Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake"
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orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 8:16
Bonjour, Ca deviens de plus en plus grave en France les libertés tombent une à une et On se dirige vers un état totalitaire. Vu que la France se trouve en zone Euro doit-on parler d'un modèle du genre ? Qui tôt ou tard ce calquera sur tout les autres pays de la zone Euro ? La chasse au fake news est devenu la priorité pratiquement dans tout le monde occidental vu qu'on en parle aussi beaucoup aux Etats-Unis. Le problème est que le contexte est flou, on ne peut réellement savoir sur quels critères ils s'appuient pour décréter quels infos seraient fake, ou pas. Revenons à la France lorsqu'on vois de plus la personnalité équivoque en la personne de Nathalie Goulet, donneuse de leçon qui ferai mieux de se regarder dans le miroir avant de se lancer dans pareil chasse aux sorcières. Il serait vraiment scandaleux qu'un projet de loi proposé par une personne aussi polémique puisse donner suite. Orné
Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake"
La sénatrice UDI de l'Orne, Nathalie Goulet, a déposé une proposition de loi pour sanctionner les auteurs de fake news d'un an de prison et 15 000€ d'amende.
Mettre en prison les auteurs de fausses informations: en voilà une drôle d'idée. Grave dérive autoritaire qui nous pend au nez. Le pire dans tout ça, c'est que l'interprétation d'une fausse nouvelle est tout à fait laissée libre à l'interprétation de chacun. On nous dit que ces fameuses "fake news" auraient permis à Trump de l'emporter mais concrètement, aucun média ne précise de quoi on parle par exemple.
De la santé de Clinton? Certainement pas faux, puisqu'elle c'est évanouie comme une masse lors des commémorations du 11 septembre et qu'il s'avérait qu'elle avait une pneumonie. Le pizzagate? Très loin d'être une fausse nouvelle puisque des menaces de mort ont été proférées par l'un des protagonistes du scandale et qu'une page contenant de la pédopornographie a été découverte sur le serveur du Comet Ping Pong.
Parallèlement, NathNathalie Goulet a donné des exemples concrets de ce qu'elle considère être des fakes news:
@senateur61 Trump n'a jamais parlé d'un attentat en Suède. Il parlait des viols et agressions. Ce n'était pas une fake news (voir liens). pic.twitter.com/txrm5SwkdV
Peut après, avoir interrogé la sénatrice sur Twitter sur ces propos mensongers, je constate que l'article relayant ses propos a été corrigé:
Eh oui, elle s'est manifestement rendu compte qu'elle véhiculait elle-même...une fake news. Des viols ont bien été commis par des migrants en Allemagne (pas qu'un peu et pas uniquement à Cologne d'ailleurs). De même, les propos qui ont été attribués à Trump sur un prétendu "attentat en Suède" était un fake grossier monté de toute pièce par la presse (qui elle ne sera jamais condamnée alors qu'elle cause un tort incontestable avec ce genre de ragots).
Voilà donc les exemples de la sénatrice pour montrer les torts causés par les fausses nouvelles...ça promet.
D'ailleurs, le texte proposé cible précisément les médias alternatifs avec des peines plus sévères:
["« Art. 226-12-3. - Les peines sont portées à trois ans d'emprisonnement et à 75 000 € d'amende :
« 1° Lorsque l'infraction définie à l'article 226-12-1 est réalisée par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;
« 2° Lorsque l'infraction définie au même article 226-12-1 est commise par une personne qui prend indûment la qualité d'une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public ;
« 3° Lorsque l'infraction définie audit article 226-12-1 est commise par une entreprise éditrice de presse en ligne au sens des articles 1er et 2 de la loi n° 86-897 du 1er août 1986 portant réforme du régime juridique de la presse ou par une agence de presse au sens de l'article 1 er de l'ordonnance n°45-2646 du 2 novembre 1945 portant réglementation des agences de presse ;
« 4° Lorsque l'infraction définie à l'article 226-12-1 du présent code est commise par une personne qui prend indûment la qualité d'une entreprise éditrice de presse en ligne au sens des articles 1er et 2 de la loi n° 86-897 du 1er août 1986 précitée ou par une agence de presse au sens de l'article 1er de l'ordonnance n°45-2646 du 2 novembre 1945 précitée ;
« 5° Lorsque l'infraction définie à l'article 226-12-1 du présent code est commise afin de percevoir des revenus publicitaires."
« Art. 226-12-5. - Les peines sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 100 000 € d'amende lorsque l'infraction définie à l'article 226-12-1 est commise en bande organisée.
Si une telle mesure était votée, cela mettrait indéniablement le coup de grâce à la liberté d'expression en France.
