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 la rencontre du président Eisenhower avec des extraterrestres

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xerox

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MessageSujet: la rencontre du président Eisenhower avec des extraterrestres   la rencontre du président Eisenhower avec des extraterrestres I_icon_minitimeMar 4 Nov 2014 - 8:50

Une rencontre aurait eu lieu entre le président des Etats-Unis Eisenhower et des visiteurs extraterrestres, dans les années cinquante.

Cette histoire s’est généralisée dans les milieux ufologiques au début des années quatre-vingt. Mais la rumeur qui circula en Californie du sud à l’époque et la toute première allusion à un tel évènement, remonte en fait à 1955, suite à un article de l’auteur Britannique Harold Wilkins. La principale interrogation venant, à deux reprises, d’une absence (jusitifiée à l’époque par une explication officielle, mais que l’on peut clairement mettre en doute, ou en tous cas, ayant permis une éventuelle « couverture » quelconque) dans l’emploi du temps du président, les 20 et 21 février 1954 et les 10 et 11 février 1955.
la rencontre du président Eisenhower avec des extraterrestres Ovni

Les évènements ayant étaient relaté à l’époque comme suit:

L’absence du 20 février 1954.

La Maison Blanche annonce les vacances d’hiver du président à Palm Spring en Californie, du 17 au 24 février 1954;

Le samedi 20 février dans la soirée, le président disparait alors pendant plusieurs heures, ce qui alimentera les conversations des journalistes qui suivaient les vacances du président. Dans une conférence de presse, organisée à la hâte, le responsable du service de presse de la Maison Blanche, annoncera que Eisenhower s’était cassé une dent et avait dût être transporté chez un dentiste local. Mais cette information ne rassurera pas la presse et les spéculations iront bon train, dans les éditions du soir du 20 février.

Le président réapparaitra le lendemain 21 février au matin à Los Angeles, pour assister à un service religieux. Par la suite, lors d’une réception le soir du 21, ce dentiste – le Dr Purcell - sera présenté officiellement comme étant le « dentiste qui avait soigné le président » (1).

L’absence du 11 février 1955.

Le 9 février, le président avait annoncé qu’il prenait quelques jours de vacances pour participer à une partie de chasse en Georgie.

Le lendemain 10 février, il décolle de la base d’Andrews accompagné de cinq personnes à bord de Air Force One (un autre avion le précède, rempli de journalistes et de correspondants des principaux médias). Air Force One se posera sur la base de l’Air Force de Spence et le président et sa suite, arriveront à Thomassville vers 16 h 30.
Là, dans la propriété de son Secrétaire au Trésor, George H. Humphrey, il chasse pendant une heure. Pour ensuite se rendre dans sa résidence de Milestone;

C’est à ce moment que le président Eisenhower disparait pendant 36 heures.

La raison officielle, annoncée par le porte-parole de la Maison Blanche, James Hagerty, serait que le président et son secrétaire devaient se remettre d’un rhume, et il raconta aux journalistes que le président se reposait en jouant au bridge.

Ces deux absences dans l’emploi du temps du président à chaque fois lors de vacances officielles, ont par la suite alimentées la possibilité, comme quoi cela n’était peut-être qu’un prétexte pour couvrir un événement beaucoup plus important, qui ne pouvait pas être divulgué au public. Et que Eisenhower pourrait dans les deux cas, avoir été facilement emmené jusqu’à un aérodrome militaire où aurait alors eu lieu un contact, avec des représentants extraterrestres.

La première rencontre du 20 février 1954.

En fait, dans la soirée du 20 février, le président s’est rendu dans la base de Muroc Airfield (qui sera dénommée plus tard, Edwards Air Force Base, photo ci-dessous).

la rencontre du président Eisenhower avec des extraterrestres 746px-Edwards_Air_Force_Base-_Calif-_main_base_area


La première source parlant d’une rencontre avec des extraterrestres est une lettre de Gerald Light (qui est l’une des trois sources de l’auteur Harold Wilkins, mentionné au début), du 16 avril 1954 à Meade Layne, alors directeur de Borderland Sciences Research Associates. Le fait que cette lettre existe ne fait aucun doute. Gordon Creighton, qui correspondait à l’époque avec Meade Layne, en avait reçu une copie, qu’il publiera d’ailleurs en fac-silmilé en 1999 dans sa revue « Flying Saucer Review » (volume 44/3). Light y affirmait qu’il y avait eu une rencontre avec des extraterrestres, ayant eu lieu à la base d’Edwards (à l’époque Muroc).

