Difficulté à gérer ses émotions, sautes d'humeur, mauvaise estime de soi, peur de l'abandon, anxiété et dépendances affectives....
En général bien adaptées socialement, les personnalités limites savent dissimuler leurs fragilités et souffrent en silence ou dans l'intimité.
Les crises émotionnelles (exaltation, colère, désespoir) imprévisibles et déstructrices dont elles sont régulièrement victimes trahissent cependant leur extrèmes sensibilité.
Risquons-nous tous d'être "borderlines" dans une socièté qui de plus en plus se tourne vers un matérialisme poussé ?
Qu'en pensez-vous ?
Doit-on systématiquement "médicaliser" ?
Les molécules de certains médicaments conduisent-elle à de graves pathologies futures ?
Sujet: Sommes-nous trop sensibles pour être heureux ? 
Sam 29 Oct 2011 - 9:47