Qui osera encore tenir un média alternatif sereinement en sachant qu'une peine de prison allant jusqu'à 5 ans (et une amende impayable) pendra au nez des administrateurs de ces médias à chaque article qu'ils publient?
Lien connexe : Une proposition de loi pour lutter contre les «fake news» en France, pour qui, pourquoi ?
Source : Fawkes News
Invité Invité
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 9:45
Spoiler:
Dernière édition par louturquoise le Lun 29 Mai 2017 - 3:50, édité 3 fois
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 9:57
Bonjour, En aucun moment je n'affirme qu'il n'ait pas de "fake news" en Belgique, je précise la France tout simplement par ce que le projet de loi vise la France. Mais en substance je préviens qu'à terme cela risque de concerner toute la zone euro.
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 12:52
Je pense pas que des gens qui écrire des articles avec de la propaganda ou qui sont orienter pro ou anti quiquonc qui risque des amendes ou de la peines (pines) de prison ,,, mais ceux qui écrire des articles rempli de mensonges et/ou fausse info qui risque de pousser des lecteurs a faire des chose, meurtres,,, qui pousse des lecteurs a pas faire des chose, comme se vacciner ou se soigner, et pousse des lecteurs de utilise d'autres méthodes qui ne vaut rien. Si des gens croire a des fausse infos dans certains articles et suivre les conseils et qui meurt, ou tue,,,, ça risque d'avoir des poursuites.
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Invité Invité
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 13:39
Spoiler:
Dernière édition par louturquoise le Lun 29 Mai 2017 - 3:50, édité 2 fois
safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 15:08
Les autorités les premières mentent, diffusent de fausses infos, les programmes présidentiels sont truffés de choses qui ne seront jamais réalisées, il y aura beaucoup d'élites qui finiront derrière les barreaux.
Je ne sais comment madame Goulet arrivera à faire condamner Trump.
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Dim 26 Mar 2017 - 16:25
Bonjour louturquoise, tu as un beau chien. (ton avatar).
C'est vrai ils sont marrants, on dirait qu'ils se font rattraper par leur cupidité.
Ils ont l'air de se planter tous autant qu'ils sont pourtant tout ce remue-ménage toutes ces bourdes, toutes ces escroqueries exposées à la vue du peuple servent à le pousser à se révolter, à se dépasser dans la violence.
Les dirigeants ont imaginer et tendu un piège gigantesque aux populations, quand nous pensons avoir mis à nu leur plan machiavélique il s'avère qu'ils avaient prévu justement qu'il serait découvert. Dans un sens ils dispersent des tas de fakes, en sachant que les citoyens s'empresseront de s'en emparer avidement. Les esclaves ignorent qu'en fait ça sert à occulter les vrais projets planifiés pour eux par les Elites.
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akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Mar 28 Mar 2017 - 22:16
Bonsoir mes frères & soeurs :) A y regarder de plus près et avec un certain recul, madame Goulet ne semble pas être nécessairement cette Cerbère des média complice de la globalisation. Ni de vouloir à tout pris mener une guerre à l'encontre d'une certaine presse. Restons néanmoins sur nos garde, mais ne jetons pas non plus trop vite du discrédit sur ce qui pourrais au final cacher des intentions moins radical et surtout orientée. Voyez cet interview ou madame Goulet semble la jouer avec sincérité et pondération. Puis une chose st sûre, elle est encore loin d'être votée cette loi. Akasha.
Proposition de loi sur les Fake News : quand Reflets rencontre Nathalie Goulet
Nathalie Goulet, sénatrice de l’Orne (UDI)
28 mars 2017 par drapher
Le vendredi c’est trolldi, c’est bien connu. Un journaliste gonzo, même au minimum de sa forme se doit donc de troller un peu ce qui mérite le troll. Il se trouve que ce vendredi 24 mars 2017, le trolldi est tombé sur Nathalie Goulet, la sénatrice de l’Orne. Il faut dire que la situation méritait quand même de secouer un peu le cocotier : la sénatrice avait lancé qu’elle envoyait au Sénat le 30 mars une proposition de loi pour réprimer les Fake News sur Internet, avec amende de 15 000€ et peine d’un an d’emprisonnement à la clef.
Le texte une fois lu, pas plus rassuré qu’auparavant, je décide donc, suite à un accès de tweets #pasgentils à @senateur61 avec le compte @_Reflets_, de demander une interviouve à la sénatrice. Et comme c’est quelqu’un ouvert d’esprit et qui s’intéresse vraiment à Internet, qui a voté contre la Loi renseignement, elle accepte immédiatement. Rendez-vous lundi au Sénat, pour un entretien-discussion (qui durera 52 minutes), que votre serviteur vous retranscrit en partie, pour comprendre à la fois la volonté de la sénatrice, et les tenants et les aboutissants de toute cette affaire.[/b]
17h, lundi 27 mars 2017 : J’arrive au 15 Rue de Vaugirard, des plantons plutôt sympathiques me laissent entrer dans l’illustre bâtiment. A l’accueil on m’explique que c’est en face, au 26. Je n’avais pas pris le temps de lire le DM de la sénatrice qui me l’indiquait. Tant pis pour moi.
