bonsoir a tous ,
je suis de l'avis des consommateur ,
la légalisation ne se ferra jamais tant que le canna fera des morts , le jour ou la balance se retournera le canna verra certainement le jour de sa légalisation en france pour plusieurs raison =>
les contre raison =>la première la police te les dealers =>
c'est la course folle depuis Sarkozy , mais les forces de l'ordre tiennent le coup et continu alors que la puissance des consommateur et bien plus supérieur que leur effectif !
les effectif consommateur ne se voit que réduire pas longtemps , un de chopé , dix qui débarque ...
la deuxième => pour le moment , les décès lié a cette drogue sont en constante augmentation , merci au fetard de pas se prendre en main ...( quand il se font attrapé )
la troisième => la loi ( lien wikipédia a la suite du post )
les raison de la légalisation reconnu par tous ouverture d'entreprise ( généticien , vendeur , serveur barmaid ( si bar accompagné ) voir même anticipé autrement un resto aux saveur canna-biques )
économie sous terraine détruite sur le cannabis ( plus besoin de flics pour cherchez cette drogue , par contre le combat des autres drogues s'emplifira )
un fort bénéfice pour nos états et leur poche ( une vie certainement plus posé niveau argent en ce moment la France na pas d'argent pour nous .... mais pour les autres oui ... )
une sécurité médicales contrôler ( de la bonne verte et vendu pas de la couper a tout ce que vous voulez )
une violence moins élevé mais plus accrue ( donc plus hard pour le pays mais beaucoup plus contrôlable par nos forces de l'ordre )
et certainement beaucoup de positif dans les esprits !
bon après un petit résumé de ma pensée =>
Le jour ou le cannabis sera légalisé 1 mois je dit bien un mois après nous en verront les effet positif ou négatif , de nos jour tout le monde se braque contre l'idée de la légalisation , et si demain on interdisait l'alcool cela ne plairait pas pourquoi ... les marchés bien sur , et surtout tant que nous auront un président contre ca rien avancera et pourtant tout le monde le sait l'argent du pays ira mieux et le mentale aussi !
on nous donne tout de nos jours pour nous tuer : l'alcool , la cigarette , la pollution , la violence pas maitrisé ( qu'il soit disant les en tout cas les flics se font toujours caillasser donc .... ca avance dans les esprit c'est tout )
après je pense franchement que la légalisation de cette chose peut-être prit aussi comme l'alcool avec les pub du genre :
boire ou conduire faut choisir !
alors pourquoi pas
boire , fumer ou conduire a vous de choisir
( pour la simple et bonne raison que la cigarette et déjà interdit .
En voiture )
sisi je me suis prit 22 euros aujourd'hui lol pour une clope allumé au volant .... )
après les mort n'aide pas a la situation laisser faire le temps , lui même démontra si c'est bien ou mal !
mais si faut voter je vote OUI
petite extrait de la loi
En France, la loi interdit « toute présentation sous un jour favorable » des substances stupéfiantes. Du fait de cette loi, les associations cherchant à promouvoir la dépénalisation (comme le Collectif d'information et de recherche cannabique) se placent souvent hors-la-loi et risquent donc de fortes amendes pour incitation à l'usage de stupéfiants. De plus, un organisme public, la MILDT (Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) informe très largement (site Internet, brochures, etc.) sur les drogues dures, plaçant le cannabis au milieu d'entre-elles, le comparant à des drogues telles que la cocaïne ou encore le LSD.
La réduction des risques est reconnue par la loi française depuis 2004.
La loi permet la circulation des chènevis (graines de cannabis) ainsi que leur commerce entre les États membres de la zone européenne de libre-échange (Union européenne + Norvège, Suisse et Islande).
