Titre accrocheur, et pourtant au final, c'est la vérité.

Cela concernerait pour le moment les révoltes qu'y ont eu lieu en Tunisie.
Si le gouvernement et son Dictateur Ben Ali ont été si bien informé des manifestations, c'est pas par magie mais par l'espionnage proposé par Microsoft.

Malgré que les internautes soient sur une page en HTTPS, donc protégées aux dernières nouvelles, et bien il n'en était rien, tout les login et mot de pass s'affichait en clair pour le gouvernement qui espionnait l'internet de son peuple, donc au final, pouvoir visiter les profils facebook et autre twitter...


Voici les liens concernant ce problème de certificat, devrais-je dire " cheval de troie ", y'a pas d'autre terme pour qualifier les agissements de Microsoft.


http://sebsauvage.net/rhaa/index.php?2011/03/18/16/00/02-tiens-regardez-qui-s-est-invite

http://www.rue89.com/2011/03/18/tunisie-microsoft-complice-de-la-censure-numerique-par-ben-ali-195693?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

http://linuxfr.org/users/windu2b/journaux/o%C3%B9-lon-parle-de-microsoft-et-des-m%C3%A9thodes-d%C3%A9mocratiques-de-ben-ali


On peut sans aucun doute affirmer que pour les autres pays, la même choses c'est passée.

...ou se passera on pense a tout les pays sur le chaudrons et aux différents stades de cuisson

Le problème soulevé est grave, et vrai pour les certificats de sécurité, Microsoft... pour mettre en cause les développeurs et responsables qui donnent à penser que tout est bien sécurisé.
Mais c'est insuffisant pour accuser un gouvernement.
Le secret et la sécurité (sans bugs) ne sont valables que pour tout ce qui n'est pas gouvernemental (banques, commerces, employeurs...)
A cause de ces "peudo-bugs" sur les certificats de sécurité, des employeurs peuvent surveiller leurs employés.
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La France a à sa disposition tous les accès, tous les codes de tous les internautes français.
Aucune communication n'est autorisée en France si les militaires ne disposent pas du moyen de surveillance.
C'est même pour cela qu'au début du wifi, il y a eu un retard en France.
S'ils ne disposent pas du moyen technique immédiat, ils le sous-traitent à la NSA.
Alors pour les autres pays, la faute est difficile à établir.
Les internautes savent bien que tout est sous surveillance.
Ce qui est plus délicat c'est l'application juridique, résolue, et non avenue par la sous-traitance.
Les français sous-traitent aux américains (NSA), et récupèrent les informations; ainsi, il n'y a pas eu d'acte d'écoute ni de surveillance en France.
La totalité des e-mail, communications téléphoniques sont écoutés et analysés par la NSA via des réseaux conséquents.