17h05 : Au 26 rue de Vaugirard, contrôle par scanner des affaires du gonzo-journaliste de Reflets. Pas de problème. Je monte à l’étage par un escalier et cherche le numéro de bureau que l’on m’a indiqué. Je frappe, une voix féminine me dit d’entrer, je rentre et me voilà devant la sénatrice Nathalie Goulet. Un bureau plutôt sympathique, pas immense, mais avec beaucoup de bois, des décorations sur les murs, des ordinateurs, des bouquins, bref, on se sent plutôt à l’aise. La sénatrice m’invite à m’assoir, je m’exécute et nous entamons très vite la discussion. Avant même de lancer l’enregistreur, Nathalie Goulet m’avoue qu’elle y est allée « un peu fort » en proposant un an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende. Je grimace un sourire d’acquiescement, et finit par rire. « Oui, un peu fort, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais le problème ne se situe peut être pas vraiment là ? »
17h08 : Je lance l’enregistrement et la sénatrice débute par une explications du sujet qui nous préoccupe : les Fake News.
Nathalie Goulet : « Le texte que j’ai déposé est là pour ouvrir le débat. Au niveau de l’information, si c’est de la diffamation, de l’injure, c’est couvert par la loi. Moi j’appelle Fake News un attentat qui n’a pas existé, par exemple. C’est avant tout la fabrication du doute. L’opinion publique est faite de telle façon aujourd’hui, que la crédibilité des uns et des autres va plus à ceux qui lancent des scoops. Il y a un contexte général qui n’est pas favorable à la vérification de l’information. »
Drapher : « Oui, et ça me fait venir sur le terrain de l’orientation de l’information. Une information à un moment donné peut être considéré comme fausse ou mensongère, puis devenir l’inverse. Je pense à la Syrie, avec les groupes de rebelles qui étaient « révolutionnaires », et ceux qui commençaient à expliquer qu’ils étaient majoritairement issus d’Irak, du Liban, financés par des monarchies et tirés des rangs d’Al Quaïda se faisaient traiter de pro Assad, et pouvaient se voir accuser de pratiquer de la désinformation. En 2017, tout le monde sait et s’accorde à dire que ce sont des groupes armés islamistes… »
N.G : « Les armes de destruction massive, c’était une Fake news et ça a semé le chaos et tué des milliers de personnes. Je sais bien que le prisme du ministère des affaires étrangères n’est pas aussi simple qu’il en a l’air, et on n’est pas dans la nuance sur un certain nombre de choses. Sur les zones de conflit, j’ai une position très claire : ce qui est vrai le soir peut être faux le lendemain, donc je ne rentre pas les Fake news dans cette catégorie. Il faut donc vérifier les informations »
D. : « Mais qui va définir le mensonge ? Si on définit le mensonge, il faut définir la vérité ? Qui va le faire ? »
N.G : « Oui, je suis d’accord, mais il faut mettre le débat sur la table. Cette histoire de Fake News peut prendre des proportions inquiétantes. Si les réseaux avaient existé au moment du protocole de Sion, je ne suis pas sûre du résultat que ça aurait eu… »
D : « Les défenseurs des libertés du net dont je fais partie en tant que journaliste de Reflets ne sont pas contre le débat à ce sujet. Mais commencer par « 15 000 euros d’amende et un an d’emprisonnement », c’est une entrée en matière qui n’incite pas vraiment à y aller »
N.G : « J’ai fait vérifier par les services du Sénat, le droit existant n’est pas suffisant pour poursuivre et condamner. »
D. « Si on se situe dans le droit uniquement, par rapport à Internet et les Fake News, certainement. Mais le problème n’est pas là à mon sens… »
N.G : « Mon sujet c’est de qualifier les Fake News, ce que je ne sais pas faire toute seule. Comment y remédier sans pour autant institutionnaliser une vérité d’Etat, ce que je ne veux pas ? Quand vous avez un élément qui est manifestement un mensonge, avec la mauvaise foi qui va avec, vous avez derrière des conséquences, et n’est-ce pas au législateur de réfléchir à la chose ? »