Le récit de la rencontre – qui sera publié dans la revue « Flying Saucer Revue » – provient du témoignage d’un pilote d’essai de la base d’Edwards, qui a préféré rester anonyme (mais qui parait sérieux, selon les enquêteurs, puisque d’autres faits et témoignages corroborent les dires du pilote). Voici comment les choses se seraient déroulées:

Cinq engins se posèrent à l’improviste sur la piste. Trois en forme de soucoupes et deux en forme de cigares. Eisenhower était alors en vacances près de Palm Spring et les autorités de la base de Muroc le contactèrent alors, pour lui demander de venir tout de suite.
Une fois arrivé sur les lieux, Eisenhower s’approcha des engins, accompagné d’un petit groupe d’assistants, et des êtres descendirent des véhicules. Ils avaient l’air humain, mais pas tout-à-fait, selon le témoin. Ils étaient chauves et avaient le crâne un peu plus grand que le nôtre. Ils n’avaient pas de scaphandre et pouvaient respirer sans problème. Ils parlèrent en anglais et dirent au président qu’ils souhaitaient mettre en place un « programme », pour que la population de la Terre puisse s’habituer peu à peu à leur présence. Eisenhower, très nerveux, répondit « qu’il ne croyait pas le monde prêt à apprendre cela et que de telles révélations créeraient une situation difficile pour tout le monde ». Les visiteurs extraterrestres montrèrent de la compréhension et qu’ils étaient d’accord avec lui, qu’ils se contenteraient de faire des contacts ponctuels plus nombreux, en ciblant des personnes isolées, pour que les hommes s’habituent à leur présence. Le président leur répondit que c’était bien ainsi tant qu’ils ne risquaient pas de semer pas la panique et le trouble sur la planète.
Ensuite, les visiteurs firent une démonstration de leur technologie. Ils démontrèrent leur maitrise de l’antigravité, de leur capacité à rendre leurs appareils totalement invisibles et indetectables par les radars. Cela troubla énormément le président et ceux qui étaient présent. Puis les visiteurs prirent congé et remontèrent dans leurs appareils et décollèrent.

Chacune des personnes présentent et témoins de la rencontre dût prêter serment de garder le silence et reçu l’ordre de ne jamais dévoiler ce qui s’était passé ce jour-là.

Un autre témoignage viendrait confirmer le fait que cinq engins se seraient bien posés sur la base d’Edwards dans la soirée du 20 février. C’est celui d’un sergent qui raconta à l’enquêteur Gabriel Green, qu’il participait ce soir là à un exercice de tir, sous les ordres d’un général. Ils furent soudain survolé par cinq ovnis et le général ordonna de tirer sur eux, mais les tirs n’eurent aucun effets. Et ils virent alors au loin les ovnis atterrirent sur la piste de la base, près de l’un des grands hangars.

Par la suite, après avoir lu l’article parut dans la revue »Flying Saucer Review », deux autres personnes – Don Johnson et Paul Umbrello – se manifestèrent pour raconter qu’elles avaient aperçu un ovni, à proximité de la base, moins de vingt quatre heures après la présumée rencontre (2).



La seconde rencontre du 11 février 1955.

