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 meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe

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xerox

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MessageSujet: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:25

meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe 220px-Johnlilly4


tout porté croire que seule HAARP pouvais servire d emeteure EMF ELF  quel belle ereure
nos amis de chez EDF INEDIS le choix de faire mourire nos compatriotes emetre une maladie choisi
faire forniqué des hommes et femmes pedophilie viole Schizophrénie augmentation du taux de testosterone par haute fréquence pour augmenté les crimes est bien sur la lecture des pencés par ultrafréquences
dans mes articles je vous en et deja parlé alors nous allons vous donné plus de detail


Champs électriques et magnétiques générés par les lignes électriques et les appareils électroménagers

Certaines personnes craignent que l'exposition quotidienne à des champs électriques et magnétiques (CEM) puisse causer des problèmes de santé.
L'électricité et les champs électriques et magnétiques (CEM)

L'électricité distribuée par les lignes électriques joue un rôle clé dans la société d'aujourd'hui. Elle sert à l'éclairage des maisons, à la préparation des aliments et au fonctionnement des ordinateurs et d'autres appareils électroménagers, comme les téléviseurs et les radios. Au Canada, les appareils branchés sur une prise de courant murale fonctionnent au moyen d'un courant électrique qui se déplace selon un mouvement de va‑et‑vient à une fréquence de 60 périodes par seconde (60 hertz). La fréquence utilisée pour les lignes et les appareils électriques est différente de celle utilisée pour la technologie Wi-Fi, les téléphones cellulaires et des compteurs intelligents.

Chaque fois que vous utilisez l'électricité et des appareils électroménagers, vous vous exposez à des champs électriques et magnétiques (CEM) de fréquence extrêmement basse (ELF). L'expression « extrêmement basse » désigne toute fréquence inférieure à 300 hertz. Les CEM produits par le transport et l'utilisation de l'électricité font partie de cette catégorie.

Les CEM sont des régions de l'espace autour des appareils électriques, des cordons d'alimentation et des fils porteurs de courant, y compris des lignes électriques extérieures, où s'exercent des forces invisibles.

   Champs électriques : Ils sont générés lorsqu'une fiche est branchée sur une prise de courant, même si l'appareil n'est pas en marche. Plus la tension est élevée, plus l'intensité du champ électrique est grande.
   Champs magnétiques : Ils sont générés lorsqu'un courant électrique circule dans un appareil ou un fil. Plus l'intensité du courant est grande, plus le champ magnétique est puissant.

Les CEM peuvent se produire séparément ou en même temps. Par exemple, lorsque vous branchez le cordon d'alimentation d'une lampe sur une prise murale, il se produit un champ électrique le long du cordon. Lorsque vous allumez la lampe, le courant passant dans le cordon crée un champ magnétique. Entre-temps, le champ électrique demeure.
Les lignes électriques et votre maison

Les CEM sont plus intenses à proximité de la source. À mesure que vous vous en éloignez, l'intensité des champs diminuent rapidement. Cela veut dire que vous êtes exposé à des CEM plus forts lorsque vous vous trouvez près d'une source (à côté d'un transformateur ou sous une ligne à haute tension, par exemple), et plus faibles lorsque vous vous en éloignez.

Lorsque vous êtes à l'intérieur de la maison, les champs magnétiques des lignes à haute tension et des transformateurs sont souvent plus faibles que ceux des appareils électroménagers.

Les champs électriques peuvent être arrêtés par des matériaux comme le métal. Ils peuvent aussi l'être par les bâtiments et les arbres, voire le sol lorsque les lignes électriques sont enfouies.
Exposition aux champs électriques et magnétiques de fréquence extrêmement basse au Canada

La plupart des Canadiens sont exposés tous les jours aux CEM générés par le câblage domestique, l'éclairage et tout appareil électroménager qui se branche sur une prise de courant, notamment les séchoirs à cheveux, les aspirateurs et les grille-pain. Au travail, les sources courantes comprennent les ordinateurs, les purificateurs d'air, les photocopieuses, les télécopieurs, les lampes fluorescentes, les radiateurs électriques et les outils électriques des ateliers d'usinage tels que les perceuses, les scies électriques, les tours et les machines à souder.
L'exposition dans les maisons, les écoles et les bureaux du Canada ne présente aucun risque connu pour la santé

De nombreux travaux ont été réalisés pour tenter d'élucider les effets possibles sur la santé d'une exposition aux CEM de fréquence extrêmement basse. S'il est établi que les CEM peuvent induire de faibles courants électriques dans notre corps, ces courants sont trop faibles pour causer des effets connus sur la santé. Selon certaines études, il existerait un lien entre l'exposition à des champs magnétiques ELF et certains types de cancers infantiles, mais ce lien n'a toujours pas été confirmé.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé les champs magnétiques ELF comme « cancérogènes possibles pour l'homme ». Cette classification est fondée sur des données limitées selon lesquelles les champs magnétiques ELF constituent un facteur de risque associé à la leucémie infantile. Or, la grande majorité des études scientifiques menées à ce jour ne corroborent pas l'hypothèse d'un lien entre l'exposition à des champs magnétiques ELF et le cancer chez les humains. À l'heure actuelle, nous ne disposons pas de preuves concluantes quant à l'existence d'un lien entre l'exposition à des champs magnétiques ELF et le risque de cancer, et des études plus poussées s'avèrent nécessaires.

Santé Canada est d'accord avec l'Organisation mondiale de la Santé et l'IARC au sujet de la nécessité de recherches plus approfondies dans ce domaine.
Réduire les risques

De l'avis de Santé Canada, il n'est pas nécessaire de chercher à vous protéger de l'exposition quotidienne aux champs électriques et magnétiques de fréquence extrêmement basse. Il n'y a aucune preuve concluante montrant que l'exposition aux niveaux trouvés dans les maisons et les écoles du Canada, y compris en bordure des corridors des lignes électriques, a un effet nocif.
Le rôle du gouvernement du Canada

Santé Canada, tout comme l'Organisation mondiale de la Santé, suit de près la recherche scientifique sur les CEM et la santé humaine afin d'aider les Canadiens à maintenir et à améliorer leur état de santé. Des lignes directrices internationales en matière d'exposition aux champs électriques et magnétiques de fréquence extrêmement basse ont été établies par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP). Ces lignes directrices ne sont pas fondées sur une prise en considération des risques liés au cancer. Elles visent plutôt à empêcher que l'exposition à des CEM induise, dans le corps, des courants ou des champs électriques plus forts que ceux que produisent naturellement le cerveau, les nerfs et le cœur. L'exposition aux CEM dans les maisons, les écoles et les bureaux du Canada est nettement inférieure à ces lignes directrices.

TLF -- Inférieure à 3 Hz (-1,0)
ELF -- 3 Hz à 30 Hz (1)
SLF -- 30 Hz à 300 Hz (2)
ULF -- 300 Hz à 3000 Hz (3)
VLF -- 3 kHz à 30 kHz (4)
LF -- 30 kHz à 300 kHz -GO/LW- (5)
MF -- 300 kHz à 3000 kHz -PO/MW- (6)
HF -- 3 MHz à 30 MHz (7)
VHF -- 30 MHz à 300 MHz (8)
UHF -- 300 MHz à 3000 MHz (9)
SHF -- 3 GHz à 30 GHz (10)
EHF -- 30 GHz à 300 GHz (11)
THF -- Au-dessus de 300 GHz et encore plus... (12 à 15)

ELF :

Classification : ELF - Extrêmement Basses Fréquences (Extremely Low Frequencies)
Ondes décamégamétriques (daMm)
Ondes sonores, infra-sons
Gamme de fréquences : 3 Hz à 30 Hz (1)
Longueurs d'ondes : 100 000 à 10 000 kilomètres
Utilisation : Ondes sonores, infra-sons, physique
Quelques exemples :
Jusqu'à 16 Hz Infra-sons
16 Hz à 20 kHz Sons audibles par l'oreille humaine (en fonction des individus)

HAUT

SLF :

Classification : SLF - Super Basses Fréquences (Super Low Frequencies)
Ondes mégamétriques (Mm)
Ondes sonores
Gamme de fréquences : 30 Hz à 300 Hz (2)
Longueurs d'ondes : 10 000 à 1000 kilomètres
Utilisation : Ondes sonores, ondes électriques, courant alternatif
Quelques exemples :
16 Hz à 20 kHz Sons audibles par l'oreille humaine (en fonction des individus)
30 Hz à 300 Hz Basses (graves)
50 Hz Fréquence normalisée du courant électrique EDF et autres producteurs
60 Hz Fréquence du courant électrique aux USA et au Canada
175 Hz Fréquence superposée au courant électrique (commande "jour/nuit")
Codes CTCSS ou PL

HAUT

ULF :

Classification : ULF - Ultra Basses Fréquences (Ultra Low Frequencies)
Ondes hectokilométriques (hkm)
Ondes sonores
Gamme de fréquences : 300 Hz à 3000 Hz (3)
Longueurs d'ondes : 1000 à 100 kilomètres
Utilisation : Ondes sonores
Quelques exemples :
16 Hz à 20 kHz Sons audibles par l'oreille humaine (en fonction des individus)
300 Hz à 3000 Hz Mediums
440 Hz Fréquence du LA (diapason)
Codes d'Appels Sélectifs
Codes DTMF

HAUT

VLF :

Classification : VLF - Très Basses Fréquences (Very Low Frequencies)
Ondes myriamétriques (Mam)
Gamme de fréquences : 3 kHz à 30 kHz (4)
Longueurs d'ondes : 100 à 10 kilomètres
Utilisation : Ondes sonores, ultra-sons, ondes de sol
Quelques exemples :
16 Hz à 20 kHz Sons audibles par l'oreille humaine (en fonction des individus)
3 à 16 kHz Aigues
8,3 à 11,3 kHz Auxiliaires météorologie (passif)
9 à 30 kHz Les utilisations de ces fréquences sont particulières.
On y trouve des liaisons avec les services maritimes ainsi qu'avec les sous-marins
9 à 14 kHz Radionavigation
14 à 19,95 kHz Maritime côtier télégraphie, fréquences étalon, signaux horaires
16 à 50 kHz Ultra-sons
20 kHz Fréquences étalon, signaux horaires (19,95 à 20,05 kHz)
20,05 à 70 kHz Maritime côtier télégraphie, fréquences étalon, signaux horaires

HAUT

LF :

Classification : LF - Basses Fréquences (Low Frequencies)
Ondes kilométriques (km)
Gamme de fréquences : 30 kHz à 300 kHz (5)
Longueurs d'ondes : 10 à 1 kilomètres
Utilisation : Ondes de sol
Quelques exemples :
20,05 à 70 kHz Maritime côtier télégraphie, fréquences étalon, signaux horaires
50 kHz Sondeurs bateaux
60 kHz Radio-pilotage pour horloges - MSF (Angleterre)
66,6 kHz Radio-pilotage pour horloges - RBU (Russie)
70 à 130 kHz Radionavigation
72 à 84 kHz Maritime côtier télégraphie
75 kHz Radio-pilotage pour horloges - HBG (Suisse)
77,5 kHz Radio-pilotage pour horloges - DCF 77 (Allemagne)
86 à 90 kHz Maritime côtier télégraphie
90 à 110 kHz Radionavigation (fixe)
110 à 112 kHz Maritime
115 à 126 kHz Maritime
129 à 148,5 kHz Maritime
129,1 kHz Radio-pilotage pour horloges - DCF 49 (Allemagne)
135,7 à 137,8 kHz RADIOAMATEURS bande des 2222 mètres
148,5 à 283,5 kHz GO Radiodiffusion Grandes Ondes (LW Long Wave)
162 kHz Signal de synchronisation horaire (ancienne fréquence AM de France Inter)
183 kHz EUROPE 1 (AM)
200 kHz Sondeurs bateaux
216 kHz RMC - Radio Monte Carlo (AM)
234 kHz RTL - Radio Télé Luxembourg (AM)
255 kHz à 405 kHz Radionavigation aéronautique
283,5 kHz à 325 kHz Radiophares

HAUT

MF :

Classification : MF - Moyennes Fréquences (Medium Frequencies)
Ondes hectométriques (hm)
Gamme de fréquences : 300 kHz à 3000 kHz (6)
Longueurs d'ondes : 1 kilomètre à 100 mètres
Utilisation : Ondes de sol, réfléchies
Quelques exemples :
255 kHz à 405 kHz Radionavigation aéronautique
283,5 kHz à 325 kHz Radiophares
405 à 495 kHz Radionavigation
410 kHz Radiogoniométrie navigation maritime
415 à 526,5 kHz Maritime
455 kHz FI Fréquence intermédiaire pour récepteurs AM
457 kHz Détecteur de victimes d'avalanches
472 à 479 kHz RADIOAMATEURS bande des 630 mètres
490 kHz NAVTEX - IDBE
518 kHz NAVTEX international - IDBE
525 à 1705 kHz PO Radiodiffusion Région 2
526,5 à 1606,5 kHz PO Radiodiffusion Petites Ondes 580 à 187 mètres (MW Medium Wave)
1,003 kHz Fréquence opérations de secours SAR véhicules spatiaux (émission limitée à +/-3 kHz)
1606,5 à 1800 kHz Services maritimes...
1625 à 1635 kHz Radiolocalisation
1635 à 1800 kHz Services maritimes...
1800 à 1810 kHz Radiolocalisation
1800 à 2000 kHz RADIOAMATEURS bande des 160 mètres (régions 2 et 3)
1810 à 1850 kHz RADIOAMATEURS bande des 160 mètres (région 1, France)
1850 à 3000 kHz Services maritimes, aéronautique, navires, météo...
2025 à 2045 kHz Bouées occéanographiques
2160 à 2170 kHz Radiolocalisation
2170 à 2173,5 kHz Maritime
2173,5 à 2190,5 kHz Détresse et appel
2174,5 kHz Fréquence internationale de détresse IDBE
2182 kHz Fréquence internationale de détresse phonie et opérations de secours (SAR)
2187,5 kHz Fréquence internationale de détresse ASN
2190,5 à 2498 kHz Services maritimes
2275 kHz Détecteur de victimes d'avalanches
2300 à 2498 kHz Radiodiffusion bande des 120 mètres (bande tropicale)
2300 kHz à 26,1 MHz OC Radiodiffusion Ondes Courtes 120 mètres à 11 mètres (SW Short Wave)
2500 kHz Fréquence étalon, signaux horaires (2498 à 2501 kHz)
2501 à 2502 kHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
2502 à 2850 kHz Services maritimes
2625 à 2650 kHz Radionavigation maritime
2850 à 3155 kHz Aéronautique

HAUT

HF :

Classification : HF - Hautes Fréquences (High Frequencies)
Ondes décamétriques (dam)
Gamme de fréquences : 3 MHz à 30 MHz (7)
Longueurs d'ondes : 100 à 10 mètres
Utilisation : Ondes réfléchies
Quelques exemples :
2,3 à 26,1 MHz OC Radiodiffusion Ondes Courtes 120 mètres à 11 mètres (SW Short Wave)
2,85 à 3,155 MHz Aéronautique
3,023 MHz Fréquence pour opérations de secours (SAR)
3,155 à 3,195 MHz Appareils sans fil faible puissance pour correction auditive
3,200 à 3,400 MHz Radiodiffusion bande des 90 mètres (bande tropicale)
3,400 à 3,500 MHz Aéronautique
3,500 à 3,800 MHz RADIOAMATEURS bande des 80 mètres (région 1, France)
3,500 à 3,900 MHz RADIOAMATEURS bande des 80 mètres (région 3)
3,500 à 4,000 MHz RADIOAMATEURS bande des 80 mètres (région 2)
3,800 à 3,950 MHz Aéronautique
3,881 MHz FAV 22, cours de lecture au son CW (et sur 6,825 MHz)
3,950 à 4,000 MHz Radiodiffusion bande des 75 mètres (bande tropicale)
4,125 MHz Fréquence internationale de détresse complémentaire phonie
4,1775 MHz Fréquence internationale de détresse IDBE
4,2075 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
4,2095 MHz NAVTEX - IDBE
4,210 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
4,438 à 4,488 MHz Radiolocalisation
4,650 à 4,850 MHz Aéronautique
4,750 à 4,995 MHz Radiodiffusion bande des 60 mètres (bande tropicale)
5 MHz Fréquences étalon, signaux horaires (4,995 à 5,003 MHz)
5,003 à 5,005 MHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
5,005 à 5,060 MHz Radiodiffusion
5,250 à 5,275 MHz Radiolocalisation
5,3515 à 5,3665 MHz RADIOAMATEURS bande des 60 mètres (région 1, France)
5,450 à 5,730 MHz Aéronautique
5,680 MHz Fréquence pour opérations de secours (SAR)
5,900 à 6,200 MHz Radiodiffusion bande des 49 mètres
6,200 à 6,525 MHz Maritime
6,215 MHz Fréquence internationale de détresse complémentaire phonie
6,268 MHz Fréquence internationale de détresse IDBE
6,312 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
6,314 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
6,525 à 6,765 MHz Aéronautique
6,765 à 6,795 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales)
6,825 MHz FAV 22, cours de lecture au son CW (et sur 3,881 MHz)
7 à 7,200 MHz RADIOAMATEURS bande des 40 mètres (région 1, France et région 3)
7 à 7,300 MHz RADIOAMATEURS bande des 40 mètres (région 2)
7,200 à 7,450 MHz Radiodiffusion bande des 41 mètres
8,100 à 8,815 MHz Maritime
8,291 MHz Fréquence détresse et sécurité phonie
8,364 MHz Fréquence pour opérations de secours (SAR)
8,3765 MHz Fréquence internationale de détresse IDBE
8,4145 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
8,4165 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
8,815 à 9,040 MHz Aéronautique
9,305 à 9,355 MHz Radiolocalisation
9,400 à 9,900 MHz Radiodiffusion bande des 31 mètres
10 MHz Fréquences étalon, signaux horaires (9,995 à 10,003 MHz)
10,003 à 10,005 MHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
10,005 à 10,100 MHz Aéronautique
10,100 à 10,150 MHz RADIOAMATEURS bande des 30 mètres
10,7 MHz FI Fréquence intermédiaire pour récepteurs FM
11,175 à 11,400 MHz Aéronautique
11,600 à 12,100 MHz Radiodiffusion bande des 25 mètres
12,230 à 13,200 MHz Maritime
12,290 MHz Fréquence pour opérations de secours phonie
12,520 MHz Fréquence internationale de détresse IDBE
12,577 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
12,579 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
13,200 à 13,360 MHz Aéronautique
13,360 à 13,410 MHz Radioastronomie
13,450 à 13,550 MHz Radiolocalisation
13,553 à 13,567 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales)
13,570 à 13,870 MHz Radiodiffusion bande des 22 mètres
14 à 14,350 MHz RADIOAMATEURS bande des 20 mètres
14,993 MHz Fréquence opérations de secours SAR véhicules spatiaux (émission limitée à +/-3 kHz)
15 MHz Fréquences étalon, signaux horaires (14,990 à 15,005 MHz)
15,005 à 15,010 MHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
15,010 à 15,100 MHz Aéronautique
15,100 à 15,800 MHz Radiodiffusion bande des 19 mètres
16,100 à 16,200 MHz Radiolocalisation
16,360 à 17,410 MHz Maritime
16,420 MHz Fréquence pour opérations de secours phonie
16,695 MHz Fréquence internationale de détresse IDBE
16,8045 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
16,8065 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
17,480 à 17,900 MHz Radiodiffusion bande des 16 mètres
17,900 à 18,030 MHz Aéronautique
18,052 à 18,068 MHz Recherche spatiale
18,068 à 18,168 MHz RADIOAMATEURS bande des 17 mètres
18,780 à 18,900 MHz Maritime
18,900 à 19,020 MHz Radiodiffusion bande des 15 mètres
19,680 à 19,800 MHz Maritime
19,6805 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
19,990 à 19,995 MHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
19,993 MHz Fréquence opérations de secours SAR véhicules spatiaux (émission limitée à +/-3 kHz)
20 MHz Fréquences étalon, signaux horaires (19,995 à 20,010 MHz)
21 à 21,450 MHz RADIOAMATEURS bande des 15 mètres
21,450 à 21,850 MHz Radiodiffusion bande des 13 mètres
21,870 à 21,924 MHz Sécurité aérienne
21,924 à 22,000 MHz Aéronautique
22 à 22,855 MHz Maritime
22,376 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
23,200 à 23,350 MHz Aéronautique, sécurité aérienne
23,350 à 24,000 MHz Télégraphie navire à navire
24,450 à 24,600 MHz Radiolocalisation
24,890 à 24,990 MHz RADIOAMATEURS bande des 12 mètres
25 MHz Fréquences étalon, signaux horaires (24,990 à 25,005 MHz)
25,005 à 25,010 MHz Fréquences étalon, signaux horaires, recherche spatiale
25,070 à 25,210 MHz Maritime
25,550 à 25,670 MHz Radioastronomie
25,670 à 26,100 MHz Radiodiffusion bande des 11 mètres
26 à 26,100 MHz Systèmes radio sur site, faible portée 50 mW PAR maxi
26,100 à 26,175 MHz Maritime
26,1005 MHz Fréquence internationale diffusion renseignements sécurité maritime (MSI) IDBE
26,200 à 26,350 MHz Radiolocalisation
26,300 à 26,500 MHz Téléphones sans fil sens base vers mobile, 15 canaux de 12,5 kHz / 40 mW PAR maxi couplés à 41,3-41,5 MHz
26,810 à 26,920 MHz Télécommandes modèles réduits
26,957 à 27,283 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 10 mW PAR maxi
26,960 à 27,410 MHz 40 canaux CB bande des 11 mètres
27,095 MHz Eurobalise (située entre le canal 11 et 12 CB)
27,500 à 28,000 MHz Auxiliaires météorologie
28 à 29,700 MHz RADIOAMATEURS bande des 10 mètres
29,700 à 32,500 MHz Armée, espace

