Dans les quelques médias que j'ai pu lire sur Internet :

Orange a écrit:

Si l'enquête parvient à identifier avec certitude les auteurs du tir - qu'il s'agisse des rebelles prorusses, des forces loyalistes ukrainiennes ou de l'armée russe - son résultat risque d'avoir un impact décisif sur le conflit armé qui déchire l'Ukraine depuis trois mois, opposant Kiev aux séparatistes appuyés par Moscou.

J'ai choisi Orange, parce que c'est assez représentatif des "lecteurs" du net (qui sont généralement assez bien politisés de plus).

Et sur BFMTV (ouais, je suis allé vérifier du coup) :

Citation :

Un avion de ligne malaisien s'est écrasé jeudi dans l'est de l'Ukraine, près de la frontière russe, avec 298 personnes à son bord. L'avion assurait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur. Il aurait été abattu par un missile sol-air, de provenance encore inconnue.

D'après Le Point (autre média mainstream) :

Citation :

Quoi qu'il en soit, si l'avion a été abattu, cet acte de piraterie internationale pose plusieurs questions. Le Boeing n'a pas été abattu par une arme légère mais par un missile assez sophistiqué pour atteindre l'altitude de 11 000 mètres. Ce n'est probablement pas un Sam-7 russe ou son équivalent Stinger américain, dont disposent des groupes terroristes, capables de détruire un avion seulement à moins de 4 000 mètres. L'altitude de croisière des avions de ligne les met hors de portée de ces armes. Heureusement, sinon, de nombreux pays où sévissent des guérillas en Asie, en Afrique ou en Amérique latine ne pourraient être survolés. Il s'agit vraisemblablement d'un missile sol-air beaucoup plus sophistiqué, mis en oeuvre avec un système de poursuite radar. On ne peut pas exclure non plus, en l'état des informations connues, que le tir du missile ait été effectué par un avion de chasse. Mais là, une trace radar aura été laissée, permettant d'identifier l'agresseur.

Ils sont manifestement beaucoup plus prudents que l'article que tu proposes, et n'arrivent pour le moment à aucune conclusion certaine...

Il suffit de lire les titres des articles pour constater le parti pris ou l'absence de prudence... Le titre dit clairement qu'il s'agit d'entrée de jeu un false flag. C'est cool, comme ça on va pouvoir encore épiloguer sur autre chose que les causes de l'accident et noyer le poisson.

Un false flake mal ficelé ?

Permettez moi d'en rire et d'en douter ! Allons soyons sérieux !

Toute info sur net fait le tour du monde en quelques instants des dizaines de millions d'internautes sont connectés et il faudrait croire que les gars qui ont posté la vidéo et l'info l'ignorent !

Toutes les agences d'espionnage Américaines et Européennes sont sur le coup de la révolte Ukrainienne. Ne chercher pas plus loin cette tragédie à un goût d'intox.

J'avais donné mon avis dans le topic -Affrontement en Ukraine.........-
Il s'agit de faire croire aux gens que les Russes sont contre l'impérialisme Américain mais il y a un hic !  Toute cette histoire est un faux !

Russes, Américains et Européens jouent un scénario conçu depuis longtemps dans ses moindres détails.
Évitez de tomber dans ce piège à C... car ils sont cul et chemise leurs soi disants differents ne sont que façade pour mieux nous tromper !!!!!!

Nous assistons impuissants et dans l'indifférence générale a une comédie dans laquelle nous sommes impliqués a notre insu et dont le but sert à nous couillonner.


.

Bonjour,

Pour la date de création 2014-07-16 19:10:24 , c'est assez facile à expliquer.

Il suffit de mettre un fichier en upload et de mettre pause, pui ensuite, on remplace le fichier de départ par celui que l'on veut. C'est une astuce bien connu des pirates informatique pour faire croire qu'ils ont eu les films avant leur sortie et ainsi augmenter leur notoriété.

Mais, la date de mise en ligne est bien le July 18, 2014 00:09, ce qui veut dire que le fichier n'a été fini d'uploader que le 18.

Il n'y a donc rien d'étrange la dedans.

Rien qu'en France, avec le sortie de film le mercredi, on retrouve énormément de date de création de fichier le Dimanche et ce pour plusieurs raison, celle déjà citée, mais aussi pour garder une place disponible et une bande passante adéquate.

A++

Le Radar de vol fait allusion, évidemment, au fait qu'il n'a jamais atterri — pas qu'il n'est jamais parti.





video du moment la vol MH17 a disparu de flightradar24 peut etre vu ici ,,,,,

http://www.independent.ie/life/travel/travel-news/video-the-moment-flight-mh17-disappeared-from-flightradar24-30441563.html

Date ................From ..............................To ................ Aircraft......... STD ..........ATD .........STA.......... Status

2014-07-17 ........Amsterdam (AMS)..........Kuala Lumpur (KUL).....B772 ................10:00 ..........10:31 22:10 ..................Canceled 00:00

http://www.flightradar24.com/data/pinned/mh17-3d6095b/

http://video.news.com.au/v/229038/The-moment-MH17-disappears

Bonjour,

Il y a quand même des points qui ne collent pas du tout avec ces différentes versions.