D. : « Je vous donne un exemple, avec le fameux café interdit aux femme, où deux journaliste de France TV sont allées et ont ramené un reportage qui a déchaîné les passions sur Internet. Ce reportage a été entièrement démonté par le Bondy blog qui sont allés vérifier que tout était faux, fabriqué. Des femmes venaient dans ce café, et le quartier entier était choqué par ce reportage. Les journalistes avaient décidé de ramener ce sujet avec cet angle, et elles se sont débrouillées pour le faire. Qu’est-ce qu’on fait dans ce cas là, on met en prison les deux journalistes avec 15 000€ d’amende ? »
N.G : « Oui, mais le sujet c’est que ma loi comme vous l’appelez, c’est un produit d’appel, et qu’on se mette autour d’une table pour en discuter. Moi je vois qu’il y a un trou dans la législation. Il y a un éventail très large de fake news, et il y a des conséquences. Il y a des victimes. »
D. : « Ok, je suis d’accord. Mais dans le cas de la fake news Trump, avec les attentats en Suède, bien qu’il n’ait jamais parlé d’attentat mais sous-entendu qu’il s’était passé quelque chose, qui est la victime ? »
N.G : « Moi je pense qu’il faut une graduation, mais il faut une définition. C’est vraiment un produit d’appel cette loi. Si on ne réfléchit pas tous ensemble, ça va être terrible. Je suis affolée par la violence sur les réseaux sociaux, par la société écorchée et le manque de tolérance dans l’absolu. Il faut en débattre. J’ai fait ça il y a peu avec le syndicat des journalistes sur la personne morale des rédactions, il y a un problème de droit énorme parce que les rédactions ne sont pas protégées. »
D. : « On est quand même dans un dialogue difficile, parce que d’un côté vous me dites que c’est pour ouvrir le débat, et dans le même temps il y a le droit. Le fait de réprimer les fake news. »
N.G : « Parce que le seul outil que j’ai ici c’est le droit. Il faut que vous compreniez quelque chose, la majorité des parlementaires ne sait pas faire vraiment bien fonctionner son téléphone portable, et vous leur demandez de devenir des spécialistes des blocages de site, des boites noires, des algorithmes, etc. Le seul moyen, parce qu’on a très peu d’outils, c’est de déposer quelque chose pour avoir un outil de travail« .
D. : « Il faut quand même voir que Dan Shefet avec qui vous avez travaillé pour ce texte est très orienté dans la voie d’une régulation d’Internet, et qu’on se demande bien quand même comment il n’en sortira pas une régulation, de cette proposition… »
N.G : « Si c’est ça c’est pas mon objectif. Parce que je fais partie des gens qui considèrent qu’on ne peut pas réguler le net. »
D. : « Ben, si vous voulez réprimer les fake news sur Internet, vous allez devoir réguler Internet… »
Je prends une tête de gonzo journaliste contrit et attend avec une impatience la mieux dissimulée possible la réponse. Parce que ça devient vraiment intéressant. Je trouve.
N.G : « La réalité de ce qui m’intéresse moi, c’est : est-ce qu’on peut définir ces fake news, cerner ce sujet. Je n’ai pas d’autre outil pour engager un débat avec les professionnels d’Internet et les journalistes. Est-ce qu’il faut les éviter, comment ? »
D. : « Mais la question est justement peut être là : faut-il les éviter ? »
N.G : « Je ne me résous pas à ce qu’Internet soit une zone de non-droit »
D. : « Mais ce n’est pas le cas. Il y a des gens qui passent en procès pour leurs actes sur Internet, il y a des plaintes, la justice est active sur Internet. »
N.G : « Oui, mais c’est long et compliqué… »
Et là, le gonzo journaliste part dans une longue diatribe. Ca ne se fait pas dans le journalisme standard. Mais tant pis.