En fait, on peut établir que le président avait quitté sa résidence de Milestone au petit matin, et avait été conduit jusqu’à la base de Spence, pour ensuite redécoller et se rendre à la base de Holloman (anciennement dénommée Alamogordo) au Nouveau-Mexique.
Un pilote de la base de Holloman (qui a préféré garder l’anonymat) à raconter la rencontre dans un document de sept pages, qu’il a envoyé à l’enquêteur Art Campbell. La rencontre se serait déroulée comme suit:

Air Force One (l’avion présidentiel de l’époque était un Colombine III) s’est posé à Holloman le 11 février vers 9 heures du matin et s’est immobilisé au bout de la piste 13, après avoir fait un demi-tour. Voyant l’avion présidentiel atterrir, des membres du personnel de la base (près de 300 personnes) se massèrent sur un côté de la base. Ils virent l’avion immobilisé, les moteurs à l’arrêt, placé curieusement, dans un endroit reculé des autres bâtiments et hangars, à 800 mètres en bout de piste.

Les employés civils et militaires présents reçurent alors l’ordre de retourner à leurs travail et que tout devait se dérouler comme d’habitude, durant la visite du président. Dix minutes après l’arrivée de l’avion présidentiel, ordre fût donné de couper tous les radars (et certaines lignes téléphoniques de la base auraient été elles aussi coupées).

Peu de temps après, un ovni vint se poser à cent mètres devant Air Force One. Un homme (que l’on suppose donc être Eisenhower) fût aperçu en train de sortir d’Air Force One et s’approcher de l’engin qui était au sol, puis pénétrer à l’intérieur. Au bout de 45 minutes, l’homme est sorti de l’engin pour remonter dans Air Force One. Un second ovni s’était maintenu au-dessus de la piste, pendant toute la durée de cette rencontre.

Le président et le commandant de la base se sont adressé par la suite à un groupe de 225 militaires et civils dans un hangar et ensuite une deuxième fois dans la salle de cinéma (on pense que cela était pour ordonner le secret absolu sur la visite).



Le témoignage de Bill Kirklin.

Il existe un autre témoin, nommé Bill Kirklin, qui était médecin à la base de Holloman à l’époque des faits. Ce dernier à raconté ce qu’il avait entendu le 11 février 1955, à l’enquêtrice Paola Harris, en marge d’une conférence sur les ovnis de Steeve Bassett en avril 2009 à Washington DC. La conversation entendue entre deux officiers se déroule pendant la pause-café et Kirklin la relate comme suit:

Officier1 : « Je suis l’officier de garde pour la journée. Air Force One vient d’arriver. »

Bill Kirklin : « Que se passe-t-il ? »

Officier1 : « Il s’est posé, a tourné et s’est arrêté. » Après une pause, l’officier ajouta : « On nous a dit de désactiver le radar. »

Bill Kirklin : « Pourquoi devait-on désactiver le radar ? »

Officier1 : « Je ne sais pas, nous avons juste obéi. »

Officier2 : « J’ai entendu dire que celui qui avait été descendu près de Roswell l’avait été à cause des radars. » (On suppose que l’officier devait parler du crash de Roswell).

L’un des officiers a demandé à l’autre si il avait vu les visiteurs, mais l’autre a répondu que d’où il était, même avec des jumelles depuis la tour de contrôle, il n’avait pas pût les voir. Kirklin a finalement demandé aux officiers qui ils étaient, mais il ne lui répondirent pas et cachèrent leurs badges de sécurité, pour ne pas qu’il voit leurs noms. Kirklin n’insista pas et retourna ensuite à ses occupations.

Une chose a étonné Kirklin, c’est que d’habitude, lorsque le président arrivait avec Air Force One, un comité de réception avec une parade était organisé. Mais l’habituelle parade avait été annulée la veille de l’arrivée du président (un indice que la rencontre avait été préparée. Et non qu’elle se serait déroulée à l’improviste).

