Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Les vaccins sont rentables, et alors ? Sam 29 Juil 2017 - 12:12
Rappel du premier message :
Les vaccins sont rentables, et alors ?
Oui, Big Pharma gagne de l'argent auprès des vaccinations. Mais cela ne veut pas dire que tout le monde devrait eviter d'etre vacciner.
À l'heure actuelle, les chiffres sur la récente épidémie de rougeole américaines sont bien connus. En 2014, l'Amérique a eu plus de 600 cas de rougeole, le nombre le plus élevé en 20 ans. Au cours du mois de janvier 2015, 84 personnes dans 14 États ont signalé avoir pris de la rougeole, la plupart des cas étant liés à un incident à Disneyland . La raison de la résurgence? De plus en plus de gens optent pour ne pas vacciner leurs enfants .
Alors que la fixation principale des groupes anti-vaccin est une étude ancienne et discréditée reliant la vaccination à l'autisme , une autre est une théorie du complot diffusée en ligne que les médecins et les entreprises pharmaceutiques profitent financièrement de la vaccination - ce qui supposerait des incitations perverses dans la défense de la Public à vacciner.
Mais cet argument est historiquement infondé. Non seulement les pédiatres et les médecins perdent souvent de l' argent pour l'administration des vaccins , il n'y a pas si longtemps que l'industrie du vaccin luttait avec de faibles marges bénéficiaires et des pénuries. The Economist a écrit que «pendant des décennies, les vaccins étaient un coin négligé de l'industrie des drogues, de l'ancienne technologie, de peu d'investissement et des marges bénéficiaires abyssales. De nombreuses entreprises ont vendu leurs divisions de vaccins pour se concentrer sur des médicaments plus rentables».
En fait, les vaccins étaient si peu rentables que certaines entreprises ont cessé de les fabriquer complètement. En 1967, il y avait 26 fabricants de vaccins. Ce nombre est tombé à 17 en 1980. Il y a dix ans, les incitations financières à la production de vaccins étaient tellement faibles qu'il y avait de plus en plus d'inquiétudes pour les entreprises pharmaceutiques qui abandonnaient le marché des vaccins pour la vente de traitements médicaux quotidiens plus rentables. Par rapport aux médicaments qui nécessitent des doses quotidiennes, les vaccins ne sont administrés qu'une fois par an ou toute une vie. La société pharmaceutique Wyeth (qui a depuis été acquise par Pfizer) a signalé qu'ils ont cessé de faire le vaccin contre la grippe parce que les marges étaient si faibles.
"Historiquement, les vaccins ont été produits à un prix relativement bas et vendus avec une faible marge bénéficiaire. Il s'agissait d'add-ons à d'autres produits, surtout des médicaments, que les fabricants de produits pharmaceutiques produisaient, explique Neal Halsey, professeur de maladies infectieuses pédiatriques et santé internationale à l'École de santé publique de Johns Hopkins Bloomberg. Les personnes travaillant dans les vaccins se sont décrites Héritier d'autrui, et ils ont dû se battre pour trouver des ressources pour développer de nouveaux vaccins ".
Une estimation place le marché des vaccins maintenant à 24 milliards de dollars - énorme, mais seulement 2 à 3 pour cent d'un industrie trillion-dollar pharmaceutique mondiale .
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Archi
Messages : 404 Date d'inscription : 27/03/2017 Age : 44
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Jeu 26 Oct 2017 - 19:51
OSIRIS a écrit:
les lecteurs doit se regalez (et rigolez)
Oh c'est sur ils doivent se régaler avec ta magnifique comparaison numérique ci-dessus !
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Jeu 26 Oct 2017 - 20:23
Archi a écrit:
OSIRIS a écrit:
les lecteurs doit se regalez (et rigolez)
Oh c'est sur ils doivent se régaler avec ta magnifique comparaison numérique ci-dessus !
autant qu'avec ton comparaison entre le 2 a 3% des compagnies pharmaceutique , avec les 13/ 16,45 % de deux compagnies qui fabrique les vaccines pour ensuite dire le 13/16,45% soit tres loin de 2 a 3% alors que le comparaison soit clairement incomparable .
