitaire Action contre la Faim, notamment en Bosnie-Herzegovine, en Tchétchénie et en R.D.Congo. Il est le fils de l’écrivain américain et grand reporter à Newsweek, Robert Littell, auteur de plusieurs best-sellers (romans d'espionnage pendant la guerre froide notamment) et spécialiste des questions du Proche-Orient.
De nationalité américaine, il écrit, lui, en français ayant grandi et passé son bac en France et est diplômé de Yale. Il puise d'ailleurs ses principales références dans la littérature française : Sade, Flaubert, Genet, Blanchot, Bataille... Il souhaite même être naturalisé, ce qui lui a été refusé deux fois de suite pour d'obscures raisons administratives. Outre l'anglais et le français, il parle couramment le russe et le serbo-croate, pas encore l'espagnol ! Après trois années passées à la fac, il part dans les Balkans en guerre afin de "voir de près ce qu’était la guerre". Sur place, à Sarajevo, il entre en contact avec l’association humanitaire Action contre la faim (ACF). Il y travaillera sept ans, multipliant les missions, en Bosnie donc, puis en Tchétchénie, en Afghanistan, au Congo, à Moscou... Il arrêtera en 2001. La même année, il commence à travailler sur Les Bienveillantes. Aujourd'hui il vit à Barcelone, où il a emménagé cet été avec sa femme belge et ses deux enfants.
Jonathan Littell

pour moi

ne pas avoir de plan c'est planifié sa defaite



FFL

Ca bouillonne aussi en moi les amis
Rassurez-vous, vous n'êtes pas seuls... loin de là
Amitiés.

Fred

ça chauffe hein ?

merci FFL "appris a manipuler nos armes, quelles soient d'amour, d'information, de musique"

clairement

Pascale_ a écrit:

ça chauffe hein ?

merci FFL "appris a manipuler nos armes, quelles soient d'amour, d'information, de musique"

Pascale et les autres intervenants de ce topic avez pour la plupart une juste idée de la résistance, elle se doit d'être sans violence aucune. Pensez le contraire est un piège à cons.

Désolée de me montrer crue mais méfiez-vous de ce genre d'idée car elle vous mènera sur la mauvaise voie. Cependant je comprends parfaitement que des personnes y songent et puissent avoir le sang qui s'échauffe.

désolé Lilith 168 avec pascale pour le terme chauffé il me semble qu'avec pascale nous parlions plus de vibration que de flux sanguin, enfin pour ma par, mais je ne pense pas que pascale est le sang qui chauffe pour un truc armé, cela ne correspond pas vraiment a ses idées "il me semble"


FFL

Je me vois mal aussi avec une arme !! lol
Les armes modernes sont l’insurrection et le boycott.
C'est ce que nos gouvernements craignent le plus...
Rappelez vous que les grands changements se sont toujours produits grâce au peuple et jamais grâce aux dirigeants.
Il suffit juste qu'un mouvement leader montre le chemin et beaucoup suivront.

alors tout va bien

quand je dis "ca chauffe", c'est que moi aussi j'ai eu ma période 'hou la la cuilà brrrr qu'est-ce quy m'énerve cuilà !!!". Puis ça m'arrive encore de temps en temps.
C'est ça ça chauffe

Si vous relisez mon message vous verrez que je ne vous soupçonne pas ni les uns ni les autres de prôner la violence, au contraire j'ai bien compris que vous avez pris la bonne voie, (à mon avis). Ensuite je dis que je comprends les personnes qui songent à se battre.
Je me suis montrée crue en disant -c'est un piège à cons-.

no souci Lilith !

Fred a écrit:

Je me vois mal aussi avec une arme !! lol
Les armes modernes sont l’insurrection et le boycott.
C'est ce que nos gouvernements craignent le plus...
Rappelez vous que les grands changements se sont toujours produits grâce au peuple et jamais grâce aux dirigeants.
Il suffit juste qu'un mouvement leader montre le chemin et beaucoup suivront.

Belle précision!