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Sujet: Dan Brown & Rennes Le Chateau Sam 5 Jan 2013 - 4:12
"Le code Da Vinci, enquête sur les énigmes d'un best seller" Enquête sur les véritables mystères d'un best- seller.
Synopsis : Contre-Enquête diffusée sur France 5 qui s'attache à comprendre les origines du livre "Da Vinci Code" et ses véritables mystères. Tout commence à Rennes le château chez un certain abbé Saunière...
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Akhenuræus
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Sujet: Re: Dan Brown & Rennes Le Chateau Sam 5 Jan 2013 - 23:52
Etrange coincidence...
Les dates sont similaires à l'abbé Saunière... Le style des constructions étranges financées miraculeusement vite, trés proche, malgré la grande distance géographique et les différences des environnements dans lesquels ces constructions s'intègrent... L'étrange aspect d'initiation qui plane autour des détails de ces constructions... Et encore une lutte entre un curé et un culte local ( païen ) qu'il "devait" combattre, pour régner sur les idées spirituelles locales...
Beaucoup de similitudes étranges entre ces 2 cas...
L'abbé Hillairet curé de La Rabatelière de 1873 à 1908...
Nous sommes 40 ans après le Génocide Vendéen, qui a terminé les mouvements de violences de la Révolution Francaise...
Imaginez des tours, des escaliers, des chapelles faits de pierres et de briques...
L'abbé Elie Hillairet fut curé du village de La Rabatelière Du 14 mars 1873 au 5 mai 1908 date de son retour dans le Coeur du Père Eternel. Sa dévotion pour la Vierge Marie dans le cadre plus particulier des faits qui se sont déroulés dans les alpages de l'Isère le transforma littéralement en prêtre-architecte-maçon. En l'honneur de la « Belle Dame », il érigea à flanc de coteau trois monuments.
Spoiler:
Au centre du sanctuaire, trois groupes de statues sur trois plans étagés et progressifs illustrent les apparitions. Elles sont en fonte peinte, grandeur nature : La Vierge en pleurs, le dialogue des enfants avec la Vierge, et l'élévation de la Vierge devant les enfants. Le groupe de statues fut béni le 23 octobre 1889.
L'année qui suit, quinze oratoires sont édifiés, rappelant les mystères médités du rosaire sur des plaques de marbre. A prier en montant les escaliers jusqu'à la tour portant une croix rayonnante.
Face à ces deux parties, une troisième vient s'adjoindre. A quelques mètres sur un plateau rocheux, la « tour de la croix de Jérusalem ». Sous la tour, une crypte abritant un tombeau, celui du Christ. En effet, deux anges veillent sur le corps du Christ enveloppé d'un linceul. Le monde est en suspens, Dieu est mort et la Vie n'a pas encore jailli des ténèbres. L'Univers retient son souffle...
La tour abrite une croix façonnée dans un arbre du parc d'un château, celui de Mr de la Poëze. La croix fut envoyée à Jérusalem en 1893, parcourut sur le dos des pèlerins la Via Dolorosa, et reposa au lieu du calvaire. A la gare de l'Herbergement (Vendée), elle fut accueillie par une procession qui la ramena à La Rabatelière sur le dos des hommes de la paroisse. 13 km pieds nus, la langue et le coeur chantants. Que serions nous prêts à faire aujourd'hui, ailleurs que dans nos rêves ? Aurions-nous une once de ce courage et pas deux sous d'amour propre, pour marcher sur des routes déchristianisées ? Ce n'est pas seulement une culture qui est menacée, c'est une religion. Pas seulement une religion, un héritage sacré. « Observe et souviens-toi », dit-on les soirs de Shabbat chez nos frères juifs. Se souvenir, c'est déjà commencer à observer les commandements ! Avant de suivre vainement des modes halloweenesques, il y aurait tant à raviver de ce que nos ancêtres nous ont donné.
De la route en contrebas à cette tour, un chemin de croix serpente ses quatorze stations.
Le message de La Salette est particulièrement pénible à entendre : Si le peuple de Dieu ne se soumet pas à la volonté divine, les cultures seront gâtées, la famine décimera... Il y a aussi la sévérité pour les conducteurs de l'Eglise amoureux des richesses et du pouvoir, les désastres apocalyptiques, la montée de la Bête et ses prodiges, la victoire finale par le souffle de St Michel l'archange, etc...