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akasha
Messages : 6818 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 38
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Ven 27 Oct 2017 - 1:48
OSIRIS a écrit:
Archi a écrit:
OSIRIS a écrit:
les lecteurs doit se regalez (et rigolez)
Oh c'est sur ils doivent se régaler avec ta magnifique comparaison numérique ci-dessus !
autant qu'avec ton comparaison entre le 2 a 3% des compagnies pharmaceutique , avec les 13/ 16,45 % de deux compagnies qui fabrique les vaccines pour ensuite dire le 13/16,45% soit tres loin de 2 a 3% alors que le comparaison soit clairement incomparable .
Bonsoir à tous
Citation :
autant qu'avec ton comparaison entre le 2 a 3%
En quoi les chiffres cité par Archi, seraient "clairement incomparable ? La différence avec les tient, c'est que ceux de Archi sont à jour et colle plus à l'actualité.
Source :
Citation :
42,3 Mrds (1): c’est le chiffre d’affaires estimé de l’industrie du vaccin en 2016 20,3 Mrds€ : c’est le chiffre d’affaires (1) estimé de l’industrie du vaccin en 2012. + 11,5% /an : c’est le taux de croissance (2 ) de l’industrie du vaccin 79% : c’est la part de l’Europe (3) dans la production de vaccins ... /... http://www.leem.org/quel-est-poids-de-l-industrie-du-vaccin-0
Ensuite
Comme Archi le souligne à juste titre :
Citation :
Alors Sanofi et GSK ne fabriquent pas que des vaccins. Après, c'est sûr que si tu mets dans tes stats des entreprises pharmaceutiques qui ne fabriquent pas de vaccins, donc dont le CA de la branche vaccin est égale à 0%, il devient alors très facile de faire tomber le pourcentage global à 2 ou 3% Mais ce n'est pas du tout objectif. Si on parle de rentabilité des vaccins, il me semble assez logique de ne parler que d'entreprises qui les fabriquent. Sinon, c'est clairement de la tromperie avérée.
Ce qui est on ne peu plus logique, sinon les chiffres sont tronqués.
Osiris tu réponds :
Citation :
la sujet ici et surtout les arguments des gens contre les vaccins c'est que ça rapport bcp d'argent a ^^Big Pharma^^ ((compagnies pharmaceutique)) ce qui est entre 3 a 6% des revenus des compagnies pharmaceutique.... pour etre plus ouverte disons 8%.
On s'en fiche que "certains" disent "Big Pharma, qui est devenu un terme générique four-tout. Ce qui compte c'est la réalité des chiffres. Quel est le rapport avec le fait que certains use d'un terme générique avec la réalité ? Donc si je suis ton raisonnement, parce que certains disent Big Pharma, du coup ses tes chiffres qui seraient juste ? On nage en pleins délire....
Citation :
c'est pas MOI qui ^^mets^^ dans mes stats des entreprises pharmaceutiques qui ne fabriquent pas de vaccins, c'est VOUS qui enleve toutes les compagnies qui ne fabrique pas des vaccins pour en arrive a une pourcentage plus elevée pour tenter de dire que Je suis malhonnete ou que Je tente de tromper les lecteurs.
Oui on ne retient que ceux qui en fabriquent, sinon les chiffres sont faux ! Tu n'es pas malhonnête, tu t'es planté et tu refuse de le reconnaitre, nuance. Pour avoir un pourcentage réel du chiffres d'affaire des vaccins il est logique de compter à partir de ceux qui en fabrique. Sinon comment veux-tu obtenir la marge bénéficiaire réelle ? Je n'en reviens pas de devoir le préciser ? ?
Tu insistes lourdement :
Citation :
si ça ne sert a rien de sortir des entreprises qui n'en fabriquent pas , pourquoi les mouvements anti-vaccination englobe toutes les compagnies qui n'en fabrique pas dans leurs accusations....
