Planète Révélations
Bienvenu sur Planète Révélations, bonne visite à vous...
Planète Révélations
Bienvenu sur Planète Révélations, bonne visite à vous...
Planète Révélations
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Planète Révélations


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez
 

  Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
xerox

xerox

Masculin Verseau Rat
Messages : 435
Date d'inscription : 23/02/2013
Age : 39

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Empty
MessageSujet: Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :     Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  I_icon_minitimeJeu 14 Mar 2019 - 10:43

Les Ballets Roses (1959)




Révélation.
À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :
« M. Sacotte, juge d'instruction près le tribunal de la Seine, a placé sous mandat de dépôt, il y a quelques semaines, pour détournement de mineures, un policier placé actuellement "en disponibilité" :
Pierre Sorlut, âgé de 34 ans. Pierre Sorlut aurait, sous la promesse fallacieuse d'aider à leur carrière artistique, conduit de très jeunes filles dans une villa de Seine-et-Oise, où elles devaient donner, devant un parterre d'habitués, des spectacles licencieux. Merlu a mis en cause plusieurs personnalités. L'enquête se poursuit. »
 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Les+ballets+roses+05
L'information reste discrète et l'affaire ne fait guère couler d'encre au cours des deux semaines suivantes. Pourtant, des personnes bien informées murmurent déjà qu'André Le Troquer, éminence politique du régime défunt, serait mis en cause dans ce scandale de mœurs.

Le 23 janvier, l'hebdomadaire politique Aux écoutes du monde étoffa l'information avec un écho intitulé « la “petite folie” du Butard » : le policier aurait avoué avoir organisé des parties fines entre des personnalités et des mineures en divers endroits de la région parisienne, dont le Pavillon du Butard. Or, ce pavillon de chasse situé tout près de Paris, dans la forêt de Fausses-Reposes, était alors mis à la disposition du président de l'Assemblée nationale.


André Le Troquer.
La lettre qu'adressa publiquement au directeur de l'hebdomadaire l'homme politique André Le Troquer pour opposer aux « allégations publiées un démenti sans réserve, catégorique, absolu » donna une nouvelle dimension à ce fait divers.
En effet, André Le Troquer, 74 ans, mutilé de la guerre de 1914 où il avait perdu un bras, député SFIO de la Seine de 1936 à 1942 et de 1946 à 1958, avocat de Léon Blum lors du procès de Riom, résistant proche du général de Gaulle dont il fut ministre à la Libération, et enfin dernier président de l'Assemblée nationale de la IVe république (de janvier 1956 à juin 1958), était une figure de la vie politique.
Il fut bientôt inculpé, ainsi qu'une dizaine d'hommes âgés et fortunés ; des directeurs de magasins des beaux quartiers ou de restaurants chics, un coiffeur de l'avenue Matignon, deux policiers3, etc., membres du « Tout pourri » pour reprendre l'expression du Canard enchaîné.

Les fait.En même temps que le Troquer perdait de son crédit politique face au général de gaulle, il reçut Pierre Sorlut chez lui, rue d’Assas et au Butard. Le Troquer a alors 70 ans !
L'enquête établit que l'ex-chauffeur de la DST Pierre Sorlut qui se faisait passer pour un policier (il était en disponibilité) avait trois ans durant piégé des jeunes filles (la plus jeune aurait eu 14 ans et les plus âgées 20 ans selon certaines sources 5, 12 et 18 ans selon d'autres 6,7, alors que la majorité civile était à 21 ans et la majorité sexuelle à 15 ans) en leur proposant de rencontrer des hommes qui pourraient, grâce à leurs relations, favoriser leur carrière artistique. Fournies en alcool et en marijuana, elles exécutaient pour un public d'amateurs des spectacles érotiques dont certaines chorégraphies étaient imaginées par une artiste peintre, ex-actrice, alors compagne d'André Le Troquer (d'où le nom de « ballets roses »). Persuadées de favoriser la carrière de leurs filles, certaines mères auraient été consentantes.


Le procès.
Ouvert le 28/04/1960, devant la quinzième chambre correctionnelle de la Seine ( Paris aujourd’hui ), 9 audiences en hui clos au total . Président du Jury M Capel juge xxx et xxx.
Les audiences étant en hui clos, seule nous sont parvenue l’attitude des prévenus au moment de l’appel devant la cours , leurs présentation et pour certains leurs déclarations à ce moment précis !

