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 Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre

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akasha

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Féminin Taureau Buffle
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MessageSujet: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMar 4 Fév 2014 - 4:08

Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre

Trop anciens, trop récents, trop risqués ou encore trop méconnus... la revue médicale indépendante Prescrire dresse une liste noire des médicaments commercialisés alors que leur balance bénéfices-risques est défavorable.

De 2010 à 2013, l'analyse des dossiers par Prescrire recense 68 médicaments plus dangereux qu'utiles commercialisés en France.

Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  93504093

ls sont une soixantaine et ils sont jugés plus dangereux qu'utiles. Dans son dernier bilan des "médicaments à écarter pour mieux soigner", la revue prescrire publie une nouvelle liste de médicaments à éviter en raison de leurs risques (une précédente liste avait déjà été publiée en février 2012). Leur énumération dans la liste signifie pour les auteurs qu'ils doivent "être écartés "dans l'intérêt des patients". Il a fallu trois ans aux auteurs (entre 2010 et 2013) pour dresser cette nouvelle liste.

"Tous les médicaments ne se valent pas. Dans certaines situations, des médicaments sont utiles : ils apportent un avantage thérapeutique par rapport à d'autres options. D'autres médicaments sont plus nocifs qu'utiles et sont à écarter des soins, en attendant leur retrait du marché", explique la revue. Ceux cités dans la liste ont ainsi une "balance bénéfices-risques défavorable dans toutes les situations cliniques pour lesquelles ils sont autorisés".

Attention aux graves effets indésirables

Cancérologie, cardiologie, dermatologie, pneumologie, neurologie… aucun domaine n'est épargné. Les auteurs citent par exemple le Protelos du laboratoire Servier, utilisé dans le traitement de l'ostéoporose à risque élevé de fractures, mais qui peut entraîner de graves troubles neurologiques et cardiovasculaires graves pouvant aller jusqu'au décès. L'Agence européenne du médicament (EMA) vient d'ailleurs recommender sa suspensionde  il y a quelques semaines.

Les auteurs citent également la quinine (Hexaquine, Okimus), utilisée pour traiter les crampes. L'efficacité de ce médicament est jugée faible, alors qu'il expose à des effets indésirables graves voire mortels comme des réactions anaphylactiques (réactions allergiques graves) ou des troubles hématologiques. Ils déconseillent également la prescription du dompéridone (Motilium) pour les reflux gastro-oesophagiens, soulignant que d'autres médicaments - nettement moins dangereux - existent.

Pas de récompenses cette année

De même, l'Izilox (moxifloxacine), un antibiotique, n'est "pas plus efficace que d'autres" alors qu'il expose à des syndromes de Lyell (une atteinte brutale et grave de la peau, potentiellement mortelle) et à des hépatites graves. En pneumologie, les décongestionnants vasoconstricteurs par voies orale et nasale sont une nouvelle foi pointés du doigt (l’éphédrine, la naphazoline) car ils "exposent à des troubles cardiovasculaires graves voire mortels disproportionnés pour des médicaments destinés à soulager des troubles bénins."

"Même dans les situations graves, une impasse thérapeutique ne justifie pas d’exposer les patients à des risques graves, quand l’efficacité clinique n’est pas démontrée", conclut les auteurs. En parallèle, ces derniers établissent au même moment un palmarès inverse, celui de la "Pilule d'Or", qui récompense le médicament de l'année. Mais pour la sixième année consécutive la revue à renoncer à le décerner : l'année 2013 serait une année de plus sans progrès important apporté par de nouveaux médicaments.


Source; Metro/.

Et un petit supplément pour vous Wink ; Les 100 médicaments essenciels pdf
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Akhenuræus

Akhenuræus

Masculin Capricorne Singe
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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMar 4 Fév 2014 - 22:04

Aujourd'hui, c'était la Journée Mondiale contre le Cancer...


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klaustrydium

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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 5 Fév 2014 - 0:10



C'est aujourd'hui le 4 février que se déroule la Journée mondiale de lutte contre le cancer. La maladie fait l'objet de toutes les attentions notamment en matière de dépistage. Au risque parfois d'entraîner des traitements excessifs altérant souvent de manière irréversible la qualité de vie.