On s'en fiche totalement des anti-vaccins, vu qu'ils usent de terme qui n'ont rien à voir avec la réalité. Nous on te parle des vrais chiffres. On est pas des anti-vaccins, on est simplement nuancé sur la question.
Citation :
il me parait logique que si ^^on^^ parle des benefices du au vaccins DES compagnies pharmaceutique , alors il est logique de montre les pourcentages que gagne DES compagnies pharmaceutique ,,, et pas de montre uniquement des gagnes de ceux qui fabrique les vaccins.
Non ce n'est pas du tout logique, ton postulat est tronqué, c'est évident et la question est d'ailleurs close, terminé.
Citation :
peut etre que tu devrait contacter les mouvements antivaccins pour leur explique que leur postulat de depart soit fausse..... et aussi corriger sur toutes les sites alternatif et anti-vaccins .
N'in-por-te quoi ! Et puis quoi encore ? On est juste-là pour corriger, les inexactitudes de Planète Révélations ce qui nous suffit amplement, on a pas que ça à faire. Si le cœur t'en dit, il ne tient qu'à toi de le faire, ton postulat est faux et on le fait remarqué preuve à l'appuit, le chapitre est donc clos.
Citation :
ce que Je dites est vrai, bcp compagnies qui ont fabriquér les vaccins dans le passez ont abandonnée parce que peut rentable ,,,,,,
que les quelques compagnies qui continue d'en fabrique les vaccins invest PLUS qu'ils ont investi dans le passé c'est n'ormale , parce que ils ont moins de concurrence sur le marché , donc logique qu'ils en mettre plus de fric dans le recherches....
et vu que bcp ont arretez , il est evidente que ça deviens plus lucratif que ceux qui reste investir d'en fabrique plus . .
Oui et alors ? Personne n'a prétendu que c'était faux, mais la réalité d'aujourd'hui n'a plus rien avoir avec celle d'y hier.
En conclusion je te ferais aussi remarqué que les sois disant HS, tu n'étais pas contre lorsque tu pouvais encore tordre la réalité sujet au conflit d'intérêt de madame Buzin, celle que tu appelles tendrement Agnès Puis lorsque j'ai pu clairement le démontré et que tout les médias se sont emparé de l'affaire, là du coup on hurle au HS.... ou lorsque tu tu essayais de faire croire "pas onze Vaccins" en prétextant qu'on les administrent déjà (or les huit autres sont seulement recommandé), alors qu'il y a une grosse différence entre, on peut déjà les administré et entre, c'est obligatoire sinon pas d'école. Ce qui est totalement différent vu que si imaginons que seule cette loi passerait, les enfants devraient seulement en prendre 3 et non onze, mais avec la loi, ce sera donc bien les onze. Et ce, même si on peut actuellement être vacciné par ses onze vaccins, sauf que ce n'est pas obligatoire, dès le 1er janvier si, c'est là toute la différence.
Et il n'y a aura pas de close d’exemption : Lire l'article.
Après tu vas encore te plaindre que je ferme un sujet. logique vu que tu ne sais pas passez à autre chose, tu tourne en rond sans aucune retenue et inlassablement. Jusqu'a rendre un sujet totalement illisible.
Donc, conclusion ?
Sujet fermé !
akasha
Messages : 6818 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 38
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Ven 17 Nov 2017 - 2:14
VACCINATION !!! CE QUE NE VOUS DIRONS JAMAIS VOS CHERS MERDIAS NI DIRIGEANTS !!!
Marion Kaplan a interviewé Maxence Layet sur le sujet! C'est édifiant !!! Jugez plutôt!!!
Une déclaration de Maxence Layet au sujet des 11 vaccins devenus obligatoires
La rougeole aurait (à chaque fois, il faut vérifier l'état sanitaire global de la personne décédée) "tué" dix cas en dix ans, soit un par an. C'est l'argument ministériel pour justifier 11 vaccins obligatoire à compter du 1/01/18. Pour donner la mesure, dans le même temps la pollution respiratoire aux particules fines provoque 40.000 décès prématurés par an, sans émouvoir grand monde. Il est vrai qu'il ne semble pas y avoir de vaccin contre les particules fines!
