aller je lance un tropic........................dites le en poesie


la poesie sa aide...............................a faire du slam..............................................mephu................................................



Toi, qui ne comprends aucunement.
L’opinion que j’émet de toi.
Toi,divinement, tu fulgures.
Après chaque écorchure, tu es rutilante.
Pendant chaque aventure, tu es ardente.
À tout moment, tes yeux éclairent mon chemin.
Un seul câlin et je suis automatiquement bien.
Ta façon de voir la vie.
Ta façon de voir la beauté.
Abasourdi, j’espère un jour être ainsi.
Une personne aussi émerveillée.

Toi, qui ne réaliseras jamais.
Comment seule ta présence me rend aisé.
Comment ton sourire fait briller ma journée.
Comment chaque seconde, avec toi, me rend espiègle.
En aucun cas, tu me mets des règles.
Je suis libre d’être moi simplement.

Tristement, la réalité est un souffle court.
Il n’y a aucun détour.
C’est notre fatalité.
Pourtant, avec toi je vivrais l’éternité.

Merci d’être dans ma vie.
Merci d’être la lumière de mon chemin.
Ainsi, les éclairs sont absent.
Ainsi, les bonheurs sont toujours présents.
Maintenant, il ne me reste plus qu’à profiter de mon seul souffle.
Le souffle dont tu détiens le contrôle.
Enflammer, toi, ma fiole qui me garde en vie.
Je veux te garder, peut importe ce que je devrais donner.

Voler.
T’aimer.
Rêver.
Vivre.

Toi, que j’aime follement. Toi, que j’adore astronomiquement.


anonyme

De cette vie, j'en ai trop vu;
De leurs mensonges, j'en ai trop entendu.
De raison, aujourd'hui je suis dépourvu.
Au final, j'ai finit par être tendu.

Avant de partir, je voudrais dire au revoir
léguer un testament avant de quitter cette terre
Éclairer, ceux qui sont restés dans le noir
Ce message, j'espère pourra les satisfaire

Dans ce monde on est souvent tous seul.
Parfois accompagné de gens qui nous trahissent.
Ton amour, à force finit dans un linceul,
Et après ils s'étonnent qu'on les haïssent

Il veulent te tromper avec leurs décors.
Leur scénario, ne le lit pas j'en connait la fin;
Sa finit par des crimes sanglants et gores.
Pour les chanceux : la maladie et la faim.

Pour eux tout s'achète, tous ce vend.
Par des artifice, ton esprit ils déroutent.
Par la suite, tout ce que tu as, on te le prend.
Au final, tu seras sur la paille en « banqueroute ».

Comment veulent t-il qu'a leur monde je m'intéresse
Pourquoi se battre, entre homme pour ce faire une place
Quand je me regarde dans le miroir, j'ai honte de mon espèce
Et j'espère que sous terre j'aurai mon propre espace

Debout, je m'allume, une dernière cigarette.
Calmement, je positionne le pistolet sur la tempe,
Le doigt, délicatement posait sur la gâchette;
C'est bien la première fois que je n'ai pas eu de crampe.

Sa y est je suis libéré de mon passé
De cette terre folle dont la tournure me désole
Personne pour me pleurer, m'enlacer ou m'embrasser
Dans mon départ, je voit juste mon corps gisant au sol

sympa ton poeme , c'est de toi ?



Equilibre



Ô tentations, vices,
Irrésistibles lices
Entre deux parties tellement opposées et
Pourtant si proches,
Quand arrivent les regrets
Il est trop tard
Le mal est fait,
Le mauvais côté a gagné,
Est-il vraiment mauvais?
N’est-ce pas qu’une
Idée humaine qui est comme un reflet
Immense
De l’adversité continuelle;
ce combat éternel,
Qui oppose l’humanité contre la nature,
N’est-elle pas indispensable?
Quand ce combat sera terminé
Que se soit ou l’humanité,
qui dominera Mère Nature
Ou le retour à une vie primaire,
de par son retour:
Ce sera alors la fin d’un fragile
équilibre qui fera s’écrouler le monde.

Mathis M.

Pourquoi sont ils venues ?
Brandissant leurs matraques.
Pourquoi les miens se retrouvent nus ?
Dissolution d'un peuple qui éclate.

Ils ont prônés des différences qui divise,
Installé le doute sur des détails.
Instauration de l'égoïsme en devise,
Comment inverser cette pagaille ?

Sans réfléchir, ils nous tuent, leurs militaires.
Avancent surement, vers nos faibles barricades;
Sans ce soucier de cette enfant à terre,
Qui tenta une embuscade.

Leur marché des armes abondent.
Nos mères pour survivre, troque le sexe pour la vie.
Rester sous terre, pour éviter leurs bombes;
Quand on ressortira, défiguré sera la «Yougoslavie»....