HAUT

VHF :

Classification : VHF - Très Hautes Fréquences (Very High Frequencies)
Ondes métriques (m)
Gamme de fréquences : 30 MHz à 300 MHz (8)
Longueurs d'ondes : 10 à 1 mètre
Utilisation : Ondes réfléchies, directes
Quelques exemples :
30 à 50 MHz Réseaux professionnels, armée, équipement, routes, télécommandes modèles réduits...
30,005 à 30,010 MHz Recherche spatiale, exploitation et identification des satellites
34,995 à 35,055 MHz Télécommandes modèles réduits
37,500 à 38,250 MHz Radioastronomie
39 à 39,500 MHz Radiolocalisation
39,986 à 40,020 MHz Recherche spatiale
40,660 à 40,700 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 10 mW PAR maxi
40,660 à 40,700 MHz Télécommandes modèles réduits
40,980 à 41,015 MHz Recherche spatiale
40,995 à 41,205 MHz Télécommandes modèles réduits
41,300 à 41,500 MHz Téléphones sans fil sens mobile vers base, 15 canaux de 12,5 kHz / 20 mW PAR maxi couplés à 26,3-26,5 MHz
42 à 42,500 MHz Radiolocalisation
(44,500 à 68,500 MHz) (Ancienne bande télévision système I et B)
47 à 68 MHz Télévision système L France, canaux 2,3,4 BANDE I
48,500 à 56,500 MHz Télévision système D
50 à 54 MHz RADIOAMATEURS bande des 6 mètres (régions 2 et 3)
50 à 52 MHz RADIOAMATEURS bande des 6 mètres (région 1, France)
52 à 59,500 MHz Télévision système B
54 à 72 MHz Télévision système M
58 à 66 MHz Télévision système D
65 à 73 MHz RADIODIFFUSION FM Pays de l'EST
68 à 87,500 MHz Services divers, réseaux privés, EDF, Enedis, Pompiers, Ambulances, Armée, Taxi...
70 à 70,500 MHz RADIOAMATEURS bande des 4 mètres, uniquement dans certains pays autorisés
72,200 à 72,500 MHz Télécommandes modèles réduits
73 à 74,600 MHz Radioastronomie (région 2)
74,800 à 75,200 MHz Radionavigation aéronautique
75 MHz Radiobornes
76 à 108 MHz Radiodiffusion (région 2)
87 à 108 MHz Radiodiffusion (région 3)
87,390 MHz Radiomessagerie
87,500 à 108 MHz RADIODIFFUSION FM, BANDE II - CSA
87,500 à 108 MHz Transmissions audio à usage personnel - Canaux 200 kHz maxi - 50 nW PAR maxi
108 à 117,975 MHz Radionavigation aéronautique
108 à 112 MHz Aéronautique, navigation aérienne, émetteurs sol
117,975 à 137 MHz Aéronautique
121,500 MHz Fréquence internationale de détresse, urgence, balises de détresse (RBLS)
123,100 MHz Fréquence auxiliaire de 121,5 MHz pour les opérations de secours
137 à 138 MHz Satellites météo défilants (sens espace vers terre), recherche spatiale
138 à 144 MHz Aéronautique, services divers, ULM, aérodromes, parapente...
143,600 à 143,650 MHz Recherche spatiale
144 à 146 MHz RADIOAMATEURS bande des 2 mètres (région 1, France)
144 à 148 MHz RADIOAMATEURS bande des 2 mètres (régions 2 et 3)
148 à 150,050 MHz Services militaires, satellites défilants (sens terre vers espace)
148 à 149,900 MHz Exploitation spatiale (sens terre vers espace)
150,050 à 153,000 MHz Radioastronomie
150,050 à 156,4875 MHz Réseaux radio divers, taxis, SAMU, pompiers...
156,025 à 162,050 MHz Réseaux radio maritimes et fluviaux, divers...
156,300 MHz Fréquence pour opérations de secours (SAR)
156,4875 à 156,5625 MHz Mobiles maritime
156,525 MHz Fréquence internationale de détresse ASN
156,650 MHz Fréquence de sécurité navigation maritime
156,7625 à 156,7875 MHz Mobiles maritime et satellites (sens terre vers espace)
156,7875 à 156,8125 MHz Mobiles maritime
156,800 MHz Fréquence internationale de détresse et appel
156,8125 à 156,8375 MHz Mobiles maritime et satellites (sens terre vers espace)
161,975 MHz Système AIS
161,9875 à 174 MHz Réseaux radio divers...
162,025 MHz Système AIS
169,475 à 169,4875 MHz Alarmes - Canaux 12,5 kHz - 500 mW PAR maxi
169,5875 à 169,6 MHz Alarmes - Canaux 12,5 kHz - 500 mW PAR maxi
174 à 230 MHz Télévision système L France, canaux 5 à 10 BANDE III
220 à 225 MHz RADIOAMATEURS bande des 1,35 mètres (région 2)
243 MHz Fréquence internationale de détresse, urgence, balises de détresse (RBLS)
223 à 400,050 MHz Aéronautique militaire, stations spatiales...
267 à 273 MHz Exploitation spatiale (sens espace vers terre)

HAUT

UHF :

Classification : UHF - Ultra Hautes Fréquences (Ultra High Frequencies)
Ondes décimétriques (dm)
Gamme de fréquences : 300 MHz à 3000 MHz (9)
Longueurs d'ondes : 1 mètre à 10 centimètres
Utilisation : Ondes directes, micro-ondes
Quelques exemples :
223 à 400,050 MHz Aéronautique militaire, stations spatiales...
312 à 315 MHz Mobile par satellite (sens terre vers espace)
322 à 328,600 MHz Radioastronomie
328,600 à 335,400 MHz Systèmes d'atterrissage aux instruments radionavigation aéronautique
387 à 390 MHz Mobile par satellite (sens espace vers terre)
399,900 à 400,050 MHz Mobiles par satellites défilants (sens terre vers espace)
400,050 à 430,000 MHz Réseaux radio divers...
400,100 MHz Fréquences étalon et signaux horaires par satellite (400,050 à 400,150 MHz)
400,150 à 401,000 MHz Météorologie, satellites défilants et exploration spatiale (sens espace vers terre)
401 à 402 MHz Météorologie, exploration terre par satellite (sens terre vers espace), exploration spatiale (sens espace vers terre)
402 à 403 MHz Météorologie, exploration terre par satellite (sens terre vers espace)
403 à 406 MHz Météorologie
406 MHz Balises de détresse COSPAS-SARSAT (RBLS)
406,100 à 410,000 MHz Radioastronomie
410 à 420 MHz Recherche spatiale (espace-espace)
415 à 420 MHz TETRA
420 à 450 MHz Radiolocalisation
425 à 430 MHz TETRA
430 à 440 MHz RADIOAMATEURS bande des 70 centimètres et radiolocalisation
433,050 à 434,790 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 1 mW PAR maxi
(ou 10 mW avec un coefficient d'utilisation de 10%) - Télécommandes
440 à 884 MHz Réseaux radio divers...
446 à 446,100 MHz RRI 8 canaux 12,5 kHz / 500 mW PAR maxi (PMR)
(446,00625/446,01875/446,03125/446,04375/446,05625/446,06875/446,08125/446,09375 MHz)
446,100 à 446,200 MHz RRI canaux de 6,25 kHz ou 12,5 kHz / 500 mW PAR maxi
Applications numériques
446,475 MHz Radiomessagerie
446,525 MHz Radiomessagerie
454 à 456 MHz Satellites défilants
456,00625 à 459,99375 MHz TETRAPOL
457,525 MHz
457,5375 MHz
457,550 MHz
457,5625 MHz
457,575 MHz Communications maritimes à bord
459 à 460 MHz Satellites défilants
466,00625 à 469,99375 MHz TETRAPOL
467,525 MHz
467,5375 MHz
467,550 MHz
467,5625 MHz
467,575 MHz Communications maritimes à bord
470 à 830 MHz Télévision France, canaux 21 à 69 BANDE V
470 à 960 MHz Radiodiffusion, mobiles…
608 à 614 MHz Radioastronomie
694 à 790 MHz Téléphonie mobile (bande 700 MHz) et télévision TNT en cours de suppression
791 à 821 MHz Services de communications
832 à 862 MHz Services de communications
863 à 865 MHz Transmissions audio - 10 mW PAR maxi
863 à 868,6 MHz Appareils divers, télécommandes, télémesures... - 25 mW PAR maxi
865 à 865,6 MHz RFID - Canaux 200 kHz - 100 mW PAR maxi
865,6 à 867,6 MHz RFID - Canaux 200 kHz - 2 W PAR maxi
867,6 à 868 MHz RFID - Canaux 200 kHz - 500 mW PAR maxi
868 à 868,6 MHz Systèmes anticollision aviation
868,6 à 868,7 MHz Alarmes - Canaux 25 kHz - 10 mW PAR maxi
868,7 à 869,2 MHz Appareils divers, télécommandes, télémesures... - 25 mW PAR maxi
869,2 à 869,3 MHz Alarmes - Canaux 25 kHz - 10 mW PAR maxi
869,3 à 869,4 MHz Appareils divers, télécommandes, télémesures, alarmes... - Canaux 25 kHz - 10 mW PAR maxi
869,4 à 869,650 MHz Appareils divers, télécommandes, télémesures... - Canaux 25 kHz - 500 mW PAR maxi
869,65 à 869,7 MHz Alarmes - Canaux 25 kHz - 25 mW PAR maxi
869,7 à 870 MHz Appareils divers, télécommandes, télémesures... - 25 mW PAR maxi
876 à 880 MHz GSM-R
876 à 960 MHz GSM
921 à 925 MHz GSM-R
960 à 1164 MHz Aéronautique
1000 à 2000 MHz BANDE L
1087,7 à 1092,3 MHz Emissions de surveillance ADS-B (1090 MHz)
1164 à 1215 MHz Radionavigation aéronautique et satellites
1215 à 1300 MHz Radionavigation, radiolocalisation par satellites, recherche spatiale
1240 à 1300 MHz RADIOAMATEURS bande des 23 centimètres
1300 à 1350 MHz Radionavigation aéronautique et satellites, radiolocalisation
1350 à 1400 MHz Radiolocalisation
1359 MHz Transmissions d'images depuis les hélicoptères
1375 à 1400 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 1,427-1,452 MHz / écart 52 MHz)
1400 à 1427 MHz Radioastronomie, recherche spatiale
1400 à 1727 MHz Ecoutes passives émissions extraterrestres
1427 à 1452 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 1,375-1,400 MHz / écart 52 MHz)
1427,1 à 1427,3 MHz Ballons stratosphériques
1452 à 1460 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 1,484-1,492 MHz / écart 32 MHz)
1452 à 1492 MHz Radiodiffusion par satellite, communications électroniques
1484 à 1492 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 1,452-1,460 MHz / écart 32 MHz)
1518 à 1559 MHz Satellites, mobiles sens espace vers terre
1525 à 1535 MHz Exploitation spatiale sens espace vers terre
1525 à 1660,5 MHz Satellites INMARSAT
1530 à 1544 MHz Trafic de détresse et sécurité sens espace vers terre
1535 à 1559 MHz Satellites, mobiles sens espace vers terre
1544 à 1545 MHz Liaisons de connexion RBLS (espace vers terre) communications de détresse et sécurité
1559 à 1626,5 MHz Radionavigation aéronautique et satellites
1610 à 1610,5 MHz Appareils électroniques d'aide à la navigation aéronautique
1610 à 1660,5 MHz Satellites, mobiles sens terre vers espace
1610 à 1626,5 MHz Radiorepérage par satellites
1610,6 à 1613,8 MHz Radioastronomie, satellites
1626,5 à 1645,5 MHz Trafic de détresse et sécurité sens terre vers espace
1645,5 à 1646,5 MHz Liaisons de connexion RBLS, relais satellites détresse et sécurité
1660 à 1670 MHz Radioastronomie, satellites
1668,4 à 1700 MHz Auxiliaires météorologie, satellites
1700 à 1710 MHz Météorologie, satellites, télémesure et poursuite de mobiles
1700 à 1900 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
1710 à 1880 MHz GSM
1880 à 1900 MHz DECT 10 canaux de 2 MHz / 250 mW PIRE maxi
1900 à 2100 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
1900 à 1980 MHz UMTS
1920 à 1980 MHz Services de communications
1980 à 2010 MHz Satellites, mobiles sens terre vers espace
2000 à 4000 MHz BANDE S
2010 à 2025 MHz UMTS
2025 à 2110 MHz Exploitation et recherche spatiale
2025 à 2110 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 2,200-2,290 MHz / écart 175 MHz)
2100 à 2300 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
2110 à 2120 MHz Recherche spatiale
2110 à 2170 MHz Services de communications, UMTS
2170 à 2200 MHz Satellites, mobiles sens espace vers terre
2200 à 2290 MHz Exploitation spatiale
2200 à 2300 MHz Recherche spatiale, télémesures
2200 à 2290 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (couplés à 2,025-2,110 MHz / écart 175 MHz)
2300 à 2450 MHz RADIOAMATEURS bande des 13 centimètres et radiolocalisation
2400 à 2500 MHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales)
2400 à 2483,5 MHz Appareils faibles portées, RLAN, Wi-Fi, télécommandes modèles réduits...
2400 à 2500 MHz Four à micro-ondes (ex: 2,450 MHz)
2446 à 2454 MHz RFID - 500 mW PIRE maxi
2450 à 2500 MHz Radiolocalisation
2483,5 à 2500 MHz Radiorepérage par satellites
2500 à 2700 MHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
2520 à 2670 MHz Radiodiffusion par satellites télévisions
2630 à 2655 MHz Raddiodiffusion sonore par satellites défilants
2655 à 2700 MHz Radioastronomie, recherche spatiale
2700 à 2900 MHz Radionavigation aéronautique, radar météo
2700 à 3100 MHz Radiolocalisation, radionavigation
2930 à 2950 MHz Interrogateurs répondeurs de navires (SIT)

HAUT

SHF :

Classification : SHF - Super Hautes Fréquences (Super High Frequencies)
Ondes centimétriques (cm)
Gamme de fréquences : 3 GHz à 30 GHz (10)
Longueurs d'ondes : 10 à 1 centimètre
Utilisation : Ondes directes espace
Quelques exemples :
2 à 4 GHz BANDE S
2,700 à 3,100 GHz Radiolocalisation, radionavigation
3,100 à 3,400 GHz Radiolocalisation
3,300 à 3,500 GHz RADIOAMATEURS bande des 9 centimètres (régions 2 et 3)
3,400 à 3,600 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
3,400 à 3,800 GHz Services de communications
3,700 à 4,200 GHz Satellites télévisions
4 à 8 GHz BANDE C
4,200 à 4,400 GHz Radio-altimètres
4,202 GHz Fréquences étalon et signaux horaires par satellite sens espace vers terre
4,800 à 5,000 GHz Radioastronomie
5,030 à 5,150 GHz Systèmes d'atterrissage hyperfréquences
5,150 à 5,250 GHz Transmission de données large bande, RLAN, réseaux locaux… Usage libre.
200 mW PIRE maxi. Utilisation intérieure uniquement
5,250 à 5,350 GHz Transmission de données large bande, RLAN, réseaux locaux… Usage libre.
100 mW PIRE maxi ou 200 mW avec TPC. Utilisation intérieure uniquement et DFS obligatoire
5,350 à 5,470 GHz Radars aéroportés et radiobalises de bord
5,470 à 5,725 GHz Transmission de données large bande, RLAN, réseaux locaux… Usage libre.
500 mW PIRE maxi ou 1 W avec TPC. DFS obligatoire
5,650 à 5,850 GHz RADIOAMATEURS bande des 5 centimètres (région 1, France et région 3)
5,650 à 5,925 GHz RADIOAMATEURS bande des 5 centimètres (région 2)
5,725 à 5,875 GHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 25 mW PIRE maxi
5,875 à 5,905 GHz Systèmes de sécurité transports intelligents
5,925 à 6,425 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (8 canaux de 29,65 MHz / écart duplex 252,04 MHz)
6,169745 à 6,180245 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 252,04 MHz)
6,424553 à 6,435053 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 252,04 MHz)
6,425 à 7,110 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (8 canaux de 40 MHz / écart duplex 340 MHz)
6,763 à 6,777 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 342,5 MHz)
7,075 à 7,250 GHz Mesures passives hyperfréquences au-dessus des océans
7,1055 à 7,1195 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 342,5 MHz)
7,190 à 7,250 GHz Télémesures et télécommandes engins spatiaux
7,375 à 7,750 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
8 à 12 GHz BANDE X
8,025 à 8,500 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens + audio/télévisuel
8,400 à 8,500 GHz Recherche spatiale
8,500 à 10,680 GHz Radiolocalisation
8,550 à 8,650 GHz Recherche spatiale
8,750 à 8,850 GHZ Radionavigation par effet Doppler sur 8,800 GHz
8,850 à 9,000 GHz Radars cotiers radionavigation maritime
9,200 à 9,225 GHz Radars cotiers radionavigation maritime
9,200 à 9,500 GHz Répondeur radar pour opérations de secours SAR
9,300 à 9,900 GHz Recherche spatiale
10 à 10,500 GHz RADIOAMATEURS bande des 3 centimètres
10,500 à 11,750 GHz Satellites télévisions bande Ku-1
10,600 à 10,700 GHz Radioastronomie, recherche spatiale
10,700 à 11,700 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (12 canaux de 40 MHz)
11,700 à 12,500 GHz Satellites télévisions bande Ku-2
12 à 18 GHz BANDE Ku
12,500 à 12,750 GHz Satellites télévisions bande Ku-3
12,750 à 13,250 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 1,010 GHz)
14,470 à 14,500 GHz Radioastronomie
15,250 à 15,350 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
15,350 à 15,400 GHz Radioastronomie
17,700 à 19,700 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens (écart duplex 1,010 GHz)
18 à 27 GHz BANDE K
22 à 22,600 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens 23 GHz (écart duplex 1,008 GHz)
22,100 à 22,500 GHz Radioastronomie
22,600 à 22,75875 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens 23 GHz bis
22,75875 à 22,84275 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens 23 GHz ter
22,84275 à 23,000 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens 23 GHz bis
23 à 23,600 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens 23 GHz (écart duplex 1,008 GHz)
23,600 à 24,000 GHz Radioastronomie
24 à 24,250 GHz RADIOAMATEURS bande des 1,2 centimètres
24 à 24,250 GHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 100 mW PIRE maxi
Sauf 24,10 à 24,15 GHz limité à 0,1 mW PIRE maxi
24,549 à 25,445 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 1,008 GHz)
25,557 à 26,453 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 1,008 GHz)
27 à 40 GHz BANDE Ka

HAUT

EHF :

Classification : EHF - Extrêmement Hautes Fréquences (Extremely High Frequencies)
Ondes millimétriques (mm)
Gamme de fréquences : 30 GHz à 300 GHz (11)
Longueurs d'ondes : 1 centimètre à 1 millimètre
Utilisation : Ondes directes, espace
Quelques exemples :
27 à 40 GHz BANDE Ka
31,300 à 31,800 GHz Radioastronomie
31,871 à 32,543 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 812 MHz)
32,683 à 33,355 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 812 MHz)
37,268 à 38,220 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 1,260 GHz)
38,528 à 39,480 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 1,260 GHz)
40 à 75 GHz BANDE V
40,500 à 42,500 GHz Satellites télédiffusion
42,500 à 43,500 GHz Radioastronomie
47 à 47,200 GHz RADIOAMATEURS bande des 6 millimètres
55,780 à 66,000 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens
61 à 61,500 GHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 100 mW PIRE maxi
71 à 76 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 10,000 GHz)
75 à 111 GHz BANDE W
76 à 81,500 GHz RADIOAMATEURS bande des 4 millimètres
76 à 116 GHz Radioastronomie
81 à 86 GHz Liaisons FH Faisceaux Hertziens écart duplex 10,000 GHz)
101 à 120 GHz Ecoutes passives émissions extraterrestres
122 à 123 GHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 100 mW PIRE maxi
122,250 à 123,000 GHz RADIOAMATEURS bande des 2,4 millimètres
123 à 158,500 GHz Radioastronomie
134 à 141 GHz RADIOAMATEURS bande des 2 millimètres
164 à 167 GHz Radioastronomie
182 à 185 GHz Radioastronomie
197 à 220 GHz Ecoutes passives émissions extraterrestres
200 à 231,500 GHz Radioastronomie
241 à 250 GHz RADIOAMATEURS bande des 1,2 millimètres
241 à 275 GHz Radioastronomie
244 à 246 GHz Bande ISM (fréquences Industrielles Scientifiques et Médicales) - 100 mW PIRE maxi

HAUT

THF supérieures à 300 GHz :

Classification : THF - Enormément Hautes fréquences (Tremendously High Frequencies)
Ondes décimillimétriques (dmm)
Gamme de fréquences : 300 GHz à 3000 GHz (12)
Longueurs d'ondes : 1 millimètre à 100 micromètres
Utilisation : Espace
0,3 à 3 THz Recherche, astronomie...