Il y avait à bord du vol 17, 6 chercheurs de la lutte contre le Sida qui se rendaient à un colloque à Melbourne.

Ils ont été en contact avec leurs collègues à Melbourne juste avant le départ et ont précisés leur vol et leur heure d'arrivé pour que l'on viennent les cherchers à l'aéroport.

Un autre passager à poster sur son profil facebook, juste avant l'embarquement dans l'avion, la photo de l'avion avec une "blague" disant "voici à quoi ressemble mon avion si jamais il disparait lui aussi", en rapport avec l'autre avion de la Malaisian Airlines.

Des membres des familles racontent aussi les dernières nouvelles qu'elles ont eu de leurs parents présents sur le vol juste avant le décollage.

Sa fait beaucoup de contradiction, basé sur des faits bien concret, sa ne colle pas vraiment avec ces histoires.

J'aurais tendance à accorder plus de crédit à ces personnes totalement neutre dans cette histoire plutôt qu'a des personnes de l’acabit de Jim Stone qui prennent un petit point or contexte pour dérouler toute une théorie.

A l'image de la vidéo précédente, ou toute une théorie est basé sur une date d'ouverture d'un lien d'upload.

Enfin bon, ce n'est que ma vision bien sur.

Je pense qu'il ne faut pas chercher midi à quatorze heure, les rebelles Pro-Russes sont armés par les Russes, or les Russes ont la technologie pour abattre des avions à cette altitude. Les rebelles fort d'avoir déjà abattu 3 avions militaire en quelques semaines, pensaient tout simplement en abattre un quatrième, comme le prouve l'intervention du chef des Pro-russes (cf mon post plus haut), ou encore la vidéo mis en ligne des discussions entre ces différents intervenant (par lu lendemain de l'accident).

Malheureusement pour eux, ils ont abattu un avion civil. Il est clair que cela n'était pas voulu, mais le résultat est le même, ils ont tué des civils d'autres nationalités.

De plus, les premiers rapports d'expert accrédite bien cette version, dans le sens ou en arrivant sur place, ils ont constaté que les débris et les corps avaient été manipulé, et qu'il manquait des débris. Notamment une des boites noir, récupéré par les Pro-russes, qui ne veulent bien évidement pas la restituer.

A++

Ils ne sont peut-être pas volontairement coupables d'avoir abattu un avion civil, mais ils sont assurément au moins suspect d'avoir par erreur abattu un avion civil.

C'est une différence que la plupart des médias, et autres rapports, font.

On ne peut les accuser, il est vrai, d'avoir cherché à tuer des innocents, mais il y a de nombreux éléments qui amènent à penser qu'ils sont bien derrière ce regrettable accident. Et cela ne plaide évidemment pas en leur faveur, surtout qu'ils posent des difficultés à des observateurs internationaux qui sont là pour enquêter sur cette tragédie.

En terme de droit, cela ressemble à de la dissimulation de preuve... C'est un peu aussi comme du délit de fuite.

En clair, s'ils sont bien coupables, assumer leur erreur sera toujours moins grave que de chercher à le nier. Le premier cas leur vaudra un blâme, des sanctions et des dédommagements. Le second cas conduira assurément à des conséquences politiques et militaires.

Aegis a écrit:

Ils ne sont peut-être pas volontairement coupables d'avoir abattu un avion civil, mais ils sont assurément au moins suspect d'avoir par erreur abattu un avion civil.

C'est une différence que la plupart des médias, et autres rapports, font.

On ne peut les accuser, il est vrai, d'avoir cherché à tuer des innocents, mais il y a de nombreux éléments qui amènent à penser qu'ils sont bien derrière ce regrettable accident. Et cela ne plaide évidemment pas en leur faveur, surtout qu'ils posent des difficultés à des observateurs internationaux qui sont là pour enquêter sur cette tragédie.

En terme de droit, cela ressemble à de la dissimulation de preuve... C'est un peu aussi comme du délit de fuite.

En clair, s'ils sont bien coupables, assumer leur erreur sera toujours moins grave que de chercher à le nier. Le premier cas leur vaudra un blâme, des sanctions et des dédommagements. Le second cas conduira assurément à des conséquences politiques et militaires.

Ce sont les médias qui disent que les rebelles empêchent les enquêteurs d'accéder au terrain... Ainsi, ils laissent entendre que les rebelles ont quelque chose à se reprocher.

Le vol MH17 est bien un false flag: voici toutes les preuves déjà collectées
20 Juillet 2014

http://www.wikistrike.com/2014/07/le-vol-mh17-est-bien-un-false-voici-toutes-les-preuves-deja-collectees.html

Certains points utilisés par le site que tu cites ont déjà été abordés ici, et il a été montré déjà que ces points là étaient sujets à caution.

Ce sont donc des conclusions hâtives, loin d'être certaines, et encore moins, d'être impartiales. Il est évident que Wikistrike fait un dossier à charge, sans prendre en compte les éléments qui eux prouvent le contraire.