A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !

Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer »  était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé  a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont  subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait  également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas)  . Beau doublé !

Vive la médecine toute puissante  qui ouvre des marchés juteux pour des quantités de professions diverses. Quant aux Politiques, la peur du cancer en pleine épidémie détourne l'attention et leur permet de  faire et décider ce qu'ils veulent. La peur, moteur des politiques théorisée comme telle depuis Machiavel (et utilisée bien avant) !

Ainsi pendant qu'on « vend » aux Français le plan cancer censé protéger le bon peuple de ce fléau, les gouvernements successifs  démantèlent progressivement la sécurité sociale de 1945 et remettent les clefs des assurances sociales au privé et surtout aux réseaux fermés.

Ceci  va permettre de vous soigner en fonction de ce que vous aurez préalablement « contracté » avec votre complémentaire. Ils détruisent le système de santé à toute vitesse, démoralisent, démotivent médecins et soignants. Pendant ce temps-là des artistes choisis sur leur charisme vous parlent (en toute sincérité je l'espère) du dépistage du cancer du sein ou du colon sur des spots télévisés (que vous payez avec vos impôts). Octobre rose vous cache la misère des hôpitaux, le cynisme d'une grande partie des acteurs de la recherche médicale qui vous intégrera de force dans les essais thérapeutiques dès qu'on aura réussi à vous trouver une tumeur maligne (et même de plus en plus souvent y compris si la tumeur est bénigne). On n'arrête pas le progrès des bénéfices..

Ainsi cet excellent article souligne que beaucoup de personnes qui croient avoir survécu au cancer n'ont en fait survécu qu'aux traitements inutiles qu'on leur a administrés. C'est d'ailleurs pourquoi aux USA après avoir parlé d'un baby boom dans l'après deuxième guerre mondiale, le « cancer survivor papy boomer » devient la préoccupation croissante des assurances. Les générations nées après 1945 , les baby-boomers de l'époque sont devenus des « papys »  et les plus soumis aux dépistages du cancer, du cholestérol , du diabète , de la dépression etc.

Parmi  toutes ces pathologies ?on finira bien par en trouver une ? ou plusieurs qui permettront de leur prescrire  les médicaments nouveaux qui vont les rendre « beaux, jeunes » et surtout éternels ! De fait  ils rendront riches ceux qui auront si bien su convaincre la population via émissions télévisées , articles de journaux etc de la nécessité d'avaler toutes ces drogues .

Les auteurs insistent sur le fait trop souvent oublié, ignoré ou caché : le cancer n'est pas une maladie unique et homogène. Le générique « cancer » regroupe toutes sortes de tumeurs d'évolutions variées et au sein d'une même tumeur l'hétérogénéité règne. Si certaines menacent la vie par leur évolution rapide et justifient des traitements lourds, d'autres sont quiescentes durant des années, voire des décennies. Elles ne donneront aucun trouble et ne seront éventuellement découvertes qu'après la mort pour une autre cause si une autopsie est réalisée.

Il faut ajouter que les tumeurs d'évolution rapide et méchante ne sont pas celles qu'on dépiste le plus au cours des programmes de dépistage systématique non ciblé par la clinique.

Si un dépistage organisé  met en évidence des cellules malignes quiescentes (surdiagnostic), la personne considérée à tort comme un malade  risque d'être soumise à des traitements agressifs qui ne pourront lui apporter que d'éventuelles complications. Le cancer de la prostate est à cet égard très démonstratif. Des études autopsiques ont montré un pourcentage très élevé de cancers de la prostate occultes chez les hommes âgés morts de causes non liées à ce cancer dès l'âge de 50 ans . Plus 80 % des tumeurs malignes de la prostate sont limitées en dangerosité. Les hommes « porteurs sains »  de cancer de la prostate décèdent le plus souvent d'une autre cause.

Le dépistage de cellules cancéreuses abusivement appelé « cancer »,  latentes, silencieuses et sans risque certain, entraîne des conséquences lourdes et définitives. L'annonce du diagnostic de cancer transforme un homme sain en malade chronique craignant pour sa vie incapable d'obtenir par exemple un prêt immobilier ou un poste à responsabilité. Sa famille, ses amis, ses employeurs le regardent différemment. La personne saine devient malade chronique physique et psychologique, les complications et séquelles des traitements appliqués pour éradiquer ce cancer qui n'en était peut-être pas un ,y sont pour beaucoup : la radiothérapie avec son cortège de troubles digestifs et d'incontinence souvent sous-estimée dans les projections initiales des médecins ( sans oublier les drames comme les morts de Lunéville), Après chirurgie , l'impuissance (50%), et la perte du contrôle sphinctérien (30%) diminuent à jamais la qualité de vie de ces hommes encore jeunes qu'on prétend « sauver » .

Car ce dépistage ne diminue pas le risque vital. Aucune des nombreuses études, qui ont tenté de démontrer l'intérêt du dépistage par le dosage sanguin des PSA n'y est parvenu. L'essai américain incluant 76693 hommes suivis en moyenne 9 ans plaide contre le dépistage. L'essai européen qui a suivi 182160 hommes montre un plus faible taux de décès par cancer de la prostate chez les hommes soumis au dépistage mais cette différence trop faible est contre balancée par les complications du dépistage et des traitements inutiles.

Le dépistage du cancer de la prostate par le dosage des PSA n'entraine pas de gain de survie globale. En  octobre 2011 le Preventive Service Task Force American  a conclu à son inefficacité. L'inventeur du PSA Richard J. Ablin lui-même a énergiquement désavoué le dépistage qualifiant son invention de «désastre de santé publique»  du fait de ses imperfections et  de son coût démesuré : 3 milliards annuels de dollars aux USA. En France en  2010 le coût annuel a dépassé les  500 Millions d'euros. Ces études sont bien connues et leur valeur reconnue par tous. Ni la HAS, ni l'INCa  ne recommandent plus ce dépistage. Ne mutilons plus inutilement les hommes ! Utilisons plus efficacement l'argent de la Sécurité Sociale. Ne remboursons plus le dosage des PSA chez les hommes qui n'ont aucun signe clinique, les bien portants. Ne tolérons plus des publicités mensongères sur le sujet. Exigeons une information loyale et médiatique pour inverser la mise en condition antérieure.

Les auteurs américains souhaitent changer la nomenclature et ne plus parler de cancer pour ces lésions in situ  mais plutôt parler de «lésion indolente d'origine épithéliale » (Thompson) ou de tumeurs de la prostate de croissance lente (Carroll) . De toute façon il faut changer le nom de ces situations intermédiaires, la valeur symbolique destructrice du mot cancer ne disparaitra pas si vite. Pensons au poids du diagnostic de tuberculose il y a deux siècles. Il a fallu de nombreuses décennies pour que l'association automatique tuberculose = mort disparaisse de nos inconscients .

La nocivité du dépistage du cancer du sein est presque aussi certaine du fait du risque élevé des sur-diagnostics et des sur-traitements. Mais vouloir présenter objectivement les risques et les complications de ce dépistage organisé heurte le « bon sens commun »qui n'a rien de scientifique  et surtout les intérêts des dépisteurs (2 milliards d'euros annuels en France) et d'une véritable industrie de la communication qui glorifie « les femmes sauvées par le dépistage et la prévention ». Les féministes désinformées ou/et  manipulées s'en sont emparées et pourtant quelles violences faites aux femmes à travers ces dépistages, à commencer par le traumatisme physique douloureux de la mammographie suivie des toutes les angoisses de l'attente du diagnostic puis de la stigmatisation de la « cancéreuse » qui pourtant souvent ne l'était pas... Leur dernier avatar concerne une actrice célèbre qui s'est fait amputer des deux seins, pourtant indemnes de cancer, pour éviter qu'un jour ils ne le soient...peut être�

« La vie est une maladie sexuellement transmissible et constamment mortelle.(..) Toutes les générations précédentes étaient parvenues à appréhender avec une certaine sérénité cet inéluctable destin. Nous en sommes devenus incapables. A la place, nous tremblons de peur ». Pas par hasard ! Depuis l'aube de l'Humanité, la peur de la mort représente une mine d'or et de pouvoir et la promesse de l'éviter (au moins un temps) rapporte gros. Le dépistage du cancer en  constitue une illustration depuis le milieu du vingtième siècle, exacerbé depuis l'ère du tout fric .Il est temps d'en sortir !
Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu" ?

source
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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 5 Fév 2014 - 11:06

Ah , Klaus ,grossKlaus ! riesigeKlaus

Pour moi , ce n'est pas si évident que cela et une question à ne pas traiter à la légère !
C'est vrai , les abus ne sont pas rares en médecine conventionnelle , surtout la terreur médicale basée sur des rapports scientifiques très partiaux. L'application bête et méchante des protocoles de traitement sont certainement à revoir . Mais que faire en cas de cancer avéré ?
Pour ma part je pense qu'il faudrait faire une synthèse des différentes approches et médecines et surtout introduire intelligemment les médecines douces [et ou naturelles ]ce qui permettrait , sous contrôle médical, d'éviter certains traitements toxiques , de diminuer le dosage et la durée d'autres . Et.... , et surtout un rétablissement plus rapide du malade . Certes , il y a un début très timide dans certains services qui acceptent la présence et l'application de médecines autres que conventionnelles , mais on est bien loin , très loin d'une coopération qui permettrait de faire un bon en avant !
 chat 
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klaustrydium

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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 5 Fév 2014 - 15:57


Entierement d'accord Haig, le but de l'article, je pense, n'est pas de dire les traitements sont inutiles, mais de mettre à jour la machinerie du "business" du Cancer, on à tous plus ou moins un proche toucher par tel ou tel "cancer", Mais les dépistages peuvent causer des dommages psychologiques et sociaux, irréversible, un peu comme pour le SIDA  Rolling Eyes 
Il y'a moultes techniques de traitement des cellules cancéreuse, moins toxique mais pas intéressant pour les lobbys de la santé.
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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 5 Fév 2014 - 18:25

klaustrydium a écrit:

Entierement d'accord Haig, le but de l'article, je pense, n'est pas de dire les traitements sont inutiles, mais de mettre à jour la machinerie du "business" du Cancer, on à tous plus ou moins un proche toucher par tel ou tel "cancer", Mais les dépistages peuvent causer des dommages psychologiques et sociaux, irréversible, un peu comme pour le SIDA  Rolling Eyes 
Il y'a moultes techniques de traitement des cellules cancéreuse, moins toxique mais pas intéressant pour les lobbys de la santé.

Oui , je l'avais bien compris ainsi Klaus ! mais je tenais à amener une autre facette à ton texte .
Amicalement .
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orné

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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeDim 3 Aoû 2014 - 19:24

Note orné : Bonsoir,
Il est inutile de vous rappeler à quel point il est important de bien penser sa stratégie de soin, et d'éviter dans la mesure du possible tout traitement médicamenteux (sans bien sur tomber dans le fanatisme). D'apprendre le mieux possible un régime salutaire afin d'éviter de tomber malade, faire du sport, méditer. Et aussi les traitements dit homéopathiques. On peux aussi raisonnablement se pencher sur les cures de vitamines, cela aide bien les défenses immunitaires. Mais de se côté là aussi, il tient à rester prudent et de faire attention à se que l'on ingère.
Enfin, quand on ne peux se permettre de ne pas prendre un médicament, ou un traitement médicamenteux, autant savoir quand même à se que l'on nous prescrit.

Car jusqu"à preuve du contraire, on est droit de refuser, et de réclamer autre chose.

Tout le monde sait que les génériques sont en recrudescence, que même les services de soins de santé recommande de plus en plus aux médecins de les prescrire. Par soucis d'économie des soins de santés. Sous prétexte que la posologie de ceux-si sont à l'identique que ceux de marques, avec des résultat similaire. Alors que des contre-enquêtes ont bien démontré une action moindre, et une toxicité plus accrue.

