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 Le pamplemousse contre le syndrome métabolique

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a2zeiss
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a2zeiss

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MessageSujet: Le pamplemousse contre le syndrome métabolique   Le pamplemousse contre le syndrome métabolique I_icon_minitimeMer 22 Juil 2009 - 14:53

Canada - Des chercheurs des universités de Western Ontario et London ont mis en évidence les effets positifs d’un extrait de pamplemousse sur le syndrome métabolique.

Le pamplemousse contre le syndrome métabolique Pample10


Le syndrome métabolique se caractérise par plusieurs symptômes : obésité, hypertension, hypercholestérolémie, hyperglycémie et troubles de l’insuline. Une personne souffrant de ce syndrome a plus de risques de développer un diabète de type 2, des troubles cardiovasculaires ou d'être victime d'un accident vasculaire cérébral.

L’étude s’est intéressée à un extrait spécifique du pamplemousse, riche en naringinines, un flavonoïde souvent mis en cause lors des interactions entre médicaments. Les chercheurs ont nourri deux groupes de souris avec une alimentation riche en graisse pour développer le syndrome métabolique. Un des deux groupes a reçu ensuite un complément de nourriture avec cet extrait de pamplemousse.

Au bout de quatre semaines, ce groupe de souris présentait un taux de triglycérides et une activité de l’insuline normaux. Selon les chercheurs, les naringinines activeraient la production d’une enzyme du foie qui commande au corps de brûler les graisses plutôt que de les stocker. Le taux de triglycérides se stabilise alors. D’autres recherches doivent être menées pour découvrir si les effets de la naringinine sont aussi valables pour l’homme.
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MessageSujet: l’huile de pépins de pamplemousse …un puissant antibiotique naturel   Le pamplemousse contre le syndrome métabolique I_icon_minitimeMar 17 Jan 2012 - 9:27


Depuis un certain temps, on ne cesse d’entendre des lamentations à propos des nouvelles résistances aux antibiotiques, mais, est-ce bien grave, alors que l’on connaît les dégâts qu’ils génèrent au sein des organismes. Déjà, nous avions élaboré un dossier: « Huile essentielles au secours des antibiotiques » mettant l’accent sur la non accoutumance à leurs puissants effets. Nous étions dans la bonne direction car vient d’apparaître un nouveau « Zorro » de l’infection et de l’inflammation, l’huile de pépins de grapefruit, c’est-à-dire de pamplemousse.

Historique

La découverte eut lieu en 1980, sur un tas de compost. En effet, un jardinier découvrit un jour que les pépins de pamplemousse de son compost ne pourrissaient pas. Or, ce jardinier était aussi médecin physicien, lauréat du prix Einstein et immunobiologiste. Son nom: le Dr Jacob Harich, résidant en Floride. Derechef, le phénomène fut reproduit dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recelaient une substance à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique connu.

Des recherches furent entreprises à l’institut Pasteur, l’institut pour la micro-écologie de Hebon en Allemagne et la Southern Research Institute aux USA. Un incroyable spectre d’actions fut mis en évidence à la fois sur les bactéries, les virus, les levures et les champignons, ainsi que divers parasites, alors que l’action des antibiotiques conventionnels se limite aux bactéries.

En 1990, le Dr Allan Sachs de Woodstock N.Y. Reprenant les études du Dr Harich se demanda s’il n’avait pas découvert l’antimicrobien parfait.

Les propriétés spécifiques du produit

L’action de l’extrait de pépins de pamplemousse s’étend à environ 800 souches de bactéries et de virus, et à environ 100 souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. C’est un score unique.

- Son action anti-microbienne se développe à une concentration moyenne de 1000 pmm (parts par million) ce qui correspond à 8 gouttes par verre d’eau environ.

- Des essais comparatifs en concurrence avec 30 antibiotiques puissants et 18 antimycotiques ont été établis par des équipes de recherche internationales. Dans chaque essais, l’huile de pépins de pamplemousse étant d’un effet équivalent ou supérieur sur les souches présentes.

