(Source: L'eveil 2011)
SpaceWeather se pose des questions…tiens! tiens!COMETE et CME – Une comète découverte par des astronomes amateurs le vendredi 30 septembre, s’est désintégrée de façon spectaculaire dès le jour suivant en s’écrasant dans le soleil. L’Observatoire Solaire et Héliosphérique (SOHO) a enregistré les dernières heures de la comète. La mort de la comète a été ponctuée par une explosion inattendue.
Voir se produire une CME si rapidement après l’impact d’une comète dans le soleil suggère un lien. Mais lequel ? Il n’existe aucun mécanisme connu suggérant que les comètes déclenchent des explosions solaires. Avant 2011, la plupart des physiciens solaires auraient réduit l’événement de ce 1er octobre à une pure coïncidence et, du reste, une pure coïncidence reste l’explication la plus probable. Cependant, plus tôt cette année, une comète observée par le SDO s’était désintégrée sur le soleil. Le 5 juillet, cette comète sans nom avait semblé interagir avec le plasma et le champ magnétique.
Se pourrait-il donc qu’une comète puisse provoquer une instabilité magnétique capable de se propager et de s’épanouir en une impressionnante CME ? La question n’est pas aussi farfelue que cela semblait l’être autrefois.
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L'eveil 2011: Il est à peu près temps qu’ils se questionnent ceux là! Va bien falloir qu’ils arrivent à l’évidence qu’une comète n’est pas une boule de glace sale, sinon il n’y aurait pas eu d’éruption solaire à son impact. La preuve est faite ici que l’univers est bel et bien électrique.Commentaire: regardez bien, à l’approche de la comète (en bas à droite) les éjections solaires en haut débutent avant l’impact cométaire. De plus, la double CME s’évacue dans la même direction que la trajectoire de la comète, de l’autre côté du soleil, une fois que la comète a percuté le soleil. Certains osent encore appeler cela « pure coïncidence ».
Dire qu’il n’y a pas d’explication connue à ce phénomène relève au mieux de l’ignorance crasse, au pire de la malhonnêteté intellectuelle criminelle. En effet, soit un phénomène, tel que celui-ci, est fondé sur des lois physiques connues (électromagnétisme), soit ils ne peuvent se produire. Or, ils se produisent. La seule explication possible est celle de l’univers électrique dans lequel les comètes sont des objets célestes plus ou moins chargés électriquement. UNE BOULE DE GLACE SALE NE PEUT PAS PRODUIRE UN TEL PHÉNOMÈNE. IL FAUT DONC NÉCESSAIREMENT RÉVISER LA THÉORIE STANDARD.
Une fois ceci admis sur la simple foi des faits, il advient que les CME précédentes ont été provoquées par la présence d’Elenin, seule comète signalée dans cette période de temps, avant et après son périhélie. ALORS, il advient qu’Elenin est toujours intacte puisqu’il faut qu’elle existe pour entrainer de telles réactions du soleil.
Si elle fut capable de déclencher ces interactions électromagnétiques avec le plasma solaire, ALORS, il en fut de même avec les deux occurrences de séismes au Chili en 2010 (8,8) et au Japon en 2011 (9,2) lorsqu’elle fut alignée avec la queue de magnétosphère terrestre de nature plasmatique, à +/- 1 jour et +/- 3 jours respectivement. Pour mémoire, il n’y avait qu’une chance sur 550 milliards pour que ces occurrences, dans l’ordre et les valeurs pour lesquels elles se sont produites, soient dues au hasard pur.
En conséquence, fragmentée ou pas, Elenin devrait produire, compte tenu de sa proximite de la Terre (0,56 UA) un séisme d’une magnitude proche de 9,8 autour de la date du prochain alignement en opposition, soit autour du 22 novembre 2011.
Ce séisme – jamais vu dans l’histoire connue de l’homme (au moins 3 fois la valeur du moment, et 10 fois l’énergie, du séisme du Japon en mars 2011) – aura des répercussions si grandes qu’un nombre important de volcans, dont ceux des iles d’El Hierro et de La Palma (Cumbre Vieja) aux Canaries, pourrait entrer en éruption explosive. Si le Cumbre Vieja, déjà actif, se réveillait de manière brutale, on peut alors estimer qu’un méga-tsunami aura lieu d’ici la fin de l’année 2011, entrainant avec lui la destruction de nombreuses villes sur les côtes africaines, européennes, Nord-américaines et Sud-américaines.
La condition sine qua non pour déclencher un glissement de la face occidentale du Cumbre Vieja dans l’atlantique est une forte éruption volcanique sur cette ile qui permettra de chauffer, et donc donc d’augmenter la pression de l’eau emprisonnée entre la partie fixe et la partie mobile de la montagne. La surpression, selon le Dr Day, suffirait à lubrifier la pente souterraine séparant les deux parties en question.
Cette forte éruption peut-être facilitée par le mouvement magmatique de l’ile voisine d’El Hierro au sud qui connait depuis mi-juillet une activité sismique permanente, et dont la faille naissante à une orientation Nord-Sud, c’est-à-dire celle de l’axe des cratères du Cumbre Vieja prêt à céder, les plus vieux cratères étant au sud de La Palma, ceux-là même qui sont susceptibles de provoquer le glissement de plusieurs milliards de tonnes de roches dans l’océan.
Une vague de 650 mètres naitrait alors en direction de la façade atlantique du continent américain. Cette hauteur diminuerait avec la distance mais le danger resterait catastrophique pour les littoraux cités plus hauts.