Malaysia Airline Vol MH 17 : Un faisceau d'indices indique un false flag


Le verdict de l’interprétation guerrière est tombé : la tragédie ayant frappé la Malaysian Airlines – la seconde en quatre mois – est l’œuvre du « terrorisme » perpétré par les « séparatistes prorusses » armés par la Russie, et Poutine en est le principal responsable. Fin de l’histoire. Quiconque pense autrement doit se taire.
Pourquoi ? Parce que la CIA l’a dit. Parce qu’Hillary « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort » Clinton l’a dit. Parce que l’exaltée Samantha « Responsabilité de protéger » Power l’a annoncé avec fracas à l’ONU, tout cela évidemment repris par le Washington Post, qui est infesté de néoconservateurs.
Pourquoi ? Parce que les médias institutionnels anglo-américains, de CNN à Fox (qui a tenté d’acheter la Time Warner, propriétaire de CNN), l’ont dit. Parce que le président des États-Unis l’a dit. Mais surtout parce que Kiev l’a dit avec véhémence dès le départ.
D’entrée de jeu, ils attendaient leur tour : toute la lignée « d’experts » de la « communauté du renseignement étatsunien », invariablement hystériques, crachant littéralement de leur illustre bouche tout leur venin sur la « méchante » Russie et le « méchant » Poutine ; ces mêmes « experts » incapables d’identifier un convoi de rutilantes Toyota blanches traversant le désert irakien pour aller prendre Mossoul. Mais leur jugement est déjà prononcé, inutile d’aller plus loin, ils ont tout de go résolu le mystère du vol MH17.
Qu’importe que le président Poutine souligne que l’enquête sur la tragédie du vol MH17 doit être « objective ». Il ne faut pas s’attendre à grand-chose de la part de la « communauté internationale », cette notion fictive définie par Washington qui regroupe sa congrégation habituelle de vassaux et jobards dociles.
Qu’en est-il de Carlos ?
Une simple recherche révèle que le vol MH17 a en fait été détourné 200 km plus au nord du couloir aérien habituel qu’avait pris la Malaysian Airlines les jours précédents, plaçant ainsi l’avion au beau milieu d’une zone de guerre. Pourquoi ? Quel type de communication le vol MH17 a-t-il reçu de la tour de contrôle de Kiev ?
Kiev est resté muet à ce sujet. Pourtant, la réponse aurait été simple si Kiev avait rendu publics les enregistrements du contrôle de la circulation aérienne faisant état de l’échange entre la tour et le vol MH17. La Malaisie l’avait d’ailleurs fait lorsque le vol MH370 a disparu à tout jamais.
Mais cela n’arrivera pas, parce que le Service de sécurité d’Ukraine (SBU) les a confisqués. C’en est donc fait de la version non châtrée des raisons pour lesquelles le vol MH17 s’est écarté de sa trajectoire et de ce que les pilotes ont vu et dit avant l’explosion.
Pour sa part, le ministère de la Défense russe a confirmé qu’une batterie de missiles antiaériens Buk sous le contrôle de Kiev était opérationnelle près du lieu où l’avion s’est écrasé. Kiev a déployé plusieurs batteries de ce système de missiles sol-air comptant au moins 27 lanceurs, tout à fait capables de faire tomber des avions à réaction volant à 10 000 mètres d’altitude.
Les militaires russes ont aussi détecté une activation du radar Kupol du système antiaérien Buk-M1 près de Styla [un village à quelque 30 km au sud de Donetsk]. Selon le ministère, le radar a pu fournir des informations de repérage à une autre batterie à une distance de tir de la trajectoire du vol MH17.
La portée de repérage du radar d’un système Buk est d’au plus 80 km. La vitesse du vol MH17 était de 800 km/h. Si l’on suppose que les « rebelles » avaient une batterie de missiles Buk opérationnelle et qu’ils s’en sont servi, ils auraient disposé tout au plus de cinq minutes pour scruter le ciel à toutes les altitudes possibles, puis verrouiller la cible. Ils se seraient aussi aperçus qu’un avion-cargo ne peut voler aussi haut.
(Pour avoir des preuves appuyant la possibilité d’une opération sous fausse bannière, lire l’article en note [1] traduit par nous).
Il y a aussi cette histoire, de plus en plus curieuse, de Carlos, un contrôleur aérien espagnol travaillant à la tour de Kiev, qui suivait le vol MH17 en temps réel. Pour certains, Carlos est bel et bien réel et non pas un personnage fictif. Pour d’autres, il n’a jamais travaillé en Ukraine. Chose certaine, il a « twitté » frénétiquement. Son compte Twitter a été fermé par la suite – de façon non accidentelle – et il a disparu. Ses amis le recherchent désespérément depuis. J’ai pu lire tous ses messages en espagnol lorsque son compte Twitter était encore actif. Mais des copies circulent depuis.
Voici quelques-uns de ses messages les plus troublants :
« Des chasseurs ukrainiens ont accompagné le Boeing 777 trois minutes avant sa disparition de l’écran radar (17 h 48). »
« Si les autorités de Kiev veulent admettre la vérité, 2 chasseurs volaient très près quelques minutes avant l’incident, mais n’ont pas tiré sur l’avion (17 h 54). »
« Dès que le Boeing 777 de la Malaysia Airlines a disparu, les autorités militaires de Kiev nous ont dit qu’il avait été abattu. Comment le savaient-ils ? (18 h 00). »
« Tout a été capté sur radar. Pour les incrédules, Kiev l’a abattu. Nous le savons ici (centre de contrôle aérien), tout comme le centre de contrôle aérien militaire (19 h 14). »
