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 Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie

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a2zeiss
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MessageSujet: Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie   Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie I_icon_minitimeMer 20 Fév 2013 - 0:22

Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie Mon-pl10

Dans le Talmud comme chez Martin Luther, l’enfer n’est pas un lac de feu. C’est simplement un endroit où les ex-vivants contemplent en toute lucidité leur vie passée, tout ce qu’ils auraient pu en faire, toutes les trahisons qu’ils ont commises… et pleurent amèrement !

Et non ! Détrompez vous ! « Baiser plus » et « Faire du saut à l’élastique » ne figurent pas dans la liste. Bronnie Ware, une infirmière en soins palliatifs qui a accompagné des mourants dans leurs derniers jours a compilé la liste des regrets les plus courants que les mourants expriment à la fin de nos vies. Et le premier regret formulé, notamment par les hommes, est le suivant: « Je regrette d’avoir consacré autant de temps de ma vie à mon travail. »


Bronnie Ware est une infirmière australienne qui a consacré de nombreuses années à travailler en soins palliatifs, accompagnant des patients lors des dernières semaines de leur vie. Elle recueille les épiphanies de ses patients sur un blog intitulé Inspiration and Chai. Ce blog a eu tellement de succès qu’elle a publié ses observations dans un livre intitulé « The Top Five Regrets of the Dying – A Life Transformed by the Dearly Departing » (Les cinq princiapux regrets des mourants).


Ci-dessous les cinq principaux regrets exprimés par les mourants et recueillis par Mme Ware:


1. Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre ma vie en accord avec moi-même et non pas en fonction des attentes que les autres avaient placées en moi.

« Ca c’est le regret que j’ai le plus entendu entre tous » explique Bonnie Ware. « Quand les gens réalisent que la fin de leur vie approche, ils jettent un regard lucide en arrière et se rendent compte du nombre de rèves qu’ils n’ont pas réalisés. La plupart des gens estimait n’avoir réalisé même pas la moitié de ses rêves et ils voyaient arriver en la mort en réalisant que ces échecs étaient dus à des choix qu’ils avaient faits ou pas faits tout au long de leur vie. Le fait d’être en bonne santé vous accorde une liberté que peu de gens réalisent, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »


2. Je regrette d’avoir consacré autant de temps dans ma vie à mon travail

« Il n’y a pas un seul de mes patients masculins qui ne m’ait pas dit cela à un moment ou un autre. Ils n’ont pas vu grandir leurs enfants, ils n’ont pas passé de temps avec leur partenaire, ils ont négligé de passer du temps avec ceux qui leur sont chers. Les femmes aussi ont formulé ce regret, mais comme la plupart étaient de l’ancienne génération, la plupart de mes patientes n’avaient pas occupé d’emploi en dehors de leur foyer et avait donc passé plus de temps avec sa famille. Tous les hommes que j’ai soignés regrettaient profondément avoir consacré autant de temps dans leur vie à courir après leur carrière et s’être fait happer à ce point là par la machine du travail. »


3. Je regrette de ne pas avoir eu le courage d’exprimer mes sentiments

« De très nombreuses personnes m’ont dit avoir réprimé ou caché leurs sentiments afin de préserver la paix avec leur entourage. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu se révéler vraiment ni réaliser tout leur potentiel. L’amertume et le ressentiment qui en a résulté a été la cause de bon nombre de maladies qui ont fini par les amener dans mon service de mourants. »


4. Je regrette de ne pas avoir gardé le contact avec mes amis.

« De très nombreux malades n’ont pris conscience de la valeur de leurs anciennes amitiés que quelques semaines avant leur mort, quand il était déjà trop tard pour retrouver ces amis perdus de vue. Bon nombre d’entre eux avaient été à un tel point absorbés dans les péripéties de leur vie qu’ils avaient – peu à peu- laissé les amitiés sincères passer en arrière-plan, voire disparaître de leur horizon. Très nombreux ont été ceux qui regrettaient de ne pas avoir accordé à leurs vrais amis le temps et l’effort que ceux-ci méritaient. Quand on est entrain de mourir, on regrette amèrement ses amis. »


5. Je regrette de ne pas m’être accordé le droit d’être plus heureux.

« Le nombre de gens qui m’ont exprimé ce regret est surprenant. De très nombreuses personnes ont vécu sans réaliser que le bonheur est aussi une affaire de choix. Ils s’étaient laissé enfermer dans des vieux modèles et habitudes routinières. Le soi-disant « confort » qu’offre la familiarité avait débordé dans leurs émotions et teinté leurs vies physiques. La peur du changement les avait conduit à faire croire aux autres et à eux-mêmes, qu’ils étaient satisfaits de leur vie, heureux de leur existence, quand au fond d’eux-mêmes, ils rêvaient de pouvoir à nouveau rire sans encombres et retrouver un peu de folie dans leur vie de tous les jours. »

Source : http://www.alterinfo.net/LES-CINQ-CHOSES-QUE-LES-GENS-REGRETTENT-LE-PLUS-AU-MOMENT-DE-MOURIR_a86978.html

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MessageSujet: Re: Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie   Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie I_icon_minitimeVen 22 Fév 2013 - 17:42

....