Classification : Ondes centimillimétriques (cmm)
Gamme de fréquences : 3 THz à 30 THz (13)
Longueurs d'ondes : 100 à 10 micromètres
3 à 380 THz INFRAROUGE

Classification : Ondes micrométriques (µm)
Gamme de fréquences : 30 THz à 300 THz (14)
Longueurs d'ondes : 10 à 1 micromètre
3 à 380 THz INFRAROUGE

Classification : Ondes décimicrométriques (dµm)
Gamme de fréquences : 300 THz à 3000 THz (15)
Longueurs d'ondes : 1 micromètre à 100 nanomètres
3 à 380 THz INFRAROUGE
380 à 760 THz Lumière visible
760 à 30000 THz ULTRA-VIOLET

Gamme de fréquences : Supérieures à 3000 THz
Longueurs d'ondes : Inférieures à 100 nanomètres
3x10^16 à 3x10^18 Hz RAYONS X
3x10^18 à 3x10^22 Hz RAYONS GAMMA
Au-dessus de 3x10^22 Hz RAYONS COSMIQUES
UT

TLF et en-dessous :

Classification : TLF et en-dessous - Enormément Basses Fréquences (Tremendously Low Frequencies)
0,03 à 0,3 Hz : ondes gigamétriques (Gm)
0,3 à 3 Hz : ondes hectomégamétriques (hMm)
Infra-sons
Gamme de fréquences : 0,03 à 0,3 Hz (-1)
0,3 à 3 Hz (0)
Longueurs d'ondes : Supérieures à 100 000 kilomètres
Utilisation : Champs magnétiques et électromagnétiques
Quelques exemples :
0 Courant Continu, électricité
Jusqu'à 16 Hz Infra-sons


   Région 1 : France Métropolitaine, Réunion, Archipel Crozet, Iles Eparses Océan Indien, Afrique, Proche-Orient, et quelques pays ex-URSS.
   Région 2 : Guadeloupe, Guyane, Martinique, St Pierre et Miquelon, St Barthélemy, St Martin, Clipperton, Amérique du Nord, Amérique Centrale, Amérique du Sud, Pacifique Nord.
   Région 3 : Iles St Paul et Amsterdam, Terre Adélie, Iles Kerguelen, Nouvelle Calédonie, Polynésie Française, Wallis et Futuna, Océanie, Pacifique Sud, Asie sauf Proche-Orient et ex-URSS.



meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe C_Regions123


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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:29

’extrêmement basse fréquence ou EBF (en anglais, extremely low frequency ou ELF) est la bande de rayonnement électromagnétique (radiofréquences) comprise entre 3 et 30 Hz (longueur d'onde de 100 000 à 10 000 km).

Dans le domaine des sciences de l'atmosphère, une définition alternative est généralement retenue : de 3 Hz à 3 kHz.

La fréquence du courant alternatif dans les réseaux électriques (50 ou 60 Hz) est située dans la bande de ELF, ce qui fait des réseaux électriques une source involontaire de rayonnement ELF.
Sommaire

1 Utilisations
2 Ondes ELF naturelles
3 Effets physiques sur l'organisme animal ou humain
3.1 Effet physique du champ électrique
3.2 Effet du champ magnétique
4 Impacts sanitaires
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Articles connexes
6.2 Liens externes
6.3 Bibliographie

Utilisations
Vue aérienne (1982) d'une installation de transmission en ELF de l'U.S. Navy (Clam Lake, Wisconsin) dédiée à la communication avec les sous-marins en immersion profonde.

En raison de la difficulté de construire des antennes pouvant rayonner ces ondes longues, ces fréquences ne sont que très peu utilisées par les télécommunications. Ces ondes se propageant dans l'eau de mer, elles se montrent utiles pour la communication avec les sous-marins ou des robots sous-marins dans la bande supérieure 30 à 300 Hz. Les États-Unis, la Russie et l'Inde seraient les seuls pays à avoir construit des installations de communication 1,2,3,4,4,5,6,7,8. Les installations américaines ont été utilisées de 1985 à 2004, maintenant hors service.

Ces ondes peuvent aussi pénétrer des distances importantes dans la roche et le sous-sol, ce pourquoi elles sont utilisées par certains systèmes de communication minière (fréquences de 300 à 3000 Hz)4.

La bande des extrêmement basse fréquence ne semble pas être utilisée en télécommunications. Par contre, elle est exploitée pour détecter certains phénomènes naturels, générateurs d'impulsions radioélectriques (foudre et certaines perturbations naturelles du champ magnétique terrestre).
Ondes ELF naturelles

Des ondes ELF naturelles sont présentes sur Terre, créées par les éclairs de foudre qui déclenchent l’oscillation des électrons de l’atmosphère. Le mode de résonance principal de la cavité Terre-ionosphère a une longueur d’onde égale à la circonférence de la terre, soit 7,8 Hz. Ainsi cette fréquence et ses harmoniques (14, 20, 26, 32 Hz) apparaissent comme des pics de bruit dans le spectre ELF et sont appelées « résonance Schumann ».

Ces ondes semblent avoir été détectées sur Titan, la lune de Saturne . La surface de Titan étant peu réfléchissante en ELF, elles pourraient être réfléchies, selon certain modèles théoriques, par la transition liquide-solide de l’océan d’ammoniaque9. L’ionosphère de Titan est plus complexe que celle de la Terre, avec une première couche à 1 200 km d’altitude, et une seconde couche chargée à 63 km, ce qui séparerait deux cavités résonnantes. La source d’ondes ELF est cependant peu claire, car Titan ne présente pas d’activité orageuse observée.

Enfin des émissions ELF de puissance énorme, de l’ordre de 100 000 fois l’énergie lumineuse du soleil, sont théoriquement émis par une forme de pulsars appelés magnétars. Ainsi le pulsar de la nébuleuse du Crabe émettrait cette puissance à la fréquence de 30 Hz10, mais cette fréquence est inférieure à la fréquence de Langmuir du milieu interstellaire, la rendant inobservable depuis la Terre.
Effets physiques sur l'organisme animal ou humain

Le milieu interne d'un organisme vivant (ou mort) placé dans un champ électrique et magnétiques EBF subit des champs et des courants électriques induits. Et le corps humain (ou animal) dans son ensemble interagit avec le champ EBF en modifiant sa distribution spatiale d'une manière qui dépend aussi de la nature, taille, forme et posture de l'organisme11.

La dosimétrie peut chercher à évaluer l'intensité du phénomène en mesurant le rapport entre le champ externe et les champ électriques et la densité de courant induits évalués ou modélisés à l'intérieur de l’organisme. Ces deux paramètres (champ électrique induit, densité de courant induits) peuvent interagir avec certains tissus électriquement excitables (rétine, nerfs, muscles)11.
Effet physique du champ électrique

Dans les basses fréquences, un organisme est « bon conducteur, et les lignes du champ perturbé à l’extérieur de l’organisme sont presque perpendiculaires à la surface de son corps »11. Des charges oscillantes sont induites sur cette surface, qui produisent des courants au sein de l'organisme, sachant que :

En temps normal le champ électrique à l'intérieur d'un organisme est cinq à six fois moindre qu'à son extérieur11 ;
si l'exposition se fait dans un champ vertical, alors les champs induits seront majoritairement verticaux11 ;
dans un champ électrique externe connu, c'est dans le corps en contact parfait avec le sol et par l’intermédiaire des pieds (mise à la terre électrique) que les champs induits seront les plus forts. Inversement, il seront les plus faibles dans le corps isolé du sol ou dans une cage de faraday11 ;
le courant induit dans un organisme (en contact parfait avec le sol) dépend moins de la conductivité des tissus que de la taille et de la posture ou forme de ce dernier. Néanmoins la conductivité des tissus et organes est responsable du pattern de distribution de ces courants induits dans les organes et tissus ;
le champ électrique induit va aussi se distribuer selon les variations de conductivités du milieu interne, mais moins que pour le courant induit11 ;
tout contact avec un objet conducteur situé dans un champ électrique peut par ailleurs aussi générer un courant induit dans l’organisme11.

Effet du champ magnétique

Les tissus vivants y sont aussi perméables que l'air. Un organe ou tissus interne est donc exposé au même champ que s'il était situé à l'extérieur du corps. La matière du corps animal ne perturbe que très peu ce champ. Leur principal mode d'interaction est l'induction (loi de Faraday, de champs électriques et des densités de courant associées dans les tissus conducteurs)11.

C'est l'orientation du champ extérieur qui va moduler le champ et le courant électrique induit dans le corps 11;
Si l'on considère l'organisme dans sa globalité, les champs induits dans les tissus sont plus grands si le champ est aligné de l'avant vers l'arrière du corps. Cependant certains organes voient leurs valeurs les plus élevées survenir quand l'exposition au champ se fait de profil.
Pour l'homme, les champs électriques les plus faibles « sont induits par un champ magnétique orienté le long de l’axe vertical du corps »11 ;
plus un organisme est grand, plus - à intensité et orientation égale du champ magnétique - les champs électriques induits seront intenses ;
La distribution du champ électrique induit est modifiée par la conductivité des divers organes et tissus. Ceux-ci ont un effet limité sur la distribution de la densité du courant induit11.

Dans le secteur de l'industrie et de l'alimentation électrique, des agents peuvent être exposés à des champs électriques élevés (jusqu'à 30 kV m-1)11.
Impacts sanitaires

De tels champs peuvent être induits par les lignes à haute-tension12 ou les gros transformateurs.

Certaines études épidémiologiques suggèrent un lien possible entre l'exposition à des ELF et l'apparition de certains types de tumeurs cérébrales13.

Après une dizaine d'années d'observations, le CIRC a conduit l'OMS à revoir le statut des ELF dans le classement des substances et ondes nocives ; de "non cancérigènes", les ELF ont été reclassées "peut-être cancérigènes". Mais des efforts restent encore à faire pour préciser ces classements. Les enfants vivant à proximité de lignes à haute tension auraient en Europe deux fois plus de risque de développer une leucémie avant l'âge de 15 ans[réf. nécessaire]. D'autres effets sont suspectés, notamment concernant le risque de dépression14 ou la diminution des défenses immunitaires de personnes exposées au champ d'un transformateur haute tension15. Les études sur les leucémies infantiles (risque significatif à partir de 0,4 mT) ont conduit la Suède à adopter une norme de 0,2 mT.

Parmi les solutions pour diminuer ce type de champ à proximité des habitations ou lieux de travail figurent le repositionnement, rehausse ou enfouissement des câbles, l'éloignement de transformateurs, l'utilisation de tensions moins hautes.
Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « ELF » (voir la liste des auteurs).

↑ (en) « Extremely Low Frequency Transmitter Site, Clam Lake, Wisconsin » [archive], Navy Fact File, United States Navy, 28 juin 2001 (consulté le 17 février 2012) at the Federation of American Scientists website [archive]
↑ (en) E. A. Wolkoff (mai 1993). « Pattern Measurements of U.S. Navy ELF Antennas [archive] » ELF/VLF/LF Radio Propagation and Systems Aspects: 26.1–26.10 p., Belgium: AGARD Conference proceedings 28 Sept. – 2 Oct. 1992, NATO. Consulté le 17 février 2012.
↑ (en) Lewis Coe, Wireless Radio: A brief history, USA, McFarland, 2006, 143–144 p. (ISBN 0786426624, lire en ligne [archive])
↑ a b et c (en) Christopher H. Sterling ELF, Military communications: from ancient times to the 21st century, ABC-CLIO, 2008, 431–432 p. (ISBN 1851097325, lire en ligne [archive])
↑ (en) Yu. B. Bashkuev, V. B. Khaptanov et A. V. Khankharaev, « Analysis of Propagation Conditions of ELF Radio Waves on the "Zeus"–Transbaikalia Path », Plenum, vol. 46, no 12,‎ décembre 2003, p. 909–917 (DOI 10.1023/B:RAQE.0000029585.02723.11, Bibcode 2003R&QE...46..909B, lire en ligne [archive])
↑ (en) Trond Jacobsen, « ZEVS, The Russian 82 Hz ELF Transmitter » [archive], Radio Waves Below 22 kHz [archive], Renato Romero webpage, 2001 (consulté le 17 février 2012)
↑ (en) James Hardy, « India makes headway with ELF site construction » [archive du 23 février 2014], IHS Jane's Defence Weekly, 28 février 2013 (consulté le 23 février 2014)
↑ (en) « Navy gets new facility to communicate with nuclear submarines prowling underwater » [archive], The Times of India, 31 juillet 2014
↑ (en) « Titan's Mysterious Radio Wave »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Jet Propulsion Laboratory, 1er juin 2007 (consulté le 2 juin 2007)
↑ Pulsars [archive]
↑ a b c d e f g h i j k l et m OMS Résumé et recommandations relatives aux études à mener [archive], rapport complet Extremely Low Frequency Fields [archive]
↑ RTE, un nouveau service d’information et de mesures sur les champs magnétiques de très basse fréquence (50 Hz) [archive]
↑ Voir l'article d'Isabelle Baldi et al. intitulé Occupational and residential exposure to electromagnetic fields and risk of brain tumors in adults: a case–control study in Gironde, France. Disponible en ligne : « http://onlinelibrary.wiley.com/store/10.1002/ijc.25765/asset/25765_ftp.pdf?v=1&t=hv51ufae&s=b368810187f6834d27f02c98189aacd564dd5718 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le 8 juin 2017)
↑ Verkasalo P.K. "Magnetic Fields of Transmission Lines and Depression", American journal of epidemiology, 147 (1997)
↑ F.Szabazon, L.Bonhomme-Faivre, S.Déoux, P.Déoux, R.Santini, "Significant Increase of Leucocytes, NK and Interleukines 2 in Humans After the End of 0.4 uT-12uT Subchronic Exposure". 24 th annual meeting BEMS, P 247, 2002 Québec

Voir aussi

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Articles connexes

Infrason
Radiofréquences

Liens externes

Extremely low frequency (ELF) fields [archive] (EHC 35, 1984)
"Radio waves below 22kHz [archive]: Nature's signals and strange emission at very low frequency" - a site specialising in low-frequency signals .
Jacobsen, Trond, "ZEVS, the Russian 82 Hz ELF transmitter [archive]: An Extrem Low Frequency transmission-system, using the real longwaves" ALFLAB, Halden, Norway.
NASA live streaming ELF ; VLF Receiver [archive]

Bibliographie

ANSES (2010) Effets sanitaires des champs électromagnétiques extrêmement basses fréquences [archive], Rapport d’expertise collective, Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation,de l’environnement et du travail, mars 2010, 181 p.
Direction générale de la santé (France) (2014) Champs électromagnétiques d’extrêmement basse fréquence - Effets sur la santé [archive] (DGS février 2014)
Lambrozo, J. (2010). L’électricité et les champs électriques et magnétiques d’extrêmement basse fréquence. In Champs électromagnétiques, environnement et santé (pp. 41-56). Springer Paris.
Miro, L. (2001). Risques liés aux champs électromagnétiques d’extrêmement basses fréquences (ELF) et de fréquences intermédiaires. EMC Toxicologie–Pathologie professionnelle, 133, 16-512 (https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-2-8178-0133-9_5 [archive] résumé]).
OMS (2007) Environmental Health Criteria 238, Extremly low frequency fields lien [archive]

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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:33

Présence des ELF dans le signal de la téléphonie mobile
par xerox & Priartem
Vous trouverez ici un argumentaire juridique proposé par l’un de nos Conseils concernant la présence des Extrêmement Basses Fréquences dans le signal de la téléphonie mobile
Sur les effets athermiques de la téléphonie mobile : à propos des basses fréquences

Il y a lieu de rappeler un certain nombre de notions et de données concernant les ondes électromagnétiques dont les antennes-relais de téléphonie mobile fournissent une part importante.

- Le spectre électromagnétique comprend des radiations ionisantes (UV, rayons X, rayons Gamma, rayons cosmiques) qui transforment la matière dans sa structure même (atomes - molécules) et des radiations non ionisantes qui s’étendent du spectre visible aux extrêmement basses fréquences (ELF, Extremely low frequency). Les ondes électromagnétiques produites par les antennes-relais de téléphonie mobile appartiennent à cette seconde catégorie de rayonnements, c’est-à-dire les radiations non-ionisantes.

Les rayonnements de forte intensité, depuis les micro-ondes jusqu’à la lumière visible, induisent des effets thermiques, c’est-à-dire qu’ils produisent un échauffement de la matière par agitation moléculaire. C’est ce phénomène qui est utilisé dans la technique du four à micro-ondes : on envoie sur des aliments des ondes électromagnétiques à une certaine puissance. Ces ondes pénètrent la matière, agitent les molécules sans les détruire ce qui provoque, de manière quasi-instantanée, une élévation de température.

Utilisée sur des êtres vivants, cette technique peut évidemment conduire à la mort passée une certaine puissance ou une certaine durée. C’est compte tenu de la gravité palpable de ces risques que des études importantes ont été menées dans ce domaine pour fixer des réglementations propres à les limiter tant pour les travailleurs eux-mêmes que pour le public.

La communauté scientifique et le monde industriel s’accordent donc aujourd’hui sur les effets nocifs de ces effets thermiques, à telle enseigne que les opérateurs de téléphonie mobile ont défini des zones autour des antennes où sont imposées des mesures de protection tant pour leurs salariés que pour le public. Il s’agit d’un périmètre de l’ordre de 3 à 5 mètres autour de l’antenne où la puissance rayonnée des ondes est telle qu’un salarié qui y travaille ne doit pas y stationner plus de 6 minutes d’affilée afin d’éviter une élévation de la température de son corps susceptible d’engendrer des troubles graves.

Mais à faible intensité, les rayonnements du spectre allant des ELF aux micro-ondes, induisent des effets biologiques d’une autre nature, dits « athermiques ». Ces effets, largement décrits dans la littérature scientifique, ne sont pas liés à la puissance d’émissions reçues par le système vivant mais à ses spécificités (fréquence, forme de l’onde…) et à la durée d’exposition.

Le débat concernant les effets biologiques non thermiques, multiples et scientifiquement identifiés, réside dans l’appréciation de leurs effets pathogènes. Il faut noter que des experts scientifiques en bioélectromagnétisme de notoriété mondiale, américains et russes (Pr. Goodman, Pr. Martin Blank – Columbia, Université de New-York – Pr. Grigoriev, Pr. Rubstova – Académie des Sciences de Moscou), dans leurs interviews diffusées dans le documentaire « Ces ondes qui nous entourent », programmé sur Arte le 27 septembre 2001, déclarent, de vive voix, n’avoir aucun doute sur la nocivité, pour la santé publique, de l’exposition prolongée aux champs électromagnétiques de faible intensité émis par les stations de base, téléphones cellulaires et autres écrans d’ordinateur.

Il est admis que plus on s’éloigne de l’antenne, moins les effets thermiques sont importants car le T.A.S. (taux d’absorption spécifique d’énergie par les tissus, en anglais SAR : specific absorption rate) diminue très rapidement dès qu’on s’éloigne de l’antenne.

Or, c’est en se fondant exclusivement sur les effets thermiques que les recommandations actuelles en matière de protection des utilisateurs de téléphonie mobile ont été fixées.