- Le produit est dépourvu de toxicité. Il faudrait absorber 4000 fois la dose normale pour atteindre des effets d’empoisonnement.

- L’extrait de pépins de pamplemousse aide les défenses immunitaires, alors que les antibiotiques classiques les inhibent.

- Au niveau intestinal, alors que l’extrait des pépins de pamplemousse inhibe les bactéries nocives, il ne touche absolument pas aux indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. De plus, l’ensemble de la flore se trouve améliorée.

- Normalement, ce produit ne fait l’objet d’aucune réaction allergique.

Néanmoins, selon les statistiques, il y a environ 4% des personnes qui présentent une allergie aux agrumes en général. Dans ce cas, ces personnes doivent commencer par des doses minimales.

Les applications thérapeutiques

L’huile de pépins de pamplemousse est utilisée depuis plusieurs années déjà aux Etats-Unis, dans les pays scandinaves et il se trouve actuellement dans toutes les boutiques diététiques suisses où elle connaît un grand succès.

On l’utilise dans :

- les maladies gastro-intestinales 
- les infestations par levures
- les refroidissements en tous genres
- les infections ORL
- les mycoses de la peau et ongles
- les infections urinaires
- les déficiences immunitaires même graves
- la fatigue chronique 
- les candidoses
- les diarrhées 
- les grippes 
- les mycoses
- les pellicules
- les verrues
- les excès de transpiration 
- les eczémas
- les gingivites
- les intoxications alimentaires
- le choléra
- la désinfection des blessures
- la désinfection de l’eau à boire
- L’hélicobacter Pylori est responsable des gastrites et ulcères d’estomac.
Une étude anglaise a montré que 20% des personnes de 20 ans, 40% des personnes de 40 ans et 60% des personnes de 60 ans sont touchées. Lutilisation de l’extrait de pépins de pamplemousse peut abaisser la concentration des hélicobacter à moins de 1 pour 1000.

- Le Candida Albicans et autres mycoses ont tellement proliféré depuis 10 ans que la moitié de la population occidentale est atteinte. Les antibiotiques, la cortisone, la pollution alimentaire en sont la cause. Les troubles consécutifs au Candida Albicans sont très variés : ballonnements, diarrhées, colite, ulcères gastro-intestinaux, troubles menstruels, stérilité, fibroses, trouble de la prostate, allergies, troubles hormonaux, troubles cardiaques, douleurs articulaires, maux de tête, migraines, perte de mémoire, sautes d’humeur, asthme, sinusite, problèmes rénaux, fluctuation glycémique, gastrite. 7000 à 12000 personnes mourraient en Allemagne chaque année des suites de Candida Albicans. Jusqu’ici, cette atteinte était très difficile à soigner. Le Dr Léo Galland de New-York a traité par l’extrait de pépins de pamplemousse 297 personnes. Seuls 2 personnes ne guérirent pas.

Prescription recommandée pour traiter l’hélicobacter Pylori et le Candida Albicans :

1ère semaine : 6 à 18 gouttes 1 fois par jour
2ème semaine : 6 à 18 gouttes 2 fois par jour
3ème semaine : 6 à 18 gouttes 3 fois par jour
Toujours dans de l’eau, durée 1 à 3 mois.

Application aux animaux

Au Danemark, on utilise ce produit pour l’élevage biologique des porcs, des vaches et des chevaux, sous forme de poudre, dans les maladies épidémiques et infectieuses. Au Pérou, les alpagas qui fournissent une laine de qualité, sont des animaux très fragiles. On a réduit grâce à l’extrait de pépins de pamplemousse la mortalité de 50% à 2%.

Pour les animaux domestiques, de nombreuses personnes utilisent ce produit avec succès, comme vermifuge contre poux, puces, tiques et les mycoses.

