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 Catastrophes naturelles & sixième sens des animaux

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Electra
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MessageSujet: Catastrophes naturelles & sixième sens des animaux   Catastrophes naturelles & sixième sens des animaux I_icon_minitimeDim 4 Avr 2010 - 20:47

Après chaque grande catastrophe naturelle, des témoignages relatent comment des animaux ont échappé à une mort certaine en se mettant à l’abri avant que les forces de la nature ne se déchaînent.
Comment une telle chose est-elle possible ? Sont-ils avertis ou captent-ils quelque chose qui nous échappe ? Certaines personnes parlent d’un sixième sens, de quoi s’agit-il exactement ?



Des témoignages en grand nombre




Cinq jours avant le séisme qui anéantit Helas, en Grèce, en 373 avant notre ère, rats, serpents, belettes, vers et scarabées, quittèrent la ville en masse.

A Messine, en Italie, avant le séisme de 1783, les chiens hurlaient si follement que nul ne réussit à les faire taire.

Pendant la nuit qui précède le tremblement de terre de 1805 à Naples, on vit une multitude de sauterelles ramper à travers la ville en direction de la mer.

A Sanriku, au Japon, en 1896, les anguilles envahirent la plage avant un séisme et un tsunami.

A la Martinique, en 1902, plusieurs jours avant l’éruption de la Montagne Pelée, tous les animaux, des oiseaux aux reptiles, fuirent les abords du volcan. Les êtres humains y demeurèrent. Il n’y eut qu’un survivant sur 40 000 habitants : un prisonnier, protégé par les murs épais de sa prison.

Deux minutes avant le tremblement de terre de 1910, à Landsberg, en Allemagne, les abeilles abandonnèrent leurs ruches pour ne revenir qu’à la fin de l’alerte.

En France, en 1959 à Fréjus, ce sont les chats qui se sont enfuis hors des maisons avant que le barrage construit en amont de la ville ne cède et qu’une vague n’inonde la ville basse, faisant plus de 400 victimes.

Le jour du grand séisme de 1964 en Alaska, les grands ours kodiaks sont sortis d’hibernation et ont quitté précipitamment leurs abris avec deux semaines d’avance.

Une heure avant un séisme en 1964, les habitants de Tachkent, en Ouzbékistan, ont observé avec stupéfaction un exode massif de fourmis qui emportaient leurs œufs.

Deux heures avant un séisme à Yientsin, en 1969, les autorités chinoises ont lancé un avertissement fondé sur l’agitation des tigres, des pandas, des yacks et des cerfs du zoo.

En février 1975, deux jours avant un violent tremblement de terre à Haicheng, en Chine, les porcs se sont mis à se battre dans leurs porcheries. Plusieurs heures avant les premières secousses, les serpents ont quitté leurs trous et ont gelé sur place plutôt que d’y retourner.

En 1999, dans les Vosges, avant l’arrivée de la tempête Lothar dont la violence des vents abattit de très nombreux arbres, des chevreuils quittèrent les profondeurs des forêts pour se regrouper dans les espaces dégagés des clairières.

Le 26 décembre 2004, le parc national de Yala, au Sri Lanka, a été dévasté par un tsunami qui a pénétré jusqu’à trois kilomètres à l’intérieur des terres et recouvert environ 300 hectares de terrain. Des vagues mugissantes ont réduit des immeubles en décombres et transformé des véhicules en projectiles meurtriers. Bien que plus de 200 éléphants ainsi que de nombreux autres animaux vivent dans le parc, pas un seul n’a été tué par le raz de marée. «Aucun éléphant n’est mort, ni même le moindre lièvre ou le moindre lapin.


Je pense que les animaux sentent venir les catastrophes. Ils ont un sixième sens. Ils savent que quelque chose va arriver» déclarait un des responsables du parc. Depuis un hélicoptère, un journaliste a vu les troupeaux sur la terre sèche. Les autorités du Sri Lanka confirment le fait : plusieurs dizaines de milliers de corps humains ont été retrouvés, mais aucun cadavre d’animaux sauvages n’a été aperçu.
A toutes les époques, partout dans le monde, de tels faits sont relatés et ne cessent d’émerveiller l’être humain, le poussant à s’interroger sur la mystérieuse faculté que possèdent les animaux de pressentir l’arrivée de tels dangers.