« Le ministère de l’Intérieur savait qu’il y avait des chasseurs dans le secteur, mais pas le ministère de la Défense (19 h 15). »
« Les militaires confirment que c’était l’Ukraine, mais ne savent pas d’où vient l’ordre (19 h 31). »
L’évaluation de Carlos est la suivante (pour une compilation partielle de la version anglaise de ses messages sur Twitter, voir l’article en note [2]) : le missile a été lancé par les militaires ukrainiens sous les ordres du ministère de l’Intérieur ET NON PAS du ministère de la Défense. Les questions de sécurité au ministère de l’Intérieur relèvent de Andrey Paruby, qui a travaillé étroitement avec les néoconservateurs étatsuniens et les néo-nazis du Banderastan à Maidan.
Si Carlos existe réellement, son évaluation tient la route. Les militaires ukrainiens sont divisés entre le roi Chocolat [président Petro] Poroshenko, favorable à une détente avec la Russie, essentiellement pour faire avancer ses intérêts commerciaux douteux, et sainte Yulia Tymoshenko, qui ne se fait pas prier pour prôner le génocide de la population d’origine russe dans l’est de l’Ukraine. Les néoconservateurs et les « conseillers militaires » étatsuniens sur le terrain protègent leurs mises en appuyant simultanément les factions Poroshenko et Tymoshenko.
À qui cela profite-t-il ?
La principale question qui se pose est, bien sûr, cui bono ? Il faut être en état de mort cérébrale pour croire que tirer sur un avion de passagers avantagera les fédéralistes dans l’est de l’Ukraine ainsi que le Kremlin.
Du côté de Kiev, on disposait des moyens, du motif et d’une occasion unique d’appuyer sur la gâchette, d’autant plus que ses milices avaient été mises en déroute et battaient en retraite du Donbass. C’est que Kiev est demeuré fermement résolu à attaquer la population de l’est de l’Ukraine et à les bombarder même du haut des airs. Pas étonnant que les fédéralistes aient cherché à se défendre.
Le choix du moment est aussi des plus douteux. La tragédie du vol MH17 a eu lieu deux jours après que les BRICS ont annoncé la découverte d’un antidote au FMI et à la Banque mondiale faisant abstraction du dollar US. Elle s’est aussi produite comme Israël avance « prudemment » dans sa nouvelle invasion de Gaza et la poursuite de son nettoyage ethnique au ralenti. Soit dit en passant, c’est en Malaisie que se trouve le siège de la Commission des Crimes de guerre de Kuala Lumpur, qui a reconnu Israël coupable de crimes contre l’humanité.
Washington en profite aussi, bien entendu. Ce que l’Empire du Chaos gagne, c’est un cessez-le-feu (pour réapprovisionner les milices de Kiev usées et désorganisées) ; l’étiquette « terroristes » collée de facto aux Ukrainiens de l’Est (comme Kiev l’a toujours voulu à la Dick Cheney) ; et de la boue à profusion jetée sur la Russie et sur Poutine en particulier ad vitam aeternam ! Pas mal pour un travail de quelques minutes seulement. Et pour l’OTAN, c’est carrément Noël en juillet.
À partir de maintenant, tout repose sur les services du renseignement russes. Ils surveillent et répertorient tout ce qui se passe en Ukraine 24 heures par jour, 7 jours sur 7. Dans les 72 prochaines heures, après avoir épluché un tas de données de repérage par télémétrie, radar et satellite, ils sauront de quel type de missile il s’agissait et d’où il a été lancé, et pourront même fournir les communications de la batterie d’où il provenait. Ils auront aussi accès à la preuve médico-légale.
Contrairement à Washington, qui sait déjà tout sans la moindre preuve (le 11 septembre, ça vous dit quelque chose ?), Moscou prendra le temps qu’il faut pour établir les données factuelles fondamentales du journalisme (Quoi ? Où ? Qui ?), puis faire la preuve de la véracité des faits et (ou) réfuter l’interprétation de Washington.
Les documents historiques démontrent que Washington ne publiera tout simplement pas les données si elles signalent que le missile provenait de ses vassaux de Kiev. Les données pourraient même suggérer la présence d’une bombe dans l’appareil ou un bris mécanique, mais c’est peu probable. S’il s’agit d’une erreur terrible des rebelles de la Novorossia, Moscou devra le reconnaître à regret. Si Kiev est le responsable, la révélation sera instantanée. De toute façon, peu importe ce qui arrivera, nous savons déjà que l’Occident hystérique dira que c’est la faute de la Russie.
Vladimir Poutine a tout à fait raison quand il dit que cette tragédie aurait pu être évitée si M. Poroshenko avait accepté de prolonger un cessez-le-feu proposé par lui, Mme Merkel et M. Hollande à la fin juin. En fait, Kiev est déjà coupable, car il est responsable des vols au-dessus de l’espace aérien qu’il contrôle, en théorie du moins.
Mais tout cela est déjà embrouillé dans le cafouillis de la guerre, du drame et du battage médiatique. Quant aux revendications de crédibilité hystériques de Washington, je vous signale un seul numéro : Air Iran 655.
Notes :
[1] Partie II : Les éléments de preuve qui émergent ici et là indiquent que l’affaire du vol MH17 est une opération ukrainienne sous faux drapeau (No Limit to Our Anger © V.M. Molotov)
[2] FINAL – Spanish Air Controller @ Kiev Borispol Airport: Ukraine Military Shot Down Boeing #MH17 (No Limit to Our Anger © V.M. Molotov)

