source
http://www.partiantisioniste.com/communications/nucleaire-israelien-danger-et-urgence-0369.html
On a fait état ces derniers jours des déclarations de Martin Van Creveld, universitaire israélien et historien militaire spécialisé dans les questions stratégiques. Dans ces déclarations publiées en 2003 dans l’hebdomadaire néerlandais Elsevier, Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n’hésite pas à exercer un chantage atomique à l’encontre des Européens. Souhaitant l’expulsion de tous les Palestiniens y compris ceux des territoires occupés depuis 1967, l’auteur fait observer que les Européens ne pourront pas réagir car dit-il, les têtes nucléaires israéliennes sont pointées vers les capitales européennes, y compris Rome.
Même si cette déclaration remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd’hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains.
C’est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d’esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu’ils sont à l’abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant « le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l’Europe et nous voyons que la propagande atteint son but : détourner l’attention contre les Musulmans.
Pourtant un professeur israélien n’hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements.
On peut alors se poser une question : l’Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n’y a-t’il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d’Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n’en mentionne qu’une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l’Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu’il faut faire sauter.
Si ces propos n’avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n’auraient pas une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C’est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime.
En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd’hui qu’Israël c’est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu’Israël c’est soixante ans d’illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c’est justement parce que la vérité finit par s’imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.
Nous avons déjà dit qu’un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n’est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu’il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L’absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie) a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre c’est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe (voyez l’Islande et la Grèce en attendant que d’autres pays suivent), les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n’est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd’hui, la principale cause de guerre et d’instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.
Seule une union de tous — Musulmans, Chrétiens, Juifs anti sionistes, humanistes — peut empêcher le pire. Il est encore temps !
Le Président,
Yahia Gouasmi.
[img]
[/img]