>>>Source<<<
akasha
Messages : 6818 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 38
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Sam 17 Fév 2018 - 3:15
Vaccination obligatoire : Cui bono ? A qui cela sert-il ?
Le nombre de vaccins obligatoires en France passera dès 2018 de trois à onze : c’est ce qu’a annoncé Agnès Buzyn, ministre de la Santé. Lors d’une interview à RTL le 5 juillet 2017, Agnès Buzyn a dit : « Il y a des morts inutiles aujourd’hui, c’est inadmissible que des jeunes de moins de 25 ans meurent de méningite ou de rougeole dans notre pays. » « Ce sera la responsabilité des pouvoirs publics de communiquer cela au Français », a-t-elle dit. Pourtant selon la Santé publique, seulement dix décès suite à la rougeole ont été enregistrés depuis 2008. Par contre selon les chiffres de l’Insee et ceux de l’ANSM , le tabac est responsable de 78 000 décès chaque année, l’alcool de 49 000 décès. Ainsi l’exigence de rendre la vaccination obligatoire, justifiée par la protection de la population, semble totalement disproportionnée.
De plus il est à craindre qu’avec la vaccination obligatoire décrétée par l’Etat, le sujet des dommages causés par les vaccinations soit passé sous silence par les politiciens, les médecins et les médias. Par exemple les possibles effets secondaires suivants du vaccin contre la rougeole sont connus et sont entre autres officiellement énumérés par le ministère de la Santé américain : quatre heures après la vaccination, choc allergique ; cinq à quinze jours après la vaccination, encéphalite. Dans la notice du vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole de Merck & Co., les effets secondaires suivants sont énumérés comme indésirables mais possibles : encéphalite, convulsions et symptômes d’autisme. Dans notre émission du 21/06/2015 , nous avions relaté les effets secondaires connus qui peuvent apparaître suite à la vaccination avec le vaccin Infanrix Hexa. Il s’agit entre autres d’hémorragies, d’autisme et même de choc allergique ; 36 cas de décès infantiles ont même été rapportés suite à la vaccination avec Infanrix Hexa.
La question qui se pose est de savoir si l’élargissement des vaccins obligatoires sert vraiment à la protection de la santé, comme prétendu de prime abord, ou si les intérêts de la vaccination obligatoire se trouvent entièrement ailleurs. A ce sujet, le médecin Patrick Shan s’exprime ainsi : « Ce que ça va surtout rapporter, c’est beaucoup d’argent à ces laboratoires [...] parce qu’ils vont mettre tout dans un seul vaccin qui va coûter très cher. » Cela a même été confirmé par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui a reconnu dans le journal Le Parisien que « les industriels allaient gagner de l’argent avec cette mesure ». Le rapport sur la vaccination, établi en 2016 à l’initiative de l’ancienne ministre de la Santé, estime que l’élargissement de l’obligation vaccinale apporterait entre 110 à 120 millions €/an à l’industrie pharmaceutique. Avec l’élargissement des vaccins obligatoires, l’industrie pharmaceutique échappe à la décision prise par le conseil d’Etat le 8 février 2017. Celui-ci avait décidé qu’un vaccin ne contenant que les trois vaccinations obligatoires devait être proposé, sauf dans le cas où la liste des vaccinations obligatoires s’allongerait… donc cette mesure va tout à fait dans l’intérêt de l’industrie pharmaceutique.
De plus les liens avec les laboratoires de certains acteurs qui ont conduit à cette mesure d’extension du nombre de vaccins obligatoires, poussent à se demander s’il n’y a pas eu conflit d’intérêt dans cette affaire : Le Professeur Alain Fischer, président du Comité de Vaccination est en lien étroit avec Sanofi, géant pharmaceutique français. Sanofi est le leader mondial du vaccin et en 2013 le Prix de Sanofi-Pasteur a été décerné au même Alain Fischer. Agnès Buzyn était, de 2009 à 2011, au conseil d’administration de deux groupes pharmaceutiques très impliqués dans les vaccins, Novartis et Bristol-Meyers Squibb. Quant à Emmanuel Macron, nouveau président de la République, il est très proche du président de Sanofi, Serge Weinberg. Compte tenu de tels faits et de ces conflits d’intérêt, la santé de la population est évidemment utilisée comme prétexte pour l’introduction de la vaccination obligatoire, pour ainsi servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique, des lobbyistes et d’autres qui en tirent bénéfice.