D. : « Je crois qu’on est sur une confusion des choses. On confond le symptôme et le mal. Je vous prends un exemple, avec l’exemple du moustique et du marteau dans une pièce humide. Il y a ceux qui prennent un marteau pour essayer d’écraser le moustique et ceux qui se posent la question « pourquoi le moustique est rentré ? » Peut-être parce qu’il y a de l’humidité, et qu’il faut assainir la pièce. Pour que le moustique ne revienne pas. Internet c’est exactement pareil. Vous n’arriverez jamais à écraser le moustique. Et même si vous arrivez, il y en aura dix qui reviendront. A chaque fois qu’il y a un problème sur Internet, les politiques s’en emparent, prennent leur marteau et essayent d’écraser le moustique issu d’Internet. Ce qui m’agace profondément, c’est qu’il y a des associations formidables avec des centaines de personnes dedans qui font un boulot extraordinaire depuis des années, qui sont indépendantes politiquement, et veulent essayer de faire qu’Internet reste « sain ». Personne n’appelle ces personnes au niveau national. L’idée serait peut-être qu’on leur donne des moyens pour faire de l’éducation populaire. Faire remonter ces fake news. Les mettre en avant ces fake news, pour expliquer au public en permanence ce que sont ces fake news. L’idée serait de faire appel à l’intelligence des gens. Parce qu’ils sont preneurs, si ce n’est pas le « système » qui leur parle, de réfléchir à ce qui leur est renvoyé sur le net. »
N.G : « Ah mais je suis très emballée par une solution qui ne soit pas législative. Mais on fait comment ? »
D. : « Si des associations indépendantes, jamais récupérées par personne, viennent faire un travail d’éducation populaire, aidées de journaux indépendants, pour permettre aux gens de comprendre ce qu’il se passe, ça peut être intéressant quand même… »
N.G : « Le législateur n’est pas à sa place, neuf fois sur dix, c’est la pratique qui fonctionne. Je suis d’accord. Ce n’est pas une loi anti-terroriste ni stop djihadiste qui va arrêter le terrorisme. Mais je n’avais pas vu les choses de cette manière, et c’est pour ça que je vous ai fait venir, donc je suis preneuse de ces idées. Je suis de bonne foi. Ce que je vous propose est assez simple. Je connais quelques personnes comme Jérémy Zimmerman, de la quadrature que j’ai fait venir pour une conférence formidable sur les réseaux djihadistes en ligne. Je vais faire un tour de table le 30 mars, ce texte va nous servir à réfléchir, et peut être en juin, juillet on peut faire une table ronde professionnelle, de façon à budgéter une assistance avec la Quadrature et d’autres structures. Ca c’est un projet qui n’est pas législatif, qui est un projet de société et que je peux porter. La proposition était un pur produit d’appel, donc c’est parce qu’elle vous choqué qu’on échange et que des solutions émergent… »
J’arrête ici la retranscription de cet entretien.
La sénatrice Nathalie Goulet a décidé de changer son texte de loi, indiquant les dispositions d’éducation aux médias, de réflexions avec les associations, de réflexion collaborative à venir sur les fake news, et de sursis au lieu de prison ferme. Si le texte n’a pas été changé à tous les niveaux comme elle le souhaitait à la suite de cet entretien, elle fera de toute manière une déclaration jeudi, pour annoncer la révision du texte.
[Ceci était un gonzo-reportage de Reflets au Sénat.]
Source : Reflets[/b]
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Mer 29 Mar 2017 - 17:27
Comme Jai deja dite , ces loi ne sont pas pour ceux qui diffuse des articles bidon , mais pour les auteurs.
Je ne pense pas des articles qui raconte des mensonges ""fake"" infos sur certains sujets risque grande chose , mais seulement des articles qui induire en erreur les lecteurs et ont des conséquence grave , comme des articles qui tente de convaincre les gens de ne pas se faire vacciner car les vaccin contiens de la matière fécale , ou de l'ADN des bébés avorter,, si les lecteurs de ce genre d'article croire leur fausse affirmations et refuse de vacciner leurs enfants qui ensuite tombe malade d'une maladie qui aurait pu être évite, la oui Je pense qu'il peut avoir des poursuites
voici une exemple de "fake" info qui a pousser un mec de commettre des meurtres. Je la mettre en spoiler ,,,
ce vidéo été une piégé par une organisation "pro-life" ,,, "Robert Sarkis" une pseudo d'un mec qui s’appela Daleiden qui prétend de représente une "fake" société Biomax Procurement Services et souhaite procurer des parts des fœtus avorter pour utiliser dans la recherche médicale. un pratique toute a fait légale et qui existe depuis des décennies.
l'extrait qui est utiliser pour créer le scandale est édité et manipuler pour faire croire que "Planned Parenthood" vend les tissue des fœtus avorte, voici toute la enregistrement en entière ,,, 2h40,,,
en faite dans l’enregistrement complété il est clair que "Planned Parenthood" ne ""vendre"" rien , les montent demander corresponde au frais , le temps de la chirurgien et infirmières, la conservation et transport de livraison "Planned Parenthood" ne font aucune bénéfice ni profit de ces sommes d'argent .
EDIT....... J'ajoute l'explication plus detailee ,,, (en spoiler)
Spoiler:
Planned Parenthood ne vend pas des fœtus: La véritable histoire derrière ce vidéo
"Je dirais que beaucoup de gens veulent des foie," dit Nucatola à un moment donné, avant de décrire comment les fournisseurs peuvent effectuer des avortements afin de préserver le tissu fœtal pour le transport.
Plus tard, quand les acteurs lui demandent de ce partenariat avec PPFA directement comme une organisation nationale plutôt que de travailler avec les affiliés régionaux Planned Parenthood, Nucatola répond: «[A] t le bureau national, nous avons un département de litige et en droit, qui ne veulent pas que nous soyons les "entremetteurs" (middle people// go between )de cette question en ce moment ".