Dans la matinée, Bill Kirklin s’apercevra de l’absence de son officier supérieur, Dorsey Moore. Une fois de retour, Moore s’éxpliquera plus tard en disant que lui et son épouse avaient observé dans la matinée un grand disque de métal en position stationnaire au dessus de la piste d’envol. Moore disait qu’il faisait 6 à 10 mètres de large. Ils l’avaient vu en allant au service de l’économat, le disque était toujours là lorsqu’ils étaient revenus.
Kirklin demanda la permission de quitter l’hôpital pour aller voir si l’objet était toujours-là, mais il ne l’obtint pas et ne pût aller voir le disque. Plus tard dans la journée, Kirklin sera questionné par un sous-lieutenant pour lui demander s’il avait vu ou non quelque chose sur la piste ce jour-là. Kirklin lui dira qu’il n’avait rien vu, mais lui racontera ce qu’il avait entendu (la conversation des deux officiers).

Plus tard dans la journée, Kirklin, en cherchant son supérieur, se rendra compte que Moore avait disparu une seconde fois. Kirklin demandera à Moore où il était allé et Moore lui répondra qu’il avait assisté à une réunion. Il en saura plus sur cette réunion un peu plus tard.

Après le diner, Kirklin ferma l’hôpital et entendit une autre conversation entre un docteur et un lieutenant. Le lieutenant racontait qu’il y avait eu plusieurs réunions dans la salle de cinema de la base avec plus de 250 hommes, chacune présidée par le commandant de la base et le « Commander-in-Chief » (donc le président des Etats-Unis, Eisenhower). Kirklin demanda s’il voulait dire le président mais le lieutenant ne faisait que répéter « Commander-in-Chief ». Malgré l’insistance de Kirklin, le lieutenant resta très vague sur le sujet des réunions, en disant que les conversations étaient « classifiées ». « Confidentielles ?’ » demanda Kirklin. « Plus que ça » répondit le lieutenant. « Secret ? » insista Kirklin. Le lieutenant répéta encore « Plus que ça », et sans doute exaspéré par ces questions, qu’il fallait « qu’il se mêle de ses oignons ».

De retour dans sa chambre dans la soirée, Kirklin verra Air Force One décoller et quitter la base. Il peut donc confirmer que le président s’était bien rendu à la base de Holloman ce jour-là.

Voici la vidéo des déclarations de Kirklin à la « X Conférence » sur la rencontre du président Eisenhower, avec des extraterrestres à la base de Holloman.




Un film existe de l’une des rencontres.

Selon certains enquêteurs, une rencontre aurait bien été filmée. Mais les dates diffèrent sur l’année exacte de la rencontre en question (on parle du 26 avril 1964, comme étant la date la plus probable), ce film ne concernerait donc pas la première rencontre avec le président Eisenhower (mais rien n’interdit de penser que le premier contact ait lui aussi été filmé). Mais le lieu serait bien la base de Holloman. L’existence de ce film a été confirmée en 1988, par le responsable de la sécurité des archives audiovisuelles de l’Air Force, Paul Shartle. Ce dernier déclare même avoir vu lui-même le film (3).

Les extraterrestres décrits semblent eux identiques, mais les circonstances de la visite ne correspondent pas aux deux rencontres auxquelles auraient participé Eisenhower, montrant qu’il doit s’agir encore d’un autre contact. Dans celui-ci, la rencontre aurait été établie suite à une préparation, par des communications au préalable. Trois engins en forme de disques étaient arrivés, mais un seul avait atterri. Les deux autres restant à survoler la zone. Les être portaient des vêtements collant et un casque servant à communiquer. Ils avaient une taille comparable aux humains, mais un teint beaucoup plus pâle, gris « terreux » avec une tête légèrement plus grande et un nez plus long et pas formé comme le nôtre (plus comparable à un bec de rapace) (4). Ils seraient venu pour récupérer des corps de leurs compatriotes, et aussi échanger des informations avec des scientifiques.



Le bilan des rencontres.

On peut préciser certaines choses, même si on ne connaît pas le nombre, la date et le lieu exact de toutes les rencontres, et ce qui en a découlé. Mais le point sur lequel s’accordent plusieurs témoins et acteurs, liés au phénomène extraterrestre, c’est bien de contacts et d’une réelle collaboration existante, entre des visiteurs extraterrestres et les Etats-Unis. Concernant les contacts proprement-dits, il y a le témoignage de Milton William Cooper, qui est peut-être le plus significatif (mais il n’est plus le seul à y faire allusion, parmi les anciens éléments de l’armée ou des services de renseignements).