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Les+ballets+roses+07

Les faits incriminés sont :
« Des actes caractérisés d’excitation à la débauche , dont l’essentiel consiste en relations sexuelles généralement complètes, soit entre plusieurs hommes et une femmes , soit entre un seul homme et plusieurs femmes , soit entre plusieurs couples avec parfois échange de partenaires ; toute actes concomitants ou successifs , perpétrés sans le moindre soucis de discrétion, dont les mineures ont toutes été l’objet ou les témoins , et qui dans certains cas se pimentaient du spectacle , fort apprécié, d’exhibitions de nudité, voir de numéros de strip-tease, de caresses fort précises entre femmes , de flagellations à l’aide d’un martinet » .
Il est précisé dans l’article du crapouillot n°73 que :
« Bien qu’il soit question dans le dossier , de scènes de flagellation , cette qualification supplémentaire de [coups à enfants ] ne signifie pas que les petites victimes aient été frappées ou martyrisées .Il s’agit, en fait ,d’une astuce juridique pour correctionnaliser certains actes odieux qui, autrement , auraient entraîné leurs auteurs en cours d’assises, avec des peines de réclusion ou de travaux forcés à temps en perspective. »

Les rumeurs.

De nombreuses rumeurs entourèrent cette affaire, qui allèrent d'une participation plus active des notables aux chorégraphies jusqu'à des orgies sado-masochistes organisées dans le Palais Bourbon. Aujourd'hui encore, l'expression « ballets roses » renvoie communément à des pratiques encore plus criminelles et mettant en scène des viols (dans le sens commun du terme), voire des meurtres. D'autre part, le fait que Pierre Sorlut ait été, durant l'année où il travailla officiellement pour la DST, le chauffeur de son directeur, le gaulliste Roger Wybot, a alimenté la thèse d'une machination destinée à perdre le socialiste Le Troquer.
Son retentissement fut atténué par une actualité chargée, qu'il s'agisse, sur le plan politique, de la guerre d'Algérie, ou, sur le plan judiciaire, de l’affaire Lacaze.

Le verdict 10 juin 1960.

Le tribunal devant lequel ont été jugés les vingt-trois prévenus de la sinistre affaire dite "des ballets roses" a rendu son verdict, soit vingt-deux condamnations.
23, prévenus au total tous poursuivis d’attentas aux mœurs caractérisés par excitations de mineures à la débauche et passibles de deux à cinq ans de prison et de 5000 à 50.000 nouveaux francs d’amende .
Six des prévenus doivent répondre de coups à enfants de moins de 15 ans et encourent donc de un à trois de prison et de 20 à 1.200 nouveaux Francs d’amende sont concernés :



-Pierre Sorlut, 33 ans, détenu depuis 16 mois, ex policier ou faux policier.
-André le Troquer, 74 ans , avocat, ancien président le l’assemblée nationale.
-Arturo Guglixxx , maître coiffeur , avenue Matignon Paris. Ce dernier organisait des parties fines dans son appartement Parisien et dans le pavillon qu’il possédait à Villecresnes.
-Maurice Benaxxxx 24 ans
-Jean François Jesxxx, 30 ans, directeur d’une maison de confection « la grande Maison «
-M Benaxxx étudiant 24 ans
-Georges Xianchierie (xiencheri), 39 ans gérant d’établissements « le Queenie » place de la Madeleine et du pavillon d’Armenonville dans le bois de Boulogne .
-André Gauthxxx, 46, ans officier de Police Principal
-R Baroxxx , 42 ans …………………………….non lieu
-User Sfarxx, modeliste de mode 72 ans ………..non lieu
-Elisabeth Pinajeff , artiste peintre 59 ans
-Camille Pexxx dite Depxxx 27 ans
-Lucie Audexxx 42 ans
D’autres personnes furent entendus suite aux dépositions des enfants mais ne furent pas inculpés :
-Mimi la Cannoise
-Un peintre célèbre
-Un statuaire célèbre
-Un chef d’orchestre célèbre et son pianiste
-Une chanteuse de l’Opéra comique dite «Madame Offenbach»
-Une marquise italienne prénommée Andréa
-Un médecin très mondain
-Un Colonel Français
-Un Major Américain
Les cinq victimes dont les familles sont parties civiles témoigneront à huis clos :
- Colette moins de 15 ans entre 1957 et 1958
-Danièle moins de 15 ans entre 1957 et 1958
-Gisèle moins de 18 ans entre 1957 et 1958
-Nicole moins de 15 ans entre 1957 et 1958
-Martine moins de 18 ans entre 1957 et 1958
Enfin le juge Sacotte du renoncé à recueillir les témoignages d’autres mineures trop « atteintes » pour témoigner ? ce fut le cas de :
-Edwige
-Marie-josé