Texte du secret
Jean-Marie Vianney curé d'Ars-sur-Formans (Ain) reçut dans son église Maximin, l'enfant voyant. Après une entrevue avec l'enfant fantasque, le doute s'inséra profondément dans l'âme du prêtre. Son coeur penchait pour la reconnaissance de l'apparition alors que le manque de constance de M. Giraud battait en brèche son discernement spirituel. Durant quelques années, le thaumaturge resta avec ce doute jusqu'à ce qu'il conseilla vivement la piété à Notre-Dame de La Salette.
( Site de Notre Dame de La Salette - en Isère. ) Il déclara qu'il avait prié, et qu'il avait été éclairé.
L'église catholique resta divisée sur la véracité de ces manifestations jusqu'à l'authentification par les autorités. Des guérisons miraculeuses, la culture nécessaire à la rédaction du secret et le manque d'instruction des enfants, le déroulement d'évènements prédits fit de La Salette un grand centre de pèlerinages.
( SOURCE )
Vous voulez en savoir plus : ICI , ICI , ICI , ICI
Magnifique cliché oû on distingue très nettement le sentier initiatique... ( on ne se rend pas compte, mais le monter essoufle vite ! )
Hommage à la croyance vaincue ? ( Croyance païenne, abattue, confiant le sort des hommes à Marie, malgré elle..? )
<< Marie de la Salette ( Site d' Isère : Message et « secrets » révélés par Notre-Dame de La Salette : ) >>
Du mystère, du mystère, du mystère et toujours plus de mystère ! !
Dernière édition par Akhenuræus le Dim 6 Jan 2013 - 2:41, édité 1 fois
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Akhenuræus
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Sujet: Re: Dan Brown & Rennes Le Chateau Dim 6 Jan 2013 - 2:13
Pour les amateurs de légendes...
Citation :
La statue de la Vierge domine l’ensemble. Le Rosaire, lui, est aménagé le long d’une rampe gazonnée bordée par quinze stèles, rappelant les mystères du Rosaire, ponctuées de tourelles. Au sommet de la montée, est érigée une construction de plan carré précédée de tourelles de tailles croissantes, à l’intérieur se trouve un reposoir avec une Piéta en fonte peinte. Le monument à la Croix de Jérusalem couronne avec pompe l’ensemble architectural, à quelques dizaines de mètres du reposoir. Il s ‘agit d’un donjon carré et crénelé, à l’intérieur duquel un monument à la Croix est érigé. Au pied d’une très haute croix de chêne, deux statues représentant la Foi sous les traits d’une jeune femme tenant un ciboire, tendant la main à la Vendée représentée par une jeune femme la tête ceinte d’une couronne de palmes et tenant sur son cœur un chapelet ; à leurs pieds, les débris d’armes des combats des guerres de Vendée. Source
Tout au long du "parcours initiatique", on peut distinguer des indices à sens multiples... Enigme ? Mystère ?
Légendes vendéennes - ICI - INFOS SUR LE SITE - Dossier photos
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Akhenuræus
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Sujet: Re: Dan Brown & Rennes Le Chateau Dim 30 Juin 2013 - 4:26
Les Folies de l'abbé Hillairet a écrit:
[...] Rien ne prédisposait le territoire de la Rabatelière à voir surgir sur son sol un ensemble monumental comme celui de La Salette. Cette petite paroisse du Bocage, dont les reliefs sont traversés par les méandres de la Petite Maine, doit son existence à la fondation tardive - en 1626 - d'une église de taille modeste par le seigneur du lieu, qui souhaitait disposer d'un lieu de culte à proximité de son manoir, trop éloigné du bourg de Chauché, siège de la paroisse tutélaire. C'est en quelque sorte une enclave créée de toutes pièces dans l'organisation territoriale du diocèse qui se trouve maintenue après la Révolution. Et c'est à la fin du XIXe siècle que devait s'élever l'ensemble de constructions voué au culte de la Vierge qui se dresse encore aujourd'hui aux confins du parc du château de La Rabatelière.
En 1873, la paroisse reçoit un nouveau curé, l'abbé Hilairet, âgé de 33 ans. Il devait passer le reste de sa vie à la Rabatelière. Peu de temps après son installation, en visitant son nouveau territoire il tombe en arrêt devant un magnifique chêne pluriséculaire ; impressionné par la beauté et la puissance de l'arbre, il décide de fonder là une chapelle à la Sainte Famille qu'il fait édifier par Victor Clair, architecte départemental de la Vendée depuis 1855, très proche des milieux ultra-catholiques, qui accueille avec sympathie le projet de l'abbé Hilairet. Pour construire cette chapelle, il a l'idée plutôt poétique d'utiliser le monument naturel pour l'intégrer au monument religieux, dont l'abside est constituée par l'arbre évidé. Victor Clair et l'abbé Hilairet renouent ainsi, sans le savoir, avec la tradition ancestrale des cultes druidiques. Le petit sanctuaire, ainsi mêlé pour le meilleur et pour le pire (le chêne fut gravement endommagé par la tempête en 1972) à son protecteur tellurique, est béni par Mgr Collet, évêque de Luçon, le 11 octobre 1874, au milieu d'une foule de pèlerins venus des environs.
