LA LETTRE DE Michel COMBE(adherent d'ACSEEPICA) à son deputé :
Monsieur le Député, Comme beaucoup de français, je me questionne au sujet des trainées laissées par les avions dans le ciel.
MonsieuToute ma vie, j'ai vu des trainées d'avions. Elles ne m'ont jamais parues anormales ni inquiétantes.Par contre ce que je vois aujourd'hui dépasse la logique.Là où nous connaissions des trainées d'une longueur grossièrement égale à 20 fois la taille de l'avion et qui disparaissaient au fur et à mesure que l'avion avançait, nous voyons aujourd'hui un véritable balayage du ciel avec permanence des trainées sur plusieurs heures.Les trainées ne se contentent plus de suivre l'avion mais s'étalent sur des dizaines de kilomètres en longueur (parfois d'un horizon à l'autre). L'avion largement disparu, les trainées sont toujours présentes. Elles se diffusent ensuite dans le ciel pour former un "nuage" atteignant fréquemment de l'ordre d'un kilomètre de large.
Comment les quelques gouttes, ou litres (?), sortant des réacteurs des avions peuvent-elles couvrir une telle surface? Le gouvernement relaie l'information issue de certains organismes nous affirmant qu'un réchauffement planétaire dû au CO2 est en cours. Mais quelle est l'influence sur la température de ces masses de vapeur d'eau qui arrivent à couvrir tout le ciel en quelques heures ?
D'où viennent ces trainées ?
J'ai eu l'occasion de les étudier depuis le début du printemps 2009.
Les avions de ligne : Ces avions qui laissaient autrefois une trainée de longueur limitée laissent aujourd'hui une trainée qui peut aller d'un horizon à l'autre.
Quel changement technique permet cela ?
S'il y a changement technique, comment se fait-il que personne ne le dénonce alors que l'on nous fait payer des taxes supplémentaires parce que nous utilisons notre voiture pour aller faire nos achats quand nous ne disposons pas de transport en commun ?
Pourquoi les compagnies aériennes peuvent-elles librement polluer notre atmosphère sans en payer les conséquences Les avions militaires :Ces trainées ne proviennent pas uniquement d'avions civils. De nombreux avions militaires participent à ces épandages.
Vous savez certainement que les avions civils et militaires volent à des altitudes différentes. Mes informations sont imprécises mais à ma connaissance les avions civils volent au dessus de 8.000 mètres d'altitude (vous avez sans doute pris l'avion plus souvent que moi et vous savez très bien qu'après que l'avion a atteint son altitude de croisière, le pilote vous annonce que l'avion vole à 10.000 mètres d'altitude).
Les avions civils passent à des heures régulières et l'on finit par les reconnaître à leur taille apparente. D'autres avions passent à des heures irrégulières, leur taille apparente me fait penser qu'ils ne volent pas à la même altitude que les lignes régulières. Pourtant ces avions lâchent parfois des "nuages de condensation" beaucoup plus épais que ceux des avions de lignes.....Cette condensation est d'autant plus étonnante que ces avions volent bas, à une altitude à laquelle il ne devrait pas avoir le choc thermique justifiant la condensation.
Je vais vous citer maintenant quelques expériences que j'ai personnellement vécu pour illustrer mon propos :
Le 25 mai, lors de ma promenade matinale, j'ai constaté ce qu'il faut bien appeler un épandage massif de «vapeur d'eau». J'ai pris quelques photos dont celle-ci http://acseipica.blogspot.com/
Vous pouvez y voir des trainées par groupe de trois suivant le même axe..
Vous pouvez également voir transversalement à celles-ci d'autres trainées plus anciennes dont je vous laisse évaluer la largeur et la longueur.
Monsieur le député, je vous pose la question : Estimez vous que ceci est un phénomène naturel issu de la condensation se formant à la sortie des réacteurs des avions?
Pour vous aider dans votre jugement, je certifie sur mon honneur, et je suis prêt à le faire devant les tribunaux s'il le faut, qu'après avoir vu ces traces, j'ai vu 3 avions volant de front bien en dessous de la limite des 8.000 mètres et répandant un lourd panache blanc.
Quels étaient ces avions ?
Un autre exemple : Cet été 2009, j'ai rendu visite à mes enfants. L'une habite dans l'Oise à Compiègne, l'autre dans le sud de la région parisienne. Dans les deux cas j'ai utilisé ma voiture pour m'y rendre. Dans le premier cas, j'ai constaté que sur les quelques 300 km qui me séparent de Compiègne, je n'ai ***à aucun moment*** vu un ciel bleu exempt de trainées aériennes.
Quelques semaines plus tard, je me suis rendu chez mon autre fille, dans la région parisienne, à environ 200 km. Le spectacle fut le même. ***Pas un espace de ciel non pollué***.Il y a des canaux aériens en France si je ne me trompe, Monsieur le Député. Comment se fait-il que des avions violent ces canaux pour épandre leur «trainées de condensation» où bon leur semble ?
Le troisième exemple s'est produit il y a quelques jours. Nous prenions notre repas du soir dans la véranda avec mon épouse et voici ce que nous avons constaté :La photo montre une dizaine de traces d'avion mais elle n'est qu'un instantané. Ces traces de sont révélées une à une et selon un ordre rigoureux. La première est apparue et a commencé à se diffuser. Elle a ensuite été suivie d'un autre trace, à droite de la première environ une minute après. L'avion ayant causé cette trace s'éloignant, un troisième est apparu, à droite du deuxième, et ceci s'est poursuivi selon un ordre rigoureux.
Comment expliquez-vous ceci, Monsieur le Député Bien que nombreuses théories fleurissent sur Internet, je m'en tiendrais aux faits que j'ai exposés :
Quels sont ces avions qui nous survolent ?
Dans quel but larguent t-ils sur nous de la «vapeur d'eau»?
Parce que toute cette réflexion en entraîne une autre, Monsieur le Député :
Etes-vous sûr, en votre âme et conscience, que ces largages n'ont aucune influence sur la santé de vos concitoyens et de vos proches? Etes-vous sûr qu'il n'y a aucune raison de faire un rapprochement quelconque entre ces largages et la pandémie mortelle que l'on nous annonce....
J'espère que vous tiendrez compte des craintes que j'exprime ici et que vous les exprimerez, selon le mandat qui vous est accordé par vos électeurs, à l'Assemblée nationale.
En ce qui me concerne, et avec les membres de l'association dont je fais partie et qui partagent les mêmes inquiétudes que je vous ai exprimé, nous allons tenter d'informer tous vos collègues et les journalistes car ce n'est qu'ainsi que nous avons une chance d'être écouté.
J'espère, Monsieur le Député, que vous entendrez notre appel et que vous ferez ce qu'il faut pour que vos confrères de l'Assemblée en fassent autant.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations vigilantes.
(lettre réalisée par Michel COMBE ORNE du site web : http://acseipica.blogspot.com/2009/10/toujours-plus-de-chemtrails-toujours.html )