Pepe Escobar


source It was Putin’s Missile (Asia Times)

Vol MH17, les 10 questions de Moscou à Kiev

Alors que la presse occidentale regorge d’hypothèses, d’accusations et de supputations sur la tragédie du vol MH17, force est de constater qu’aucun des titres phares de la presse atlantiste n’a jugé bon de porter à la connaissance de son public les 10 questions que le vice-ministre russe de la Défense, Anatoly Antonov, a posées aux autorités ukrainiennes sur certains aspects de cet incident.

Dans ses déclarations à la chaîne russe de télévision Russia Today [1], diffusées dès le 18 juillet 2014, le vice-ministre russe de la Défense s’est demandé, entre autres, par quels moyens certains pays occidentaux étaient-ils arrivés, « seulement 24 heures après les faits », à la conclusion que la Russie serait impliquée dans le crash de l’avion malaisien de ligne qui a coûté la vie à près de 300 personnes le 17 juin.

Ayant observé qu’aucune preuve n’est venue étayer ces allégations, le vice-ministre russe de la Défense a estimé qu’elles sont le fait « d’une guerre médiatique déclenchée à l’encontre de la Fédération russe et de ses forces armées ».

Le vice-ministre Anatoly Antonov a formulé, à l’adresse de Kiev, 10 questions « simples » sur lesquelles les medias atlantistes gardent le plus profond silence :

1- Immédiatement après la tragédie, les autorités ukrainiennes en ont tout naturellement attribué la responsabilité aux forces d’autodéfense [des fédéralistes]. Sur quoi fondent-elles ces accusations ?

2- Kiev peut-il fournir tous les détails sur l’utilisation des lanceurs de missiles Bouk [un système de défense antiaérienne composé de missiles sol-air couplés avec un module complexe de radar permettant de suivre plusieurs cibles aériennes en même temps] dans la zone des hostilités ? Et – ce qui est essentiel – pourquoi a-t-il déployé ces systèmes [de défense antiaérienne] alors que les insurgés n’ont pas d’avions ?

3- Pourquoi les autorités ukrainiennes ne font rien pour mettre en place une commission internationale ?

4- Les forces armées ukrainiennes accepteraient-elles que des enquêteurs internationaux dressent un inventaire de leurs missiles air-air et sol-air, y compris de ceux qui ont été utilisées ?

5- La commission internationale aura-t-elle accès aux données sur les mouvements des avions de guerre ukrainiens correspondant au jour de la tragédie ?

6- Pourquoi les contrôleurs aériens ukrainiens ont-ils autorisé l’avion à s’écarter de la route utilisée normalement vers le nord et à s’approcher de la dénommée « zone de l’opération antiterroriste » ?

7- Pourquoi l’espace aérien sur la zone de guerre n’avait-il pas été fermé aux vols civils alors que cette zone n’était même pas entièrement couverte par les radars des systèmes de navigation ?

8- Que peut dire officiellement Kiev sur les commentaires postés sur les réseaux sociaux par un contrôleur aérien espagnol travaillant en Ukraine sur la présence de 2 avions militaires ukrainiens qui auraient volé aux côtés du Boeing 777 sur le territoire de l’Ukraine ?

9- Pourquoi le Service de sécurité d’Ukraine [SBU] a-t-il commencé à travailler sur les enregistrements des communications entre les contrôleurs aériens ukrainiens et l’équipage du Boeing ainsi que sur les systèmes de stockage de données des radars ukrainiens sans attendre la participation d’enquêteurs internationaux ?

10- Quelles leçons l’Ukraine a-t-elle tirées de l’incident similaire survenu en 2001, lorsqu’un avion russe [de ligne] Tu-154 s’était écrasé en mer Noire ? A l’époque, les autorités ukrainiennes avaient nié toute implication des forces armées ukrainiennes jusqu’au moment où une évidence irréfutable avait démontré officiellement la responsabilité de Kiev.

Avant les déclarations du vice-ministre, le ministère russe de la Défense avait révélé que 27 systèmes de défense antiaérienne Bouk M1 appartenant à l’armée ukrainienne étaient déployés dans la région avant l’incident.