Ainsi par exemple, les références invoquées par les opérateurs pour considérer qu’il y a absence de danger à proximité des antennes-relais sont, d’une part, celles fixées par l’ICNIRP en 1998 et d’autre part celles fixées par le CENELEC en 1995, soit 41 v/m pour les téléphones qui émettent sur la bande de 900 MHZ (cas de France-Télécom / Orange et de SFR) et 58 v/m pour ceux qui émettent sur la bande de 1800 MHZ (cas de Bouygues-Télécom). Ce sont ces mêmes normes qui ont été reprises par le décret du 3 mai 2002, publié le 5 mai 2002, en référence aux valeurs fixées par une recommandation européenne en date du 12 juillet 1999. Or, dans l’introduction de ce dernier texte, il est explicitement indiqué que ces valeurs ont été fixées en tenant compte des seuls effets thermiques avérés.

Avec de telles normes, il est bien évident qu’en s’éloignant de l’antenne, on est très vite au-dessous de leurs valeurs. Du même coup, comme elles sont les seules reconnues aujourd’hui, tant par les pouvoirs publics français que par les opérateurs, dès qu’un cas litigieux se présente, dans la vie courante, les opérateurs se contentent de faire des mesures, de constater que la barre des 41 v/m ou de 58 v/m n’est pas atteinte et en concluent, avec une bonne conscience inébranlable "il n’y a aucun risque."… et ce même si la personne qui se plaint des effets nocifs de l’installation d’une antenne-relais est objectivement malade, même si elle présente tous les symptômes de ce que l’on nomme maintenant "la maladie des micro-ondes" (ou radio-fréquences) (céphalées, insomnies, irritabilité, hyper ou hypotension, troubles de la mémoire…).

Pour l’opérateur de téléphonie mobile, il ne s’agira que d’un syndrome subjectif dû à l’installation des antennes et aux fantasmes face aux ondes "maléfiques" développés par les riverains d’antennes.

S’il s’agit de troubles encore plus lourds (fausse-couche, enfant mort-né, leucémie, lymphome…), la réponse sera qu’il n’existe aucun lien établi entre ces maladies et les rayonnements des antennes, ce qui aujourd’hui est vrai et peut le demeurer longtemps tant il est évident que l’on ne découvre que ce que l’on cherche.

Les effets athermiques des rayonnements électromagnétiques des antennes-relais sont donc ainsi purement et simplement niés. Ils n’existent pas.

Pourtant, certains pays ont décidé de légiférer beaucoup plus sévèrement et indépendamment des niveaux d’exposition admis par l’ICNIRP.

- l’arrêté suisse ORNI, daté du 1er février 2000, n’autorise pas plus de 4 v/m pour le 900 MHz et pas plus de 6 v/m pour le 1800 MHz ;
- l’Italie, en 1999, et la Russie n’autorisent pas plus de 6 v/m pour ces fréquences.

Il est à noter d’ailleurs qu’en France, deux propositions de loi, l’une émanant d’un groupe de députés, l’autre émanant d’un groupe de sénateurs, ont été déposées, en juillet 2001, afin de définir des normes comparables à celles de ces différents pays, preuve supplémentaire que le débat est loin d’être clos.

La ville de Paris a signé avec les opérateurs de téléphonie mobile une charte qui vise à encadrer l’installation des antennes sur les toits de la capitale et fixe à 2 V/m en moyenne sur 24 heures la valeur limite d’exposition des riverains d’antennes. De ce fait, les opérateurs reconnaissent ipso facto la caducité des limites fixées par le décret du 5 mai 2002.

Il est étonnant également que soit ignorée, dans l’ensemble de la normalisation, la spécificité des rayonnements des systèmes de téléphonie mobile qui réside dans la modulation des micro-ondes porteuses par des fréquences ELF (extrêmement basses fréquences situées entre 0 et 3 KHz).

Indépendamment de la téléphonie mobile, ces fréquences électromagnétiques ELF (d’extrêmement basses fréquences) sont générées essentiellement par les lignes à haute tension et les appareils électriques domestiques.

Or leurs champs ELF, après des années de débat scientifique, sur la base de multiples recherches viennent d’être classés (26 juin 2001) par le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), et donc par l’OMS, dans la catégorie 2B au sein de la classification "preuves de cancérogénicité", établie par l’OMS, c’est-à-dire dans la catégorie "l’agent est peut-être cancérogène pour l’homme. Les circonstances d’exposition donnent lieu à des expositions qui sont peut-être cancérogènes pour l’homme." Précisons que le NIEHS américain (National Institute for Environnemental Health Sciences) avait arrêté cette classification dès juin 1999.

La presse s’est faite l’écho de ce changement radical d’approche des ELF. Par exemple, le Figaro, dans son édition du 30 juin 2001, s’interroge : "les champs magnétiques cancérogènes ?" et de répondre, "Selon une agence de l’Organisation mondiale de la santé (le CIRC), les appareils électriques ménagers pourraient provoquer des leucémies…Dans le classement de référence du CIRC, les champs magnétiques passent de la catégorie des substances ou rayonnements inclassables à la catégorie 2B "peut-être cancérogènes" qui se situent avant le "cancérogènes probables" et les "cancérogènes certains". Sont concernés les champs magnétiques domestiques d’extrêmement basses fréquences (ELF 50/60 HZ…"

Les champs électromagnétiques ELF sont donc aujourd’hui considérés comme potentiellement dangereux pour l’homme.

Or, comme indiqué plus haut, les ondes émises par les antennes-relais de téléphonie mobile sont elles-mêmes porteuses d’ELF.

Les installateurs de stations de base prétendent bien sûr le contraire car la reconnaissance de l’existence de basses fréquences autour des antennes entraînerait de facto le classement des ondes émises dans la catégorie 2B de l’OMS. Ils arguent du fait que ces ELF ne produisent pas, à proprement parler, de champs magnétiques ELF.

Cette question est ainsi au cœur même du débat actuel. Les riverains des antennes-relais sont-ils exposés à des champs électromagnétiques de basses fréquences (ELF) classés dans la catégorie 2B de l’OMS « peut être cancérogène pour l’homme » dont la nocivité potentielle serait ainsi officiellement reconnue et devrait entraîner la mise en œuvre non pas du principe de précaution mais du principe de prévention ? Ou bien, au contraire, est-il prouvé que les ELF sont absentes des signaux utilisés par la téléphonie mobile autour des stations-relais de téléphonie mobile ?

Pour répondre à cette question fondamentale, il convient de s’en référer aux analyses scientifiques et, en particulier, à celles d’experts judiciaires qui ont analysé de façon précise la composition des signaux utilisés par la téléphonie mobile et qui viennent de déposer leur rapport.

Ce rapport a été rédigé par deux experts, l’un ingénieur civil, l’autre docteur en médecine et en sciences neuro-chirurgie-neuro-psychiatrie dans le cadre d’un procès qui oppose, un particulier à la SA Mobistar (opérateur de téléphonie belge), à propos de l’installation d’un relais de téléphonie mobile.

La mission confiée aux experts était de « préciser le type de signaux qui seront produits lors des tests de provocation et, en particulier, décrire les caractéristiques du champ électromagnétique produit par les antennes-relais GSM ».

Comme le précisent les experts, « la transmission d’un canal (c’est-à-dire une conversation), se fait d’une manière discontinue ; ce principe est appelé « multiplexage temporel » ou TDMA (Time Division Multiple Access) » et d’ajouter, « le champ produit par les portables et les antennes-relais GSM présente un caractère pulsé qui est principalement dû à l’utilisation d’un multiplexage temporel décrit ci-dessus. »

Les experts expliquent ensuite comment fonctionne l’antenne-relais selon ce procédé. Ils dressent ainsi un tableau qui résume les différentes périodicités rencontrées selon les cas et qui exercent une influence sur l’amplitude du champ rayonné par une antenne-relais.

On constate ainsi que le signal émis par l’antenne-relais présente différentes périodicités auxquelles correspondent différentes fréquences qui se classent dans les ELF.

Ainsi, par exemple à 120 m/s 8,3 Hz à 235 m/s 4,2Hz à 6,12 m/s 0,16 Hz

Pour ces experts, il est donc incontestable que les antennes-relais produisent des ELF. Les rayonnements électromagnétiques produits par les antennes-relais sont ainsi à classer dans la catégorie 2B de l’OMS et sont donc potentiellement cancérogènes pour l’homme.
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:34


Antennes de champs magnétiques


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https://www.aaronia-shop.com/produits/antennen-sensoren/magnetic-antenna
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:36

carte des antennes ELF FRANCE
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:46

Téléphones portables, antennes relais et wi-fi : bienvenue dans le micro-ondes universel
Posté dans :
Alertes
- Par François Lehn - le 05 décembre 2016
Avec la banalisation des téléphones portables, les micro-ondes sont passées du four de la cuisine à notre oreille. Les téléphones portables et les antennes relais inondent désormais notre environnement alors même que leur « toxicité » ne cesse d’être prouvée, étude après étude. Le plus grand danger provient sans doute des basses ondes émises par ces appareils, les ELF, reconnues cancérigènes par l’OMS depuis 1998. Mais le pire est à venir : la nouvelle technologie wi-fi diffuse, elle, les mêmes fréquences que celles du four… en pleine rue !

Le four à micro-ondes, devenu si banal dans nos cuisines, n’est pas le seul appareil à dégager ce type d’ondes. Tout aussi banalisés maintenant, les téléphones mobiles sont des sources émettrices identiques de ce rayonnement, dont la fréquence oscille entre 900 et 1 800 Mega-hertz. Mais également d’ondes toutes aussi « toxiques », les ELF (Extremly low frequencies) dont la fréquence est inférieure à 300 hertz.

Les études scientifiques se multiplient depuis quelques années pour montrer les conséquences néfastes pour la santé de l’exposition prolongée aux ondes émises par la téléphonie mobile et les supports fixes que sont les antennes relais.

En septembre 2002 déjà, une vingtaine de médecins allemands s’étaient réunis à Fribourg pour mettre en commun leurs constats cliniques de la nuisance des téléphones portables et les porter à la connaissance des autorités européennes. Aujourd’hui, ce groupe de praticiens allemands est soutenu par plus d’une centaine de médecins, toutes spécialités confondues, et de chercheurs de tous horizons, mais aucune autorité européenne n’a pris le problème en main.

   Les micro-ondes à l’oreille

Les micro-ondes ont la particularité d’être absorbées par les molécules d’eau. C’est suite à cette absorption que les liaisons hydrogènes des molécules d’eau sont agitées et qu’un échauffement se produit. C’est le principe du four (qui réchauffe les aliments et pas les plats en verre ou céramique) et l’explication de l’échauffement ressenti à l’oreille suite à une conversation prolongée au téléphone (après seulement 3 minutes, la température du lobe temporal augmente d’un degré). Les micro-ondes ont également des effets perturbateurs sur les réactions biochimiques intra et extra cellulaires.

L’impact médical constaté sur des patients, qui se nomme maintenant le « syndrome des micro-ondes », est connu depuis quarante ans, notamment grâce aux militaires et à leur utilisation de la technologie des radars. Outre les effets de la conversion du rayonnement en chaleur qui induit des lésions locales, troubles de l’audition et perturbation de la thermorégulation, le plus à craindre est ce que l’on ne sent pas : les effets athermiques.

Les études épidémiologiques décrivent les dommages provoqués comme pouvant affecter :

   Le système nerveux central : asthénie, troubles du sommeil, irritabilité, céphalées, perte de la mémoire.
   Le système endocrinien : dysfonctionnement gonadique, surrénalien et thyroïdien.
   Le système immunitaire : modification lymphocytaire, macrophagique et hématopoïétique.

Des pathologies lourdes sont aussi notées : infarctus, leucémie et tumeurs cérébrales.

   Basses fréquences à haut risque

La dangerosité des ondes émises par un téléphone portable ou par les antennes relais se mesure également par l’émission des ondes basses fréquences (les fameuses ELF). Leur toxicité est reconnue officiellement par l’OMS depuis 1998. Les ELF ont fait l’objet d’une publication les classant comme source cancérigène pour l’homme, au même rang que d’autres sources telles que le plomb ou l’essence.

Par ailleurs, l’implantation d’antennes sur les châteaux d’eau expose l’eau consommée par les populations à une perturbation due aux ELF qui rend l’eau potentiellement pathogène. Une étude récente publiée dans le Journal of electromagnetic biology and medecine (2003) montre que l’absorption d’une eau préalablement soumise à des basses ondes entraîne une perturbation des cellules sanguines : plaquettes, lymphocytes et monocytes.

   Le wi-fi : quand la rue se transforme en four à micro-ondes

La technologie wi-fi commence à envahir les lieux publics pour permettre à chacun de se connecter à Internet sans fil et de n’importe où : d’une gare, d’un café ou d’une place publique. Avec fierté, on nous annonce que la technologie de demain va fonctionner avec des hyper-ondes de 2,4 Mega-hertz, soit précisément la longueur d’ondes émise par le magnétron de votre four micro-ondes avec, il est vrai, une puissance moindre dans le cas du wi-fi. Bienvenue dans le four à micro-ondes global !

Pour en savoir plus, lire :

   « Votre gsm, votre santé, on vous ment » des docteurs Richard Gautier, Pierre le Ruz, Roger Santini et du professeur Daniel Oberhausen.
   Éditions Marco Pietteur, collection Résurgence • en librairie
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:48

Communication avec les sous-marins
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Les communications avec les sous–marins en plongée sont techniquement très difficiles, elles nécessitent la mise en œuvre de techniques et d'équipements spécifiques. Cette extrême difficulté est due à un effet incontournable : les ondes électromagnétiques des fréquences habituellement utilisées pour les télécommunications sont incapables de traverser un conducteur électrique épais comme de l'eau salée.

La solution la plus simple est de déployer une antenne radioélectrique à la surface de l'eau et d'utiliser les techniques de télécommunications classiques. Cependant, cette solution ne convient guère aux sous-marins nucléaires lanceurs d'engins. En effet, ces bâtiments ont été conçus par les plus importantes puissances militaires au moment de la guerre froide pour pouvoir rester cachés en immersion au fond des océans pendant des semaines ou des mois. Afin de rester en communication avec ces bateaux militaires sans risquer qu'ils soient repérés, il a fallu aborder la question sous des angles différents.
Sommaire

1 Transmission acoustique
2 Très basse fréquence (VLF)
3 Extrêmement basse fréquence (ELF)
3.1 Trafic ELF
4 Technique radio classique
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Articles connexes
6.2 Liens externes

Transmission acoustique
Un hydrophone.

Le son se propage très bien dans l'eau si bien qu'avec un haut-parleur sous-marin et un hydrophone on peut envisager des communications d'une bonne portée. Ce mode de transmission s'intitule l'acoustique sous-marine1 (qui concerne aussi bien la détection que la transmission). Dans les zones souvent fréquentées par leurs sous-marins, la Marine américaine (US Navy) et la Marine russe ont installé au fond de la mer des équipements d'écoute et de transmission sonique reliés par un câble sous-marin à leurs stations terrestres respectives (système Sound Surveillance System pour les États-Unis). Il est envisagé qu'à proximité d'un de ces dispositifs, un sous-marin puisse communiquer et rester en contact avec sa base2.
Très basse fréquence (VLF)

Les ondes radio aux très basses fréquences (VLF) — entre 3 et 30 kHz — sont capables de pénétrer l'eau de mer sur une épaisseur d'une vingtaine de mètres. Du coup, un sous-marin en plongée peu profonde peut communiquer en utilisant ces fréquences. Dans le cas de plongée profonde, le navire peut utiliser une bouée munie d'une antenne qui sera déployée un peu en dessous de la surface. Cette bouée peut être suffisamment petite pour ne pas être détectée par un radar ou un sonar.
Extrêmement basse fréquence (ELF)

Les ondes électromagnétiques dans la bande des « Extrêmement basses fréquences » (ELF) peuvent traverser les océans et atteindre les sous-marins où qu'ils se trouvent (on peut aussi consulter à ce propos l'article sur les « Super basses fréquences » (SLF)). Construire un émetteur sur ces fréquences est une véritable gageure en raison des longueurs d'onde extraordinairement longues mises en œuvre. Le système de l'US Navy appelé « Seafarer » émettait sur 76 hertz, et son équivalent russe appelé « Zeus », sur 82 hertz. Cette dernière fréquence correspond à une longueur d'onde de 3 658,5 kilomètres, supérieure au demi-rayon équatorial terrestre3. Il est par conséquent évident qu'on ne peut pas utiliser dans ce cas le dipôle demi-onde classique.
1982 — Vue aérienne du centre ELF de Clam Lake dans le Wisconsin.

Pour contourner la difficulté, il a fallu trouver un lieu avec une très faible conductivité électrique du sol (c'est-à-dire le contraire de ce que l'on recherche habituellement en radioélectricité), enterrer deux énormes électrodes, puis les alimenter à partir d'une station située à leur centre. Pour ce qui est de Zeus situé non loin de Mourmansk, l'espacement est de 60 km. Cette valeur n'est pas critique, on aurait pu en choisir d'autres. Comme la conductivité du sol est faible, l'énergie entre les deux électrodes va pénétrer profondément à l'intérieur de la Terre et utiliser ainsi une grande partie du globe terrestre comme antenne. Le rendement de l'antenne est très mauvais ; pour l'alimenter il a fallu construire un émetteur de puissance spécial. Bien que la puissance émise par l'antenne soit très faible, de l'ordre de quelques watts, le signal peut être reçu potentiellement partout sur la planète ; une station en Antarctique a pu détecter la mise en service de Zeus, le système de la Marine russe.

En raison de l'immense complexité technique que représente la construction d'un émetteur ELF, seules l'US–Navy américaine et la Marine russe se sont lancées dans cette aventure. Jusqu'à son démantèlement à la fin du mois de septembre 2004 le « Seafarer » américain était constitué de deux antennes situées, l'une dans le Wisconsin depuis 1977 et l'autre dans le Michigan depuis 1980. Avant 1977, on utilisait le système « Sanguine » situé dans le bouclier canadien au Wisconsin. L'antenne russe du système Zeus est installée dans la péninsule de Kola près de Mourmansk. Le système Zeus a été signalé à l'Ouest au début des années 1990.
La Royal Navy britannique avait également envisagé de construire un émetteur dans la forêt de Glengarry en Écosse, mais le projet a été abandonné.
Trafic ELF

La transmission sur ELF se fait à l'aide d'un code de Reed-Solomon sur 64 caractères. Chaque caractère est transmis sous forme d'une longue séquence pseudo-aléatoire. L'ensemble du message est codé. L'intérêt de cette technique est qu'en rapprochant plusieurs messages identiques lors d'une transmission multiple, on peut reconstituer le message initial même avec un rapport signal sur bruit très défavorable. De plus, comme peu de séquences pseudo-aléatoires représentent réellement un caractère du message, il y a une très forte probabilité que si un message est reçu, ce message soit valide. De plus, le message transmis est, de ce fait, presque impossible à falsifier par une station de brouillage par exemple.

Ceci est très important car la communication ne se fait que dans un seul sens (terre vers sous-marin) ; il est bien sûr impossible d'envisager un équipement ELF à bord pour des raisons évidentes de dimension des antennes. Les études pour concevoir un émetteur qui pourrait être immergé dans la mer ou transporté par un avion ont rapidement été abandonnées.

En raison de la faible bande passante due à la fréquence d'émission très basse, l'information ne peut être transmise que très lentement, de l'ordre de quelques caractères par minute. On peut donc raisonnablement penser que les messages consistent surtout en des instructions génériques ou des demandes de communication bilatérale par un autre canal.
Technique radio classique

Un sous-marin en surface peut utiliser les moyens de communication hertzienne classiques. Les sous-marins peuvent utiliser les réseaux HF, VHF et UHF en radiotéléphonie ou en radiotélétype. Lorsqu'ils sont disponibles, ils utiliseront préférentiellement les systèmes de communication par satellite car les communications classiques pourraient trahir leur présence, et même leur position par radiogoniométrie.
Notes et références

↑ Fourniture de système d'acoustique sous-marine [archive] « Copie archivée » (version du 6 août 2018 sur l'Internet Archive)
↑ (en) Norman Polmar, The Naval Institute guide to the ships and aircraft of the U.S. fleet, Annapolis, Md, Naval Institute, 2005, 592 p. (ISBN 978-1-591-14685-8 et 1-591-14685-2, OCLC 56876111, lire en ligne [archive]), p. 565.
↑ Rayon équatorial terrestre = 6 378,137 km et rayon polaire = 6 356,752 314 2 km.

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Communication with submarines » (voir la liste des auteurs).

Voir aussi
Articles connexes

Sous-marin
Extrêmement basse fréquence
Super basse fréquence

Liens externes

(en) Informations sur les projets ELF aux États-Unis. [archive]
(en) Informations sur le projet ELF russe : Zeus [archive] par Trond Jacobsen à ALFLAB, Halden en Norvège.
(en) Informations sur le site ELF de Clam Lake dans le Wisconsin [archive], publié par l'US Navy.