de mlb/pm Sources / Liens : SOURCES : http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/04/19/en-france-l-alcool-et-le-tabac-sont-les-drogues-les-plus-meurtrieres_4904754_4355770.html
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Mer 7 Mar 2018 - 0:01
akasha a écrit:
VACCINATION !!! CE QUE NE VOUS DIRONS JAMAIS VOS CHERS MERDIAS NI DIRIGEANTS !!!
La rougeole aurait (à chaque fois, il faut vérifier l'état sanitaire global de la personne décédée) "tué" dix cas en dix ans, soit un par an. C'est l'argument ministériel pour justifier 11 vaccins obligatoire à compter du 1/01/18. Pour donner la mesure, dans le même temps la pollution respiratoire aux particules fines provoque 40.000 décès prématurés par an, sans émouvoir grand monde. Il est vrai qu'il ne semble pas y avoir de vaccin contre les particules fines!
Grâce à la vaccination, les décès par rougeole dans le monde ont chuté de près de 80 % entre 2000 et 2014. La région des Amériques et certains pays d’Europe du Nord ont éliminé la rougeole. En France, avant la mise en œuvre de la vaccination systématique de tous les nourrissons contre la rougeole en 1983, plus de 600 000 cas survenaient chaque année. La vaccination a permis de diminuer considérablement le nombre de cas de rougeole dans notre pays. Cependant après moins de 50 cas en 2006 et 2007, plus de 24 500 cas de rougeole ont été déclarés en France (dont près de 15 000 cas pour la seule année 2011) du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2017. Plus de 1 500 cas ont présenté une pneumonie grave, 38 une complication neurologique (35 encéphalites, 1 myélite, 2 Guillain-Barré). Entre 2008 et 2017, 20 personnes sont décédées de la rougeole, dont au moins 8 chez des personnes avec des défenses immunitaires diminuées qui ne pouvaient être vaccinés ; seule l’élimination de la rougeole grâce à une couverture vaccinale très élevée de la population aurait pu les protéger. Ceci illustre la dimension altruiste de la vaccination.
La diminution du nombre des cas au cours des années 2012-2016 a été suivie en 2017 par une reprise de la circulation du virus de la rougeole, liée à l’augmentation progressive de personnes non protégées contre la maladie en raison d’une couverture vaccinale insuffisante chez les nourrissons (couverture de 79 % avec deux doses au lieu des 95 % nécessaires), chez les enfants plus grands et les jeunes adultes. La très nette augmentation du nombre des cas en décembre 2017 se prolonge en 2018, avec l’apparition de plusieurs épidémies, principalement en Nouvelle Aquitaine, avec plus de 200 cas déclarés sur les six premières semaines et un nouveau décès.
La France n’est donc pas à l’abri d’une nouvelle épidémie importante sur l’ensemble du territoire, comme celles observées dans plusieurs pays frontaliers en 2017 : l’Italie (près de 5 000 cas), l’Allemagne (plus de 900 cas) ou la Belgique (près de 400 cas), mais aussi dans d’autres pays européens : Roumanie (plus de 6 000 cas) ou Grèce (plus de 600 cas).
prendre une phrase ^^citation^^ hors de sa context change sa signification.
donc en faite ça fait 20 decedé en dix ans , et au moins 8 qui ne pouvent etre vaccinée a cause du maladie pre-existent.
de plus....... il dit qu'il faut vérifier l'état sanitaire global de la personne décédée chaque fois,,, beh il faut faire la meme avec chaque cas de personnes supposée etre decedé a cause d'une vaccin... ce qui signifie qu'il faut savoir si la personne qui est supposée decedé a cause d'une vaccin n'avvait pas une maladie pre-existent mais inconnu .... qui, si on savait que la personne soufrait deja , la vaccin n'auraient pas ete administrér,,, c'est pas ^^le vaccin^^ qui la tuer, c'est son etat de sante INCONNU qui soit responsable.
et l'argument a propos de particules fines c'est de la reductio ad absurdum,,,,, dont il repondre en disant qu'il y a pas de vaccin contre les particules fines..... doh ....