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Staticmap

Quelques déclarations :
André L Troquer :
« Ni Mme pinaïeff ni moi n’avons été mélés aux actes qui mettent en cause les personnes traduites ici en justice. Nous n’avons participé à aucune de leurs réunions, nous ne sommes jamais allés chez eux et nous ne les avons pas accueilli chez nous . Il n’y à jamais eu de ballets, en tout cas nous n’en avons point vu. (….) on ne saurait prendre au sérieux les affirmations de filles perverses et débauchées. Aussi ai-je le droit de demander pourquoi je suis ici . Je puis sans crainte affirmer que nul n’aurait parlé d’une affaire de ce genre si l’on n’avait pas prononcé machiavélique-ment , injustement , le nom d’un homme politique . Mais on a voulu traîner en correctionnelle le militant que je fus et cela parce que j’ai opiniâtrement défendu la légalité républicaine . » et regagnant son banc en murmurant : « c’est le général de Gaulle qui à exigé que je sois ici , lui qui jadis à été mon obligé. »

Un verdict indulgent qui tient compte d'un "long passé de services rendus" et ne voulant pas "accabler un vieil homme." En pleine guerre d'Algérie, l'affaire a une ampleur toute relative, mais discrédite définitivement cet opposant historique au Général de Gaulle.

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Elisabethepinajeff

Le Procès et conclusion ! L’instruction.
Elisabeth Pinajeff sortant du bureau du juge d’instruction M Sacotte vers 1958

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Dechatoiement

Des pressions sur un témoin
lors de l’instruction février 1959, la presse de l’époque rapporte un épisode montrant une pression sur un proche d’une des victimes , cet épisode dénier par la police aboutira sur une plainte en justice déposé par un des Avocats , maître Traxeler :

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Victime+plusjeune1

Sources : le figaro du 02/02/1959 et le Républicain Lorrain du 02/02/1959, copier l’image et l’ouvrir dans un gestionnaire d’image

Dans son recueil de souvenir , publier sous forme d’entretien aux éditions PLON.
« Je sais presque rien mais je dirais tout » édition Plon , 2007. Pages 41 et 42.


Yves Bertrant , ancien directeur général des Renseignements Généraux , assistant à la cérémonie donné en l’honneur des 50 ans de la création de la DST en 1995 , année de la disparition d’Elisabeth Pinajeff , indique avoir été surpris d’assister à la dépose d’une gerbe au pied de la stèle à la mémoire des agents de la DST disparus en service , cette gerbe était en effet déposé par Pierre Sorlut lui-même .
Les articles de ces journaux montrent bien que la thèse d’un complot gaulliste visant à discréditer André Le Troquer , ne tient pas , pierre Sorlut , qui était un temps le chauffeur du chef de de la DST André Wybot , ne souhaitait visiblement pas que l’existence de ces ballets ne s’ébruite ou ne soit rendus publique .

Autour du Procès.
Retour sur Elisabeth Pinajef sur la période de 1929 à 1938

Pinajeff exposera régulièrement jusqu’en 1969 des toiles et des émaux dans le cadre de salons organisés par l’association des femmes peintres et graveurs .

Le Film qui fut tourné au Butard !
Aux écoutes du Monde, n° 1803, 6 février 1959, page 6.

Ce film prit au pavillon du Butard à l’occasion d’un des ballets roses était selon l’article projeté à occasion d’autres réunions du même genre dans le but [ d’initier les jeunes participantes et « les mettre dans ambiance “]. Le réalisateur de cette bande , continue l’article ,[inculpé lui aussi , est un cinéaste qui était aussi , il n’y à pas longtemps, producteur à la R T F. Le scandale commençait à peine à couver qu’on le priait pourtant d'abandonner le micro…]

Le Livre.