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Communication_avec_les_sous-marins
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:52

Super basse fréquence
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On appelle super basse fréquence (SLF), Super low frequency en anglais, la bande de radiofréquences qui s'étend de 30 à 300 Hz (longueur d'onde de 10 000 à 1 000 km).

Ces fréquences incluent les rayonnements des réseaux électriques à 50 et 60 Hz, ainsi que leurs harmoniques, et ont été utilisées en télécommunications sous-marines.

Deux émetteurs de communications stratégiques existaient dans cette bande:

« Sanguine » aux États-Unis à 76 hertz
« ZEVS » en CEI Russie à 82 hertz.

Sommaire

1 Propriétés des SLF et ELF
2 Les systèmes existants
3 Les transmissions SLF
4 Réception expérimentale
5 Source
6 Liens externes
7 Références

Propriétés des SLF et ELF
vue de l'émetteur SLF de Clam Lake, Wisconsin en 1982

Les ondes ELF et SLF peuvent pénétrer dans l’océan et être reçues par les sous-marins en toute zone du globe. Cependant, la réalisation d’un émetteur SLF ne fut accomplie que par les deux puissances américaine et soviétique pendant la guerre froide, en raison des coûts et des surfaces nécessaires.

En effet la longueur d’onde à 80 Hz est d’environ 3500 km, plus d’un quart du diamètre terrestre ; une antenne classique demi ou quart d’onde est donc impossible. L’antenne de l’émetteur ZEVS utilisée à Mourmansk consiste en deux électrodes géantes enterrées dans un sol peu conducteur, reliées au site d’émission par des lignes sur pylônes, d’environ 60 km. Le courant pénètre dans le sol profondément, et c’est la terre elle-même qui fait office d’antenne. Cette antenne ayant un rendement très faible, la puissance d’une centrale électrique est nécessaire pour émettre quelques watts vers les sous-marins.
Les systèmes existants

Le système seafarer à 76 Hz des USA comportait deux antennes situées à Clam lake dans le Wisconsin à partir de 1977, et à Sawer Air force base près de Gwinn dans le Michigan à partir de 1980. Avant 1977, c’est l’émetteur de Sanguine du Wisconsin qui servait. L’antenne russe de ZEVS à 82 Hz est située dans la péninsule de Kola près de Mourmansk et fut entendue à l’Ouest à partir de 1990. La marine britannique envisagea de construire également un émetteur dans la forêt de Glengarry en Écosse, mais le projet fut abandonné.
Les transmissions SLF

Les transmissions, qui pouvaient être reçues partout, utilisaient un code de Reed-Solomon à 64 bits en séquences pseudo-aléatoires très longues pour chaque caractère, puis un chiffrement.

La communication est monodirectionnelle car aucun sous-marin ne peut avoir un émetteur ELF-SLF en raison de la dimension et de la puissance nécessaire, les recherches pour réaliser un émetteur embarquable sur avion ou navire ont été très vite abandonnées.

En raison de la bande passante extrêmement faible des émissions (moins d'un hertz) les informations transmises étaient des signaux d'alerte de quelques caractères par minute, par exemple demandant de remonter à une profondeur plus faible accessible aux émetteurs VLF.
Réception expérimentale

La réception expérimentale de cette bande, ainsi que de la bande inférieure des ELF, peut se faire avec un ordinateur individuel muni d'une entrée son. Les signaux sont captés par une bobine ou une antenne long-fil et analysés par un logiciel de transformée de Fourier rapide (FFT), puis convertis en son1.
Source

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Communication with submarines » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

NASA live streaming ELF → VLF Receiver [archive]

Références

↑ http://www.vlf.it/ [archive] | title=Radio waves below 22 kHz

source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Super_basse_fr%C3%A9quence

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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:55

meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe 220px-Johnlilly4

Auparavant, les autorités devaient recourir à la censure et à la propagande pour contrôler la population et s'assurer qu'elle pensait " dans le bon sens ". Bien sûr, ces techniques sont encore utilisées aujourd'hui, mais les moyens de contrôle sont devenus beaucoup plus sophistiqués. Selon divers dénonciateurs et initiés, le gouvernement américain a pris des mesures extraordinaires en matière de technologie de contrôle au cours des dernières années, et cette technologie affecte la population d'une manière qui ne peut même pas être comprise.
La technologie secrète de contrôle de l'esprit exposée

L'une des façons dont le gouvernement peut contrôler les êtres humains grâce à la technologie de contrôle de l'esprit est la vague Lilly. La vague de Lilly a été mise au point par le Dr John C. Lilly au cours de son séjour aux National Institutes of Health des États-Unis. Au cours de ses travaux, Lilly a découvert qu'une certaine forme de longueur d'onde pouvait manipuler les molécules d'eau dans le cerveau d'un sujet, ce qui pouvait essentiellement changer sa façon de penser et de sentir. Selon Patrick Flanagan, l'ami de Lilly, la technologie peut être utilisée en utilisant des ondes de fréquence de 40 Hz et ne nécessite pas l'utilisation d'électrodes. Flanagan a affirmé que le gouvernement américain avait immédiatement décidé d'arsenaliser la technologie dès qu'elle a été mise au jour.

Selon Melissa et Aaron Dykes de Truthstream Media, la vague du lis n'est que la pointe des icebergs. Le couple prétend qu'un homme nommé Hendricus G. Loos a breveté une invention extraordinaire appelée manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs. Dans les documents de brevet, Loos affirme que l'invention peut modifier l'état émotionnel d'un être humain en modifiant les champs électromagnétiques qui l'entourent au moyen de dispositifs tels que les écrans de télévision et les moniteurs d'ordinateur. Loos a écrit : "Il est donc possible de manipuler le système nerveux d'un sujet en tirant des images affichées sur un écran d'ordinateur ou un téléviseur à proximité". L'aspect peut-être le plus sinistre de cette invention est qu'elle peut être utilisée sans que le sujet du contrôle de l'esprit ne soit jamais conscient de ce qui s'est passé.

Melissa et Aaron Dykes ont également exposé la technologie de cartographie cérébrale qui est considérée comme une priorité pour les contrôleurs du réseau de Davos. Selon l'équipe de Truthstream Media, cette technologie sera capable de décoder un cerveau humain, ce qui signifie essentiellement qu'elle permettra aux utilisateurs de lire les pensées des autres. C'est particulièrement inquiétant, disent Melissa et Aaron Dykes, car il n'existe actuellement aucune protection juridique telle que la protection de la vie privée mentale dans les livres. Cela signifie qu'il est tout à fait légal de surveiller secrètement les pensées des autres.

La technologie de contrôle mental la plus dérangeante utilisée par le gouvernement américain a peut-être été exposée par le Dr Robert Duncan, anciennement de la CIA. Il a affirmé que l'armée américaine avait utilisé une sinistre technologie de contrôle de l'esprit pendant la guerre en Irak, qui porte le nom de "La voix de Dieu". Selon M. Duncan, la technologie a fait entendre des voix dans le cerveau des combattants ennemis et leur a demandé ou ordonné de lâcher leurs armes et de se rendre aux Américains. Bien qu'il n'ait pas dit quelle organisation était responsable de la création de cette invention potentiellement incroyablement dangereuse, beaucoup soupçonnent qu'elle a été créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) qui a admis s'intéresser au domaine de la technologie du contrôle mental pour une utilisation dans un contexte militaire.

Il convient de garder à l'esprit que ces sinistres inventions ne seront probablement que la pointe de l'iceberg. Il s'agit des inventions qui ont été exposées au grand public par des personnes concernées ou par des dénonciateurs. Il est très probable qu'il existe beaucoup plus de moyens de contrôle secrets utilisés par des institutions telles que le gouvernement des États-Unis qui ont jusqu'à présent réussi à ne pas être mises dans le domaine public.

L'article The Lilly Wave And Psychotronic Warfare dit :

"L'onde de Lilly] est une impulsion électrique biphasique qui stimule les neurones du cerveau à résonner à une certaine fréquence, ainsi l'onde de Lilly a la capacité de contrôler les ondes cérébrales du cerveau. Il y a cependant une forme beaucoup plus avancée et un but largement inconnu et supprimé dans l'utilisation de la Vague de Lilly. Les molécules d'eau à l'intérieur du cerveau peuvent résonner à une fréquence désirée, ce qui fait que les électrons qui composent les tensions électriques du cerveau résonnent également à la même fréquence.

Il n'est pas nécessaire, comme le comprennent la majorité de la science, d'implanter des électrodes pour entraîner les molécules d'eau du cerveau à une certaine fréquence, il peut aussi être accompli par toute forme d'onde qui peut pénétrer le crâne et causer l'entraînement des molécules d'eau du cerveau. Par exemple, les ondes radio émises à une fréquence de 40 Hz, qui ciblent le cerveau d'une personne, entraîneront les molécules d'eau à un degré de 40 Hz et les autres électrons du cerveau résonneront donc à une telle fréquence.

De cette manière, il est possible de stimuler et de contrôler à distance les modèles d'ondes cérébrales, avec l'électromagnétisme et les ondes acoustiques... Bref, l'onde de Lilly est mieux décrite comme une résonance ciblée des molécules du cerveau."


Dernière édition par xerox le Jeu 23 Mai 2019 - 21:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 20:58

meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe 220px-Johnlilly4
Biographie

Son père, Richard Coyle Lilly, était président de la First National Bank of St. Paul et sa mère, Rachel Lenor Cunningham, était l'héritière de la Cunningham & Haas Company de St. Paul. Son frère aîné est Richard Lilly Jr., et son frère cadet s'appelle David Maher Lilly (la benjamine Mary Catherine Lilly mourut très jeune).

Passionné de sciences dès l'âge de 13 ans, il se construisit son propre laboratoire de chimie et entreprit de multiples expériences qu'il continua à la St. Paul Academy. Son intérêt pour la philosophie alla croissant lui aussi, notamment concernant George Berkeley.

En 1933, il devint étudiant en physique au California Institute of Technology grâce au soutien financier de son père.

En 1934, il découvre le roman d'Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes où les liens entre pharmacologie, processus chimique de la pensée et l'expérience subjective révolutionnent sa façon de voir si bien qu'il abandonne la physique et se consacre à la biologie et la neurophysiologie.

Lilly se maria ensuite avec Mary Crouch, mais avant de convoler pour ses noces, il prit un emploi de bucheron ; il eut un accident, si bien qu'il se retrouva aux urgences et qu'il y eut l'inspiration de devenir médecin. Il est le père de trois enfants : John C. Lilly Jr., Charles R. Lilly et Cynthia O. R. Lilly. Il adopta également une fille : Lisa Lyon Lilly. Il se remaria avec Antonietta L. de 1971 à 1986.
Carrière scientifique

En 1938, il reçoit sa licence en physique puis entre aussitôt au Dartmouth Medical School, où il se passionne pour l'anatomie disséquant 32 cadavres. Il participe également à titre de cobaye humain à des expériences éprouvantes sur la formation de la glycocyamine qui conduiront à sa première publication.

En 1940, il décide d'orienter ses études vers la recherche plutôt que la pratique médicale et rejoint alors l'University of Pennsylvania où il acquit la conviction qu'un scientifique se doit d'expérimenter par (et sur) lui-même avant de soumettre quiconque à ses expérimentations. C'est là qu'il créa sa première invention (à l'aide d'un ordinateur archaïque) : un manomètre électrique pour mesurer la pression sanguine. C'est en 1942 qu'il fut licencié en médecine de l'University of Pennsylvania et qu'il y travailla comme chirurgien et chercheur jusqu'en 1958, conduisant notamment des expériences sur la physiologie du corps humain exposée aux vols à très haute altitude pour le compte de l'U.S. Air Force, durant la Deuxième Guerre mondiale. Il se passionna ensuite pour le projet atomique et publia un ouvrage en commun sur la façon de fabriquer une bombe A.

De 1949 à 1957, il reçut une formation en psychanalyse et participa à des recherches concernant la stimulation électrique du cerveau au moyen d'électrodes et de diffusions d'« ondes Lilly » (Lilly's waves), d'impulsions biphasées, ancêtre de l'électroencéphalogramme. Cette méthodologie est toujours utilisée dans le traitement de certaines affections.

Il était membre du National Institue of Mental Health (1962-1967), chef au Maryland Psychiatric Research Institute à Catonsville au Maryland (1968-1969), chef de groupe de l'Esalen Institute à Big Sur, Californie (1969-1971), membre du Center for the advanced study of behavior à Palo Alto en Californie (1969-1970) et membre de l'Instituto de Gonsologia d'Arica au Chili (1970-1971).

Bien que chercheur conventionnel au début de sa carrière scientifique, il devait rapidement se passionner pour des sujets hors normes. Il a publié 19 ouvrages et a fait des contributions en biophysique, neurophysiologie, électronique, informatique et neuroanatomie.

Ses droits d'auteur et ses brevets technologiques sont détenus par Human Software, Inc., tandis que ses actions philanthropiques dépendent de la Human Dolphin Foundation ; quant au John C. Lilly Research Institute, Inc., il continue les recherches de Lilly tout en défendant son héritage.
R.E.S.T.
Article détaillé : Caisson d'isolation sensorielle.

Il était chef de section au National Institute of Health, au National Institute of Neurological Diseases and Blindness et au National Institute of Mental Health à Bethesda, Maryland (1953-1958). C'est là qu'il développa son caisson d'isolation sensorielle (tank) afin d'étudier plus avant les capacités du cerveau humain hors de toutes influences externes transmises par les sens, ce qu'il appelait le Restricted Environmental Stimulation Technique (R.E.S.T.) soit « la technique de restriction de stimulation environnementale (Repos)». C'est à la suite de ces recherches qu'il s'est intéressé aux mammifères marins, à leur cerveau et à leurs capacités cognitives et communicatives.
Exploration avec les dauphins
Dauphin.

Il a fondé et dirigé un laboratoire de recherche indépendant de la Navy sur les dauphins, le Communications Research Institute, à Saint Thomas dans les Îles Vierges et à Miami en Floride (1959-1968). Il se consacre au dressage, à la communication et aux études anatomiques sur les dauphins relatés dans ses livres L'homme et le dauphin et The Mind of the Dolphin (L'esprit du dauphin).

Il a tenté d'élaborer une communication inter-espèces avec les dauphins notamment en leur apprenant un anglais rudimentaire et ses travaux ont permis la création du United States Marine Mammal Protection Act (Pacte de protection des mammifères marins des États-Unis) en 1972.

Dans les années 1980, il dirige un nouveau projet de communication avec les dauphins avec un langage synthétisé par un ordinateur: J.A.N.U.S. (Joint Analog Numerical Understanding System soit « System de compréhension analogique numérique unie »). Il est secondé par Alexandra Morton (en). Il imagine une maison partagée entre humains et dauphins à titre de laboratoire de communications. Il espérait voir un jour la fin de la chasse à la baleine et des massacres de dauphins, non par des lois, mais par une prise de conscience des humains face à d'anciens résidents de la Terre doué d'une intelligence et d'une force extraordinaire dont nous avons tant à apprendre.
Tatel Radio Telescope.

Dans les années 1990, il s'installa sur l'île de Maui à Hawaii où il passa le restant de ses jours.
S.E.T.I.

Sans être un véritable ufologue, John Lilly participa en 1961 aux fondations du projet de « recherche de l'intelligence extraterrestre » (Search for Extraterrestrial Intelligence (SETI). Il se réunissait avec d'autres scientifiques à l'Observatoire de Green Bank afin de débattre de la possibilité d'utiliser les radios-télescopes pour détecter des traces d'intelligence hors du système solaire. Ils se désignaient comme membres de l'Ordre du Dauphin en hommage aux travaux de Lilly.
Exploration de la conscience
Allen Ginsberg, Timothy Leary et John Cunningham Lilly.

Au début des années 1960, Lilly fait partie des expérimentateurs cobayes de nouvelles drogues psychédéliques et participa au même titre que Timothy Leary ou Allen Ginsberg à des séances sous LSD et kétamine. Il poursuit ses recherches d'état modifié de conscience (ECM) à l'aide de son caisson d'isolation sensorielle1 et en compagnie de dauphins ainsi qu'il le rapporte dans ses livres Programming and Metaprogramming in the Human Biocomputer: Theory and Experiments (« Programmation et méta-programmation dans le « biordinateur » humain : Théorie et Expériences») et The Center of the Cyclone (« Le centre du cyclone »), publiés en 1972.

Suivant les conseils de Ram Dass, Lilly étudie le yoga de Patanjali et la quête de soi de Ramana Maharshi, et reformule ses résultats avec ses propres paradigmes : Dans la province de l'esprit, ce que chacun croit vrai ou bien l'est vraiment, ou bien le devient dans certaines limites. Ces limites sont à trouver expérimentalement et par l'expérience. Ainsi trouvées, ces limites se découvrent comme de nouvelles croyances à transcender. Dans la province de l'esprit, il n'y a aucune limite. Cependant, dans la province du corps il y a des limites bien définies à ne pas transcender.

Dans les années 1970, Lilly voyage au Chili à l'Institut d'Arica et suit un entraînement avec le leader spirituel Oscar Ichazo (influencé par le soufisme et Gurdjieff) accompagné de Claudio Naranjo (psychologue cherchant des ECM au moyen de drogues psychédéliques, proche de Carlos Castaneda) et s'efforce d'atteindre un état proche de l'éveil (samadhi)2. Sous son influence, Lilly s'intéresse aux écrit de Hallâj et Sohrawardi. Il y rencontre Alejandro Jodorowsky (travaillant à son film La Montagne sacrée) le 2 novembre 1972 et il lui fait tester son caisson d'isolation sensorielle.
S.S.I.

La Solid State Intelligence (S.S.I.) ou « Intelligence à l'État Solide » est une entité malveillante décrite par Lilly dans son livre The Scientist paru en 1978. Selon lui, le réseau de système électronique capable de numérisation (à l'état solide, c'est-à-dire, le hardware) développé par les hommes, développera (ou a déjà développé) une « bioforme » autonome. Comme les conditions de survie optimale (vide à très basse température) de celle-ci sont radicalement différentes de celles requises par les humains (air ambiant tempéré et approvisionnement en eau), Lilly prédit (ou prophétise à partir de ses visions sous l'influence de la kétamine, une drogue utilisée en anesthésie) un terrible conflit entre les deux formes d'intelligence (thème repris dans la science-fiction, notamment la série Terminator).
E.C.C.O.

En 1974, dans une autobiographie publiée avec sa femme Antonietta, les recherches de Lilly à partir de diverses drogues psychédéliques l'amenèrent à croire en l'existence d'un groupe hiérarchique d'entités cosmiques, dont la plus basse est appelée Earth Coincidence Control Office (E.C.C.O.) soit « Bureau de Contrôle des Coïncidences Terrestres ». Il pensait que celui-ci dépendait d'un Cosmic Coincidence Control Center (CCCC) soit « Centre de Contrôle des Coïncidences Cosmiques » et d'une dépendance galactique, le Galactic Coincidence Control (GCC) à l'intérieur de laquelle se trouve le Solar System Control Unit (SSCU), soit « l'Unité de Contrôle du Système Solaire » dans lequel se trouve le Earth Coincidence Control Office (ECCO)3.

Selon Lilly, il existe neuf conditions à suivre par les humains qui veulent expérimenter des coïncidences dans leurs vies :

1. Vous devez connaître/assumer/simuler notre existence dans le E.C.C.O.

2. Vous devez être prêt à accepter notre responsabilité pour le contrôle de vos coïncidences.

3. Vous devez exercer vos meilleurs capacités pour vos programmes de survie et votre propre développement comme un membre avancé/avançant du groupe terrestre de travailleurs aux coïncidences contrôlées E.C.C.O.. Vous êtres censés user du meilleur de votre intelligence dans ce service.

4. On s'attend à ce que vous vous attendiez à l’inattendu chaque minute de chaque heure de chaque jour et de chaque nuit.

5. Vous devez être capable de maintenir votre conscience/pensée/raisonnement quels que soient les événements que nous avons prévu qu'il vous arrive. Certains de ces événements sembleront cataclysmiques/catastrophiques/submergeant : rappelez-vous de rester sur vos gardes, quoiqu'il vous arrive/arrive apparemment.

6. Vous êtes dans notre programme d'entraînement à vie : on ne peut pas s'en échapper. Nous (pas vous) contrôlons les coïncidences à long terme ; vous (pas nous) contrôlez les coïncidences à court terme par vos propres efforts.

7. Votre principale mission sur Terre est de découvrir/créer ce que nous faisons pour contrôler les formes de coïncidences à long terme : vous êtes entraînés sur Terre pour faire ce travail.