Le ministère russe de la Défense avait annoncé aussi que l’itinéraire de l’avion et l’endroit du crash se trouvent dans le rayon d’action de 2 batteries ukrainiennes de DCA à longue portée et de 3 systèmes de missiles sol-air Bouk-M1 et que des installations russes avaient enregistré le fonctionnement d’un radar ukrainien de défense antiaérienne le jour même du crash.

Or, aucune de ces informations diffusées officiellement par la Russie n’ont été mentionnées dans la presse atlantiste. Celle-ce n’a pas non plus cru intéressant de reprendre les déclarations du procureur général ukrainien Vitaly Yarioma lorsque ce dernier a révélé, quelques heures après la catastrophe, que les militaires ukrainiens avaient fait savoir au président Porochenko que les rebelles fédéralistes n’étaient jamais arrivés à s’emparer de systèmes ukrainiens de missiles antiaériens.

Entre-temps, on ne peut que constater aussi que le battage médiatique autour de la catastrophe du vol et les images du site du crash diffusées en boucle sur les chaînes occidentales et la presse mainstream servent maintenant à occulter le fait que Kiev poursuit son offensive sur les villes Lougansk et Donetsk, où de nombreux civils ont déjà trouvé la mort sous le feu de l’artillerie ukrainienne.

voltairenet.org



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DÉMENTI. Vol MH17 Malaysia Airlines : incriminé par Kiev, le commandant Bes dément !

L’un des commandants de la milice du Donbass nommé Gorlovki Igor Bezler, dit Bes Callsign, démonte les mensonges de l’enregistrement de Kiev le mettant en cause. Il a accuse les autorités de Kiev d’avoir réalisé un faux grossier, un montage astucieux mais facilement démontable.

De quoi se poser des questions sur les intentions de Kiev. En effet, le commandant accuse les nazis de Kiev d’avoir fait un collage grossier, entre une première conversation qu’il avait eu auparavant et qui concernait autre chose, et une deuxième. L’enregistrement, qui a été rendu public par les services de sécurité de l’Ukraine, la première conversation concernait Chernuhinskom, où, il y avait eu un avion militaire abattu des jours avant. Elle est la plus importante, selon lui. Quand au collage grossier, il s’agit simplement d’une conversation sur un commentaire relatif au Boeing 777 abattu.

Le problème est que, l’avion a été abattu aux environs de 16h20, or, les rapports de l’accident sont apparus dans les médias seulement vers 19h00. Alors qu’ils contrôlent la zone, cette deuxième conversation collée a été faite plus tard et par conséquent, Kiev ment lamentablement. Kiev veut tout récupérer sur le site de l’accident pour simplement détruire les preuves les accablant. Pour ça, Kiev accuse les autres de réaliser, sans preuve, ce qu’il a l’intention de faire…


source : allainJules

Bonjour,
merci pour ces deux articles. Je passe en vitesse, faire une petite récapitulation. Cela semble donc être confirmer, l'enregistrement antérieur au crash, avait bien été effectuer avant. on ne peut pas trafiquer le "timescamp" qui est bien une métadonnée utilisée en état. Donc la date est bien antérieur, de plus l'enregistrement a été fait de plusieurs sources, voyez ici: http://en.itar-tass.com/russia/741521 Et si les résistants refusent de remettre les boites noires et de pénétrer sur le site même du crash. C'est pour des raisons toutes logique. Ils ne vont pas donné l’occasion au régime nazi de détruire les preuves. Ensuite la propagande médiatique va de bon train, allant jusqu'à parler d'un Poutine au pied du mur. Je dirai plutôt que c'est l'empire qui est aux aboies. Car poutine le temps joue pour lui. ce n'est pas son pays qui est totalement ruiné, mais bien les Etats-Unis. la Russie quant à elle, ne manque pas de ressources, (cf matière 1er et énergie fossiles). Donc on se rend bien compte que le "timing" de cette catastrophe pourrait arranger les américains et l'Europe. voici un bel exemple de propagande atlantiste : http://tempsreel.nouvelobs.com/malaysia-airlines/20140720.OBS4230/crash-du-vol-mh17-mis-au-pied-du-mur-que-va-faire-poutine.html trop mort de rire. Un jour un journalope avait aussi qualifié la Russie de "géant aux pieds d'argile" trop lol aussi.

Sertes, laissons cela. Après les 10 question primordiales laissé sans réponse (voir article si haut). Vici encore un peu de bon sens : http://french.ruvr.ru/2014_07_21/Les-responsabilites-du-crash-de-l-avion-de-Malaysian-Airlines-5092/ Et se, après toutes cette propagande nauséabonde des merdias complice de l'empire.

Enfin Il serait souhaitable que l’enquête soit impartiale et intègre. Ce que craint Moscou et Pékin en particulier, étant donner l’acharnement de l’alliance.