L’approche scientifique



Pour les scientifiques, il n’y a rien de mystérieux ni d’inexplicable à ce que les animaux sachent à l’avance qu’une catastrophe naturelle va avoir lieu. Contrairement à l’homme qui s’est créé un environnement très sécurisé, les animaux vivent dans un milieu recelant mille menaces pour eux. Ils sont constamment en alerte pour ne pas se faire tuer par leurs ennemis, pour défendre leur territoire et leurs petits, pour échapper aux intempéries, trouver de la nourriture, etc.
Afin de survivre aux multiples dangers auxquels ils sont confrontés, les animaux ont développé à l’extrême leurs facultés de perception. Chez certaines espèces animales, c’est l’ouïe qui s’est spécialement affinée. Le spectre sonore qu’elles captent est fortement augmenté vers le haut ou vers le bas, leur permettant ainsi d’entendre «de loin» leur ennemi.
Les chauves-souris et les insectes, par exemple, perçoivent les ultra-sons qui sont inaudibles pour l’être humain. Or, les roches soumises à de fortes pressions, comme c’est le cas lorsqu’un tremblement de terre se prépare, émettent des sons de très haute fréquence. C’est certainement pour cette raison qu’au Sri Lanka, peu avant le séisme qui déclencha le tsunami de décembre 2004, des témoins ont vu des milliers de chauves-souris quitter, en plein jour, le fond de la grotte où elles étaient réfugiées, alors que ces animaux ne sortent normalement que la nuit.
La perception des infra-sons est plutôt le propre des éléphants. Ceux du parc naturel de Yala mentionnés plus haut comme ayant échappé au tsunami ont probablement perçu les sons de basse fréquence émis par le déplacement des plaques continentales, leur permettant ainsi de se mettre à l’abri.
D’autres animaux, les serpents par exemple, sont très sensibles aux variations des champs magnétiques du sol. Ces derniers se modifient fortement dans les heures qui précèdent les séismes. Cela expliquerait que les serpents, ainsi avertis, sortent de leur trou avant les premières secousses pour éviter, comme cela a été observé à maintes reprises, d’être écrasés.
Il est d’observation courante que les poules, les oies et les pigeons, manifestent une très grande agitation avant les tremblements de terre. D’après certains chercheurs, cet affolement serait dû à la capacité de ces oiseaux à percevoir les émissions de gaz radioactifs, comme le radon, émissions qui ont lieu lorsque les couches de roches souterraines qui retiennent les gaz en profondeur, se fendillent et se déplacent peu avant que la terre ne tremble.
La finesse des perceptions des animaux est certainement une partie de l’explication du pourquoi de leur prescience du danger, mais elle n’explique pas tout. Deux raisons poussent à penser qu’il doit y avoir autre chose que ce sixième sens dont on parle tant. La première raison est que les animaux réagissent avant que l’événement ait lieu et la deuxième qu’ils réagissent de manière intelligente, adaptée au danger. Reprenons ces deux éléments.



Une perception à l’avance



Normalement, les signaux visuels, auditifs… perçus par nous ou les animaux, le sont au fur et à mesure qu’ils sont émis. Il y a donc toujours simultanéité de l’événement qui émet les stimulis et de leur perception. Mais dans les cas qui nous occupent, les animaux perçoivent quelque chose avant que le tremblement de terre, la tempête, l’éruption volcanique… n’aient lieu.
Certes, un séisme est précédé de nombreuses petites secousses imperceptibles à l’être humain et que les animaux captent. Mais d’après les spécialistes, ces petites secousses ont lieu en tout temps. Elles témoignent de l’activité permanente de la croûte terrestre et pour cette raison n’annoncent que rarement un séisme véritable. Pourquoi alors, les chiens, qui comme les éléphants et les chauves-souris sont très sensibles à ces secousses, ne hurlent-ils qu’avant les grands tremblements de terre ?
Il est vrai aussi que les tempêtes sont précédées de modifications de la pression atmosphérique, d’humidité de l’air… qui peuvent permettre à certains animaux de prendre conscience de leur arrivée. Mais, ici aussi, de tels changements ont lieu à tout moment sans qu’ils annoncent une tempête dévastatrice.



Pourquoi les réactions des animaux ne se manifestent-elles que quand une véritable tempête approche ?