Dernière édition par luminessance le Mar 26 Fév 2013 - 23:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie   Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie I_icon_minitimeVen 22 Fév 2013 - 17:52

je suis la somme des mes erreure.

jamais aucun regret, je vivrerait chaque jour comme si c,est le dernier.
combien de fois la fin du monde nous a voler.

aujourd,hui je laiserais mon ame marcher parmie les humain et ce corps de chaire. pour vivre pleinement chaque seconde de ma vie

bonne journee,
la vie est trop courte pour les soucie, viver en conscience de faire du bien pour vous et par le fait meme, pour les autre.
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MessageSujet: Re: Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie   Les cinq principaux regrets exprimés au seuil de la vie I_icon_minitimeVen 22 Fév 2013 - 19:27

Le Culte de l'individualisme :

S’affirmer, face aux autres, sans culpabilité, est une prérogative moderne. Or l’individu n’a pas toujours eu droit de cité, car il dérangeait un ordre social collectif, aux règles uniformes pour tous. Encore aujourd’hui, le mot "individualisme" peut, selon l’interlocuteur, évoquer l’aboutissement heureux d’un combat millénaire pour la liberté, l’autonomie et l’épanouissement de chacun ; ou… une dérive regrettable et égoïste, voire narcissique, néfaste pour une vie harmonieuse en commun, et corrosive pour le lien social.
D’où l’intérêt d’un débat entre deux penseurs de qualité, qui divergent pourtant sur le rôle et l’avenir de l’individualisme en ce début de siècle.


Depuis maintenant une vingtaine d’années, les sociétés occidentales démocratiques sont entrées dans un nouveau cycle de la culture individualiste, que j’ai appelé la " seconde révolution individualiste " et que je rattache à l’avènement de la consommation et de la communication de masse, à partir des années 50.
Une seconde révolution individualiste, parce qu’elle s’inscrit dans la continuité des valeurs et de la modernité démocratique en cours depuis les XVIIe et XVIIIe siècles : à savoir, la valorisation de l’individu autonome, libre, égal à ses semblables. Mais cet individualisme restait fortement encadré par la morale, les grandes idéologies, des mœurs rigides, lesquelles contrecarraient l’autonomie individuelle.
C’est précisément ce qu’a fait voler en éclats l’époque de la consommation et de la communication de masse. Dès lors, la spirale de l’individualisme s’est généralisée et coïncide, avec le recul des encadrements sociaux lourds, à l’émanation de l’individu. D’où cette promotion de la vie en self-service qui caractérise l’époque postmoderne : chacun est devenu le législateur de lui-même (au moins en principe).


Cette culture individualiste se caractérise par un certain nombre de traits fondamentaux : l’expansion de l’autonomie subjective, le culte hédoniste du présent, le culte du corps, le culte psy et relationnel, l’effondrement des grandes idéologies de l’Histoire.

Il faudrait ajouter à cela, plus récemment, le culte de la consommation et du marché.
C’est cette conjonction de traits, qui autorise à parler d’un "nouvel individualisme


Pour vous, ces évolutions constituent-elles un progrès ?
G.L. : Ça dépend des paramètres retenus.
En ce qui concerne le droit à se gouverner soi-même, à construire sa propre vie, cela me semble incontestable. Maintenant, il y a de nombreux problèmes qui accompagnent cette expansion de l’individu : la communication, les exigences réciproques, le rapport au travail, la construction identitaire.
Mais qui souhaiterait revenir en arrière ? Qui souhaiterait un Etat où les femmes n’auraient pas la maîtrise de leur corps ? Qui souhaiterait le retour en force des impositions traditionnelles ou idéologiques ?


Michel Maffesoli : C’est l’une de mes idées obsédantes que de considérer que cet individualisme, qui a été en quelque sorte le pivot explicatif de nos sociétés, paraît – je pèse mes mots – saturé. On voit bien, dans les deux ou trois siècles qui viennent de s’écouler, comment se constitue " l’invention " de l’individu. Descartes : cogito ergo sum, c’est là une sacrée révolution qui fait que " J’existe à partir du fait que “je” pense ", alors que préalablement on était pensé.
On ne pensait qu’en communauté, et il n’y avait de pensée que communautaire. Autre secousse, la Réforme, qui revendique le libre examen, à partir duquel tout un chacun va pouvoir établir une relation personnelle avec Dieu.
Tout un chacun va pouvoir lire par lui-même la Bible, alors qu’il y avait lecture collective ecclésiale. Le pas suivant est franchi, au XVIIIe, par les Lumières, et les deux livres de Rousseau : l’“Emile” et “Du contrat social”. Rousseau y montre que le summum de la civilité, c’est l’autonomie : autonomos, " Je suis ma propre loi ". Et c’est quand je suis capable d’être ma propre loi que je peux, par un contrat social, m’associer avec d’autres individus autonomes. A partir de là s’élaborent ces grandes notions qui nous sont coutumières – contrat, démocratie, liberté – sur lesquelles s’appuie notre conception de la modernité.


Mais, aujourd’hui, je constate que cette grande catégorie de l’individu et de l’individualisme fait eau de toutes parts. Dans les articles journalistiques, universitaires, politiques, quand on ne sait que dire, on lance les mots " individu " ou " individualisme ". Cette tarte à la crème me paraît être une projection des gens de nos générations. Or ce que l’on observe, de façon empirique, c’est plutôt le fait qu’il n’y a guère d’autonomie. Je n’existe que dans et par le regard de l’autre. Ce qui est plutôt de l’ordre de la fusion. On l’observe, en particulier, dans les pratiques juvéniles. J’ai proposé des catégories pour essayer de rendre compte de cette fusion, notamment la notion de tribu. Plutôt que de garder le mot " individu " et de le nuancer comme le fait Gilles Lipovetsky, je proposerais la notion de " personne ". Plus que l’individu, la personne est plurielle. Elle peut choisir des masques grâce auxquels elle peut être à la fois ceci et autre chose. L’idée rimbaldienne de " Je est un autre " me paraît se répandre dans l’ensemble du corps social. Voilà où me semble passer le débat.

Source : http://www.psychologies.com/Moi/Moi-et-les-autres/Relationnel/Articles-et-Dossiers/Moi-et-les-autres/L-individualisme-est-il-depasse
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