Pour tous les problèmes de mycoses, maladies bactériennes, épidémies, blessures, il est possible de préparer une solution à pulvériser à raison de 60 à 80 gouttes par litre d’eau. Cette pulvérisation peut être aussi utilisée pour les maladies des sabots
des chevaux, moutons, vaches, etc. en saison humide.
Pour la désinfection des étables, 10 ml d’extrait pour 10 litres d’eau.
Pour les maladies des aquarium et les algues, 10 gouttes par litre d’eau.

Application aux plantes

Dans les pays chauds, la conservation des fruits et légumes pose un gros problème (pourriture, moisissure). Ce produit a trouvé un grand champ d’application dépourvu de toxicité et très efficace, y compris pour la désinfection des viandes, des poissons et des céréales. La conservation peut ainsi être multipliée par 3 ou par 4.
Les agriculteurs danois se servent de l’extrait pour lutter contre les ravageurs dans les champs de pommes de terre, de carottes et de poireaux.

Contre les pucerons et divers prédateurs, champignons, moisissures, etc. une pulvérisation à raison de 6 à 8 gouttes par litre d’eau; d’autres concentrations peuvent être envisagées selon les cas.

Applications diverses

- Dans l’industrie cosmétique, on commence à utiliser l’extrait de pépins de pamplemousse pour remplacer les produits chimiques de conservation souvent toxiques.
- Des essais concluants ont été effectués dans les hôpitaux dans la désinfection des locaux de la lingerie, la stérilisation des blocs opératoires et appareils médicaux. On aurait donc la parade aux maladies nosocomiales dues aux souches résistantes aux antibiotiques.
- Des tests post-opératoires sur la désinfection de la peau donnent un résultat de pouvoir germicide de 100% avec l’extrait de pépins de pamplemousse, contre 72% avec l’alcool.
- L’extrait de pépins de pamplemousse peut avantageusement remplacer le chlore dans l’eau potable, celui-ci étant très toxique. John R. Curson, du service de l’environnement d’Amadella (USA) a démontré que l’adjonction de 350 litres d’extrait dans un million de litres d’eau faisait baisser d’une façon durable le nombre de colibacilles fécaux à 1 pour 100 ml alors que la norme autorisée est de 200 pour 100 ml.
- En Thaïlande et en Amérique du Sud, on a commencé à introduire ce mode d’assainissement de l’eau dans les piscines à la place du chlore.

Nota : Il est à noter que le produit a été déclaré non éco-toxique par la FDA et 5 ans d’études américaines ont prouvé sa parfaite biodégradabilité.

La composition du produit :

Il est important que l’extrait soit issu de pamplemousses biologiques, ce qui doit être notifié sur le flacon. En lotion, la dénomination du fruit est Citrus Paradisii. C’est un agrume. L’analyse chimique de l’extrait fait apparaître des biflavonoïdes et
glucosides.

Usage interne :

Posologie moyenne : 6 à 30 gouttes d’extrait 2 à 3 fois, bien mélanger dans un verre d’eau.
Le goût étant assez amer, on peut le diluer dans du jus de fruit. Commencer avec des doses minimales en prévision des réactions d’élimination trop violentes.
Pour les voyageurs des pays tropicaux, il est indispensable de désinfecter l’eau locale qui peut entraîner dysenterie, embiases, choléra, typhus ou para-typhus.

Les maladies parasitaires, des vers au protozoaires On en dénombre plus de 130 donnant des troubles variés, en particulier sur le psychisme et sur le caractère.
Le traitement curatif est le même que cité plus haut.

- A noter : de nombreuses allergies sont dues à la présence de parasites intestinaux.

Usage externe :

- Aphtes : rinçage de la bouche avec 20 gouttes dans un verre d’eau

- Mauvaise haleine : idem 
- Muguet : (mycose buccale) : idem
- Herpès des lèvres : 3 à 4 gouttes dans une cuillère à soupe d’huile.

Badigeonner.

- Lèvres gercées : idem
- Gingivite : rincer la bouche et masser les gencives avec 20 gouttes du produit dans 1 verre d’eau. Tremper la brosse dans le mélange pour désinfection.
- Toux, angine : gargarisme avec le même mélange que ci-dessus.
- Mycose auriculaire : appliquer le mélange de 3-4 gouttes pour une cuillère à soupe avec un coton-tige.
- Entretien du cuir chevelu (pellicules…) : ajouter 10 à 20 gouttes de produit dans la main avec la portion de shampooing.
- Tiques : appliquer une goutte pure sur la tique.
- Verrues : idem 2 fois par jour sur les verrues.
- Mycose : application d’extrait pur dilué dans un peu de glycérine, 2 fois par jour jusqu’à guérison complète.
- Infection vaginale – mycose vaginale : ne pas laver au savon. Pratiquer des injections avec 2 à 6 gouttes d’extrait de pépin dans 1/4 de litre d’eau tiède. Y ajouter 5 gouttes de teinture mère d’ecchinacea.
On peut aussi imbiber un tampax en diluant les mêmes quantités de produit dans 1 cuillère à soupe d’huile de sésame. Mise en place : 3 heures par jour

Source : Extrait du magazine « Vérités Santé pratique » n° 24
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MessageSujet: Re: Le pamplemousse contre le syndrome métabolique   Le pamplemousse contre le syndrome métabolique I_icon_minitimeMar 17 Jan 2012 - 9:44

extrait de pepins de pamplemousse c'est extra, mais a premiere vue si ont continu a s'alimenté avec les orduries de l'agro alimentaire c'est inefficace.

Nous citoyen con sommateur , devrions porter plaintes contre ces porcs et leur representants qui nous gouverne.

LE QUEL DE VOS PRETENDANT AU POSTE PRESIDENTIELLE VOUS DIS QU IL VA CHANGER CELA ET DENFENDRE VOTRE SANTE


BEN OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

C EST TOUS DES PORCS CRIMENELLES FAITE GAFFE VOUS EN EST OU ?

GROIN GROIN A OUI JE DISAIS AUSSI
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MessageSujet: La vérité sur le pépin de pamplemousse   Le pamplemousse contre le syndrome métabolique I_icon_minitimeSam 23 Mar 2013 - 19:57

La vérité sur le pépin de pamplemousse

L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d’années comme le meilleur antibiotique naturel. Et l’on a raison de le considérer comme tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l’ont popularisé dans les années 80/90, on n’a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès de cette médication n’avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de toutes espèces à l’affût d’un marché juteux…

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique


Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :

Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires…
Les ulcères de l’estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques …
Les infections urinaires et cystites.
La fatigue chronique et l’affaiblissement immunitaire.
Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
En usage externe, l’EPP est aussi un recours dans bien des situations :
La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite…
La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d’insectes, verrues, mycoses…
Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux…
Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
Les ongles : onychomycose, panaris.
Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites…



Pourtant, à l’expérience, il y a de quoi douter

Malgré la réputation justifiéee de l’EPP, il m’est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j’ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J’ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l’ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien… Peut-être cela vous est-il arrivé aussi !

Un jour pourtant, j’ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J’en ai appliqué sur une piqure d’araignée qui s’infectait… Et là, ça m’a d’abord chatouillé fort puis tout a disparu. Alors j’ai compris qu’il y avait différentes qualités d’EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?
On n’y comprend plus rien sur les étiquettes

Pas facile de s’y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s’avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux.

Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d’écorces » ou « de pépins et de pulpe »…
Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l’on trouve même de l’EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.
De nombreuses fraudes signalées

À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n’étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d’entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d’antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000.

Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n’importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !
Une légende merveilleuse… bien qu’écornée

Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis, jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique…
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l’EPP, seul, n’avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l’EPP et il s’agissait bien d’un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.
D’ailleurs, les cultivateurs bio font grand usage de l’EPP

La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l’utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d’infections à champignons, on s’en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles…).

Alors si la méfiance s’impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l’EPP reste un excellent produit qu’il faut simplement savoir bien choisir.
Des études rassurantes… enfin !

Les troublantes constatations d’une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l’ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l’EPP n’a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l’Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4).

L’étude citée plus haut a ainsi confirmé que l’action de l’EPP s’étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L’extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.

Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l’EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l’ensemble de la flore s’en trouve améliorée.
Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard

L’EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima.
Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d’une extraction à sec. Grosso modo :
Les pépins sont séchés et réduits en poudre.
Cette poudre est ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine).
Une autre opération de séchage permet d’obtenir une poudre concentrée.
Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l’eau puis chauffé sous haute pression.
Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.
Américains ou Chinois fournissent les marchands
Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l’EPP. Car la réalité, c’est que si l’on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l’Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D’où vient-elle ? Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands.
Difficile de vérifier la qualité de l’extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse… Et ça, les marchands d’EPP concernés se gardent bien de nous le dire.

En plus, l’EPP est maintenant au centre d’une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement…
La guerre des bioflavonoïdes

Même si certains fabricants font valoir des procédés d’extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque.
C’est ainsi que la norme est d’utiliser 20% en moyenne d’extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit.

Comment expliquer alors que l’on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C’est à qui proposera le plus…
Les petits calculs des marchands d’EPP

Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée.
Il existe en effet deux techniques d’analyse quantitative des molécules :
- la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
- le test U.V. (l’absorption U.V. visible).

Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus.

Si l’on vous annonce 1 200 mg, c’est que l’on a utilisé la méthode d’analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l’extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.
Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes.

A moins que l’on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d’où viennent-ils ?) dans le produit, ou l’écorce ou le péricarpe (l’enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.

Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l’extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.

Quant au péricarpe, rien n’indique qu’il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m’échappent, on m’explique qu’il permet d’obtenir plus facilement la mention bio…
Faut-il préférer le bio ?

Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d’intrants. Mais l’on en paiera le prix, pour une différence qui, en l’espèce, n’est pas déterminante.

Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d’Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.
Alors comment choisir sans se tromper ?

Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
la traçabilité du produit : assurez-vous qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradisi.
Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
Vérifiez qu’il n’y ait aucun additif autre qu’un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l’EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l’étranger.
Enfin des formules fiables !

A force de chercher la meilleure formule possible, j’ai fini par en trouver une – ce qui n’exclut pas, bien entendu, qu’il y en ait d’autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d’une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins. Vous pourrez vous la procurer en suivant ce lien.

Les pépins importés d’Asie, entiers, sont mis en macération dans un mélange d’eau et de glycérine à raison de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération successives, on extrait ainsi l’ensemble des principes actifs et « non actifs » (ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que l’action est déjà optimum.
Au final, avec cet EPP basé sur le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste.

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif. La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains petits laboratoires.
Passez un hiver tranquille !

N’hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d’EPP. L’authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées.

C’est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s’adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.

Prenez soin de vous.


source: http://www.alternativesante.fr/extraitpepin-de-pamplemousse/
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OSIRIS

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MessageSujet: Re: Le pamplemousse contre le syndrome métabolique   Le pamplemousse contre le syndrome métabolique I_icon_minitimeSam 23 Mar 2013 - 22:49


Le pamplemousse est une excellente détoxifiante comme de l'argile , mais il y a une chose qu'il faut absolument savoir ,,,,,

Il ne faut PAS boire le jus de pamplemousse ni le manger ou prendre les gélules d'argile etc ou n'importe quel autre détoxifiante si on suivre une traitement médicinal prescrite , car ça va absorbe toute les médecines que vous prendre et donc rendre le traitement inefficace et inutile .


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Le pamplemousse contre le syndrome métabolique

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