LE TEMPLE
D’ABYDOS
OU
LE TEMPLE
DE LA
TECHNOLOGIE AVANCEE Le temple d’Abydos n’était pas prévu dans les étapes de notre voyage organisé. Il mérite qu’on s’y attarde un peu. Quand je compulse le dictionnaire et la grammaire égyptienne de Jean-François Champollion, personnellement, je ne suis effrayé par aucun hiéroglyphe.
Je me demande donc quels sont les hiéroglyphes qui ont bien pu effrayer le Maître des maîtres à ce point pour qu’il ordonne que certains rapports soient mis sous le boisseau.
Extrait d’une lettre de Jean-François Champollion lors d’une correspondance avec son frère Jacques-Joseph. ( Dictionnaire Egyptien de J-F Champollion : Avertissement de l’auteur pour la présente édition )
<<....jeté, depuis six mois au milieu des monuments de l’Egypte, je suis effrayé de ce que j’y lis plus couramment encore que je n’osais l’imaginer. J’ai des résultats ( ceci entre nous ) extrêmement embarrassants sous une foule de rapports et qu’il faudra tenir sous le boisseau... >>Partie supérieure d’une salle du temple d’Abydos L’observation de la photo haute définition de la partie supérieure d’une salle du temple d’Abydos que Monsieur Nicolas Robert m’a autorisé à reproduire permet d’avancer deux choses :
Ceux qui ont gravé ces hiéroglyphes ont apporté un soin particulier à la finesse des détails. On voit parfaitement les antennes et les pattes de l’abeille qui se trouve en haut, à gauche.
Les égyptologues qui ont fait cette découverte ont peint certains hiéroglyphes en noir pour attirer notre attention sur les hiéroglyphes de la partie supérieure.
En égyptologie, ce que l’on voit dans la partie du tableau hiéroglyphique encadré en bleu ci-dessous s’appelle un palimpseste. Il concerne également le cartouche royal placé avant et que l’on ne voit pas sur la photo originale.
Un palimpseste serait le résultat de la combinaison de deux écritures hiéroglyphiques. La version officielle est celle-ci :
A l’origine, dans le monument bâti sous Séthi 1er, on y aurait vu le nom gravé de ce personnage. Son fils Ramsès II, voulant se réapproprier le monument aurait fait replâtrer diverses parties des salles de ce monument et aurait fait remplacer le nom de Séthi par le sien. Avec le temps, le plâtre se serait décollé faisant apparaître le résultat que tout le monde voit.Dans cette guerre de la vérité contre le mensonge par libre-arbitre humains interposés, cela ressemble plus, une fois de plus, à une destruction intentionnelle de preuves.
La perfection des figures représentant l’hélicoptère et le vaisseau-mère spatial ainsi que la présence d’un petit hiéroglyphe qui ne paie pas de mine permettent effectivement de douter qu’il s’agisse d’un palimpseste.
Parce que ce hiéroglyphe se trouve sous le vaisseau-mère spatial, parce qu’il est seul et parce qu’il n’a pas été altéré, il balaie d’un revers de la main, à lui seul, le palimpseste.
Il y a un fossé énorme entre les connaissances transmises à la postérité par les livres du maître des maîtres en égyptologie et celles que l’on trouve dans les ouvrages traitant des hiéroglyphes à notre époque.
Si nous considérons ce fameux hiéroglyphe qui se trouve sous le vaisseau-mère et que nous en cherchons la signification dans un ouvrage moderne, nous trouvons ceci :
Référence du signe : I6
Signe : ( le hiéroglyphe en question )
Identification : écaille de crocodile
Valeur phonétique : km
Si nous considérons maintenant le dictionnaire de Jean-François Champollion, qui est le résultat de ses observations visuelles en Egypte et des nombreux rapports qu’on lui a soumis, voici les informations qu’il transmet à propos de ce hiéroglyphe :
On constate donc que la forme générale de ce hiéroglyphe peut avoir deux significations:
Dans le premier cas, il représente la queue du crocodile. Les traits constituant la partie gauche du hiéroglyphe sont parallèles.
Dans le second cas, il représente l’extrémité d’une queue de crocodile. Les traits constituant la partie gauche du hiéroglyphe ne sont plus parallèles et ils sont également répartis sur le dessus du hiéroglyphe.
Puisqu’il est question de palimpseste, on devrait donc pouvoir identifier, dans le prétendu charabia hiéroglyphique qui se trouve sous ce fameux hiéroglyphe, la forme générale de certains hiéroglyphes utilisés dans les configurations données par Jean-François Champollion dans son dictionnaire.
Or, il n’en est rien.
Maintenant, si nous nous attardons sur les paroles de Clément d’Alexandrie que Jean-françois Champollion transmet à la postérité par le biais de son Précis hiéroglyphique des Anciens égyptiens, nous voyons qu’il mentionne les termes d’objets au propre par imitation.