Les années passent. L'abbé Hilairet poursuit son ministère avec une ferveur grandissante, veillant jalousement sur le salut des âmes de ses ouailles et défendant farouchement son indépendance. Il organise les pèlerinages de ses paroissiens en conduisant lui-même sa troupe, à Bourgenay, près des Sables-d'Olonne, à Sainte-Anne-d'Auray, mais aussi beaucoup plus loin, à La Salette dans le Dauphiné, où s'est produit en 1846 l'un de ces phénomènes de dévotion désignés sous le terme "d'apparitions" dont l'histoire religieuse du XIXe siècle est parsemée. Sans doute impressionné et ému par la beauté grandiose du site alpin, l'abbé Hilairet décide de construire à La Rabatelière son propre site de La Salette afin de maintenir la dévotion de ses paroissiens sans qu'il soit nécessaire de faire un tel voyage. Sa paroisse sera désormais un lieu de pèlerinage. Sur le coteau dominant le ruisseau des Passe-Lignes, appartenant au comte de la Poëze, châtelain de la Rabatelière, il élève en 1887 un monument à Notre Dame de La Salette, où il reproduit les épisodes de l'apparition de la Vierge Marie, habillée en costume dauphinois, à deux enfants, par une sorte de scénographie utilisant des statues de fonte peinte. Au-dessous, à la base du tertre, coule une source alimentant une fontaine bien sûr miraculeuse. En haut du coteau, de l'autre côté du chemin qui monte vers le sommet du plateau, se dresse un monument composé de trois stèles, orné de mosaïque et au faîte duquel se dresse une statue de la Vierge. Cette scénographie s'accompagne d'un parcours pérégrin et pénitentiel, avec deux escaliers nettement séparés organisant la procession vers le sommet de la colline, hommes et femmes chacun de leur côté ; ils ont une volée montante rude, aux marches abruptes, et une volée descendante douce, aux marches basses, conduisant le pèlerin récompensé à la terrasse surplombant la fontaine miraculeuse. Ce parcours processionnel est entouré d'un jardin de fleurs et de buis, agrémenté par la suite de plantes exotiques telles que yuccas et palmiers, traversé par un ensemble d'allées en zigzag. Au sommet de la composition, une chaire de prédication domine l'ensemble.
Ce sanctuaire est de plus enclos d'une muraille garnie de petites tours couronnées par un faux mâchicoulis de briques ; l'arche qui enjambe le chemin montant vers le plateau est elle-même couronnée d'un crénelage. Le 15 juillet 1888, le monument est béni en grande pompe par l'abbé de Suyrot, vicaire apostolique et chanoine honoraire de Luçon; toute la population de la paroisse est rassemblée, étonnée, émerveillée. Bien peu de ces villageois connaissent le site dauphinois, et peut-être même certains ne savent-ils même pas où se trouve le Dauphiné. Leur géographie se limite à la Vendée, dont ils ne sauraient tracer les frontières avec certitude. Donc, pour eux, le sanctuaire de La Salette n'est et ne sera jamais que celui de la Rabatelière.