C'est un peu brut de décoffrage, ceci dit cela vaut le coup d’œil :

Ministère de la Défense: Crash Boeing a coïncidé avec une période de plus de satellite Ukraine américain.
http://russian.rt.com/article/41847

Au moment de l’accident Boeing 777 dans le ciel de l’Ukraine à côté de lui était le plan ukrainien de la Force aérienne.
http://russian.rt.com/article/41842

Dix faits associé à l’accident du Boeing 777 que les médias occidentaux ignorent.
http://russian.rt.com/article/41810

Je sais pas pour vous mais le fait N°6

6. Aucun des habitants n’a pas vu le lancement de missiles, bien que le « Buk » réserve sa marque (panache).

Les résidents de la région de Donetsk ont assisté à l’accident sur ​​leurs maisons chute de débris et même les cadavres, mais il n’existe aucune preuve de panache de la fusée, qui est visible dans le ciel pendant près de dix minutes après le début.

Voila, maintenant voyons comment les choses risquent de se dérouler dans les jours à venir.


On a eu droit à une véritable orgie de mensonges, de propagande et de diabolisation crachée par les médias américains et européens. Que ce soit sur Internet, à la télévision ou dans les journaux, les médias ont mis les bouchées doubles pour mettre sur le dos de la Russie ou des « rebelles pro-russes » la responsabilité du désastre survenu en Ukraine.

Bien entendu, les gens bien informés de par le monde savent que les médias mainstream occidentaux fonctionnent comme une machine de propagande pour les intérêts des puissantes élites. Mais ce qui est étonnant, c’est à quel point ce lavage de cerveau est devenu effronté.

Sans aucun respect pour les victimes de ce crash et leurs familles, les médias occidentaux se sont bousculés pour sortir des tirades politiques de bas étage, obéissants qu’ils sont envers leurs maîtres.

La presse à scandale s’est jointe aux soi-disant revues « de qualité » pour effectuer un lynchage virtuel afin de pendre le président russe, Vladimir Poutine.

Le Daily Mail en Grande-Bretagne a publié en première page samedi : « Poutine a tué mon fils », citant la famille d’une des victimes britanniques à bord du vol. Le Daily Express a hurlé : « Les rebelles de Poutine ont détruit l’avion ». The Sun a vidé sa fosse septique en titrant : « Les pillards de Poutine volent une victime britannique ».

La presse prétendument plus relevée demandait également la tête de Poutine, mais d’une façon plus raffinée, c’est-à-dire trompeuse. The Independent titrait : « Les doigts montrent Poutine ». The Guardian quant à lui publiait : « L’Ukraine affirme que des “preuves irréfutables” montrent une implication russe ».

On a pu observer une manipulation médiatique identique ce week-end, que ce soit dans les médias européens ou américains. Presque aucun d’entre eux n’a exercé une quelconque forme d’indépendance dans leur traitement ou leur analyse des circonstances qui ont entraîné l’abattage du vol parti d’Amsterdam en direction de Kuala Lumpur.

Ce fut un cas d’école époustouflant de journalisme paresseux poussé à son paroxysme, ou, plus probable, de sinistre fabrication d’opinion publique par les conglomérats médiatiques et leurs maîtres politiciens.

Même des journalistes respectables comme Jon Snow, de Channel 4 au Royaume-Uni, s’est montré docile face à la version officielle, tel un singe dansant sur les notes d’une orgue de Barbarie.

Un aspect frappant fut cette meute frénétique venue montrer du doigt la Russie et le président Poutine pour le désastre, avec bien peu de preuves factuelles, mais énormément d’horribles insinuations et de ouï-dire colportés par le régime de Kiev, pantin des occidentaux. Il s’agit clairement d’un signe de la dégénérescence actuelle du journalisme occidental.

Par ailleurs, l’informateur de l’ensemble de la presse occidentale est clairement Washington et ses « responsables du renseignement américain » anonymes. La campagne « choppez la Russie » a débuté vendredi lorsque le président américain, Barack Obama, a envoyé son ambassadeur aux Nations unies pour commencer le sketch.

Samantha Power, ambassadrice des États-Unis aux Nations unies, a déclaré au Conseil de sécurité : « Nous pensons que le vol MH17 de la Malaysia Airlines, qui transportait 298 personnes d’Amsterdam vers Kuala Lumpur, a probablement été abattu par un missile sol-air, un SA-11 utilisé dans une région sous contrôle séparatiste dans l’est de l’Ukraine ».

Power a ajouté : « Nous ne pouvons pas exclure un soutien technique de personnel russe pour l’utilisation de ces systèmes ».

C’est toujours la même rengaine fabriquée par les Américains : adapter les faits à leur politique, qu’on a pu observer par le passé, des armes de destruction massive en Iraq, aux terroristes d’al-Qaïda en Afghanistan, de « l’intervention humanitaire » en Libye aux armes chimiques en Syrie.

Chaque fois, il a été prouvé que les États-Unis mentaient, magouillaient, manipulaient et fabriquaient des tissus de mensonge dans le but de commettre leurs projets criminels et guerriers, ou de forcer des changements de régime.

Le plus incroyable, c’est que l’institution la plus discréditée au monde, le gouvernement des États-Unis, a le droit de recommencer ses crimes, et ce grâce à un système de propagande médiatique corrompu et sans aucune crédibilité.

Pour rappel, le gouvernement des États-Unis n’a aucune preuve qui soutienne ses allégations concernant une supposée implication de la Russie dans l’abattage de l’avion de ligne malais en Ukraine, que ce soit via une aide directe ou indirecte aux forces d’auto-défense de l’est de l’Ukraine qui luttent contre le régime de Kiev, soutenu par l’Occident.