Dans cette ordre d'idée, je vous proposes une liste de ces médicaments les plus dangereux et à vraiment éviter, bonne lecture :



A PARTAGER. La « liste rouge » des médicaments génériques…

Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  Medicaments-dangereux-Liste-noire-300x163

Les génériques ne sont pas pareils que les originaux? Nous aurait on menti?

Des différences de dose entre un médicament générique et son original peuvent entraîner chez les patients des conséquences graves.



CAS. Le quotidien belge Le Soir relate l’histoire d’une patiente traitée pour des crises d’épilepsie qui a été hospitalisée après avoir fait un malaise : elle avait exceptionnellement pris le médicament original, le Tegretol, alors qu’elle prenait d’habitude la version générique.

Ce n’est pas la qualité du médicament générique qui est en cause, mais bien la substitution inappropriée

RECOMMANDATION. Suite à cette affaire, l’Agence belge des médicaments et des produits de santé (AFMPS) a mis en garde la population contre les risques qui existent quand on substitue un médicament générique à son homologue original.

Car dans le cas de cette patiente, la dose de médicament était beaucoup plus élevée dans la version originale que dans la version générique.

Selon Jean Nève, pharmacologue à l’Université Libre de Bruxelles interrogé par Le Soir, « ce n’est pas la qualité du médicament générique qui est en cause, mais bien la substitution inappropriée d’un original par un générique ».

Il faut « hausser notre niveau de surveillance et de vigilance » quant à l’équivalence totale des génériques avec les originaux, même s’il ne s’agit que d’une seule catégorie de médicaments.

EFFETS. Pour certains médicaments, explique l’AFMPS sur son site internet, « des différences de dose ou de concentrations relativement légères peuvent entraîner des échecs thérapeutiques et/ou des effets indésirables graves ».

Ces médicaments sont appelés médicaments à « marge thérapeutique étroite », c’est-à-dire que la différence entre la dose toxique et la dose thérapeutique est faible. Parmi ceux-ci, la plupart nécessitent un monitoring, c’est-à-dire un suivi de la concentration sanguine afin de contrôler et d’individualiser le traitement du patient.

LISTE. Les classes thérapeutiques suivantes sont particulièrement concernées :

-antiarythmiques
-antiépileptiques
-anticoagulants oraux
-immunosupresseurs
-digitaliques
-théophylline

Cette liste n’est cependant pas exhaustive.

ANSM. Pour les mêmes raisons (médicament à « marge thérapeutique étroite »), en France, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament avait établi des recommandations sur la substitution des spécialités à base de lévothyroxine sodique, utilisée dans le traitement de l’hypothyroïdie.

Lire l'article

Auteur Lise Loumé pour Science et Santé

Voir aussi :

Médicaments pour enfants : attention aux erreurs de dosage

Ce virus inconnu présent chez un humain sur deux (passeur de science)

Une nouvelle infection transmise par les tiques


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akasha

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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 15 Oct 2014 - 3:30

Si vous n’avez rien à faire ce soir, un docu : La vie, une maladie d’avenir

Également à voir, une véritable référence dans le domaine: Les médicamenteurs*. Comment avoir une totale confiance en la médecine après cela?

Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  Big-pharma

Dénoncées régulièrement ici, ces pratiques de Big Pharma sont  synthétisées dans une excellente vidéo.

Comment l’industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins.

Jusque dans les années 1980, l’industrie pharmaceutique orientait ses efforts vers la guérison des maladies existantes, même si les pathologies affectant les populations pauvres, comme la malaria, étaient négligées parce que peu rentables. Désormais, la tendance s’est inversée. Pour garantir leurs retours sur investissement et recycler leurs médicaments, les firmes inventent des pathologies sur mesure, si possible chroniques. Une publicité déguisée en information médicale, doublée d’un intense lobbying, se charge de les « vendre » au grand public et aux praticiens. Ce film – auquel l’industrie a refusé de participer – démonte les mécanismes d’une médecine sous l’emprise du marché.