Citation :
encore, c'est une pseudo argument ...
il y a une vaccin efficace contre la rougeole,,,,,,il y a pas de vaccin efficace contre ^^les^^ ^^cancers^^ d'enfants
Citation :
Le nombre de vaccins obligatoires en France passera dès 2018 de trois à onze : c’est ce qu’a annoncé Agnès Buzyn, ministre de la Santé. Lors d’une interview à RTL le 5 juillet 2017, Agnès Buzyn a dit : « Il y a des morts inutiles aujourd’hui, c’est inadmissible que des jeunes de moins de 25 ans meurent de méningite ou de rougeole dans notre pays. » « Ce sera la responsabilité des pouvoirs publics de communiquer cela au Français », a-t-elle dit. Pourtant selon la Santé publique, seulement dix décès suite à la rougeole ont été enregistrés depuis 2008. Par contre selon les chiffres de l’Insee et ceux de l’ANSM , le tabac est responsable de 78 000 décès chaque année, l’alcool de 49 000 décès. Ainsi l’exigence de rendre la vaccination obligatoire, justifiée par la protection de la population, semble totalement disproportionnée.
"" le tabac est responsable de 78 000 décès chaque année , l’alcool de 49 000 décès""
toujours les non-arguments ....
les gens choisi l'acool, et tabac ,,,, les gens ne choisi pas d'etre contaminez avec la rougeole.
et il y a pas que les gens qui sont decedé a cause du rougeole ,,,
il y a plein d'autre complications... 1 500 cas ont présenté une pneumonie grave, 38 une complication neurologique (35 encéphalites, 1 myélite, 2 Guillain-Barré). Entre 2008 et 2017, 20 personnes sont décédées de la rougeole,
Citation :
c'est une image characteurial et malhonnete , parce que tu savent tres bien qu'il ny aurait PAS des injections supplimentaire, car les vaccins deja, seront combinée et aussi que 70% des enfants acteulle reçoivent DEJA ces 11 vaccins.
Citation :
36 cas de décès infantiles ont même été rapportés suite à la vaccination avec Infanrix Hexa.
Vaccins et taux de mortalité infantile: une fausse relation favorisée par le mouvement anti-vaccin
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artifix
Messages : 1473 Date d'inscription : 10/11/2012 Age : 43
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Ven 16 Mar 2018 - 14:07
Le lien entre un vaccin et la sclérose en plaques confirmé
La cour régionale des pensions de la cour d'appel de Montpellier vient de confirmer, dans un arrêt du 7 mars dernier, l'imputabilité juridique de la sclérose en plaques dont souffre Karim Kedaimia au vaccin contre la fièvre jaune qui lui a été administré lors de son incorporation dans l'armée de l'air. «M. Kedaimia rapporte la preuve de présomptions graves, précises et concordantes permettant de retenir un lien causal entre la vaccination contre la fièvre jaune qu'il a subie en service le 3 mars l'apparition de la sclérose en plaques dont il est atteint», écrit la cour dans son arrêt. La question de la pension que devra lui verser l'armée reste en suspens, son taux ayant fait l'objet d'un jugement séparé qui a lui aussi été contesté en appel par l'armée.
«C'est une satisfaction pour mon client qui n'a jamais baissé les bras» a commenté Me Sylvain Rèche, du barreau de Carcassonne, défenseur de Karim Kedaimia.
