Pierre Jovanovic - Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets
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orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Pierre Jovanovic - Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets Dim 23 Sep 2018 - 1:07
Pierre Jovanovic - Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets
Entretien avec Pierre Jovanovic, réalisé par Laurent Fendt pour le site "hym.media" Diffusé en deux volets le 1er décembre 2017 (1ère partie 1h31)
"Pierre Jovanovic revient sur cette période de l’entre deux guerre, génératrice de misère social...
Partie 1
Partie 2
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akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Pierre Jovanovic - Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets Lun 24 Sep 2018 - 4:14
Bonjour mes frères & soeurs Tout ça est connu de certains, c'est prouvé et documenté et pourtant officiellement, ça n'existe pas... En court de histoire, même en CEP on continue à y instruire connerie et mensonge. Notre monde actuel est entièrement construit sur le mensonge. Et ma masse ne sait pas, elle ne veut pas savoir. Quelques classiques du genre à voir et à revoir. C'est toujours prétexte à ouvrir le débat, où simplement à donner son avis, partager de l'info supplémentaire... Akasha.
WALL STREET ET L'ASCENSION DE HITLER
Wall Street et l'ascension de Hitler, est un documentaire interview (0h42) avec Antony C. Sutton, qui révèle les mensonges, tromperies et duplicités de l’un des faits le plus marquant jamais rapporté de la Seconde Guerre mondiale, celui des banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines qui ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir en finançant l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle.
Antony Cyril Sutton, né en 1925 et mort en 2002, était économiste, historien et écrivain britannique. Sutton fut chercheur à Stanford au sein de la fondation Hoover de 1968 à 1973. Il enseigna l'économie à l'UCLA. Il étudia à Londres, Göttingen et UCLA, et fut titulaire d'un doctorat en sciences de l'Université de Southampton, en Angleterre. En 1972, au sein de la Hoover Institution à Stanford, il subit la censure de son directeur de recherche qui tenta d'empêcher la publication de National Suicide - Military Aid To The Soviet Union, dont les faits décrits attaquaient le programme Nixon-Kissinger d'aide aux soviétiques tandis que ceux-ci aidaient les nord-vietnamiens dans leur effort de guerre. Le livre arrivait à la conclusion que les soldats américains étaient en train d'être tués avec l'aide de leur propre technologie.
Pierre de Villemarest, spécialiste des questions mondialistes, écrit que Sutton fut le seul auteur qui ait jamais disséqué les contrats grâce auxquels les totalitarismes nazis et soviétiques ont pu vivre et survivre économiquement. Il est surtout connu pour son livre America's Secret Establishment An Introduction to the Order of Skull & Bones, décrivant la société secrète d'étudiants de l'Université Yale, la Skull and Bones. Il a aussi abordé le thème de la fusion froide. Concernant la collaboration entre Wall Street et Hitler, Sutton signala que la capacité de production des entreprises I.G Farben et Vereinigte Stahlwerke, qui produisaient 95 % des explosifs d'Allemagne en 1937-38, fut uniquement possible avec les crédits concédés par le Plan Dawes et la technologie des États-Unis. Une coopération entre I.G. Farben et la Standard Oil of New Jersey pour produire de l'essence synthétique à base de charbon a donné à la I.G. Farben le monopole de cette production durant la Seconde Guerre mondiale. La moitié de la production allemande d'essence était entre ses mains et le reste à des compagnies affiliées. Selon Sutton, sans le capital de Wall Street, il n'y aurait eu ni I.G Farben, ni Adolf Hitler, ni Seconde Guerre mondiale...
En mettant au jour un cloaque de mensonges, de tromperies et de duplicités, Antony Sutton révèle l’un des faits les plus marquants et pourtant jamais rapporté de la Seconde Guerre mondiale, c'est-à-dire que des banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir en finançant l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle. Suivant minutieusement la piste de ce secret bien gardé, grâce à des documents et des témoignages incontestables, Sutton parvient à la conclusion que la catastrophe de 1939-45 bénéficia surtout à un groupe privilégié d’initiés financiers américains. Il donne le compte-rendu détaillé, preuves à l’appui, du rôle abjecte que jouèrent les Morgan, aujourd'hui banque J.P Morgan, les Rockefeller, les frères Warburg ou les Ford, directement ou à travers leurs entreprises, et tous ceux qui financèrent les préparatifs de la guerre la plus sanglante et la plus destructrice de l’Histoire.
Wall Street et l’ascension de Hitler est le troisième volume d’une trilogie consacrée à l’implication directe des financiers new-yorkais dans la révolution lénino-trotskiste en URSS, l’élection de Franklin D. Roosevelt aux États-Unis et la montée du nazisme en Allemagne. "La contribution du capitalisme nord-américain aux préparatifs de guerre allemands a été phénoménale et, sans elle, l’Allemagne n’aurait jamais eu la capacité militaire qui conduisit au massacre de millions de personnes innocentes… Non seulement ces banquiers et hommes d’affaires nord-américains avaient conscience de la nature du nazisme, mais il assistèrent le nazisme à chaque fois qu’ils y avaient intérêt en sachant parfaitement que la conséquence probable serait une guerre impliquant l’Europe et les États-Unis", souligne Antony Cyril Sutton sur le financement des nazis et des bolchéviques par Wall Street et les entreprises américaines.
Comment Londres et Wall Street ont mis Hitler au pouvoir
L’oligarchie financière anglos saxons lié au judaïsme internationale basée à Londres et à Wall Street qui permit la montée au pouvoir d’Hitler.La majeure partie des moyens financiers du parti nazi était d’origine étrangère. Les clans financiers d’outre-Atlantique des Morgan et des Rockefeller promurent à Wall Street des actions de IG Farben industrie et de toute une série d’usines chimiques allemandes, à travers la banque Chase National (plus tard la création de Krupp passa sous le contrôle de la Standard Oil de Rockefeller), et à travers la banque Dillon et Reid – Vereinigte Stahlwerke Alfred Thiessen. « En 1933, quand il fut compréhensible avec une incontestable clarté que la compagnie AEG avait financé Hitler, écrit Preparata, 30% des actions appartenaient à son partenaire américain, General Electric. De sorte, suppose l’historien, que « pendant 15 ans, de 1919 à 1933, l’élite anglo-saxonne s’est activement mêlée de la politique allemande, avec l’intention de créer un mouvement obscurantiste qui puisse être utilisé comme pion dans la grande intrigue géopolitique… Le professeur Antony Sutton qui l’explique très bien, il a écrit plusieurs livres parmi eux ; ‘’Wall street et la révolution bolchevique’’, ‘’le complot de la réserve fédéral’’, ‘’la trilatéral sur Washington’’ et ‘’Wall street et la montée d’Hitler’’.
Pierre Hillard - Wall-Street, les soviets & les nazis
Pierre Jovanovic - Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets