Les femmes et les enfants d’abord.C’est ce principe, mis en avant en cas de situation d’urgence, qui a permis à l’humanité de passer d’un à trois milliards lors de ma naissance, en près d’un millénaire. C’est toujours cette règle qui a permis de doubler ce chiffre entre la période où je l’ai appris à l’école et aujourd’hui. Cet instinct d’urgence qui prévalait chez toute peuplade afin de garantir sa survie dans ce monde souvent hostile, où le danger réside absolument partout autour de chacun, a mené l’humanité à un degré semblant préoccupant. Depuis qu’il est devenu préoccupant, il s’est inversé.
A aucun moment l’humanité n’a vraiment été en décroissance, si ce n’est lors de pandémies infernales ou de périodes de guerres intenses, et tout porte à croire que ce dernier type d’évènements est motivé par une élite dominée par des fous au pouvoir. En effet, l’élite auréolée du privilège de faire partie de la cour des puissants peut très vite se considérer comme la meilleure sélection parmi les êtres vivants et de par cette exception, être tentée de pousser le peuple du haut de sa tour d’ivoire à mordre la poussière. Lors de ces évènements tragiques, les déplacements de populations, les conditions précaires, les exodes massifs, créaient les conditions idéales d’hygiène élémentaire manquante pour que surviennent les pandémies. Et bien que celles ci perdurent en Asie ou en Afrique, ce continent qui compte presque deux fois plus d’habitants que la Chine du temps où Dutronc le chantait, les conditions se sont effacées de notre civilisation avancée. L’idée de croire que celles ci puissent encore être d’actualité derrière les murs de nos maisons feutrées, tout au long de nos rues balayées, ne peut germer que dans l’esprit dégénéré de cette élite exempte en matière de considérations humaines.
Bien sûr, les pandémies qui traversaient en une année tout un continent peuvent arriver aujourd’hui en une journée par avion, mais nous, occidentaux qui sommes gavés de médocs en tous genre devrions ne pas être un terrain favorable à l’assimilation instantanée de quantités d’infections. Nous occidentaux qui avalons quantités de résidus de médocs dans l’eau de notre robinet devrions être blindés contre quantités d’agressions pathogènes que seraient capables, en premier, de transmettre cette monnaie qui change de main dix fois dans la journée et qui garnit les poches de tout un chacun sans n’être jamais nettoyée par aucun. Et ma pomme qui écrit, qui a vu le dernier médecin il y a dix ans pour une prise de sang à domicile s’étant avérée tout à fait rassurante, je devrais tout attraper n’étant absolument pas paré d’aucun bouclier médical et n’ayant plus subi la moindre vaccination depuis ma majorité.
Les formidables fables de Jean de La Fontaine, si onctueusement brodées dans des tissus subtils, qui requièrent d’étranges mélanges de fines épices, ne sont souvent comprises que passée la semaine, même par la plus présente élite d’imbéciles. Personne n’est prêt à entrevoir que ces discours sont des miroirs, et pourtant l’auteur de ces oracles ne les destinait pas à la cour des miracles. Ces discours et ces lois, subtilement dessinées, représentent exactement les caractères humains de tout ce qu’il ne faut pas faire pour s’attirer les ennuis et tout ce qui nous attend comme contacts dans la vie. Mais ces livres de lois savamment agencés, livrés séance tenante à l’élite avancée, malgré leur clarté et les leçons données, n’ont rien pu changer dans les têtes entêtées, et toutes ces leçons finement articulées n’ont rien pu faire pour toute l’humanité. Notre élite gagnante a toujours dominé par une sélection puissamment orchestrée : les forts au boulot, les maitres au château.
Cette sélection n’a nullement été naturelle, mue par la volonté des plus vaillants hommes à entrer au contact avec la plus avenante des belles filles et où l’amour prévaut, mais bien au contraire, mue par les plus jolies filles pour grimper plus haut. Encore aujourd’hui, la condition féminine est motrice en matière de choix car c’est bien elle qui porte en elle tous les mécanisme de sa survie sauf un élément : la petite graine. Lorsqu’une famille a élevé un garçon en âge de s’unir, elle ne le retient pas difficilement dans son giron, alors qu’une fille est beaucoup plus dure à contenir. Dans le passé, c’est la protection physique qu’elle recherchait, aujourd’hui, c’est surtout la protection matérielle. Celle ci s’opère désormais par des quantités d’offres alléchantes auxquelles elles cèdent et leur avenir n’est nullement spirituel, mais matériel. Ce sont les plus belles qui apparaissent derrière l’écran de nos télés pour nous contaminer dans toutes ces publicités et ce sont les plus malins qui les entourent. Si l’on regarde bien le système téléphage, la sélection idéale est désormais en place et les organes médiatiques ressemblent tout à fait à l’arche de Noé. Il ne reste plus qu’une étape avant la solution finale d’empoisonner le restant de l’humanité difforme et bancale, elle passe par la priorité de vacciner les femmes enceintes et les enfants d’abord, quitte à les stériliser en masse par une sur dose d’adjuvant dangereux.
Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-femmes-et-les-enfants-d-abord-63435
http://www.solidariteetprogres.org/article5601.html
http://www.alterinfo.net/La-verite-ultime-sur-la-grippe-Sanofi-Accrochez-vous- !_a37067.html?com&order=2#comments
http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=23866
Geoff78 : apparemment de nombreux commentaires concernant les lois ont été supprimé et ce n'est pas moi. Étrange tous ça!!! La censure est partout...