Si la destruction des deux tours jumelles a été très médiatisée, tel n’est pas le cas de la destruction du bâtiment 7. Voici les faits :

Vers 16 heures, les autorités ordonnèrent l’évacuation du bâtiment sous prétexte qu’il allait s’effondrer car sa structure était affaiblie … A 17h25, l’immeuble s’effondre sur lui-même dans un mouvement vertical. Un nuage de poussière se développe à partir de sa base. Le bloc central qui surplombe le bâtiment disparait en premier puis l’immeuble semble s’enfoncer à la verticale dans le sol. Les images tournées sur les lieux indiquent clairement que l’effondrement a entrainé un puits d’aspiration. Preuve en est l’aspiration visible des fumées des feux dans le puits. A l’inverse de ce qui a pu être observé dans les débris des deux tours jumelles, les débris et les gravas furent retrouvés en tas là où se trouvait l’immeuble et les murs de la partie basse furent retrouvées couchés vers l’intérieur.

Ce reportage, intitulé « Preuve sonores d’explosions au World Trade Center 7 » a été produit, réalisé et écrit par David Chandler en 2010. Il met sous le feu des projecteurs des informations qui dérangent concernant la destruction du bâtiment n°7 du World Trade Center. Des informations montrant que la destruction de ce bâtiment aurait pu venir de l’intérieur du pays et non suite aux crashs des deux avions … Des informations indiquant de manière claires, précises et frappante que la destruction de ce bâtiment serait en fait due à une série d’explosions !

Dans son rapport final sur la destruction du World Trade Center, le groupe en charge de réaliser les causes des effondrements des différents bâtiments, à savoir le NIST (Institut National des Normes et de la Technologie), a méticuleusement évité d’enquêter sur la présence d’explosifs. Mais pourquoi ne pas lancer d’enquête sur le sujet ? La raison invoquée pour ne pas envisager l’usage d’explosifs … fut l’absence constatée de détonations suffisamment fortes.

Sur quelle base s’est basé le NIST pour affirmer qu’aucune explosion suffisamment forte pour entrainer la chute du bâtiment n°7 n’ait eu lieu ? Cet institut affirme avoir calculé le niveau sonore minimal d’une explosion capable de saper une des principales colonnes soutenant l’édifice en une seule fois. Après enquête, il est apparu qu’aucun témoin n’avait entendu d’explosions aussi bruyantes que celle qu’il avait calculée. En s’appuyant sur ces calculs et l’« enquête » qui suivi, le NIST a écarté tous les indices d’explosions, et a conclu qu’aucun explosif n’avait provoqué l’effondrement du bâtiment n°7 du World Trade Center.

Pourtant les preuves d’explosions sont nombreuses …

L’analyse des interviews filmées non loin du World Trade Center sont frappantes … Durant une interview menée par Ashleigh Banfield, on peut clairement entendre des explosions. Ces explosions se sont produites avant que le bâtiment n°7 du WTC ne commence à s’effondrer. L’analyse de la bande son des micros indique clairement que 2 explosions suivis de 7 autres ont eu lieu … régulièrement espacées sur 2,5 secondes !

Un policier, Craig Bartner, agent des forces de l’ordre formé à reconnaitre des exposions, était présent sur les lieux ce jour-là. Dans son témoignage, il affirme aussi avoir entendu des explosions avant que le bâtiment n°7 ne s’effondre … des explosions en série et très rapprochées … concordant avec la bande son du micro d’Ashleigh Banfield.

D’autre part, lorsque nous nous penchons un peu sur les propos d’Ashleigh Banfield et sur ceux du présentateur Brian Williams, le choix dans les mots qu’ils utilisent sont frappant et semblent indiquer clairement qu’ils savaient que le bâtiment n°7 allait s’effondrer … mais aussi qu’ils en connaissaient la raison. Les références à une explosion sont pour le moins troublante. Il semble aussi que le chef des pompiers, le Lieutenant David Restuccio, fut également au courant.

Quand est-il alors réellement de l’étude menée par un institut aussi prestigieux que le NIST. Le NIST a calculé le niveau sonore d’une explosion capable de faire tomber le bâtiment n°7 en se basant sur une unique explosion de RDX. Les données combinées de l’utilisation du RDX, un des explosifs les plus bruyants au monde, et de son utilisation en une seule charge capable de briser une imposante colonne entrainent en effet une explosion présentant un niveau sonore très élevée (de l’ordre de 130 à 140 dB). Mais quand est-il d’une série de petites explosions … Le NIST a aussi supposé que le son serait transmis directement à l’extérieur, sans qu’aucune atténuation ou obstruction ne viennent en modifiant son niveau.

Pourtant, écarter l’utilisation du RDX n’entraine en aucun cas l’absence d’utilisation d’un autre explosif. Ecarter l’utilisation d’un explosif sur une des colonnes centrales n’entraine pas non plus l’impossibilité d’utiliser des explosifs pour fragiliser les connexions … Un explosif en particulier permettant de contrôler le niveau sonore induit par les explosions semble convenir parfaitement à ce scénario : le Nano-Thermite. Et coïncidence troublante ou preuve sans appel, des chercheurs indépendants ont trouvé des traces de Nano-Thermite dans tous les échantillons de poussière du WTC qu’ils ont examinés.

La question qui se pose alors est : « Pourquoi le NIST, ou quiconque, devrait-il éliminer de son enquête tout indice d’explosions lié à la destruction des bâtiments ? ». Si aujourd’hui nous n’avons toujours aucune réponse à cette question, il semble que le voile ait commencé à se lever. Malgré toutes les tentatives pour nous cacher la vérité, le travail et l’implication de certains font toute la différence … Affaire à suivre.

Ces attentats furent l'occasion rêvée de déclencher une cascade de guerres au Moyen-Orient avec comme cible principale l'Iran,

allié de la Russie et de la Chine.

Alkaida, le terrorisme et le pétrole servent d'écrans de fumée.

Qu'ils soient conscients ou non beaucoup y laisseront leur vie qu'ils le veuillent ou non.