Les particuliers peuvent utiliser les chènevis légaux (possédant un certificat de conformité) pour un usage strictement personnel ; leur production, leur utilisation et leur culture à usage commercial ou pour toute activité professionnelle sont soumises à autorisation. Ces variétés sont en fait du chanvre non-psychotrope. Les particuliers sont tenus de conserver les certificats de conformité fournis à la vente du chènevis ou, à défaut, l'emballage qui en mentionne les références, ceci afin de prouver que la variété détenue ou semée est bien autorisée[12]. Ces variétés de cannabis, figurant sur la liste émise par l'Union européenne, doivent faire l'objet d'un décret qui stipule leur autorisation. Voici la liste des variétés de cannabis autorisées en France :
* Beniko (monoïque)
* Bialobrzeskie (monoïque)
* Cannakomp (dioïque)
* Carmagola (dioïque)
* Chamaeleon (dioïque)
* Cs (dioïque)
* Delta Llosa (monoïque)
* Delta 405 (monoïque)
* Dioica 88 (dioïque)
* Epsilon 68 (monoïque)
* Fasamo (monoïque)
* Fedora 17 (monoïque)
* Félina 32 (monoïque)
* Félina 34 (monoïque)
* Férimon (monoïque)
* Fibranova (dioïque)
* Fibriko TC (dioïque)
* Fibrimon 24 (monoïque)
* Finola (dioïque)
* Futura 75 (monoïque)
* Juso 14 (monoïque)
* Kompolti hibrid TC (dioïque)
* Kompolti (dioïque)
* Lipko (dioïque)
* Red Petiole
* Santhica 23 (monoïque)
* Santhica 27 (monoïque)
* Silesia (uniquement autorisée en Pologne)
* Tiborszallasi (dioïque)
* UNIKO-B (dioïque)
* Uso 31 (monoïque)
Toute importation en provenance d'un pays non-membre de la zone européenne de libre-échange ne peut être effectuée que par un importateur agréé par l'Union Européenne.
La spécificité de la loi française conduit à un discours officiel qui peut paraître assez déroutant pour la plupart des autres ressortissants européens.
Outre le débat, la loi française interdit la production, la détention, la vente, l'achat et l’usage de stupéfiants, avec des sanctions plus ou moins sévères selon l'acte.
Le trafic, c'est-à-dire la détention, le transport, l'offre, la cession ou l'acquisition de stupéfiant, est puni d'une peine de prison d'une durée maximale de dix ans ou d'une amende pouvant atteindre 7 500 000 euros (Art. 222-37 du Code pénal).
Le simple usage n'est normalement puni que d'une peine maximale d'un an d’emprisonnement ou d'une amende pouvant aller jusqu'à 3 750 euros euros (Art. 3421-1 du Code de la santé publique). Cependant, il est à noter que le simple consommateur peut être assimilé à un trafiquant, et donc se trouver passible des mêmes peines. En effet, consommer du cannabis implique nécessairement d'en détenir, et donc d'en acheter ou bien d'en produire, ce qui laisse toute liberté au juge d'incriminer l'usager sur le fondement du Code de la santé publique (usage) ou du Code pénal (détention/trafic/production). Concrètement, la décision du juge dépendra principalement des quantités saisies, des antécédents de l'accusé, etc.
Quant à la production, même pour usage personnel, celle-ci est passible d'une peine maximale de vingt ans de réclusion criminelle ou d'une amende pouvant aller jusqu'à 7 500 000 euros (Art. 222-35 du Code pénal).
Dans la pratique, les condamnations prononcées sont rarement aussi sévères et les poursuites rarement aussi systématiques que le voudrait la loi. Son application approximative, dépendant tant des individus (juges et prévenus) que des localisations géographiques (tolérance plus grande en ville), pose régulièrement le problème de la révision de cette loi.
C'est également cette même loi qui garantit l'anonymat et la gratuité des soins pour les usagers désireux de se soigner.
Depuis le 23 janvier 2003, la loi Marilou, préparée par le ministre Dominique Perben (UMP) et présentée suite au décès d'une petite fille de neuf ans tuée dans un accident mettant en cause un conducteur qui avait consommé du cannabis, prévoit:
* des contrôles aléatoires ou sur la base de soupçons ;
* un test obligatoire en cas d'accident corporel/mortel ;
* 2 ans de prison et 4 500 € d'amende ;
* 3 ans et 9 000 € en cas de cumul avec l'alcool.
Depuis la loi de 2007 sur la récidive (dite « loi Dati »), des peines planchers sont applicables aux récidivistes. En pratique, l'achat de 2 grammes de cannabis pour sa consommation personnelle par une personne considérée par la loi comme récidiviste conduit ainsi à une peine plancher de quatre ans d'emprisonnement ferme [13].
Le 9 octobre 2009, Daniel Vaillant, ancien ministre de l'Intérieur, se prononce dans un entretien accordé au Parisien en faveur de la légalisation de la consommation de cannabis. Des propos « inacceptables », selon l'UMP[14].