(*)



Comment augmenter la consommation de médicaments ? En abaissant par exemple la norme du taux de cholestérol afin de promouvoir des molécules, qui, prises sans nécessité, comportent des risques sanitaires. Ou en décelant dans la population féminine une nouvelle forme de dépression cyclique (le « syndrome dysphorique menstruel »), traitée avec une version du Prozac rebaptisée.

D’astucieux stratèges ont aussi fait décoller le marché des antidépresseurs au Japon, où la dépression constituait un état rare, en popularisant le « rhume de l’âme ». De la « dysfonction érectile » au « trouble bipolaire », une analyse décapante qui permet de mesurer, au gré des spots TV et des sites « d’information », le marketing du diagnostic et son pouvoir.


Maladies à vendre. Sus aux bien-portants…



Source ; Reseauinternational

lien Connexes ;

http://www.mondialisation.ca/ce-que-les-m-decins-pensent-de-la-vaccination-l-enqu-te-choc-non-publi-e-de-l-inpes/24068

http://www.inpes.sante.fr/50000/OM/pdf/vaccination/09vod_guide-medecin.pdf

C’est sur que les grand labos nous aiment et ne nous veulent que du bien... Rolling Eyes

http://www.mondialisation.ca/des-geants-du-medicament-condamnes-a-11-mds-de-dollars-pour-leurs-mefaits/5305566


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akasha

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MessageSujet: Re: Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre    Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  I_icon_minitimeMer 31 Déc 2014 - 2:49

L'un des traitements les plus prescrits en France cause des dysfonctions cérébrales

Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre  8744-statines2

En 2008, les statines représentaient 76% du montant annuel des remboursements par l’assurance maladie en France, avec plus de 18 millions de prescriptions recensées.
En 2011, c’est une statine, le Lipitor des laboratoires Pfizer, qui détenait le titre du médicament le plus vendu dans le monde… Pour un marché annuel de 13,3 milliards de dollars !


A la lecture de cet article, vous constaterez, qu'en plus d'être un important scandale sanitaire c'est aussi un énorme gaspillage des caisses publiques.  Les enjeux économiques de l'industrie pharmaceutique liés à ces médicaments étant énormes, ce n'est pas prêt de changer. Il revient donc aux patients de savoir dire non à la médication systématique et outrancière pour adopter une stratégie de santé différente et proactive. Fawkes
*****

Les statines sont les médicaments les plus rentables de l'histoire de Big Pharma. Ils sont promus comme le médicament passe partout pour prévenir / traiter les maladies cardiaques. Une étude récente a révélé que près de 100% des hommes et 62% des femmes âgées de 66 à 75 devraient prendre des statines même si leur taux de cholestérol est normal. (1) (Ndt: les autorités ont la même stratégie morbide en conseillant aux personnes agées la vaccination antigrippale systématique....voyez un peu ce que cela a provoqué) .

En écoutant les cardiologues classiques, l'American Heart Association, l'American College of Cardiology et de nombreux autres groupes traditionnels, ils voudraient vous faire croire que les statines devraient être incluses directement dans notre approvisionnement en eau. Si les statines abaissaient considérablement le risque de maladie cardiaque, ce qui n'est pas le cas, et si les statines n'étaient pas associées à des effets indésirables, ce qui est le cas, alors je pourrais accepter une discussion sur l'utilisation répandue de celles-ci. Cependant, les statines sont associées à un large éventail de réactions indésirables graves qui devrait amener les médecins à réfléchir à deux fois ou au moins faire preuve de prudence lors de la prescription de cette classe de médicaments.

Regardons quelques-unes des réactions indésirables de ces. Les numéros suivants proviennent de la FDA Adverse Events Reporting System. L'information a été compilée par le docteur Philip Blair. Quand je ai vu le grand nombre de réactions graves signalées pour les utilisateurs de statines recueillies à partir de l'analyse des données du Dr Blair, je me suis dit, "La vache!". le Dr Blair a expliqué que les données de la FDA, rapportées par les médecins praticiens, montre l'association fréquente entre les statines et de nombreuses maladies graves. Gardez à l'esprit que très peu de réactions indésirables de médicaments (1-10%) sont effectivement signalées à la FDA (Ndt: ce chiffre est comparable en France). Cette information a été signalée par mon collègue le docteur Duanne Graveline. Celui-ci a a subi deux événements transitoires d'amnésie globale et une neuropathie chronique dû aux statines. Il a écrit un excellent livre sur son expérience avec Lipitor. Le livre est intitulé, " Lipitor, thief of memory . " (Lipitor, Voleur de mémoire).