8. Quand votre mission sur Terre est terminée, on ne vous demandera plus d'y rester/revenir.

9. Rappelez-vous le moto reçu (de G.C.C. via S.S.C.U.) : « l'amour cosmique est absolument impitoyable et hautement indifférent : il vous apprend ses leçons que vous les aimiez/haïssiez ou pas. »4

Il avoue alors que pour la première fois il considère que Dieu existe en lui et qu'il y a une intelligence guidant l'univers5.
Inventions technologiques

Mesure micrométrique du point de fonte des médicaments (Micro-melting Point Device for Drugs, 1940)
Manomètre électrique (Electrical Capacitance Diaphragm Manometer, 1942)
Appareil de mesure de nitrogène (Nitrogen Meter, 1943)
Appareil de mesure des variations de pressions (Variable Pressure and Mechanical Capacitor, 1947)
appareil à mesurer le flux respiratoire (Respiratory Flow Meter, 1950)
appareil multi-cannaux d'imagerie électrique (25 Channel Bavatron and Electro-Iconograms, 1950)
Caisson d'isolation sensorielle (Isolation Tank)

Bibliographie

(en) Man and dolphin : Fascinating adventures of a new scientific frontier, Londres et New York, Gollancz et Pyramid Books, 1961 (ISBN 978-0-575-01054-3) L'homme et le dauphin
(en) The Mind of the Dolphin: A Nonhuman Intelligence, Garden City, NY, Doubleday, 1967 (ISBN 978-0-385-02543-0, OCLC 851669, LCCN 67010417)
(en) The Dolphin in History, University of California, Los Angeles, William Andrews Clark Memorial Library, 1963 (1re éd. 1963)
(en) Programming and Metaprogramming in the Human Biocomputer: Theory and Experiments, Julian Press, 1987 (1re éd. 1968) (ISBN 978-0-517-52757-3)
(en) The Center of the Cyclone, Marion Boyars Publishers, 2001 (1re éd. 1972) (ISBN 978-1-84230-004-6)
(en) Lilly on Dolphins: Humans of the Sea, Garden City, Anchor Press, 1975 (ISBN 978-0-385-01037-5, OCLC 1818104, LCCN 75002854)
(en) The Deep Self, Gateways Books & Tapes, 2006 (1re éd. 1977) (ISBN 978-0-671-22552-0 et 978-0-89556-116-9, LCCN 76057951)
(en) Simulations of God: The Science of Belief, New York, Simon and Schuster, 1975 (ISBN 978-0-671-21981-9, OCLC 1176608, LCCN 75001039) Les simulacres de Dieu
(en) The Dyadic Cyclone, New York, Simon and Schuster, 1976 (ISBN 978-0-671-22218-5 et 978-0-586-08276-8, OCLC 1992129, LCCN 75045307), avec Antonietta Lilly
(en) The Scientist: A Novel Autobiography, Philadelphie, Lippincott, 1978 (ISBN 978-0-397-01274-9 et 978-0-553-12813-0, OCLC 3748803, LCCN 78003545)
(en) Communication between Man and Dolphin: The Possibilities of Talking with Other Species, New York, Julian Press, 1987, poche (ISBN 978-0-517-56564-3, LCCN 87002766)
(en) Tanks for the Memories: Floatation Tank Talks, Gateways/IDHHB, 1996, 2e éd. (ISBN 978-0-89556-071-1, LCCN 95038869)

Notes et références

↑ D. de Gramont, le Christianisme est un transhumanisme, Paris, Éditions du cerf, 2017 (ISBN 978-2-204-11217-8), p. 45
↑ (en) John C. Lilly & Joseph E. Hart, « The Arica Training », Transpersonal psychologies, edited by Charles T Tart, Routledge, 1975.
↑ (en) John C. Lilly The Dyadic Cyclone: The autobiography of a couple. with Antonietta Lilly (1st ed.). Simon and Schuster. (1976) p20.
↑ (en) John C. Lilly The Dyadic Cyclone: The autobiography of a couple. with Antonietta Lilly (1st ed.). Simon and Schuster. (1976) p21.
↑ (en) John C. Lilly, The Center of the Cyclone: An Autobiography of Inner Space, (1st ed.), Julian Press, 1972. p91.

Voir aussi

Le Cinquième Rêve. Le dauphin, l'homme, l'évolution, éditions Grasset, Paris, 1993, livre de Patrice Van Eersel, dont un chapître est consacré à John Lilly.
(en)Listening to Whales: What the Orcas Have Taught Us, livre d'Alexandra Morton comportant plusieurs chapitres dédiés à Lilly.
Le Jour du dauphin, film de Mike Nichols, adapté du livre Un animal doué de raison de Robert Merle inspiré des travaux de Lilly sur les dauphins.
Altered States / Au-delà du réel, film de Ken Russell, inspiré des travaux de Lilly sur les caissons.

Liens externes
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(en)Site officiel [archive]
Biographie de John Lilly par Patrice Van Eersel [archive]

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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 21:01

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L'HISTOIRE

CETACEAN NATION

COMMUNICATION INTERSPECIE

LE CERVEAU HUMAIN ET L'ESPRIT

RÉSERVOIRS D'ISOLEMENT

ECCO Earth Coincidence Control Office

ÉVÉNEMENTS ACTUELS

JCL EN MUSIQUE ET VIDEO

ÉCRITS de John C. Lilly

INVENTIONS de John C. Lilly

Dispositif à micro-point de fusion pour drogues , 1940

Manomètre à diaphragme à capacité électrique, 1942

Compteur d'azote, 1943

Condensateur mécanique à pression variable, 1947

Débitmètre respiratoire, 1950

Bavatron à 25 canaux et électro-iconogrammes, 1950

VORTEX de la connaissance

LA VAGUE LILLY

Stimulation électrique du cerveau

Le but était de trouver une forme d'onde de courant électrique avec laquelle les animaux pourraient être stimulés par des électrodes implantées plusieurs heures par jour pendant plusieurs mois sans provoquer de modifications irréversibles du seuil par le passage du courant à travers les tissus.

De nombreuses formes d'onde, y compris 60 cps. Le courant sinusoïdal pourrait apparemment être utilisé en toute sécurité pour ces programmes de stimulation limités. Ils ne pouvaient pas être utilisés pour le programme intensif à long terme de stimulation chronique. Le courant électrique qui traverse le cerveau peut causer au moins deux types de blessures: thermique et électrolytique.

Le problème technique de la stimulation cérébrale chronique est de rester au-dessus du seuil excitateur et au-dessous du seuil de lésion dans le système neuronal considéré. Ce résultat peut être obtenu plus facilement par le choix approprié des formes d'onde et de leur évolution dans le temps; et moins facilement par le choix de la gamme de fréquences de répétition et des durées de train.

Les formes d'ondes précédentes utilisées en neurophysiologie et en neurochirurgie ont blessé les neurones lorsqu'un courant unidirectionnel a traversé le cerveau. Le Dr Lilly a mis au point une nouvelle forme d'onde électrique pour équilibrer le courant, d'abord dans une direction, puis après un bref intervalle, dans l'autre. Ainsi, les ions en mouvement dans les neurones seraient d'abord poussés dans un sens, puis rapidement dans l'autre sens, stimulant les neurones et laissant les ions dans leurs positions antérieures dans les neurones. Cette nouvelle forme d'onde s'appelait une paire d'impulsions bidirectionnelle équilibrée, ou Lilly Wave. Des études microscopiques de cerveaux stimulés avec cette paire d'impulsions équilibrée ont montré que les réseaux de neurones ne subissaient aucune blessure du fait de ce type de stimulation.

Forme d'onde du courant de stimulation: paires d'impulsions de courant résultant d'une quasi-différenciation, avec des éléments électriques passifs, d'une impulsion rectangulaire. Mesurée à 2% du pic, la durée de l'impulsion positive (vers le haut) est de 34 盜 ec et la durée de l'impulsion négative (vers le bas) est de 28 盜 ec.

Cartographie du cerveau

Afin de ne pas blesser la substance cérébrale elle-même, six cent dix électrodes ont été placées sur le cortex cérébral d'un singe macaque. Être capable de stimuler le cerveau à travers ces électrodes sans mettre le singe sous anesthésie a montré que tout le cerveau du singe était sensoriel et moteur. Chaque partie du cortex cérébral du singe a donné des réponses dans un groupe musculaire de la périphérie approprié à cette zone du cortex

Les études approfondies de John sur le cortex cérébral ont ensuite été amplifiées par stimulation de structures cérébrales plus profondes. Les techniques précédentes de stimulation de structures plus profondes impliquaient de retirer des zones de crâne assez grandes, de placer les électrodes et de fermer les trous avec du plastique. Ses travaux antérieurs avec ces techniques lui montraient que le cerveau était blessé par son bref gonflement à travers ces trous. Il a décidé que le retrait du crâne était également un facteur dommageable dans les expériences. Il a utilisé une nouvelle technique qu'il a appelée technique de guidage des manches.

Avec cette technique, des électrodes pourraient être implantées dans le cerveau sans recourir à l'anesthésie. Au cours du processus d'implantation, l'animal ne ressentait pas plus de douleur qu'une piqûre d'aiguille dans le cuir chevelu.

De courtes longueurs de tubes d'aiguilles hypodermiques égaux en longueur à l'épaisseur du crâne ont été rapidement pilées à travers le cuir chevelu dans le crâne. Ces guides en acier inoxydable fournissent des passages pour l’insertion d’électrodes dans le cerveau à n’importe quelle distance et à n’importe quel emplacement, du cortex au bas du crâne.

Autant de guides de manche pouvant être implantés que souhaité. Du fait de la petite taille de ces guides, le cuir chevelu s'est rapidement rétabli du petit trou pratiqué et le guide de manche s'est enfoncé dans l'os pendant des mois, voire des années. À n'importe quel moment, il souhaitait que l'enquêteur puisse palper le cuir chevelu et trouver l'emplacement de chacun des guides de manche.

Une fois trouvé, il a inséré une aiguille dans le cuir chevelu dans le manche, dans le cuir chevelu, dans l'os et a pénétré dans l'aura. Après avoir retiré l'aiguille, l'investigateur plaça une petite électrode tranchante dans la piste réalisée par l'aiguille et pressa l'électrode (au bout d'un long tube d'acier de petit diamètre) à travers le cuir chevelu, à travers le crâne, à travers l'aura et dans la substance du cerveau lui-même à la profondeur désirée.

Il a été constaté que les singes soumis à cette procédure conservaient une santé parfaite, sans infection ni séquelles décelables des opérations.

Puisque le cerveau lui-même n'a pas de fibres douloureuses, l'insertion de l'électrode plus profondément dans le cerveau n'était pas perceptible par le singe. À l'aide de ces électrodes et de la forme d'onde sécurisée «paire équilibrée», des systèmes ont été trouvés dans le cerveau de plusieurs singes, ce qui, lorsqu'il était stimulé, provoquait douleur, peur, anxiété et colère. On a découvert que ces systèmes existaient principalement le long du plan moyen du cerveau, en profondeur, près du bas du crâne.

Autour de ceux-ci se trouvaient des systèmes d’appariement, qui provoquaient du plaisir, une excitation sexuelle et des motivations extrêmement positives de la part du singe.

Les systèmes qui causaient de la douleur, de la peur, de l’anxiété et de la colère étaient regroupés en systèmes "renforçant négativement" ou, en abrégé laboratoire, en "systèmes négatifs". Celles qui causaient le plaisir et les motivations positives étaient appelées "systèmes à renforcement positif" ou, en abrégé, "systèmes positifs".

Alors que l'électrode était poussée dans le cerveau millimètre par millimètre et que chaque site était stimulé, une technique était mise au point pour déterminer quel site produisait des effets positifs et lequel produisait des effets négatifs. Un appareil électronique a été conçu pour allumer ou éteindre un stimulateur électrique. Le singe a reçu deux commutateurs de fréquence radio, l'un permettant d'activer la stimulation et l'autre de l'éteindre. Lorsque l'électrode était dans une région positive, il a été constaté que le singe apprendrait rapidement à toucher le commutateur "on" pour activer un train d'impulsions court sur ces sites. Dans les zones négatives du cerveau, lorsque l’enquêteur a activé le stimulus du singe, il a rapidement appris à l’arrêter avec le commutateur "off".

Les résultats dans les systèmes positifs et négatifs étaient reproductibles chez le même singe et entre les singes. Grâce à une cartographie étendue, impliquant jusqu'à six cents sites dans un cerveau de singe donné, les systèmes positifs et négatifs ont été minutieusement élaborés, les emplacements déterminés de manière satisfaisante et les relations entre les sites de la neuroanatomie du cerveau décrites en détail. Les systèmes de douleur ont été cartographiés, les systèmes sexuels ont été cartographiés.

Il a été constaté que chez les singes mâles, il existait des systèmes distincts pour l'érection, l'éjaculation et l'orgasme. Avec une électrode dans le système à orgasme séparé, le singe stimulerait cette région et traverserait un orgasme total sans érection ni éjaculation. Compte tenu de l'appareil par lequel il pouvait se stimuler une fois toutes les trois minutes pendant vingt-quatre heures par jour, le singe stimulait le site et donnait un orgasme toutes les trois minutes pendant seize heures, puis dormait huit heures et recommençait le lendemain.

Dans les systèmes négatifs, il a été constaté que, si l'appareil était configuré pour stimuler automatiquement le singe toutes les trois minutes pendant vingt-quatre heures par jour, le stimulus était coupé à chaque fois pendant les vingt-quatre heures. Si ce stimulus était poursuivi pendant trop d'heures, le singe devenait de plus en plus malade; finalement incapable de pousser le commutateur, il s'est dirigé vers sa propre mort. Ce tableau clinique pourrait être modifié en permettant au singe de stimuler les systèmes positifs qui inversent complètement le syndrome de "mort".

Processus cognitifs et communication
Boucle "COG-I-TATE"
Boucle "BRA-VO"
Boucle "SAYONARA"
vous avez besoin de Netscape 2.0+ et du plug-in SHOCKWAVE

Les sons sont émis dans l'air par un haut-parleur et sont reçus par un auditeur par les oreilles. Dans les oreilles, les sons sont convertis en impulsions neuronales dans la cochlée, qui sont ensuite introduites dans le système nerveux central inférieur et analysées dans de multiples séquences à très grande vitesse. Un traitement central est ensuite effectué et les systèmes d’observation du cortex cérébral construisent des informations à partir de cette longue séquence de signaux calculés. Du locuteur à l'auditeur, il n'y a pas de signification tant que le cerveau de l'auditeur n'interprète pas les signaux et ne donne la signification aux signaux.

Ainsi, nous pouvons voir que la signification des mots et de la parole n’est pas présente dans les signaux eux-mêmes. La signification est dérivée de calculs effectués dans un cerveau sur les signaux. De même, chez quelqu'un qui parle, les informations contenues dans le cerveau même sont en cours de calcul et les signaux générés à la suite des calculs. Les signaux sont ensuite transmis au système nerveux par le biais du conduit vocal dans l'air. La production de signaux significatifs par le conduit vocal dépend de mouvements incroyablement rapides des muscles et de changements délicats bien différenciés au sein du conduit vocal.

Du côté de la réception, si on écoute une bande qui reproduit mécaniquement un mot prononcé une fois par un locuteur, on peut voir quelque chose de la complexité de l'interprétation de ces signaux parlés. Une bande classique, que nous utilisons pour démontrer cet effet 'a le mot "cogitate" prononcé une fois et enregistré avec un dispositif mécanique, un disque magnétique, qui reproduit de manière très précise le même ensemble de signaux que celui enregistré à l'origine. Le mot cogitate, dans ce cas particulier, est répété toutes les 0,7 secondes. Si on écoute cette bande pendant quinze minutes à une heure, on entend d'abord le mot cogiter à partir des signaux reçus. En continuant d'écouter, on commence à entendre d'autres mots, en alternant avec le mot "cogiter", tel que "tragédie".

Avec trois cents observateurs experts, nous avons constaté qu'il y avait 2 730 remplaçants, dont 350 dans un grand dictionnaire; le reste sont des mots que nous n'utilisons pas.

Cette expérience montre que la réception des signaux dépend totalement de la séquence des signaux. Le calcul de l'information, c'est-à-dire la génération de "signification" ou de "mots", est une fonction du traitement central du cerveau lui-même. Notre discours est constitué de séquences attendues que nous avons stockées il y a longtemps dans notre mémoire. Pendant que nous écoutons un haut-parleur, notre cerveau calcule les signaux que nous recevons de l'air et crée l'information, le sens, presque instantanément. Nous nous attendons à ce que le mot suivant, par exemple, soit différent des mots précédents. Lorsque nous sommes exposés à un ensemble de signaux qui se répète constamment, notre cerveau fonctionne de manière à générer des alternances avec l'ensemble de signaux qui se répète constamment, conformément à certaines règles de calcul.

Nous avons analysé les 2 730 alternatives pour "cogiter" "et avons découvert que le jeu de signaux d'origine contenait douze créneaux horaires, c.-à-d. Un téléphone, qui pouvaient être modifiés selon les règles suivantes:

1. Une consonne telle que le son initial c ou k peut être expérimentée comme toute autre consonne telle que p, g, j, ch.

2. Toute voyelle telle que le o ou un son après le son k peut devenir ou être interprétée comme un autre son de voyelle ou un groupe de voyelles.

Ainsi, le cerveau est entraîné et contient en son sein des séquences de simulations que nous appelons des significations de signaux. Dans notre réalité de consensus social, ces longues séquences de notre enfance nous sont enseignées et nous construisons des simulations sur lesquelles nous sommes d’accord. Lorsque nous nous parlons, nous calculons le sens, le transformons en signaux, recevons des signaux et recalculons le sens à partir des signaux reçus. Ainsi, nous construisons des simulations partagées qui sont des moyens flexibles de calcul de cartes, de sentiments, de pensées et d’idées.

Ainsi, notre système de communication est incroyablement rapide et sophistiqué et nécessite une très grande mémoire et une longue expérience pour pouvoir construire une signification à partir des signaux. Comme nous en avons discuté ailleurs dans ce livre, une telle performance nécessite un cerveau doté d'un certain type de structure, c’est-à-dire des zones silencieuses assez grandes pour contrôler le mini-ordinateur qui gère les muscles et reçoit les signaux pour les opérations du macro-ordinateur.

RMN (résonance magnétique nucléaire)
Scan du cerveau de John
meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe Nmrscan

-La description

   "Dans une vie donnée, il peut exister des chaînes d'événements tout à fait appropriés qui entraînent des conséquences fortement souhaitées. Après de telles expériences, on peut se demander comment une telle série d'événements s'est développée; il existe parfois un fort sentiment qu'une intelligence (supérieure à la nôtre) Il / Il / Elle programmait / a programmé le cours Il y a plusieurs années, j’ai imaginé un format pour de telles concaténations d’événements,

   "Il existe un centre de contrôle cosmique (CCC) avec une sous-station galactique appelée Contrôle de coïncidence galactique (GCC). Cette unité comprend l' unité de contrôle du système solaire (SSCU), au sein de laquelle se trouve le bureau de contrôle de coïncidence terrestre (ECCO). Les attributions des responsabilités de haut en bas de ce système de contrôle est un ensemble de réglementations, qui traduit par ECCO pour les humains est un peu comme suit: "

À tous les humains
Si vous souhaitez contrôler les coïncidences dans votre propre vie sur la planète Terre, nous coopérerons et déterminerons ces coïncidences dans les conditions suivantes:


   1) Vous devez connaître / assumer / simuler notre existence dans ECCO


   2) Vous devez être disposé à accepter notre responsabilité de contrôler vos coïncidences.


   3) Vous devez exercer vos meilleures capacités pour vos programmes de survie et votre propre développement en tant que membre avancé / avancé du corps d'ECCO du côté de la terre composé de travailleurs sous coïncidence contrôlés. Vous êtes censé utiliser votre meilleure intelligence dans ce service


   4) Vous devez vous attendre à l'inattendu chaque minute, chaque heure du jour et de la nuit.


   5) Vous devez être capable de maintenir votre conscience / pensée / raisonnement quels que soient les événements que nous prévoyons de vous arriver. Certains de ces événements vous sembleront catachlysmiques / catastrophiques / accablants: souvenez-vous de rester vigilants, peu importe ce qui se passe ou vous arrive apparemment.


   6) Vous êtes dans notre programme de formation pour la vie: il n'y a pas d'échappatoire. Nous (pas vous) contrôlons les coïncidences à long terme; vous (pas nous) maîtrisez par vous-même les coïncidences à plus court terme.


   7) Votre mission principale sur Terre est de découvrir / créer ce que nous faisons pour contrôler les schémas de coïncidence à long terme: vous êtes formés sur Terre pour faire ce travail.