Mais l'abbé Hilairet ne s'en tient pas là. Emporté par son enthousiasme et sans doute exalté par la reconnaissance officielle que lui confère cette bénédiction solennelle, il décide l'édification d'autres monuments qui compléteront et enrichiront la dévotion de ses paroissiens. Dès l'année suivante, il fait ériger le monument au Rosaire, inauguré le dimanche 23 octobre 1889 par l'abbé Gelot, archiprêtre de la Roche-sur-Yon, devant une foule de 15 000 fidèles. Sur le côté gauche de la Salette est aménagée une rampe gazonnée bordée de seize stèles sur lesquelles sont fixées des tables de marbre blanc portant chacune une sentence de dévotion et ponctuées de tourelles. Au sommet de la montée est érigée une construction de plan carré précédée de tourelles de taille croissante, avec autant de terrasses. Au niveau inférieur de cette construction se trouve un reposoir avec une Piéta en fonte peinte. On accède à la plate-forme supérieure par un escalier situé à l'intérieur de la tour carrée. Enfin, dans un troisième temps, l'abbé Hilairet fait construire à côté des deux premiers monuments le sanctuaire à la croix de Jérusalem, à la suite d'un pèlerinage en Terre sainte en 1893. Les pèlerins avaient emporté avec eux une croix d'environ 7 mètres de haut et d'un poids de 500 kg, taillée dans un chêne donné par le comte de la Poëze, maire de la Rabatelière, qu'il avait prélevé parmi les plus beaux arbres du parc de son château. Après avoir parcouru la Via dolorosa à Jérusalem, portée par les pèlerins, rapportée en France, elle fut portée en procession depuis la gare, par les hommes de la paroisse, jusqu'au sommet de la colline de la Salette. La croix fut installée, le 28 septembre 1893, dans un monument en forme de donjon reposant sur une grotte figurant le Saint Sépulcre. Au pied de la croix se dressent deux statues représentant la Religion et la Vendée martyre qui se donnent la main, exécutées par la maison Pierre Vermare de Lyon. Plus tard, un Chemin de croix, fait de croix de bois très simples, vint s'ajouter le long de la colline. Ainsi complété, ce qui n'était au départ qu'une scénographie assez banale destinée à l'encouragement à la piété est devenu un ensemble monumental occupant tout le coteau, une sorte de complexe architectural organisé comme un parcours initiatique partant d'en bas, avec la commémoration d'un événement miraculeux, pour parvenir, en haut, à la contemplation des signes les plus élevés de la foi catholique : sur le "donjon" est apposée, en lettres de métal, l'inscription O CRUX AVE. Ces édifices, construits en moellons de schiste et en briques, parfois revêtus de céramique, présentent une homogénéité certaine dans leur facture ; les lignes architecturales sont nettes, la mise en œuvre est plutôt soignée, même si elle n'est pas exempte de points faibles, notamment dans l'étanchéité. Peut-on parler de style à propos de ces monuments ? On a rapproché la tour du Rosaire de la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi. Le rapport est vague ; peut-être y a-t-il quelques réminiscences, mais elles ne sont pas attestées par des documents. Le "donjon", par contre, est visiblement inspiré des maîtresses tours des châteaux forts de l'Ouest de la France. Mais si l'image proposée à travers ce "donjon" est évidemment celle de la forteresse de la Foi abritant la Croix, le message perçu à travers la tour du Rosaire est moins clair.
Qui est l'auteur de cette étrange invention ? Qui en a dessiné les plans, les élévations ? On les attribue à l'abbé Hilairet. Il existe certes quelques dessins naïvement tracés sur du papier quadrillé d'écolier. Le saint homme aurait-il conçu, dessiné, dirigé la construction de lui-même, sans l'assistance d'un homme de l'art ? La légende dorée de la Rabatelière s'accommoderait fort bien de cette explication. Guidé par l'Esprit-Saint, mu par sa dévotion à la Vierge Marie, Hilairet aurait fait œuvre de création inspirée comme le fut le Temple de Jérusalem. Mais on sait tout de même que l'abbé Hilairet n'est pas le seul qui ait été pris par le démon de la construction. L'origine de la création du sanctuaire de la Rabatelière est en fait liée à l'émulation amicale entretenue entre l'abbé Hilairet et son confrère le curé du Girouard, petite commune de la région de La Mothe-Achard.
Quelle est donc la personnalité de ce prêtre singulier, dont la foi ne déplace peut-être pas les montagnes du Dauphiné mais qui voue une colline entière à la Vierge Marie à la fin du XIXe siècle ? L'abbé Hilairet est-il représentatif de ce clergé vendéen qui fait de ce pays un bastion de la pratique religieuse, ou n'est-il qu'une figure marginale, un être isolé pratiquant un apostolat atypique ? [...]
Extrait de "Les Folies de l'abbé Hillairet", 303, Recherches et Créations, n°89, 2005. : http://montaiguvendee.fr/cms/uploads/pdf/39%20communes/Rabateliere/Rabateliere%20Salette-303.pdf
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Akhenuræus
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Sujet: Re: Dan Brown & Rennes Le Chateau Dim 30 Juin 2013 - 4:32
Concernant "Rennes-le-Chateau" ...:
Jimmy Guieu - "Les Portes du Futur" - Rennes Le Chateau 1 : http://www.planete-revelations.com/t83-les-portes-du-futur-rennes-le-chateau-1-jimmy-guieu
&
Jimmy Guieu - "Les Portes du Futur" - Rennes Le Chateau 2 : http://www.planete-revelations.com/t1753-les-portes-du-futur-rennes-le-chateau-2-jimmy-guieu
Théories et secrets sur Marie-Madeleine
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a2zeiss Administrateur
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Sujet: Re: Dan Brown & Rennes Le Chateau Dim 3 Nov 2013 - 4:54