Il est une vidéo qui semble accablant ou, au moins, il est certainement présentée comme si elle est complète avec des légendes interstitiels résumant la législation américaine entourant le tissu fœtal humain. Certaines de droite extrême sont déjà suggérant que Planned Parenthood viole le droit fédéral et de faire référence sinistre au code pénal, qui comprend une peine de prison de 10 ans et / ou une amende de 500.000 $. Les médias sociaux ont explosé avec des accusations que Planned Parenthood font la vente de tissu foetal pour un profit.
Mais même si les commentaires de Nucatola soulèvent des questions sur l'acquisition de tissu foetal et les questions éthiques entourant sa collection, le transfert de tissu foetal humain est pas illégal aux États-Unis. Les femmes qui se font avorter choisissent parfois de faire don de tissu foetal pour la recherche scientifiques et les fournisseurs d'avortement ne facilitent pas ces dons sans leur consentement explicite.
La loi citée par le Centre for Medical Progress 42 US Code § 289g-2 Interdit la l'acquisition et le transfert de tissu foetal humain "à titre onéreux si le transfert affecte le commerce interétatique." Une définition dans le code note que «onéreux »ne comprennent pas les paiements raisonnables liés au transport, l'implantation, la transformation, la conservation, le contrôle de qualité, ou le stockage de tissus fœtaux humains".
En d'autres termes, le transfert de tissus de foetus humains est légal aux Etats-Unis à condition que les paiements sont pour la transformation et les coûts de transport.
Lorsqu'on lui a demandé si oui ou non la vidéo montre Nucatola discuter des activités qui sont effectivement un crime, David Daleiden du Center for Medical Progress dit The Daily Beast, "Planned Parenthood ne encourt aucune de ces coûts", se référant aux "paiements raisonnables" dans 289g -2. Daleiden affirme en outre que une clinique, dont il est conscient de «recevoir [s] des paiements pour chaque spécimen", malgré un partenariat avec un tiers qui gère le transport. Il n'a pas fourni immédiatement des documents qui soutiennent sa affirmation.
Dans une déclaration à The Daily Beast, Eric Ferrero, vice-président des communications pour LFAP, ont soutenu que les pratiques de Planned Parenthood entourant le tissu fœtal humain sont légales:
«Dans les soins de santé, les patients veulent parfois don de tissus à la recherche scientifique qui peuvent aider à mener à des percées médicales, comme les traitements et les remèdes pour les maladies graves. Les femmes à Planned Parenthood qui avortent sont pas différents. À plusieurs de nos centres de santé, nous aidons les patients qui veulent faire don de tissus pour la recherche scientifique, et nous le faisons comme tout autre fournisseur de soins de santé de haute qualité avec plein consentement approprié de patients et dans les normes éthiques et juridiques les plus élevées . Il n'y a aucun avantage financier pour le don de tissus pour le patient ou pour Planned Parenthood. Dans certains cas, les coûts réels, tels que le coût de transport de tissus aux centres de recherche de premier plan, sont remboursés, ce qui est la norme dans le domaine médical ».
Ferrero dit le Center for Medical Progress est un «groupe bien financé" qui a été "établi dans le but de porter atteinte à la mission et les services de planning familial", notant en outre que des accusations similaires ont été utilisées sur les fournisseurs de l'avortement dans le passé.
Le don de tissus foetus humains avortés peut venir comme un choc à une inconnue du public à la pratique, mais il est, en fait, ne date pas d'hier. Selon l'American Society for Cell Biology, les scientifiques ont fait des recherches sur le tissu fœtal humain depuis les années 1930, avec le tissu avorté jouer un rôle dans les Centers for Disease Control et le développement des vaccins de la prévention contre la rubéole et la varicelle dans les années 1960 (PDF). Ronald Reagan a mis une emprise sur l'utilisation de tissus fœtaux pour les greffes en 1988 tandis que d'autres formes de recherche de tissus fœtaux et Bill Clinton ont continué par la suite levé le moratoire de Reagan en 1993.
Vidéo Sauts Près de 8 minutes dans le milieu de la conversation de l'argent.