Ce Carcassonnais, issu d'une famille d'origine algérienne, avait intégré l'armée de l'air en 2003. Bien que sa fonction au mess des officiers de la base de Villacoublay ne l'expose pas à des voyages à l'étranger, il avait été vacciné le 3 mars 2005 contre les hépatites A et B et contre la fièvre jaune. Moins d'un mois plus tard, le 29 mars 2005, il présentait de la fièvre et des céphalées, et quinze mois plus tard, une ponction lombaire permettait de diagnostiquer une sclérose en plaques.
Longue procédure
Après le rejet par l'armée d'une première demande pour faire reconnaître l'imputabilité de la maladie au vaccin, Karim Kedaimia s'était tourné vers le tribunal des pensions militaires. De longues années de procédure allaient déboucher finalement, en février 2016, sur une expertise évoquant la «probabilité infime» d'un lien entre le vaccin et la maladie.
Son avocat avait alors plaidé «l'imputabilité juridique», soit l'existence d'un risque, même très peu probable, et la démonstration que toutes les autres causes possibles de survenue de la sclérose en plaques pouvaient être écartées. C'est ce raisonnement que la cour a finalement suivi, confirmant la première décision rendue par le tribunal des pensions militaires.
Dans une décision séparée, la juridiction a fixé à 70 % le taux de pension dû à M. Kedaimia. L'armée a fait appel, plaidant pour un taux à 40 %. La cour d'appel ne s'est pas encore prononcée sur ce point. Et Karim Kedaimia, onze ans après le diagnostic de sa maladie, n'a toujours reçu aucune indemnisation.
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Les vaccins sont rentables, et alors ? Mar 20 Mar 2018 - 13:27
artifix a écrit:
Le lien entre un vaccin et la sclérose en plaques confirmé
La cour régionale des pensions de la cour d'appel de Montpellier vient de confirmer, dans un arrêt du 7 mars dernier, l'imputabilité juridique de la sclérose en plaques dont souffre Karim Kedaimia au vaccin contre la fièvre jaune qui lui a été administré lors de son incorporation dans l'armée de l'air. «M. Kedaimia rapporte la preuve de présomptions graves, précises et concordantes permettant de retenir un lien causal entre la vaccination contre la fièvre jaune qu'il a subie en service le 3 mars l'apparition de la sclérose en plaques dont il est atteint», écrit la cour dans son arrêt. La question de la pension que devra lui verser l'armée reste en suspens, son taux ayant fait l'objet d'un jugement séparé qui a lui aussi été contesté en appel par l'armée.
«C'est une satisfaction pour mon client qui n'a jamais baissé les bras» a commenté Me Sylvain Rèche, du barreau de Carcassonne, défenseur de Karim Kedaimia.
Ce Carcassonnais, issu d'une famille d'origine algérienne, avait intégré l'armée de l'air en 2003. Bien que sa fonction au mess des officiers de la base de Villacoublay ne l'expose pas à des voyages à l'étranger, il avait été vacciné le 3 mars 2005 contre les hépatites A et B et contre la fièvre jaune. Moins d'un mois plus tard, le 29 mars 2005, il présentait de la fièvre et des céphalées, et quinze mois plus tard, une ponction lombaire permettait de diagnostiquer une sclérose en plaques.
Longue procédure
Après le rejet par l'armée d'une première demande pour faire reconnaître l'imputabilité de la maladie au vaccin, Karim Kedaimia s'était tourné vers le tribunal des pensions militaires. De longues années de procédure allaient déboucher finalement, en février 2016, sur une expertise évoquant la «probabilité infime» d'un lien entre le vaccin et la maladie.
Son avocat avait alors plaidé «l'imputabilité juridique», soit l'existence d'un risque, même très peu probable, et la démonstration que toutes les autres causes possibles de survenue de la sclérose en plaques pouvaient être écartées. C'est ce raisonnement que la cour a finalement suivi, confirmant la première décision rendue par le tribunal des pensions militaires.
Dans une décision séparée, la juridiction a fixé à 70 % le taux de pension dû à M. Kedaimia. L'armée a fait appel, plaidant pour un taux à 40 %. La cour d'appel ne s'est pas encore prononcée sur ce point. Et Karim Kedaimia, onze ans après le diagnostic de sa maladie, n'a toujours reçu aucune indemnisation.
c'est la Juge qui prononce "selon sa propre liberté d'appréciation".
donc il y a aucune lien confirmé entre.