S’il est compréhensible qu’un animal doté d’un sens très affiné puisse percevoir des signaux que d’autres n’arrivent pas à réceptionner, cela n’explique pas pourquoi il peut recevoir un signal avant qu’un événement ait lieu. Quel est donc ce sens qui est capable de saisir ce qui ne s’est pas encore passé ?
Cette perception peut-elle avoir lieu longtemps à l’avance ? Les exemples ci-après sont troublants. En 1738 à Messine en Italie, les chiens ne hurlèrent que quelques minutes avant qu’un tremblement de terre ne détruise la ville et ne tue plus de 50 000 personnes. Ce n’est aussi que quelques minutes avant le tremblement de terre de Landsberg, en Allemagne, en 1910, que les abeilles abandonnèrent leur ruche pour s’envoler dans les airs. Mais c’est une demi-heure avant le séisme qui détruisit 20 000 maisons en Grèce, en 1953, que les cigognes qui peuplaient la région s’élevèrent brusquement dans les airs et tournoyèrent en larges cercles en criant de manière inhabituelle, donnant ainsi l’alerte à la population. Il n’y eut que 27 morts.
Le 5 mars 1977, en Roumanie c’est une heure avant que la terre ne tremble, que les poules et les vaches, par leur agitation et leurs tentatives de s’enfuir de leur poulailler ou de leur étable, avertirent leurs maîtres du danger à venir. En 1969, à Yientsin, les autorités chinoises prévinrent la population de l’imminence d’un séisme, deux heures à l’avance, après avoir constaté l’agitation des tigres, pandas et cerfs du zoo.
Un jour avant qu’Orléansville, en Algérie, ne fût détruite par le séisme de 1954, de nombreux animaux domestiques avaient quitté la ville. En Alaska, en 1964, les ours blancs firent de même, écourtant ainsi leur hibernation de deux semaines, afin d’échapper au séisme qui se déclencha sur la région avec une puissance de 9,2 sur l’échelle de Richter.
En dehors des catastrophes naturelles, les animaux sont aussi capables de déceler à l’avance des dangers qui ne font pas intervenir directement les forces de la nature.
Dans les années 1960, aux Etats-Unis, un propriétaire de chien était assis au café avec des amis à jouer aux cartes. Contrairement à son habitude, son chien le dérangeait continuellement par son agitation, ses cris, ses déplacements dans la pièce. Agacé, il ouvrit la porte du café et laissa son chien sortir. Quelques minutes après, rentrant par la fenêtre, son chien recommença son manège. Son maître, excédé, sortit du café avec lui pour le mettre dehors. A peine avait-il franchi le seuil que le plafond de l’établissement s’écroulait, ensevelissant les consommateurs.
Dans le même ordre d’idées, à Oviedo, en Espagne, en 1961, un cheval qui tirait une charrette bloqua la circulation, en refusant obstinément de pénétrer dans le tunnel par lequel son maître voulait le faire passer. Ni menaces, ni coups de fouet ne réussissaient à le faire changer d’idée ou à le faire avancer. Un immense embouteillage se forma derrière lui, mais le concert de klaxons et les vociférations des conducteurs furent tout à coup couverts par un effroyable fracas : la voûte du tunnel s’était effondrée dans un bruit épouvantable.
Autre fait particulier : selon des témoins, une heure avant que la bombe atomique ne fût lâchée sur Hiroshima, des centaines de chiens se réunirent pour aboyer à la mort.



