Sujet: Le phénomène de la mondialisation Mar 27 Sep 2011 - 21:07
Le phénomène de la mondialisation et pour aller plus loin sur le sujet des technologies spatiales dédiées à la surveillance de la Terre
La mondialisation, puisque tel est son nom, n’est pas un phénomène nouveau : ses fondements que sont la soif de découvrir et d’accumuler des richesses, le désir de dominer, mais aussi la fascination pour le risque et l’esprit d’aventure sont intimement liés à l’histoire, voire à la nature de l’espèce humaine, toujours à la recherche de ce qu’elle appelle la fortune, la bonne fortune.
Porté par le progrès des techniques et des sciences, ce processus est toutefois marqué, en particulier entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe, par une franche intensification des échanges et une vraie internationalisation de l’économie.
Avec la seconde guerre mondiale, ce phénomène prend une tournure nouvelle : sans renier les ressorts de la mondialisation et appuyé sur une intensification des sphères, des réseaux déjà existants, il profite de l’émergence de gigantesques groupes industriels et la constitution d’un marché des capitaux puissant et intégré. Intégré : c’est là sans doute le maître-mot de cette nouvelle forme de mondialisation qui invite à recourir à un nom différent, celui de globalisation.
«La mondialisation pourrait être définie comme l'extension à l'échelle mondiale d'enjeux qui étaient auparavant limités à des régions ou des nations"
La terre devient Le village planétaire
Celui qui accède aujourd’hui à Google et aux services qui lui sont associés ou concurrents se trouve en possession d’un incroyable pouvoir : à défaut de l’avoir créé, il peut prendre le monde au bout de ses doigts, le manier à sa guise, l’observer à son gré, voire le faire entrer dans le champ de la virtualité pour le transformer ou en créer un autre. Ce pouvoir, il le doit avant tout à l’émergence et aux fantastiques progrès du domaine de l’informatique ; mais n’oublions pas que, si Google a aujourd’hui des yeux, c’est en partie aux satellites qu’il le doit et, en tout premier lieu, à ceux qui tournent autour de la Terre.
Messages : 288 Date d'inscription : 12/02/2011 Age : 62 Localisation : Valenciennes
Sujet: Re: Le phénomène de la mondialisation Mar 27 Sep 2011 - 23:01
evol a écrit:
...Mondialisation...
Le site futura-science n'est qu'un site d'information de vulgarisations scientifiques, ou plutôt de diffusion d'un mélange d'informations scientifique et de vulgarisation. Ca reste un site aligné qui saura trouver les belles formules. - La mondialisation c'est environ 200 entreprises multinationales qui régleront l'exploitation de la planète, avec un dédale de sociétés anonymes imbriquées dans ce labyrinthe. Tout ça appartenant à une poignée d'esclavagistes. Les états seront simplement administrés pour le fonctionnement du réseau d'exploitation des ressources (entreprises) Les gouvernements ne seront que des marionnettes gestionnaires - Il suffit de regarder les deux reportages sur Google et sur Samsung pour se rendre compte que ça fonctionne déjà comme ça, et comme en Afrique maintenant. Une entreprise prospère avec de grands murs d'enceinte, et une extrême pauvreté à l'extérieur. Des travailleurs jeunes, en bonne santé, obligés d'avoir le sourire, avec une vie 100% dans et pour l'entreprise. Dès que c'est fini, maladie, retraite, âge... c'est la sortie de l'entreprise sans rien, ni logement, ni nourriture, ni couverture maladie, ni retraite... - La mondialisation n'est rien d'autre que l'installation d'un esclavagisme mondial. Ceux qui pensent échapper à la pauvreté et autres gratifications ne trompent.
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Sujet: Re: Le phénomène de la mondialisation Mer 28 Sep 2011 - 13:12
Cet article montre aussi que la mondialisation est un phénomène naturel du a la nécessité de l'organisation a grande echelle.
C'est donc inéluctable... La peste ou la grippe espagnole ou mexicaine ne s'occupent pas des frontiere..
Que des homme qui arrivent a des fonction dominante des masse, essayent toujours d'aller plus loin dans le controle de la vie privé...
C'est garder les gens sous leur pouvoir.
ça date depuis l'aube de l'humanité qui a meme commencé par l'esclavagisme ou le clergé qui controlait les foule par la religion.
A notre epoque cela se controle par les croyance et les rumeurs...
meme les nouvelle génération font cela puisque google ne s'en cache pas de vouloir controler toute les information de la vie privée et meme professionel.. On avait meme découvert un projet de prise de control de la web cam pour voir et entendre qui tu es... les ecoute illégal du wifi... Il n'y a pas de limite chez google..
dans l'article complte il parle aussi des technologies spatiales qui ne cessent d'améliorer les possibilités de surveillance de la Terre, et donc de ses habitants. et posent la question Devons-nous nous en effrayer ou au contraire nous réjouir de ces progrès techniques ?
La nature humaine ne changent rien et la technologie non plus...
Même les nouvelles tehcnologie ne change pas leur peur ancetrale de fin du monde comme on peut le voir aussi avec les peur irrationel sur la comete..
tout cela révéle quelque chose qui ne changent pas...