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Les déclarations de Milton William, « Bill » Cooper.

Cooper est un ancien de l’US Navy qui a servi à l’ONI, « Office of Naval Intelligence », les services de renseignements de la marine (c’est à ce moment qu’il aura accès à plusieurs documents classifiés).
D’après lui, un traité avait été établi entre une civilisation extraterrestre, qu’il appel les « gris au long museau » (mais lors de la rencontre, aurait été aussi présent des « petits gris » classique), qui les autorisaient à procéder à des enlèvements ponctuels limités pour une étude de la population humaine, et à avoir leurs entrées dans quelques bases sur le territoire des Etats-Unis, en contre-partie d’une part de leur savoir et de leur technologie.
Un programme d’échange entre les extraterrestre et les Américains, aurait été décidé pour une étude éthnologique concertée (16 Terriens se rendant sur la planète des extraterrestres, tandis que 16 « gris », resteraient sur Terre) (5). Ainsi que la décision d’échanger des ambassadeurs permanents (le programme pour mettre en place des relations diplomatiques s’appellerait le « Projet Platon »). Et les deux bases construites dans les années qui suivirent, l’auraient été, l’une pour des travaux conjoints « humains-E.T. » (la base « S-4″, celle de la zone 51 dans le Névada) et une autre, qui serait spécialement dévolue pour abriter les E.T. (celle de Dulce, aux Nouveau-Mexique). Cette dernière a été surnommée « The dark side of the Moon », « la face cachée de la Lune » (en rapport aux recherches secrètes et inconnues qui s’y dérouleraient).
Mais au bout d’un certain nombre d’années, les personnes enlevées atteignant un nombre sans cesse plus élevé, et bon nombre d’entre elles, ayant même reçu des implants, les autorités Américaines se seraient rendu-compte qu’elles s’étaient bel et bien faites berner et qu’elles ne pouvaient plus fermer les yeux sur ces agissements. Les « gris » ne respectant pas leur part du contrat.




Dans la foulée, à la même période, un autre type d’extraterrestre que l’on surnomme les « nordiques » (à l’apparence humaine) auraient eux aussi pris contact avec le gouvernement des Etats-Unis, pour mettre en garde les Terriens contre les agissements des « gris » et pour proposer leur aide, dans le but de faire avancer la conscience spirituelle de l’Humanité, en échange d’un démantèlement complet de l’arsenal nucléaire au préalable (pour eux, la planète s’acheminant petit-à-petit inéluctablement vers son auto-destruction). Mais les militaires estimant la chose irréaliste (et qui aurait rendu les Etats-Unis vulnérable) les visiteurs ne furent pas écouté et ils rejetèrent leur proposition.



Il y a donc bien eu effectivement au moins une rencontre entre des membres des autorités Américaines et des représentants extraterrestres. Concernant Eisenhower, plusieurs témoignages concordant, montrent qu’il s’est en fait bien rendu à la base de Holloman. Pour ce qui est de l’évolution des relations entre les Américains et les « gris », il y aurait en fait deux franges, chez les extraterrestres. L’une voulant le bien de l’Humanité et une autre, n’ayant aucune compassion ni aucune pitié pour le genre humain.
Pour ce qui est des « nordiques », ayant été éconduit suite à leur offre, il semblerait qu’ils aient décidés de ne pas s’impliquer plus avant dans les affaires humaines, mais n’auraient pas exclu la possibilité d’une intervention unilatérale, pour contre-carrer une éventuelle utilisation de l’arme nucléaire au cour d’une possible troisième guerre mondiale.

On peut ajouter que le fait qu’un contact ait bien eu lieu entre des représentant d’un autre monde et le gouvernement Américain – tout comme il existerait aussi deux tendances distinctes au sein même des E.T., qui seraient antagonistes et n’auraient pas les mêmes intentions à notre égard – se trouve être confirmé par l’ancien vice-premier ministre et ancien ministre de la Défense du Canada, Paul Hellyer. Et également le témoignage d’un représentant du New Hampshire, Henry W. McElroy, qui eu un jour entre les mains, un document pour le président, mentionnant que des extraterrestres étaient présents sur le territoire des Etats-Unis. (7)



Le Général MacArthur avait-il été mis au courant d’un contact avec des extraterrestres ?