Un comportement sensé



Dans une situation dangereuse qui lui échappe en partie, l’être humain, dans l’état de panique où il se trouve, adopte parfois un comportement insensé. On imagine facilement qu’il en va de même avec les animaux, puisque, bien que conscients de l’approche d’un danger par la finesse de l’un de leurs sens, ils ne peuvent toutefois pas encore en connaître la nature exacte puisque ce dernier n’est pas encore présent.
Ce comportement insensé se manifeste par exemple par le fait que des anguilles s’échouent volontairement sur la plage devant la menace d’un tsunami, des poissons sautent sur les berges de la rivière pour échapper à un tremblement de terre, des rats se cachent dans les maisons avant un séisme au risque de se faire écraser lorsqu’elles s’effondreront.
A l’opposé de ces comportements, dictés par la panique, certains animaux ont une réaction parfaitement adaptée à la menace et, point à souligner, qui diffère de leurs réactions habituelles.
Normalement, une grenouille qui se sent en danger saute dans l’étang où elle vit et se réfugie instinctivement au plus profond de celui-ci. Un spécialiste raconte pourtant avoir observé des grenouilles quitter le ruisseau dans lequel elles vivaient et s’en éloigner le plus possible afin d’échapper à une crue imminente.
Les chats qui se sentent menacés se réfugient généralement sous un meuble ou dans un coin reculé de l’appartement de leur maître. Or, à Fréjus, les chats ayant été avertis de la rupture du barrage en amont de la ville, miaulaient, grattaient aux portes et fenêtres, et s’enfuyaient au loin sitôt qu’une porte s’entrouvrait.
Nous sommes émerveillés, avec raison, par l’histoire des éléphants du parc de Yala, au Sri Lanka, qui se sont réfugiés hors d’atteinte de la montée d’eau qu’allait provoquer le tsunami. D’après les scientifiques, c’est leur sensibilité aux basses fréquences qui leur a permis de déceler le tremblement de terre qui avait lieu à des centaines de kilomètres de là, au nord de l’Indonésie, et qui, dans un deuxième temps seulement, a engendré la vague destructrice. Que les éléphants décèlent le séisme est une chose, mais comment ont-ils su qu’il leur fallait s’éloigner des rives et monter sur les hauteurs afin d’échapper au tsunami qui résulterait du tremblement de terre ?
«C’est un sixième sens que possèdent les animaux», répondront beaucoup de gens.



Qu’est-ce que le sixième sens des animaux ?



La grande finesse des sens des animaux étant insuffisante pour expliquer complètement la capacité que ceux-ci possèdent pour percevoir l’arrivée d’une catastrophe naturelle, certaines personnes invoquent l’existence d’un sixième sens.
Ce sixième sens, s’il existait, devrait avoir pour caractéristique de saisir quel sera le phénomène naturel, le moment où il sévira, les conséquences qui en résulteront sur l’environnement et la réaction appropriée à lui opposer, et tout cela à l’avance. Cela fait beaucoup de choses pour un simple sens. Il doit par conséquent s’agir d’autre chose. Mais de quoi ?
Dans le Message du Graal une explication tout autre que celles que l’on entend habituellement est donnée. Il ne s’agirait pas d’une perception anticipée mais de la réception d’un avertissement provenant des forces personnifiées de la nature, autrement dit les êtres élémentaux.
«Les êtres élémentaux, quant à eux, savent exactement où et quand se produira une modification dans la nature, par exemple les éboulements et les glissements de terrain, la chute d’un arbre, les effondrements dus à l’érosion, les ruptures de barrages, les inondations, les éruptions volcaniques, les raz de marée, les tremblements de terre et toute autre catastrophe de ce genre. Ils le savent parce qu’ils s’en occupent personnellement et que ces modifications qualifiées par les hommes d’accidents et de catastrophes sont préparées et provoquées par eux.



Les êtres élémentaux



Si donc un semblable événement est imminent, il peut arriver qu’un animal ou une personne qui s’approche de cet endroit soit averti par ces êtres élémentaux. Ils lui barrent le passage et, par des cris et des mouvements brusques, ou en faisant soudain impression sur sa sensibilité, ils cherchent à l’inciter à faire demi-tour. L’animal prend peur, ses poils se hérissent et il refuse énergiquement – de façon parfaitement contraire à ses habitudes – de poursuivre son chemin. C’est ainsi que l’animal le mieux dressé peut exceptionnellement refuser obéissance à son maître. Telle est la raison du comportement étonnant de l’animal en pareilles circonstances. Mais l’homme ne voit pas ces êtres élémentaux et va bien souvent au devant du danger dans lequel il périt ou se trouve gravement atteint.»
La véracité de telles possibilités d’intervention est confirmée dans la Bible. C’est une entité qui empêche l’âne de Balaam de conduire son maître dans la tribu voisine. Cette entité, désignée comme étant un ange dans le récit, n’est pas visible à Balaam, mais l’âne la voit et refuse d’avancer. (Nombres 22, 28-34)
La perception des variations de champs magnétiques, d’ultra ou d’infrasons, etc. évoquée par les scientifiques n’est donc qu’une des manières dont les animaux peuvent prendre conscience d’un bouleversement naturel à venir. Les avertissements des êtres élémentaux en sont une autre.


Sources :
Savoir perdu & Terra Nova
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http://www.planete-revelations.com
 

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