Le New York Times titrait : « Les États-Unis examinent les preuves d’une implication russe dans le crash du vol MH17″. Mais lorsque vous lisez l’article, il n’y a absolument aucun détail ni aucune preuve. Tout est affirmé sur base de confidences provenant de « sources du renseignement » anonymes.

Et puis vint la cerise sur le gâteau journalistique de piètre qualité dans ce même article du NYT : « L’Ukraine [lire le régime de Kiev] nie toute implication de ses forces militaires, et les responsables américains les croient ».

Alors nous-y voilà, il n’y a pas besoin d’envisager une quelconque possibilité que le régime de Kiev ait commis cette atrocité car la junte fasciste mise en place par la CIA le dit, et que les responsables des États-Unis croient leur propre créature criminelle.

Une variante de cette version au cours du week-end était que les rebelles de l’est de l’Ukraine manipulaient les preuves sur le site du crash, près de la frontière russe.

Le Washington Post a cité Arseniy Yatsenyuk, le Premier ministre marionnette de la CIA à Kiev : « Des terroristes dirigés par les russes empêchent l’accès au site du crash à la communauté internationale et aux gouvernements étrangers ».

The Post continue le travail : « Les responsables ukrainiens affirment que l’avion a été pris pour cible par des combattants séparatistes à l’aide de missiles sol-air, peut-être avec un soutien russe direct ».

C’est ainsi que fonctionne le système de propagande occidentale. L’insinuation basée sur des non-faits est galvanisée pour avoir l’air d’une preuve, tout en présentant les « coupables » comme des « terroristes » déshumanisés, préparant le terrain pour les objectifs politiques.

Il est également intéressant de remarquer que, au cours du week-end, Obama et son vice-président Joe Biden passaient des « appels téléphoniques » pour la forme à d’autres leaders, comme le président marionnette de Kiev, Petro Poroshenko, le Premier ministre britannique, David Cameron, et son alter-ego australien, Tony Abbott. C’est le classique « on accorde nos violons ».

Le problème, c’est que cette fois-ci, la machine de propagande occidentale a en face d’elle la Russie et ses services de renseignement très compétents.

La Russie n’est pas seulement en train de mettre posément l’Occident au défi de montrer ses soi-disant « preuves issues du renseignement » ; Moscou affirme désormais qu’elle dispose de ses propres informations compromettantes au sujet de ce qui est réellement arrivé au funeste vol malais.

Le ministre russe de la Défense affirme pouvoir montrer depuis les données de suivi numériques que les forces de Kiev soutenues par l’Occident étaient à proximité lorsque le vol a commencé sa chute, et que les radars des lance-missiles Buk utilisés à ce moment détectaient le malheureux avion de ligne.

Ironie du sort, Washington pourrait bien être en train de révéler une partie de la vérité lorsqu’ils affirment que les missiles sol-air ont été tirés depuis « un territoire de l’est de l’Ukraine aux mains des rebelles ». Le site pourrait être exact, mais les personnes qui ont appuyé sur la gâchette pourraient bien être justement les forces militaires que Washington soutient et dirige.

On a l’impression que la Russie a le viseur pointé, l’adresse pour abattre ces mensonges occidentaux, et montrer les politiciens et les médias occidentaux pour ce qu’ils sont : une entreprise criminelle qui fabrique des mensonges et des guerres.

Source : presstv Traduit par Coelho

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Quand tu lis un peu la presse sur la question en France, elle est beaucoup moins polémique que la presse russe ou les para-médias. Elle se contente de relater les faits, et pour le moment, ne donne aucune conclusion. Elle considère ce qui se passe à tel ou tel instant, et ce qui a été dit ou fait à tel ou tel instant.

Sur un article de Orange, par exemple, on parle de "gestes d'apaisement".

Ensuite, la question de la vidéo a déjà été traité... on a déjà donné ici une explication assez claire.

Sur le "panache" de la fusée, sont-ils systématiques ? ou dépendent-ils des conditions atmosphériques ?

Après, l'autre problème que vont devoir gérer les protagonistes, c'est que l'affaire ne leur appartient pas. Qu'ils soient russes, pro-russes ou ukrainiens, l'avion est malaisien, ce qui va l'impliquer dans l'enquête, et une bonne partie des victimes néerlandaise, ce qui va pousser la Hollande à avoir un rôle prépondérant dans l'enquête. Il ne s'agit donc pas d'une enquête interne, mais d'une enquête à un niveau international, où la Russie prendra part.

Evitons donc pour le moment de faire le jeu des médias, quel qu’ils soient, à prendre des théories pour des explications. Pour le moment, il faudrait plutôt attendre et suspendre son jugement. Cela commence par admettre qu'en l'état, plusieurs explications sont possibles.

La Russie dispose aussi d'excellents moyens de propagande.

Et encore faut -il être sûr que cette histoire de crash soit véridique ce dont je doute sérieusement, comme toutes les nouvelles qu'ils nous balancent régulièrement !

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