Dans la version courte de la vidéo, un échange trompeuse a lieu impliquant que à un moment donné, le Dr Nucatola discuté le coût du tissu, mais les chronometre sur les images révèlent près de huit minutes de conversation a été retiré:
Activiste Derrière Vidéo travaillé pour l'organisation Notorious Pour Faussement éditer des vidéos
David Daleidan est un ancien écrivain discrédité pour la anti-choix Organisation live action. David Daleiden, la personne de contact au sujet de la vidéo de Medical Progress, est un ancien écrivain discrédité d'organisation anti-choix en direct Action Nouvelles. Le groupe a déjà été sous le feu pour l'édition trompeusement d'images infiltration des cliniques d'avortement dans le but de faire de fausses déclarations au sujet de Planned Parenthood.
le résultat ce fausse vidéo qui a choquer des gens pro-life",,,,, a posser un mec a comettre des meutres,,,
COLORADO SPRINGS, Colorado (Reuters) -. le tireur qui a attaqué sa clinique de santé du Colorado avait prononcé "Pas plus des parts de bébé" lors de son arrestation a montré que le suspect a été motivée par un agenda anti-avortement.
La remarque attribuée à Robert Lewis Dear était une référence apparente aux activités d'avortement de Planned Parenthood et son rôle dans la prestation de tissu fœtal à des chercheurs médicaux.
3 mort et 9 blessée
les auteurs de ce fausse vidéo, édité et manipuler pour faire croire que "Planned Parenthood" vend des tissues issue de fœtus avorte sont trainée en justice et condamnée...
Felony charges for 2 who secretly filmed Planned Parenthood
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Mer 29 Mar 2017 - 18:12
De là a affirmer qu'ils ne font rien des foetus avortés c'est un peu fort de chez roquefort. Les femmes qui se servent des crèmes régénérantes savent qu'elles sont à base de foetus.
Des traitements contre des maladies contiennent des cellules de foetus et d'ailleurs les labos pharmaceutiques ne le cachent pas.
Il y aurait un trafic de foetus. ça existe depuis longtemps comme bien d'autres trafics touchant à l'être humain !
Nous sommes devenus des marchandises à vendre -ils ont le culot d'accuser des Extraterrestres ou d'autres entités d'avaler, de croquer, d'absorber des êtres humains, alors que ce sont des gens influents qui se font de l'argent sur nos corps et se servent de nous pour pourvoir à leur organes déficients.
Ils volent les organes des gens du peuple à bon compte !!!!
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OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Mer 29 Mar 2017 - 18:29
@safran_
utiliser des tissues issu des foetus avortepour la recherche et puis reproduire en laboratoire na RIEN avoir .
il y a pas des tissue de foetus dans les vaccins ni dans les cremes pour blonde gogole.
PS:-
il y a pas ""trafique"" des fœtus , c'est une pratique autoriser légale et utiliser depuis des décennies,
Planned Parenthood ne utilise JAMAIS des fœtus avorter sans avoir demander au parents et obtenu leur consentement.
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Jeu 30 Mar 2017 - 12:59
Bien sûr que si les foetus sont utilisés à l'insu des parents.
Il y a un trafic de foetus car en France la loi interdit l'utilisation des foetus !!! Ils doivent être détruits !
Qu'ils soient malgré tout utilisés ça veut dire que les gouvernement lâchent la bride pour complaire aux divers labos afin qu'ils en tirent de faramineux bénéfices. Ils coupables de contrevenir à la loi avec l'aide des autorités complices.
Nous ne sommes pas aux Etats-Unis.
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OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Jeu 30 Mar 2017 - 13:50
@safran_
mon commentaire precedent était en rapport avec d’articles et vidéos dans mon commentaire de Mer 29 Mar 2017 - 16:27 qui concerne l'Etats Unis.
Maintenant tu me dite
safran_ a écrit:
Bien sûr que si les foetus sont utilisés à l'insu des parents.
sans fourni des sources.
ensuite tu dise....
Citation :
Il y a un trafic de foetus car en France la loi interdit l'utilisation des foetus !!! Ils doivent être détruits !
alors qu'une simple recherche internet AVANT de poster ton affirmation aurait t'appris que .....
Utilisation encadrée des embryons ou fœtus avortés
Désormais, la loi ne met en place un cadre juridique assorti d’un volet pénal que pour leur utilisation. « Des tissus ou cellules embryonnaires ou fœtaux ne peuvent être prélevés, conservés et utilisés à l’issue d’une interruption de grossesse qu’à des fins diagnostiques, thérapeutiques ou scientifiques. La femme donne son consentement écrit après avoir reçu une information appropriée sur les finalités d’un tel prélèvement. Cette information doit être postérieure à la décision prise par la femme d’interrompre sa grossesse » (art. L.1241-5 du code de la santé publique). La loi prévoit aussi que les prélèvements à des fins scientifiques autres que ceux ayant pour but la recherche des causes de l’interruption de grossesse doivent être pratiqués dans le cadre de protocoles transmis préalablement à l’Agence de la biomédecine. Le non respect de ces règles est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
donc comme au Etats Unis , autoriser a des fins diagnostiques, thérapeutiques ou scientifiques, si le femme donne son permission , aussi autoriser à des fins scientifiques autres que ceux ayant pour but la recherche des causes de l’interruption de grossesse dans le cadre de protocoles transmis préalablement à l’Agence de la biomédecine.
de plus , il y a des lois qui autorise l'importation des ...