Les statines agissent en empoisonnant une enzyme (HMG-CoA réductase) qui est nécessaire pour produire le cholestérol, les hormones surrénales et sexuelles, les protéines de la mémoire et maintenir l'énergie cellulaire. Les plus fortes concentrations de cholestérol dans le corps se trouvent dans le cerveau. Devinez quel organe va en pâtir lorsque la production de cholestérol est bloqué? Tout vu, il s'agit du cerveau.

Tous les événements suivants ont eu lieu de 2004 à 2014 et ont été recueillies à partir des bases de données des effets indésirables de la FDA.
Le fonctionnement du cerveau: Il y avait 36 ​​605 cas de dysfonctionnement du cerveau qui comprenait des troubles de la mémoire, des cas transitoires d'amnésie globale, de la confusion, de la paranoïa, de la désorientation, la dépression et la démence liée à l'utilisation des statines. Rappelez-vous, ce nombre est représente à peine 1 à 10% du nombre réel de réactions indésirables aux médicaments.

Pouvez-vous imaginer à quelle vitesse la FDA aurait retiré du marché une vitamine s'il s'avérait qu'elle causait des dizaines de milliers de cas de dysfonctionnement du cerveau?

J'ai vu de nombreux patients souffrant d'un déclin de la fonction du cerveau prendre des statines. Savoir que les statines empoisonnent une enzyme nécessaire à la fabrication du cholestérol permettrait à quiconque de prédire que les problèmes de cerveau seront plus communs lors de l'utilisation des statines.

Les statines sont en fait responsables de nombreux effets indésirables supplémentaires. En fait, il y a plus de 100 000 rapports d'événements indésirables liés aux statines. En plus du cerveau, les statines affectent négativement le fonctionnement du foie, des reins et des muscles. J'évoquerais davantage les autres effets indésirables de ces médicaments dans des articles ultérieures.

J'ai écrit dans mon livre, "Drugs That Don’t Work and Natural Therapies That Do" ("des médicaments qui ne marchent pas, des thérapies naturelles qui fonctionnent"), "Vous ne pouvez pas empoisonner une enzyme essentielle ou bloquer un récepteur important sur le long terme et en attendre un bon résultat."

Peut-être pourrions-nous vivre avec tous ces effets indésirables de médicaments si les statines abaissaient considérablement le risque de maladie cardiovasculaire. Mais, cee n'est pas le cas. Les statines n'ont jamais démontré de façon convaincante qu'elles prévenaient une première crise cardiaque chez les hommes et les femmes. Chez les hommes, la meilleure des études sur les statines montre un risque réduit de 1-4% de développer une seconde crise cardiaque. Chez les femmes, les chiffres sont pires.

Cela est choquant pour moi que tant de praticiens de santé et la quai totalité des cardiologues prescrivent ces médicaments à n'importe quel patient. Les patients atteints de maladies cardiaques ne sont pas développer une maladie cardiaque due à un syndrome de carence en statines. Peut-être ces praticiens de santé devraient commencer à faire ce que les médecins ont appris à faire: Rechercher la cause sous-jacente de la maladie et régler le problème.

Plus d'informations sur les statines peuvent être trouvées dans mon livre ainsi que des recommandations sur ce que vous pouvez faire pour éviter de prendre un médicament de ce type.

Références:

1. JAMA Int. Med. Published online November 17, 2014. E1
2. Duanne Graveline, M.D. Lipitor, Thief of Memory



Source: Dr Brownstein

Traduction : Guy Fawkes


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Ces médicaments qu'il vaudrait mieux éviter de prendre

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