   8) Lorsque votre mission sur la planète Terre sera terminée, vous ne serez plus obligé d'y rester / y revenir.


   9) N'oubliez pas la devise qui nous a été transmise (de GCC via SSCU):
   " L'amour cosmique est absolument impitoyable et hautement indifférent:
   il enseigne ses leçons, que vous les aimiez ou non. "

( Extrait de " Le cyclone dyadique ")

L'ouverture de nos esprits ..."
COMPTES DE LA RECHERCHE SUR LE DAUPHIN EN 1957

"Si on travaille avec un grand dauphin jour et nuit pendant plusieurs heures, jours et semaines, on est frappé par le fait que ses hypothèses de base actuelles, voire ses attentes actuelles, déterminent dans certaines limites les résultats obtenus avec un animal particulier à cette époque. Bien entendu, cet effet est assez commun chez l’homme chez ses pairs.

«Cette hypothèse de travail d’une capacité avancée a élevé notre suspicion et a ensuite sensibilisé notre esprit et nos méthodes à de nouvelles sources d’information. C’est cette préparation subtile du climat mental qui nous a permis, en 1957, d’écouter des bruits assez étranges. dauphin produisait dans le laboratoire et les examinait très attentivement sur les bandes, en raison de la possibilité d’une très grande capacité cérébrale et des réflexions sur les domaines de réussite possibles déjà réalisés chez cette espèce, mais que nous n’avons pas encore découverts, notre esprit a commencé à s'ouvrir.

"Cette ouverture de nos esprits était un processus à la fois subtil et douloureux. Nous avons commencé à ressentir des sentiments qui, à mon avis, sont mieux décrits par le mot" étrangeté ". Nous avions l’impression que nous nous trouvions au bord d’une vaste région inconnue dans laquelle nous allions nous embarquer avec beaucoup de méfiance à l’égard de la pertinence de notre propre équipement. Le sentiment d’étrangeté nous est apparu sous les sons de cette petite baleine. semblait de plus en plus former des mots dans notre propre langue. Nous nous sentions en présence de Quelque chose, ou de quelqu'un qui se trouvait de l’autre côté d’une barrière transparente

que nous n'avions même pas vus jusqu'à présent. Les contours sombres d'un Quelqu'un ont commencé à apparaître. Nous avons commencé à regarder le corps de cette baleine avec les yeux récemment ouverts et à penser en termes de "processus mentaux" possibles, plutôt qu'en termes de la vision classique d'un "animal" conditionnable, instinctivement fonctionnel. Nous avons commencé à nous excuser les uns les autres pour avoir glissé de la langue dans laquelle nous appellerions les «personnes des dauphins» et dans laquelle nous avons commencé à utiliser leurs noms comme s'il s'agissait de personnes. Cela semblait être une façon de saisir autant que possible la sécurité dans une mer agitée d'inconnu, ainsi que de commettre le péché de Science of Anthropomorphizing. Si ces "animaux" ont des "processus mentaux supérieurs", ils doivent alors nous considérer comme des êtres très particuliers (même stupides). "

Un compte rendu des phénomènes de mimétisme avec Elvar et d'autres dauphins:

"La partie pénible et humiliante de cette expérience, à laquelle nous avons toujours pensé, en tant qu'êtres humains, était que l'homme était au sommet de la hiérarchie: nous sommes seuls; pourtant, voici un" animal "qui entrait dans ce qui était particulièrement humain, à savoir le langage humain. Peu importait le niveau primitif dans lequel il entrait, il passait à l'étape 1.

"Il est difficile de vous transmettre notre sens de l'émerveillement et pourtant le sentiment de la nécessité inconfortable de réorganiser continuellement nos hypothèses de base. Nous avons parié sur le premier pas d'Elvar et il l'a fait. Nous ne l'avons pas fait aussi bien avec son langage delphinese .) Il nous a impressionnés par le fait qu’il a fait le premier pas en vue de combler une lacune d’au moins 30 000 000 d’années en quelques semaines. Il risque peut-être de renoncer à certains des efforts consignés de la race humaine au cours des 40 000 dernières années pour atteindre notre objectif actuel. Peut-être ne saute-t-il pas? Peut-être ne fait-il que commencer ce que Homo sapiens a traversé il y a 40 000 ans? Et il l'a fait seulement quand et seulement quand nous pensions pouvoir le faire et le démontrer d'une manière ou d'une autre: notre conviction à lui. "

"Ces expériences illustrent la thèse selon laquelle on peut se protéger en maintenant son ignorance en rabaissant des expériences troublantes? Ou en retrouvant la sensibilité et en ayant l'esprit ouvert (même douloureusement) et en découvrant de nouveaux faits. La découverte, selon mon expérience, nécessite avant tout la désillusion, Il faut être ébranlé dans ses croyances fondamentales avant que la découverte puisse pénétrer son esprit suffisamment au-dessus du seuil pour être détecté Une certaine volonté de faire face à la censure, d'être un franc-tireur? Interroger ses croyances, les réviser, est évidemment nécessaire Mais ce qui n’est pas évident, c’est de savoir comment préparer son esprit à recevoir les transmissions de l’autre côté du mur de protection transparent qui sépare chacun de nous du gouffre obscur de l’inconnu. Peut-être devons-nous réaliser que nous sommes encore des bébés dans l’univers mesures jamais prises auparavant. Parfois, nous sortons de notre solitude pour trouver quelqu'un d'autre qui peut ou non exister. Mais au moins, nous tendons la main et c'est gratifiant. g de voir nos dauphins atteindre aussi, bien que primitivement. Ils s’adressent à ceux d’entre nous qui sont disposés à les atteindre. Il se peut qu’un jour pas trop éloigné nous puissions tous deux mettre un terme à la «longue solitude», comme l’appelait Loren Eiseley. "

L'HOMME ET LE DAUPHIN


Laboratoire Saint-Thomas 1960-1968

Par une série de coïncidences, John a trouvé le moyen d'acheter un terrain dans un emplacement approprié sur l'île de Saint-Thomas, dans la mer des Caraïbes, où il pourrait construire son nouveau laboratoire. Le laboratoire a été construit pour créer des conditions propices à une interaction étroite homme / dauphin.

FEMME ET DAUPHIN

projet janus

LA DESCRIPTION

   Avec l'aide de Burgess Meredith, des fonds ont été obtenus pour acquérir un couple de dauphins âgés de deux ans au large de la côte du golfe. les dauphins ont été nommés Joe et Rosie. Le couple a été transporté à Marine World / Africa, situé sur les rives de la baie de San Francisco à Redwood City. La Human / Dolphin Foundation a déplacé la fourgonnette Dodge contenant son laboratoire portable dans cet environnement semblable à celui des bouées au bord de la baie et a mis en place le projet JANUS, dont l'insigne était une image du dieu romain à deux visages des portails et des débuts.

   JANUS (Joint analogique System Comprendre numérique) a tenté de faire correspondre les canaux de communication de chaque espèce; Le visage humain de JANUS était un écran d’ordinateur et un clavier, tandis que son visage de dauphin était composé de haut-parleurs et de microphones sous-marins. Les cerveaux des dauphins étant davantage orientés vers l'auditif que vers le visuel, le système permettait aux dauphins de communiquer par le son; Etant donné que les cerveaux humains sont plus visuels qu'auditifs, le système permettait aux humains de communiquer via la manipulation de symboles visuels sur l'écran de l'ordinateur, traduits en signaux numériques aigus dans la plage d'audition des dauphins. Un tel système était beaucoup moins complexe et moins onéreux qu'un système qui aurait tenté de faire la traduction directement entre le champ de parole et l'audition des humains et le domaine de l'audition et de la vocalisation des dauphins.

   Vers la fin des années 1970, des ordinateurs étaient disponibles, suffisamment rapides au moins pour commencer à effectuer le travail requis, mais ils étaient petits, portables et peu coûteux pour le projet JANUS. Lors du premier projet Dolphin dans les îles, un système équivalent aurait coûté plusieurs millions de dollars; maintenant, il en coûte environ 100 000 dollars pour faire les premiers pas vers la communication entre les espèces.

   Avec l'aide de Mike et Patti Demetrios, les exploitants de Marine World / Africa USA, le nouveau laboratoire des dauphins s'est réuni. À l'arrière, derrière la maison des éléphants et la grange à girafes, deux grandes piscines circulaires avaient été aménagées pour les mammifères marins. Un canal a été construit reliant ces piscines dans un immense aquarium. Une fois remplies de 200 000 gallons d’eau salée, Joe et Rosie ont été installés dans leur nouvelle maison.

   Le camion JANUS était garé à côté du canal, les hydrophones étaient mis à l’eau et les travaux commençaient à la deuxième époque de la communication homme-dauphin.

   Le projet combinait des techniques de traduction informatique sans précédent et l'intense interaction personnelle que John avait précédemment trouvée pour améliorer la communication et l'apprentissage entre les deux espèces. Les nouvelles installations n’offrant que de l’eau profonde et relativement froide, il a donc fallu faire appel à une race solide de participants humains. La fondation a recruté un équipage passionné d'hommes et de femmes en âge de fréquenter l'université qui étaient des nageurs expérimentés. John les appelle ses dauphins et dauphins filles.

   Au cours des prochaines années, Toni souvent rejoint les dauphins dans l'eau, flottant dans son costume humide dans une chambre à air. Des centaines d'invités ont eu l'occasion de vivre une interaction intense avec les dauphins. Des élèves de l'école maternelle de l'Institut Esalen ont accompagné leur enseignante, Janet Lederman, afin d'éclabousser leurs nouveaux "dolphriends". (Pour ces petits, la profondeur effective de l'eau a été réduite en étirant un filet d'environ deux pieds sous la surface.) Et un certain nombre de célébrités visitées, y compris le chanteur / compositeur John Denver, l'actrice Werner Erhard, Timothy et Barbara Leary, l'actrice Barbara Carrerra et beaucoup d'autres. Chacun avait sa propre version de la rencontre avec les dauphins, allant d’exaltante à extatique, et la plupart d’entre eux louaient publiquement les dauphins et le travail de John avec eux. Dans le cas des Learys, l’expérience vécue avec les dauphins a contribué à l’instauration d’une relation amicale avec John, qui avait auparavant rejeté Timothy.

   Et les dauphins, Joe et Rosie, ont contribué à ces interactions comme seuls ils pouvaient le faire. Ils ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour éduquer les humains de manière inattendue, notamment en leur enseignant les jeux qu’ils avaient inventés en utilisant le vaste stock de jouets flottants surdimensionnés. Parmi ces jeux, il y avait "frisbee Dauphin". Quand les dauphins le jouaient les uns avec les autres, Joe accrochait le bord du frisbee au menton, le tournoyait et le jetait. Rosie sautait à la position appropriée, l'attrapait sur son menton et le rejetait en arrière. Quand les humains sur les terres près de la piscine sont devenus impliqués, les dauphins ont commencé à générer des variations dans les règles. Ils l'ont transformée en fetch, les humains assumant la partie habituellement réservée aux chiens. Les dauphins étaient souvent inventive de cette façon, en utilisant cette interaction « forme » le comportement de l'être humain. Les dauphins ont clairement prouvé que les humains n'étaient pas les seuls à pouvoir être des entraîneurs ....

   Il y avait cependant des problèmes avec JANUS depuis le début. Le projet était à court de financement; Les propositions de subvention à la National Science Foundation, faites de 1978 à 1980, ont été accueillies favorablement par le comité d'examen par les pairs, mais n'ont reçu aucun financement en raison du manque de fonds et d'autres priorités plus importantes de la NSF. À l'exception d'une subvention de la Erickson Educational Foundation, qui versait un salaire à temps partiel au physicien John Kert, le manque d'argent nécessitait le recrutement de volontaires, principalement des jeunes enthousiastes sélectionnés pour la facilité avec laquelle ils partageaient l'environnement aquatique des dauphins. Ces enfants assoiffés et sportifs débordaient d’énergie et de fierté, mais ne comprenaient pas vraiment les exigences de la recherche scientifique documentée; Le personnel scientifique et technique expérimenté et mature était particulièrement rare. L'éventail complet des talents nécessaires pour développer systématiquement le logiciel et faire avancer le programme de recherche n'est jamais arrivé.

   De plus, l'environnement physique dans lequel les dauphins et les humains pourraient interagir au projet JANUS est tombé loin de l'idéal. Ces installations, combinées à la charité, à la chance et au "contrôle de coïncidence cosmique", étaient en deçà des normes minimales pour les laboratoires d'interaction homme-dauphin élaborés par John dans les années 1960 et partiellement réalisées dans son premier laboratoire pour les dauphins dans les îles Vierges. Le climat et l'eau à Redwood City étaient trop froid pour les humains et les dauphins pour accrocher confortablement ensemble. Il n'y avait pas d'accès à l'océan pour le dieu des dauphins. La piscine était profonde et ne permettait pas de créer une zone d’interaction entre les eaux peu profondes et l’être humain. Il n’y avait donc pas assez d’un environnement partagé pour la coopération interspécifique.

   De plus, les ordinateurs acquis par la fondation en 1978 ont commencé à paraître un peu dépassés après quelques années. Les ordinateurs PDP-11 au cœur de JANUS ont été conçus au début des années 1970. Des ordinateurs beaucoup plus puissants étaient maintenant disponibles au même prix, mais même s'ils pouvaient être utilisés, la conception de logiciels était encore trop primitive pour rendre justice au concept JANUS. John finirait par se rendre compte que ses installations et de logiciels ne suffisaient pas à démontrer le spectre des capacités de communication des dauphins. À cette époque également, les résultats concrets avaient été décevants. John a conclu que pour réussir la percée étonnante qu'il recherchait dans le domaine interspécifique, il faudrait un nouveau départ avec un personnel expert, des installations idéales et la prochaine génération d'ordinateurs et de logiciels.

   Bien que les données JANUS n’aient jamais été suffisamment analysées pour pouvoir être publiées dans une revue scientifique, le projet n’a pas abouti sans résultats positifs. À la fin du processus, Joe et Rosie, approchant de la maturité sexuelle, connaissaient des versions aiguës et informatisées de cinquante mots humains et, plus important encore, la syntaxe qui allait avec. Les dauphins ont capté avec succès les bips sonores et les cris des ordinateurs JANUS, qui, tout en restant à portée de voix normale, n’étaient pas liés aux sons normaux des dauphins. Pourtant, ils reproduisaient ces sons pour exprimer les mêmes significations conventionnelles que celles attribuées aux humains. Ils ont alors compris que la séquence précise des mots conférait une signification supplémentaire au monde des humains et utilisaient habilement les sons et les séquences pour répondre aux humains et contrôler les événements se déroulant dans leur environnement.

   Un autre résultat positif du projet JANUS est que l’idée d’utiliser des ordinateurs comme intermédiaires entre l’homme et les dauphins est captée ailleurs. Il a été imité dans d'autres laboratoires, notamment à l'Université d'Hawaï, où une forme de ce travail se poursuit, et dans le nouveau Marineland à Vallejo, en Californie. Au Laboratoire de mammifères marins du bassin de Kewalo, l'expert en logiciels Karl Langton et ses collègues développent actuellement un logiciel d'intelligence artificielle (IA) permettant de résoudre le flot d'interactions sonores chez les dauphins et les chercheurs humains. Les nombreux chercheurs qui ont testé la capacité des dauphins à apprendre les langues ont généralement produit des résultats qui confirment l'observation de John Lilly selon laquelle les dauphins possèdent une grande capacité linguistique.

   Le contact prolongé avec Joe et Rosie pendant le projet JANUS a renforcé l'opinion de John selon laquelle les dauphins ne sont pas des animaux sur lesquels on peut expérimenter, mais plutôt d'authentiques intelligences étrangères avec lesquelles les humains peuvent interagir de manière étrange et merveilleuse, dans les bonnes conditions. John rêvait de centres d'interaction homme-dauphin, où son ambition à long terme d'apprendre des dauphins avec les dauphins et avec eux, et de laisser les dauphins apprendre également des manières humaines, pourrait être poursuivie. Son centre de recherche à Dolphin Point dans les îles Vierges avait été seulement une première et, à bien des égards, une tentative inadéquate. Les installations de Marine World étaient encore moins adaptées, malgré les excellentes intentions et les ordinateurs de meilleure qualité.

   Dans les années 1980, de nombreuses personnes ont manifesté leur intérêt pour les interactions avec les dauphins et quelques centres de ce type ont vu le jour, tels que Dolphins Plus en Floride. John et Toni ont exploré de nombreuses avenues pour établir un centre idéal dans un endroit où les eaux sont chaudes. Tandis que d'autres participaient à ces discussions, la combinaison nécessaire de dévouement et de soutien matériel n'apparaissait pas.
COMMUNICATION AU-DELA DE L'EXPERIENCE

   Au fur et à mesure de l'avancement du projet JANUS, John a expérimenté en privé Joe et Rosie, tentant de communiquer par le biais de canaux qui sortaient du cadre du programme de recherche. Ces expériences étaient basées sur l'hypothèse d'un esprit de fuite ou sur les idées évolutives de John sur la nature de la réalité dans laquelle vivent les dauphins.

   Il arrivait à la conclusion que, par leurs vocalisations, les dauphins créent un monde sonore en trois dimensions, une réalité virtuelle d'images sonores ressemblant à une sorte de "télévision cétacé", constamment diffusées les unes aux autres. Après tout, les dauphins vivent plus dans un environnement sonore que visuel. Comme ils communiquent de manière conique, John soupçonne que de telles communications créent une réalité partagée et simulée. La situation est quelque peu analogue à ce qui pourrait arriver si les humains pouvaient communiquer en créant des images directement dans l’esprit des autres ou, peut-être, dans le monde des images générées par les êtres humains par le biais de la communication électronique. Selon John, en se concentrant sur la verbalisation simple, le programme de recherche ne exploitait qu'un infime segment des canaux de communication disponibles des dauphins.

   Il s'est rendu compte que les réalités virtuelles dans lesquelles les dauphins sont immergés pourraient ressembler aux réalités internes qu'il avait explorées. Les réalités internes opèrent toujours à un niveau bas dans le cerveau humain, contraint par la participation d'une personne. John l'appela "un imbrication" _ avec la réalité externe. Avec des techniques telles que l'isolement, la réalité interne peut être "découplée" de la réalité externe et peut ainsi être améliorée, rendue plus vive et détaillée et libérée.

   John pensait qu'il pourrait peut-être déconnecter sa réalité interne de la réalité externe par l'isolement et le connecter à la réalité virtuelle des dauphins. Pour ce faire, il a installé un réservoir d'isolement dans un bâtiment à côté du bassin de dauphins du Projet JANUS. Ce réservoir était équipé de haut-parleurs sous-marins connectés aux récepteurs de la piscine. Il a également installé un microphone dans les airs au-dessus du fluide de flottation dans le réservoir. Comme il flottait à la surface, il pouvait parler dans ce micro et se faire entendre dans le bassin des dauphins.

   Avec cette installation, John a parlé aux dauphins, qui ont immédiatement reconnu sa voix et ont réagi en produisant un phénomène extraordinaire pour lui. Ils émettaient des sons qui lui produisaient un espace holosonique tridimensionnel, comme s'il se trouvait dans la piscine avec eux. Ensuite, ils ont produit un trille qui résonnait systématiquement avec différentes parties de son corps, le balayant de la tête aux pieds. La résonance acoustique était si parfaite qu'elle lui chatouillait la peau.

   Apparemment, les dauphins ont réussi à "visualiser" l'espace à l'intérieur du char de John, même s'il n'était connecté à leurs piscines que par des fils électriques et des amplificateurs audio. Grâce à ces informations, travaillant via les canaux audio distants, ils ont pu manipuler l'espace acoustique autour du corps de John et présenter cette démonstration époustouflante. Pour que les humains réalisent un exploit similaire, ils auraient besoin des ordinateurs les plus puissants disponibles dans les années 1980 et d’environ un an pour bien programmer. Mais les dauphins l'ont juste fait dans la tête. Tout aussi impressionnant est le fait que les dauphins ont pris l’initiative, ont correctement évalué cette occasion de communiquer et ont déployé les efforts nécessaires.

   Dans certaines expériences avec le réservoir d'isolation au bord de la piscine, John a utilisé la kétamine pour améliorer sa capacité à programmer sa réalité interne. Il a visité à la fois la réalité interne et la réalité extraterrestre et a permis aux dauphins de programmer ses expériences. Les résultats étaient si étranges qu’ils étaient tout à fait indescriptibles du point de vue de la réalité du consensus humain. Même un ancien explorateur comme John avait du mal à les assimiler par la suite.