Invité Invité
Sujet: Re: Le phénomène de la mondialisation Jeu 9 Mai 2013 - 13:25
ARMADA
Messages : 989 Date d'inscription : 12/06/2012 Age : 84
Sujet: Re: Le phénomène de la mondialisation Jeu 9 Mai 2013 - 13:54
La mondialisation ou l'art de la séduction INVERSéE !
Vidéo Visionnaire bien d'actualité Pink Floyd - Empty Spaces (The Wall Movie) :
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le phénomène de la mondialisation Jeu 9 Mai 2013 - 18:46
La mondialisation comme autorité suprême
Stanley Milgram, dans les années soixante, avait essayé de comprendre comment le peuple allemand, avec le niveau de subtilité civilisationnel qui était le sien en ce début de XXe siècle, avait pu sombrer dans la barbarie nazie. Il a ainsi découvert des processus psycho-sociaux qui sont toujours à l’œuvre aujourd’hui qu'il faut comprendre et dépasser.
Grâce à ses expériences (voir ici), il avait pu mettre en évidence plusieurs types de comportement chez les individus. L'immense majorité (65% environ) se soumettait à l'autorité et obéissait (dans l'expérience la plus connue il s'agissait de l'autorité scientifique). Pour justifier leur comportement et éviter ainsi une culpabilisation profonde que leur attitude provoquait en eux, ils rejetaient la faute morale sur leurs supérieurs hiérarchiques, transférant ainsi la responsabilité à leurs chefs. Ce mécanisme de défense s'étendait de proche en proche à tous les échelons de la hiérarchie, jusqu'au grand chef suprême. Lors du procès Eichmann en 61, sa défense permettra de mettre en évidence que ce même phénomène de "transfert de responsabilité" avait joué au plus haut niveau de la hiérarchie nazie.
D'un autre côté une part minoritaire des individus résistait d'emblée, et refusait d'obéir. Point intéressant le pourcentage de résistants augmentait en flèche si les individus étaient placés à portée de vision et d'audition, d'un récalcitrant (20% allait au bout seulement). Cela les poussait à exprimer leur ressenti profond, et par mimétisme ils se calquaient sur l'attitude qu'ils jugeaient la plus juste.
Il m'est apparu que nous étions dans une situation assez similaire dans nos "démocraties libérales", tellement sûres d'elles-mêmes.
En effet l'élu de région va justifier une décision controversée auprès de ses électeurs par le fait qu'il appartient à la majorité présidentielle, et que cela fait partie du plan de route de tel ministre. Le ministre va justifier sa décision arguant du fait que c'est le premier ministre qui le lui a demandé.
Le premier ministre va se réfugier derrière le président qui a été adoubé par le peuple. Le président va se justifier en précisant qu'il n'a fait qu'appliquer une directive européenne dans le droit français, en vertu des traités qui nous engagent.
Le parlement européen va expliquer qu'il n'a aucun pouvoir, et que c'est la commission européenne qui a été à l'initiative de cette directive qu'ils n'ont fait que valider. La commission européenne, et son président, nous explique enfin que nous n'y pouvons rien, qu'il ne fait que s'adapter aux obligations de la mondialisation. C'est très pratique puisque ce terme est tellement abstrait, et recouvre des phénomènes d'une complexité telle que finalement il n'offre que très peu de prise. Ou plutôt il n'en offre qu'après un long apprentissage. Et surtout plus personne n'est responsable, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.
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Ainsi au XXI siècle les européens se retrouvent dans un schéma de pensée similaire à celui de l'Allemagne nazie, bien entendu cela ne signifie pas que la mondialisation égale nazisme, ce serait ridicule. En revanche cela signifie que la majorité des citoyens européens subissent un processus psychologique similaire à celui qui avait endormi les allemands durant cette période noire. Ce qui a permis l'élection de Hollande, qui n'a absolument pas l'intention de remettre en questions les grandes structures économiques pourtant responsables de nos maux actuels. Comme le nazisme qui ne pouvait survivre au moindre questionnement de ses bases ethniques, la mondialisation libérale ne peut tolérer la moindre analyse sérieuse, en particulier celle des rapports de force sociaux sous-jacent à ce modèle, sans devenir tout d'un coup malheureuse et intenable.
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Au nom de la mondialisation nous acceptons la destruction de tout ce qui nous est cher humainement, et qui avait été construit par le programme du conseil national de la résistance après tant de souffrance: la santé, l'école, la redistribution, la démocratie.
Cette soumission a atteint le point de non-retour depuis 2005, plus personne ne souhaite endosser la responsabilité de la situation. Cependant comme dans l'expérience de Milgram, les choses tournent mal pour le mythe lorsque de plus en plus de personnes disent non, permettant à ceux qui ont d'abord subi de laisser leur jugement s'exprimer enfin et de rentrer en résistance intellectuelle, jusqu'à atteindre la majorité. Pour cela nous devons admettre que le renoncement dont nous faisons preuve devant le désastre qui arrive, est un processus de défense psychologique utile parfois mais qu'il faut impérativement dépasser. La mondialisation est un processus politique, et non divin, et ce sont les démissions de chacun qui lui donnent son caractère supposé inéluctable.