Le général MacArthur avait le grade de « général cinq étoiles » (« général d’armée, commandant en chef »), connaissait évidemment Eisenhower, et avait un rang qui aurait pût lui permettre de recevoir une telle confidence, même divulguée au cour d’une conversation privée, entre anciens « frères d’armes » (Eisenhower avait été le commandant en chef des forces Alliées en Europe et MacArthur le commandant en chef des forces Alliées dans le Pacifique). Sans compter son statut au coeur de la Défense Américaine à l’époque (il avait été le chef des forces Alliées pendant la guerre de Corée).

Cela ne doit pas être exclu, car dans un article paru dans le New York Times le 8 octobre 1955, sur la visite que fît MacArthur à la mairie de Naples (Italie) le 7 octobre 1955, reprenant les propos du général avec le maire de Naples, Achille Lauro, le général avait eu cette phrase, qui passera presque inaperçu à l’époque, mais que l’on peut juger tout-de-même assez surprenante:

« En raison des développements de la science, tous les pays du monde devront s’unir pour survivre et faire front commun contre une attaque par des gens d’autres planètes. La politique de l’avenir sera cosmique, ou interplanétaire ».

De plus, lors d’un discours à West Point, devant les élèves de l’école militaire le 12 mai 1962, MacArthur aura ces phrases:

« …Nous employons un vocabulaire étrange, par exemple: la mise en valeur de l’énergie cosmique;… …d’un conflit ultime entre la race humaine unie et des forces sinistres, venant de quelque autre planète de la galaxie ».

Sans vouloir le dire ouvertement, MacArthur pourrait bien avoir fait allusion aux extraterrestres et aurait peut-être avoir été au courant de la rencontre du président Eisenhower.



(1) Dans les archives présidentielles, qui repertories les moindres faits et gestes de Eisenhower, on ne trouve aucune référence à une visite chez un dentiste, ni aucune mention d’une intervention dans son dossier médical. Mais la veuve du Dr Purcelle qui sera interrogée, si elle ne se souvient d’aucune visite du président au cabinet de son mari, se rappelle très bien la réception du 21 février au soir, auxquels ils avaient été invités, et au cours de laquelle Purcell fût présenté comme le dentiste qui avait soigné le président.

(2) Leurs dires seront confirmés par un passage au détecteur de mensonge, administré par Charles McQuiston, co-inventeur de l’appareil.

(3) Dans l’émission de télévision « UFO Cover-Up ? Live! », diffusée le 14 octobre 1988. Shartle était présent et le mentionne bien durant l’émission. Pour voir l’émission (en VO), cliquez sur le lien link

(4) Dans le milieu ufologique, on donnera à ce type d’entité le nom de « gris au long nez » ou encore « gris au long museau », pour les distinguer des « petits gris » classiques.

(5) Pour plus d’informations, voir « Les Black Program: Le Projet Crystal Knight ».

(6) Il y aurait eu une intervention pour tenter de délivrer plusieurs centaines d’humains détenus dans les sous-sols de la base de Dulce, voir « Témoignage sur les Black Program U.S. (Partie 1) ».

(7) Voir « Révèlations fracassantes sur les ovnis », et « Présence extraterrestre: Ce que savait le président Eisenhower », dans la catégorie « Témoignages et révèlations ».

Sources:
« OVNIS: La levée progressive du secret », par Gildas Bourdais, Editions JMG;
« ULTRA TOP-SECRET – Ces ovnis qui font peur, par Jean Sider, Editions Axis Mundi;
« Le gouvernement secret », par Milton William Cooper, Editions Louise Courteau Editrice;
www.ovnis-usa.com;
www.ufotv.com;
www.openminds.tv.
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