Vaccins : quand justice et science s’opposent
Aucune étude scientifique n’établit de lien de causalité entre la vaccination et l’apparition de maladies. Pourtant, ce lien vient d’être reconnu par des juges dans trois cas différents.
ucun lien de causalité n’a pour l’heure été établi par la science entre la vaccination et l’apparition de maladies, comme la sclérose en plaques… A la différence des juges qui, eux, ont admis un tel lien dans plusieurs cas différents ces derniers mois.
Une opposition que Liliane Grandeot-Keros, de l’Académie nationale de pharmacie regrette.
"Je ne comprends pas les tribunaux qui prennent ces décisions : sur quoi se basent-ils? Il est regrettable que l’autorité judiciaire ne suive pas les scientifiques".
"On va aboutir à quoi? Au fait que les gens ne vont plus se faire vacciner", s’inquiète-t-elle, alors que la méfiance envers les vaccins n’a jamais été aussi forte.
Science/justice : deux logiques différentes
"Il existe une distinction entre la causalité juridique et la causalité scientifique", explique la juriste Clémentine Lequillerier, membre de l’Institut Droit et Santé à l’université Paris-Descartes.
"La justice cherche ce qui est juste, pour indemniser des victimes potentielles"
"Ce n’est pas parce qu’on reconnaît un lien de causalité juridique que cela remet en cause la balance bénéfices/risques des vaccins, que les juristes ne sont pas en mesure d’apprécier" poursuit-elle.
Selon elle, cette distinction doit être "expliquée avec pédagogie" au grand public. Faute de quoi, il conclura de ces décisions que les vaccins sont dangereux.
Traitement au cas par cas
Le 22 décembre, l’État a été condamné par la cour administrative d’appel de Nantes à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale qui avait développé une maladie, la myofasciite à macrophages, après une vaccination contre l’hépatite B.
Elle doit être indemnisée via l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux) car son métier rendait la vaccination obligatoire.
Le 23 janvier, la cour d’appel de Bordeaux a jugé le laboratoire pharmaceutique Sanofi "responsable" de la sclérose en plaques d’un homme vacciné contre l’hépatite B en 1996.
Enfin, le 7 mars, l’armée a été condamnée en appel à Montpellier à verser une pension à un ancien militaire qui a contracté une sclérose en plaques après un vaccin contre la fièvre jaune.
Ces affaires ne relèvent pas du même cadre juridique. Dans le cas de l’indemnisation via l’Oniam des dommages consécutifs à des vaccinations obligatoires, "le Conseil d’État a posé un cadre de référence, et si les critères sont réunis, le juge devra reconnaître la causalité juridique", explique Clémentine Lequillerier.
La situation est différente si les poursuites visent les fabricants de vaccins, comme dans l’affaire de Bordeaux.
"Pour ces cas, il y a eu un basculement en 2008", selon la juriste. La Cour de cassation a alors estimé que même en l’absence de certitude scientifique, une victime pouvait être indemnisée.
Des indices graves, précis et concordants
Ce raisonnement a été conforté par un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne(CJUE) du 21 juin dernier. L’arrêt de la cour d’appel de Bordeaux y fait explicitement référence. Selon cet arrêt, "des indices graves, précis et concordants" apportés par le plaignant peuvent permettre "de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité" avec la maladie (proximité dans le temps, absence d’antécédents…)
Toutefois, la justice européenne estime impossible de lister des critères préétablis permettant de conclure automatiquement à un lien de causalité. Aux juges de décider au cas par cas.
Une vague de plaintes a visé les vaccins contre l’hépatite B après une large campagne de vaccinations en 1994, qui a fait naître des soupçons de lien avec des maladies neurologiques comme la sclérose en plaques.
Après plus de 17 ans d’enquête, les juges d’instruction parisiens ont rendu un non-lieu en mars 2016. Motif : l’absence de "causalité certaine" que font valoir les scientifiques.