   Dans d'autres expériences, John a coupé le lien électronique avec les dauphins et, de par sa réalité interne, a invité les dauphins à programmer ses expériences par tous les moyens à leur disposition. Cela a exploré l'hypothèse selon laquelle les dauphins pourraient communiquer avec les humains par télépathie, ce qui était arrivé à John dans son bac d'isolement au-dessus du bassin des dauphins dans le laboratoire des îles Vierges. John a supposé que la communication télépathique pourrait utiliser les parties du cortex cérébral du cerveau appelées "zones silencieuses", des régions qui ne sont apparemment pas directement liées à un type quelconque de sensation physique ou de comportement musculaire observable. Comme les dauphins ont des zones silencieuses plus grandes que les humains, John a pensé qu’ils pourraient être plus facilement télépathiques que les humains. Quelques humains qu’il avait rencontrés semblaient avoir des rapports privilégiés avec les dauphins, qui pourraient être basés sur la télépathie. Il pensait que peut-être ces personnes avaient des zones silencieuses relativement grandes qu’elles pourraient utiliser de cette manière.

   Au cours d'une de ces expériences, John a posé mentalement à Joe et à Rosie certaines questions. Dans sa réalité interne, ils semblaient répondre à ses questions en le liant à ce qu'il ne pouvait décrire que comme un esprit de groupe de dauphins, ce qui le connecta à son tour à l'esprit de groupe de baleines. Complètement indescriptible, cette expérience a été bouleversante. John a décrit plus tard sa réaction: "Je ne suis qu'un être humain, et tout ce que je peux supporter, c'est d'un dauphin à la fois!"



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MessageSujet: RECHERCHE CONTINUE PROJET DELPHIS Le laboratoire des communications du futur   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 21:15

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RECHERCHE CONTINUE
PROJET DELPHIS

Le laboratoire des communications du futur
le futur laboratoire de communication

https://www.johnclilly.com/futureComm00.html

Ici, à la fin du XXe siècle, la conception d’un nouveau laboratoire de recherche sur les communications a commencé. Je suis assis maintenant dans une représentation en réalité virtuelle de la partie humaine de ce laboratoire. Ce laboratoire aura de nombreuses installations pour promouvoir l'interaction homme-cétacé, la cohabitation et, espérons-le, la communication interspécifique réelle. Permettez-moi de décrire les plans de cette installation et d’encourager votre intérêt pour les cétacés et les humains qui communiquent avec eux.

LIVRES DE JOHN C. LILLY
Tous les droits littéraires sur les œuvres du Dr. John C. Lilly
sont disponibles via InterLicense, Ltd.

       Homme et dauphin
       Numéro au catalogue de la Bibliothèque du Congrès 61-9528
       Copyright 1961 par John C. Lilly, MD
       Le dauphin dans l'histoire
       BIBLIOTHEQUE MEMORIAL DE WILLIAM ANDREWS CLARK
       Université de Californie à Los Angeles 1963
       L'esprit du dauphin
       Fiche de catalogue de la Bibliothèque du Congrès n ° 67-10417
       Edité par Doubleday & Company, Inc., New York
       Copyright 1967, 1968 par John C. Lilly, MD
       Programmation et métaprogrammation
       dans le bio-ordinateur humain
       Numéro de carte catalogue 72-189950 de la Bibliothèque du Congrès
       Edité par The Julian Press, Inc., New York
       Copyright 1967, 1968 par John C. Lilly, MD
       Le centre du cyclone
       Edité par The Julian Press, Inc., New York
       Copyright 1972 par John C. Lilly, MD
       Lilly sur les dauphins
       Livres d'ancre
       Numéro de catalogue 75-2854 de la Bibliothèque du Congrès
       Copyright 1975 par JCL.
       Simulations de Dieu: la science de la croyance
       Edité par Simon & Schuster, New York
       Copyright 1956, 1958, 1960, 1961, 1969, 1975 par John C. Lilly
       Le cyclone dyadique (avec Toni Lilly)
       Edité par Simon & Schuster, New York
       Copyright 1976 par Human Software, Inc.
       Le moi profond
       Numéro de carte de catalogue de la Bibliothèque du Congrès 76-57951
       Copyright 1977 par Human Software, Inc.
       Le scientifique
       Numéro de carte catalogue 72-189950 de la Bibliothèque du Congrès
       Edité par The Julian Press, Inc., New York
       Copyright 1967, 1968 par John C. Lilly, MD
       Communication entre l'homme et le dauphin
       Edité par Crown Publishers, Inc., New York
       Copyright 1978 par Human Software, Inc.
       John Lilly, jusqu'ici ... (avec Francis Jeffery)
       Copyright 1990, par Francis Jeffrey
       Réservoirs pour les souvenirs
       Copyright 1995, par les passerelles
       Le centre tranquille
       Copyright 2003, avec Philip Hansen Bailey

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49. Lilly, John C. 1957. Compte rendu du livre de Donald A. Scholl. 1956. L'Organisation du cortex cérébral. Methuen and Co., Ltd., Londres et John Wiley and Sons, Inc., New York. Science. 125: 1205

50. Lilly, John C. 1957. "Un État ressemblant à une" peur, une terreur-une panique "évoqué par la stimulation d'une zone de l'hypothalamus du singe non anesthésié." Excerpta Medica. Numéro spécial, Résumés de la quatrième édition internationale. Cong. EEG et Clin. Neurophysiol. et 8ème réunion de l'Int'l. Ligue contre l'épilepsie. Bruxelles. P. 161

51. Lilly, John C. 1957. "Systèmes" Stop "et" Start "" en Neuropharmacologie. Transactions de la quatrième conférence, Josiah Macy, Jr., Fondation, Princeton, NJ (LC 55-9013). P. 153-179

52. Lilly, John C. 1958. "Un apprentissage motivé par une stimulation sous-corticale: les schémas comportementaux" de départ "et" d'arrêt "." 705-721. Formation réticulaire du cerveau. Jasper, et al. Eds. Little, Brown et Cie., Boston. P. 766

53. Lilly, John C. 1958. "Corrélations entre l'activité neurophysiologique dans le cortex et le comportement à court terme chez le singe", dans Bases biologiques et biochimiques du comportement (Symposium Univ of Wis. 1055), HF Harlow et CN Woolsey, Ed. . Univ. of Wis. Press, Madison, Wis. P. 83-100

54. Lilly, John C. 1958. "Mise au point d'une méthode de retenue des singes à table double pour la recherche physiologique et psychologique." J. Appl. Physiol. 12: 134-136

55. Lilly, John C. 1958. "Méthode simple percutanée pour l'implantation d'électrodes et / ou de canules dans le cerveau." (Résumé.) Fed. Proc. 17:97

56. Lilly, John C. 1958. "Implantation d'électrodes et de Carmulae dans le cerveau par une méthode percutanée simple." Science. 127: 1181-1182

57. Lilly, John C. 1958. "Quelques considérations concernant les mécanismes de base des types de motivations positives et négatives." Un m. J. Psychiat. 115 498-504

58. Lilly, John C. 1958. "Les systèmes de récompense et de punition dans le cerveau" dans Le système nerveux central et le comportement. Transactions de la première conférence, Josiah Macy, Jr., Fondation, Princeton, NJ (LC 59-5052.) P. 247-303

59. Lilly, John C. 1959. "Effets 'Stop' et 'Start' dans le système nerveux central et le comportement." Transactions de la deuxième conférence, Josiah Macy, Jr., Fondation et Fondation nationale des sciences, Princeton, NJ (LC 59-5052.) P. 56-112

60. Lilly, John C. 1960. "Un apprentissage motivé par une stimulation sous-corticale: les schémas comportementaux du" début "et du" arrêt ". Blessure et excitation du cerveau provoquées par des courants électriques." Chapitre 4 des études électriques sur le cerveau non anesthésié. ER Ramsey et DS O'Doherty, Eds, Paul B. Hoeber, Inc., New York. P. 78-105

61. Lilly, John C. 1960. Présentateur - Le système nerveux central et le comportement. Transactions de la troisième conférence Josiah Macy, Jr., Fondation, Princeton, NJ (LC 59-5052.)

62. Lilly, John C. 1960. "La base psychophysiologique de deux types d'instincts." Confiture. Psychanalyse. Assoc. Vol. 8: P. 659-670

63. Lilly, John C. 1960. "Large Brains and Communication." Document présenté à la Philadelphia Assoc. pour psychanalyse.

64. Lilly, John C. 1961. "Blessure et excitation par des courants électriques." Chapitre 6 de la stimulation électrique du cerveau. Daniel E. Sheer, éd., Univ. de Texas Press pour la Fondation Hogg pour la santé mentale, Austin, Texas. P. 60-64

65. Lilly, John C. et Jay T. Shurley. 1961. "Expériences dans la solitude dans l'isolement physique maximal pouvant être atteint avec suspension dans l'eau de personnes en bonne santé intactes". (Symposium, Centre médical aérospatial de l'US Air Force, San Antonio, Texas, 1960). Aspects psychophysiologiques du vol spatial. Columbia Univ. Presse, New York. P. 238-247

66. Lilly, John C. et Alice M. Miller. 1961. "Sons émis par le grand dauphin." Science. Vol. 133, P. 1689-1693

67. Lilly, John C. et Alice M. Miller. 1961. "Échanges vocaux entre dauphins." Science. Vol. 134: P. 1873-1876

68. Lilly, John C. 1961. "Problèmes de la recherche physiologique sur le dauphin, Tursiops" (Résumé). Nourris. Proc. 20: 1

69. Lilly, John C. 1961. "La dichotomie biologique versus psychanalytique." Bul. de la phila assoc. pour psychanal. Vol. 11: P. 116-119

71. Lilly, John C. 1962. L'effet de la privation sensorielle sur la conscience. Dépendance de l'homme sur l'atmosphère terrestre, Karl E. Schaefer, Ed. Macmillan Co., New York. (LC 61-9079.) P. 93-95. (Actes du premier symposium international sur la médecine sous-marine et spatiale, New London, Connecticut, 1958)

72. Lilly, John C. et Alice M. Miller. 1962. "Conditionnement opérant du grand dauphin avec stimulation électrique du cerveau." J. Comp. & Physiol. Psychol. Vol. 55 p. 73-79

73. Lilly, John C. 1962. Dominance cérébrale dans les relations interhémisphériques et domination cérébrale. Vernon Mountcastle, MD, Ed. John Hopkins Press, Inc. Baltimore, Md. P. 112-114

74. Lilly, John C. et Alice M. Miller. 1962. Production de sons humanoïdes par le grand dauphin. (Manuscrit non publié.)

75. Lilly, John C. 1962. Un nouveau laboratoire de recherche sur les delphinides. Assoc. des biologistes du sud-est Bul. Vol. 9, p. 3-4

76. Lilly, John C. 1962. "Communication entre espèces" dans Yearbook of Science and Technology. McGraw-Hill. New York. P. 279-281

77. Lilly, John C. 1962. "Les dauphins qui parlent" dans The Book of Knowledge Annual. Société du Canada limitée, Grolier, Inc. (Cet article a été mis à jour dans l'Annuaire de 1969 couvrant l'année 1968, p. 8-15.)

78. Lilly, John C. 1962. "Comportement vocal du grand dauphin." Proc. Un m. Philos. Soc. Vol. 106. P. 520-529

79. Lilly, John C. 1962. "Examen de la relation entre la taille du cerveau et la capacité d'activité langagière illustrée par Homo sapiens et Tursiops truncatus (grand dauphin)." Électroencéphe. Clin. Neurophysiol. 14, non. 3: 424

80. Lilly, John C. 1962. Monde sensoriel intérieur et homme et dauphin. (Conférence aux laïcs, New York Acad. Of Med., 1962.) Rapport scientifique no. CRI-0162

81. Lilly, John C. 1963. "Critical Brain Size and Language." Perspectives dans Biol. & Med. Vol. 6. P. 246-255

82. Lilly, John C. 1963. "Appel de détresse du grand dauphin: stimuli et réponses comportementales évoquées." Science. Vol. 139. P. 116-118

83. Lilly, John C. 1963. "Recherche productive et créative avec l'homme et le dauphin." (Cinquième conférence annuelle Lasker, Michael Reese Hospital et Medical Center, Chicago, III., 1962). Cambre. Psychiatrie générale. Vol. 8. P. 111-116

84. Lilly, John C. et Ashley Montagu. 1963. Les baleines, les dauphins et les marsouins modernes, en tant que défis de notre intelligence dans Le dauphin de l'histoire, par Ashley Montagu et John C. Lilly. Un symposium donné à la William Andrews Clark Memorial Library, Univ. de Californie, Los Angeles, Californie, P. 31-54

85. Lilly, John C. 1964. "Animaux en milieu aquatique. Adaptation des mammifères à l'océan" dans Handbook of Physiology. Environnement 1, Am. Physiol. Soc., Wash., DCP 741-757

86. Jacobs, Myron S., Peter J. Morgane, John C. Lilly et Bruce Campbell. 1964. "Analyse des nerfs crâniens chez le dauphin." Dossier Anatomique Vol. 148. P. 379

87. Lilly, John C. 1964. "Émissions sonores dans l'air de Tursiops truncatus (M)" (Résumé) J. AcousticaI Soc. de Amer. Vol. 36. P. 5, 1007

88. Lilly, John C. 1965. "Rapport sur les expériences avec le grand dauphin." (Résumé) Proc. de l'Int'l. Symp on Comparative Medicine, Laboratoires Eaton, Norwich, Conn. P. 240

90. Lilly, John C. 1965. "Mimétisme vocal chez les Tursiops. Capacité à faire correspondre le nombre et la durée des explosions vocales humaines." Science Vol. 147 (3655). P. 300-301

91. Lilly, John C. 1966. "Comportement sexuel du grand dauphin dans le cerveau et le comportement. Le cerveau et la fonction gonadique." Vol. III. RA Gorski et RE Whalens, Eds., LICLA Forum Med. Sci., Univ. of Calif. Presse, Los Angeles, Californie P. 72-76

92. Lilly, John C. 1966. "Émissions sonico-ultrasoniques du grand dauphin chez les baleines, les dauphins et les marsouins." Kenneth S. Norris, Ed. Proc., 1ère Symp. Int. sur la recherche sur les cétacés, Washington, DC. 1963. Univ. de Californie. Appuyez sur. P. 503-509

93. Lilly, John C. 1966. "La nécessité d'un modèle adéquat de la finalité humaine du programme de communication entre espèces." Conférence sur l'électronique militaire de l'IEEE (MIL-E-CON 9), sur la communication avec l'intelligence extraterrestre, Wash., DC. 1965. IEEE Spectrum 3, no. 3: P. 159-160

94. Lilly, John C. 1966. Participant. Proc. de Conf. sur les études comportementales. Réunion des entrepreneurs, US Army Edgewood Arsenal, Md.1965. Rapport EARL du ministère de l'Armée

95. Lilly, John C. 1966. "Recherche avec le grand dauphin" dans Conférence sur les sciences du comportement, Proc. de Conf. sur les études comportementales (réunion des entrepreneurs, US Army Edgewood Arsenal, Md. 1965). Rapport EARL du ministère de l'Armée

96. Lilly, John C. et Henry M. Truby. 1966. "Mesures des interactions soniques homme-Tursiops" (Résumé). J. Acous. Soc. de Amer. Vol. 40, numéro 5. p. 1241

97. Lilly, John C. 1966. "Production sonore dans Tursiops truncatus (grand dauphin)". Conférence sur la production sonore chez l'homme: Section sur la phonation: Contrôle et communication vocale, New York Acad. des sciences. Annales de l'Académie des sciences de New York. 1968

98. Lilly, John C. 1965. "Récompenses et punitions intracérébrales: conséquences pour la psychopharmacologie." Cinquième réunion annuelle du American College of Neuropsychopharmacology. San Juan, Porto Rico. 1968

99. Lilly, John C. 1967. Relation dauphin-humain et LSD-25 dans l'utilisation du LSD en psychothérapie et alcoolisme. Harold Abramson, Ed. Deuxième conférence internationale sur l'utilisation du LSD en psychothérapie, Fondation de recherche South Oaks, Amityville, LI, 1965. The Bobbs-Merrill Co., Inc., New York. P 47-52

100. Lilly, John C. 1967. Le mimétisme de Dolphin comme capacité unique et étape vers la compréhension de la recherche sur le comportement verbal et certaines implications neurophysiologiques. Kurt Salzinger et Suzanne Salzinger, Eds. Conférence sur le comportement verbal, NYC 1965. Academic Press, New York City. P. 21-27

101. Lilly, John C. 1967. Dolphin Vocalization in Proc. Conf. sur les mécanismes cérébraux sous-jacents à la parole et au langage. FL Darley, Ed. Un symposium a eu lieu à Princeton, NJ 1965. Grune et Stratton, New York. P. 13-20

102. Lilly, John C. 1967. Problèmes de base dans l'éducation pour la responsabilité causée par LSD-25. Proc. du 17ème Conf. sur la science, la philosophie et la religion dans leur rapport au mode de vie démocratique. Clarence H. Fause, éd. Document présenté dans la section sur l'éducation des scientifiques, des ingénieurs et des praticiens en médecine, en psychiatrie et en sciences au moyen de stratégies de changement. Université Loyola, Chicago, Ill. 1966

104. Lilly, John C. 1967. "La production intracéphalique de sons chez Tursiops truncatus: sources bilatérales" (Résumé). Nourris. Proc. 25, non. 2

107. Lilly, John C., Alice M. Miller et Henry M. Truby. 1968. Reprogrammation de la sortie sonique du dauphin: correspondance de comptage Sonic-Burst. Miami. Institut de recherche sur les communications. Rapport scientifique no. CRI 0267. J. Acous. Soc. de Amer. (Voir le numéro 112.)

108. Lilly, John C., Alice M. Miller et Henry M. Truby. 1968. "Perception du discours répété: évocation et programmation de mots et de phrases alternés." Rapport scientifique no. IRC 1067

109. Lilly, John C., Alice M. Miller et Frank Grissman. 1968. "Production sonore sous-marine du son Dolphin Stereo-Voicing et Double Voicing." Miami. Rapport de recherche scientifique de l'Institut de recherche sur les communications no. IRC 0367

110. Truby, Henry M. et John C. Lilly. 1967. "Implications psychoacoustiques de la communication entre espèces." Miami. Institut de recherche sur les communications. J. Acous. Soc. de Amer. Vol. 42: P. 1181. S3 (Résumé.)

111. Lilly, John C., Henry M. Truby, Alice M. Miller et Frank Grissman 1967. "Implications acoustiques de la communication entre espèces." Miami. Institut de recherche sur les communications. J. Acous. Soc. de Amer. Vol. 42: P. 1164. I10 (Résumé.)

112. Lilly, John C., Alice M. Miller et Henry M. Truby. 1968. "Reprogrammation de la sortie sonique du Dolphin: Sonic Burst Count Matching." Jnl. de la société acoustique d'Amérique. Vol. 43. No. 6. P. 1412-1424

125. Lilly, John C. Décentrage et retour. (En préparation.)
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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeJeu 23 Mai 2019 - 21:20

L'île de Maui, TERRE
Le centre de la nation des cétacés

voila ou il ce cache
meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe 280px-Maui_Landsat_Photo
Soixante et onze pour cent de la surface de la planète sont des océans, cinquante pour cent du Pacifique et Maui est au centre de cette région, ce qui en fait une grande place pour le Secrétariat de la Nation des Cétacés. Je suis heureux que des mesures soient enfin prises. pris pour la reconnaissance de la nation cétacée aux Nations Unies, et que Patricia Forcan, présidente politiquement astucieuse de la Humane Society of United States, m'a dit qu'elle acceptait d'en être le premier ambassadeur. Chaque année, les baleines à bosse migrent à travers le Pacifique, dans et autour des îles Hawaii, y passant l’accouplement et la naissance en hiver "- JCL

Maui est la deuxième plus grande île de l'archipel d'Hawaï, avec une superficie de 1 902 km2 et un littoral de 240 kilomètres de longueur1. Elle fait partie de l'État d'Hawaï, aux États-Unis, et forme le comté de Maui avec trois autres îles, Molokai, Lanai et Kahoolawe. Elle se situe à 14,4 km au sud-est de l'île de Molokai et à 47 km au nord-nord-ouest de l'île de Hawaï.

Selon la tradition hawaïenne, le nom de l'île est lié à la légende de Hawai'iloa, le navigateur polynésien qui aurait découvert l'archipel. L'île aurait été nommée d'après un des fils de Hawai'iloa, qui tenait lui-même son nom de Māui, un demi-dieu hawaïen, qui aurait fait sortir l'archipel de la mer. Maui est également appelée The Valley Isle (« l'ile Vallée ») d'après l'isthme très fertile qui sépare ses deux volcans, Haleakalā et Mauna Kahalawai.


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MessageSujet: Re: meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe   meurtre de masse par les lignes electrique éta d urgence en europe I_icon_minitimeVen 24 Mai 2019 - 11:23

urgence mondial
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