1 - Recherches sur l’embryon humain et les cellules souches embryonnaires humaines
En application des dispositions du code de la santé publique, l’Agence de la biomédecine est compétente pour délivrer les autorisations relatives aux demandes de :
- Protocoles de recherche sur l’embryon embryon ou les cellules souches embryonnaires humaines (article L. 2151-5)
- Importation et exportation de cellules souches embryonnaires humaines à des fins de recherche (article L. 2151-6)
- Conservation à des fins scientifiques de cellules souches embryonnaires humaines (article L. 2151-7)
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Ven 31 Mar 2017 - 7:53
Ne t'énerves pas.
Un scandale avait éclaté à ce sujet il y a quelques années, je n'invente rien.
Cesses de m'accuser à tort et à travers.
Tu ignores les choses du coup tu accuses les autres alors qu'ils détiennent des infos.
.
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Ven 31 Mar 2017 - 10:19
safran_ a écrit:
Ne t'énerves pas.
Un scandale avait éclaté à ce sujet il y a quelques années, je n'invente rien.
Cesses de m'accuser à tort et à travers.
Tu ignores les choses du coup tu accuses les autres alors qu'ils détiennent des infos.
.
Je m'enerve pas , Ja i simplement signaler tes erreurs au sujet de loi en france.
si tu n'invente rien fourni soit des sources ou plus de detail pour que les gens peut s'informer.
Je t'accuse de rien , Je signale tes erreurs et demande plus d'info .
si tu detiens des infos , alors fourni les des que tu affirme , ça eviter des commentaires inutile.
si Je ""ignore des chose"" alors informe moi ( et d'autre lecteurs) comme Jai demandez, au lieu de m'accuser de t'avoir accusez, il y a aucune accusation dans mon commentaire, Je signale ou tu trompe au sujet des loi.
EDIT ,,, [...].
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Ven 31 Mar 2017 - 20:45
Ce scandale se passa il y a quelques années, je ne sais si internet fonctionnait comme aujourd'hui et trouver ce genre d'infos... non décidément je ne vais pas chercher.
Souvent lorsque l'on soulève un lièvre ça fait remonter à la surface d'anciennes affaires. Qui sait ce sujet pourrait revenir sur le tapis prochainement.
Désolée Osiris je ne voulais pas me montrer désagréable.
Tu fais du bon boulot.
-Internet regorge de tout et n'importe quoi, chacun écrit ce qu'il a envie que ce soit vrai ou faux, de ce fait je ne puis m'astreindre à donner des liens pour des infos qui seront plus ou moins véridiques.
Vois-tu j'ai davantage confiance en ce que je sais de ce qui s'est passé tous domaines confondus que de diriger systématiquement les internautes sur par exemple -wikipédia- dont on doit se méfier de la valeur de leurs infos et combien de sites sont dans ce cas à vouloir propager leurs fausses lumières.
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OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Ven 31 Mar 2017 - 21:09
@safran_
c'est possible qu'il y a eu des "scandale" a propos des fœtus avortez dans le passez , mais Jai ta signaler que c'est pas illégaux , il est possible que des gens ont était arrêter parce que ils n'ont pas respectez la loi donc sont par dentition dans le trafique illégaux , ça veut pas dire que ce soit illégaux pour toute le monde.
si tu me fourni plus d'info Je peut faire des recherches moi mème , ville , année etc etc ,,, sans intégrer la lien ou tu peut chercher selon ce que tu souviens et enlevè le http// et copie colle la reste ,, et de la Je trouverais et la mettre dans mon commentaire.
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safran_
Messages : 679 Date d'inscription : 15/03/2017 Age : 70 Localisation : Balma
Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake" Sam 1 Avr 2017 - 7:33
L'histoire est assez récente et te donner plus d'infos, désolée je ne me rappelle plus, je me souviens qu'il y a eu un scandale par rapport à ce trafic.
On peut s'interroger sur l'autorisation d'avorter car elle offre aux labos la possibilité de récupérer tous les foetus qui sinon finiraient à la poubelle. Un gros manque à gagner !$
Pas illégal pour tous je suis d'accord avec toi, ils arrivent toujours à contourner les lois qui ne peuvent couvrir toutes les nuances d'un langage.
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Sujet: Re: Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake"
Grave dérive autoritaire: Proposition de loi pour punir d'un à cinq ans de prison les auteurs de "fake"