Résumé du livre :
« Pourquoi donc, quand on m'a proposé d'écrire sur un fait divers, ai-je spontanément pensé à l'affaire des 'Ballets roses', scandale presque oublié des années 1959-1960 ? Trois raisons au moins : D'abord parce que je suis impressionné, parfois choqué, par l'irritabilité avec laquelle les affaires de moeurs se déchaînent dans l'opinion, mêlant faits et fantasmes, excitation collective et réprobation (Outreau en a donné l'exemple spectaculaire). Ensuite parce que les 'Ballets roses' ont pour toile de fond la fin de la IVe République et le retour du général de Gaulle dont l'un des acteurs fut mon arrière-grand-père, René Coty. Après les Pieds dans l'eau, ce mélange d'histoire familiale et d'histoire tout court ne manquait pas d'attraits pour le romancier. Enfin j'ai trouvé l'occasion d'évoquer ces années cinquante, à la fois proches et lointaines : une France presque disparue avec ses modes et ses chapeaux, ses voyous et ses honnêtes gens qui pourraient former le décor d'un film en noir et blanc.
Le sujet principal reste évidemment l'affaire : comment un groupe de jeunes filles mineures, recrutées par un pseudo-policier, allait servir aux plaisirs d'une bande de commerçants, d'hommes d'affaires, et surtout du président de l'Assemblée nationale André Le Troquer. La personnalité de ce dernier m'a particulièrement intéressé : parce que son histoire comporte des épisodes plus glorieux, notamment dans la Résistance ; parce qu'il eut toute sa vie l'amour des starlettes, avant qu'un péché de vieillesse ne l'entraîne dans cette chute calamiteuse. Ce feuilleton policier suit plusieurs lignes : historique, politique, psychologique, personnelle. Il reste près des faits, sans extrapoler, mais en tâchant de retrouver la vérité d'un moment perdu. » - B.D.

Ballets roses de Benoît Duteurtre
Editeur : Grasset
Publication : 7/4/2009

A voir :
Les Ballets Écarlates (film de Jean Pierre Monky)

Lily Dorell, Beauté Magazine n°8 1929
Annonce dans beauté magasine de la parution d’un nouveaux titres des éditions pierre Ulysse à l’usage des peintres graveurs et collectionneurs


 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Les+ballets+roses+sculpteursetgraveurs


Elisabeth Pinajeff exposera régulièrement jusqu’en 1969 des toiles et des émaux dans le cadre de salons organisés par l’association des femmes peintres et graveurs .


Revenir en haut Aller en bas
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
OSIRIS

OSIRIS

Masculin Capricorne Chien
Messages : 4965
Date d'inscription : 12/10/2012
Age : 53

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Empty
MessageSujet: Re: Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :     Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  I_icon_minitimeJeu 14 Mar 2019 - 12:00

source lien ..... ?
Revenir en haut Aller en bas
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
safran_



Féminin Lion Cheval
Messages : 679
Date d'inscription : 15/03/2017
Age : 69
Localisation : Balma

 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Empty
MessageSujet: Re: Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :     Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  I_icon_minitimeJeu 14 Mar 2019 - 12:05

Dans les années 1960 une huitaine ou une dizaine de jeunes filles de mon village de 15 à 18 ans avaient été portées disparues durant plusieurs semaines. La gendarmerie enquêta, leurs traces les menèrent jusqu'à Bordeaux. Elles se trouvaient prisonnières dans une pièce d'une maison je crois, en attente d'un départ pour un pays du Moyen Orient.

Elles avaient trois, quatre ans de plus que moi cependant je connaissais quelques unes de ces jeunes filles piégées par des maquereaux recruteurs de chair fraîche.

-C'est vrai qu'à l'époque les gens parlaient de " Ballet Rose" et un peu plus tard de "Ballet Bleu".

.
Revenir en haut Aller en bas
http://lilith168.kazeo.com/les-visiteurs-de-la-nuit-c27274030
Contenu sponsorisé




 Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  Empty
MessageSujet: Re: Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :     Les Ballets Roses (1959)     Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :  I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Les Ballets Roses (1959) Révélation. À peine le général de Gaulle est-il installé à l'Elysée qu'une rumeur circule dans les salles de rédaction parisiennes. Tout commence par quelques lignes dans Le Monde du 10 janvier 1959 :

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Quelques lignes de présentation
» Tout le monde il est beau , tout le monde il est gentil !
» ibm control total de tout les medias est servers du monde ifone windows tout
» Xbox One, Big Brother s’installe dans votre salon
» Opus Dei, l’armée secrète du pape.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Planète Révélations :: Informations Mondiales :: Sociétés Secrètes :: Le Bohemian-Club-