Si on ne peut mettre fin au continuum délétère des pensées on ne peut percevoir la beauté, le sacré... il y a une façon directe de percevoir et une autre qui est parasitée par le mental qui interfère, et qui cause toutes les souffrances de la séparation, du temps,... qui causent cette sorte d'exil, d'isolement où on est coupés du réel, de la simplicité du présent... et où on ne voit partout que soi, ses propres projections... incapables de s'ouvrir au neuf et de s'émerveiller... en gros ensevelis, enterrés par nos propres pensées lol mais c'est difficile de stopper la machine du mental car c'est ce continuum qui nous donne la sécurité illusoire d'une identité centrale permanente...