<<...L’hiéroglyphique SYMBOLIQUE [ se subdivise en plusieurs espèces ] : L’une représente les objets au propre par imitation; l’autre les exprime tropiquement; la troisième, au contraire, les rappelle au moyen de certaines allégories énigmatiques.
Ainsi, d’après la méthode de représenter les objets au propre, les Égyptiens veulent-ils écrire le soleil, ils font un cercle; la lune, ils tracent la figure d’un croissant...>>L’emblème des TENEBRES
Il est bien évident qu’en voyant ces hiéroglyphes particuliers et surtout parce qu’il était le seul à les comprendre, il était normal que Jean-François Champollion dise dans la lettre qu’il adresse à son frère Jacques-Joseph :
<<...je suis effrayé de ce que j’y lis plus couramment encore que je n’osais l’imaginer...>>, comme ce fut le cas en 39 / 45, pendant la dernière guerre mondiale, où la simple vue du drapeau nazi engendrait chez les gens une certaine frayeur.
Car, EMBLEMATIQUEMENT parlant, il n’est pas nécessaire de connaître les hiéroglyphes pour comprendre la partie corrigée des tableaux analogues suivants :
Puissance militaire des forces des Ténèbres
( à une certaine époque de l’histoire )Puissance militaire des forces des Ténèbres
( à l’époque de l’Allemagne nazie )
A notre époque, l’emblème représenté par la croix gammée fixerait le pays qui est l’Allemagne et justifierait donc les hiéroglyphes : les terres, les contrées, les pays.
On notera également que ce hiéroglyphe particulier est utilisé avec d’autres pour former le mot Egypte.
Il est intéressant de noter ce que dit Jean-François Champollion à la page 361 de son précis du système hiéroglyphique des Anciens Egyptiens :
On pourrait pousser l’observation plus loin en faisant remarquer que dans les formes aérodynamiques des objets au propre par imitation que sont l’hélicoptère et le vaisseau-mère spatial, aucun hiéroglyphe appartenant au dictionnaire de Jean-françois Champollion n’est réellement identifiable à part deux hiéroglyphes qui semblent liés à ces engins.
Pour l’hélicoptère, les seuls hiéroglyphes qui peuvent s’apparenter à celui que l’on voit dans la partie encadrée en bleu sont l’avant-bras et le poing fermé
Les deux hiéroglyphes sont étroitement liés à la mesure de longueur ou d’étendue. Donc au calcul, aux mathématiques, aux distances
Quant au vaisseau-mère spatial, le seul hiéroglyphe qui peut s’apparenter à celui que l’on voit dans la partie encadrée en bleu est un caractère phonétique qui représente des gouttes de quelque liquide ou un objet inconnu.
A notre époque, sans kérosène, un avion ou un hélicoptère ne peut pas voler.
<<... J’ai des résultats ( ceci entre nous ) extrêmement embarrassants sous une foule de rapports et qu’il faudra tenir sous le boisseau...>> nous dit Jean-François Champollion.
Le 16 novembre 2005, le journal arabe Al-Sharq Al-Awsat publiait plusieurs photos d’un bas relief prises dans le temple d’Amon Râ à KarnaK.
D’après les observateurs, elles mettaient en évidence un hélicoptère de combat à rotor de queue et plusieurs autres aéronefs dont la forme ressemblait à des avions de combat supersonique, d’autres, à des bombardiers stratégiques lourds.
Les hiéroglyphes des temples d’Abydos et de Karnak montre concrètement que notre savoir actuel n’est que les bribes d’un Savoir Ancestral perdu.
On peut penser que cette haute personnalité que fut le Comte Joseph de Maistre, auteur d’un livre intitulé Les soirées de Saint-Pétersbourg et cité plusieurs fois dans le livre de l’abbé Henri Boudet, curé de Rennes les bains a pesé ses mots avant d’écrire ceci :
<<...Les savants européens sont dans ce moment des espèces de conjurés ou d’initiés ou comme il vous plaira de les appeler, qui ont fait de la science une sorte de monopole et qui ne veulent absolument pas que l’on sache plus ou autrement qu’eux.
Mais cette science sera incessamment honnie par une postérité illuminée, qui accusera justement les adeptes d’aujourd’hui de n’avoir pas su tirer les vérités que Dieu leur avait livrées, les conséquences les plus précieuses pour l’homme. Alors, toute la science changera de face : l’Esprit, longtemps détrôné et oublié, reprendra sa place...>>
source: http://www.histoiresecretedestempliers.com/pages/origine-et-aboutissement-1/le-temple-d-abydos-ou-le-temple-de-la-technologie-avancee.html