La désolation nous entoure.
C'est une odeur de cendre, que l'on sent.
Des cratères sur le macadam et les tours,
Des gens gisent dans des marres de sang

Devant l'ampleur de l'hécatombe, qui causa la mort;
Construction de croix sans nom, pour des cimetières de fortune.
Pour , « les reste », les morceaux éparpiller de corps;
Évitons l'épidémie,ce sera plutôt la fosse commune.

Voilà, c'est comme cela ici
J'ai perdu le sens, du mot espoir.
Je décide de m'armer d'un uzi,
Et de débuter mon propre défouloir.

Oui ils sont de moi

la poésie sa dévoile les gens..........bien tes poèmes ................ sérieux



Monde étrange


Étrange monde de l’amour
Toi, amoureuse de mon cœur
Moi, amoureux de ton corps
Lui, épris de toi
Et toi, éprise de moi
Moi, prisonnier de mon ex amour
Elle, sa petite flamme éteinte
Éphémère et monde bizarre
Où chaque pièce du puzzle
Ne s’imbrique jamais
Monde sans logique
Qui fait mal et pique
Cœur vide sans amour
Bonheur infime sans cœur
La solitude a remplacée
Les femmes que j’ai aimées
Vieillesse qui pointe le jour
Apportant sagesse et douleurs
Ainsi va la vie
Monde à l’envers
Envers du monde
Étrange monde
Étranger à ce monde

Avant d’éteindre la bougie


C’est à la fin de cet instant privilégié
sous le manteau de la nuit je m’étais réfugié
bientôt l’aube va se lever et m’assomer,
De fatigue, elle a donc bien voulu tout gommer.
C’est le moment où se referment toutes les feuilles
dernière lecture, brouillons, dernière gorgée,
Les idées, les textes ont l’air bien bien engorgés
C’est le moment des ouvrages que l’on effeuille .
Tout est calme, tout paraît être terminé!
Tout et rangé! Et dans la grande obscurité,
Je pense alors à tout ce que j’ai reporté!
Soufflant la bougie, le noir va m’illuminer.

NAT.

je vous met des poèmes d'autres personnes et après je poserais les miens...........................mais je suis pas trop poetique.................lol

J'y ai vu des tranchées, des pays en chantiers;
Des peuples innocents, servir de ligne de mire.
Observer la condamnation de pseudo émeutiers,
Et de scènes si atroces, quel vous ferait vomir

J'ai vu des chef d'état qui envoient leurs jeunes à la mort;
transformant leurs pays en un immense cimetière.
Des parents de morts qui votent pour des porcs;
Pour pouvoir expulser des humains à nos frontières.

Une vision d'horreur ,des milliers de corps et de tombes;
De pays qui pour la paix, deviennent extorqueur,
En regardant le ciel, j'ai vu des bombes qui tombent.
« Réveiller moi !!! », ce décor obscur me brise le cœur.

Même sur la cote le scenario ce répète;
J'y ai, impuissant, observer des corps emporter par la mer.
Des maisons et des villes brisaient comme des allumettes.
Pleur, terreur, tristesse se retrouvent au sommaire.

Que se passe t-il je vois des tours qui s'écroulent....
Sous le regard effaré d'une planète témoin de ce chaos.
Incompréhension et peur parmi le désordre de la foule.
Un symbole du pouvoir, qui d'un coup, se retrouve K.O.

De nombreuses visions morbide d'un monde de désespoir,
Des millions d'images de la sortent s'échappent de ma télé.
Je les vois là, dans ma tête, en rouge sur un fond noir;
Elles résonnent si forts , que je ne peux être qu'interpellé.

J'y ai vu des homme prêt à touts sans exceptions,
Et je peux vous dire que le combat est inégal.
Je les ai vu user du mal sans confessions,
Nous retirer nos libertés sous prétexte d'être illégale.

Dans ce songe, être parano, c'est penser que tu es libre
Faut rester dans leurs petites cases, ne pas partir à la dérive
Si t'es pas dans le rang, en prison on te rééquilibre
Et si tu t'en sort, de fausses informations on te cultive

J'ai fais un cauchemar, c'était un vrai délire.
Savoir la terre et ces hommes comme cela me décevrai.
J'ai dut développer mon imagination, à force de lire.
Mais en ouvrant les yeux, j'ai constaté que tout était vrai.


Je préfère celui ci, je pense qu'il est de toi...

merci sa me touche...................dis donc tu as des talents a l’écriture.............................continu

LES PENSÉES D'UN PRISONNIER

Je suis un prisonnier
Et je sais que je l'ai mérité.
Je n'ai que 35 ans.
Quand je sortirai, je serai un vieillard certainement.
Ah! Si je pouvais recommencer ma vie,
Jamais je ne ferais les même folies.
Je me croyais très intelligent
Car je faisais beaucoup d'argent.
La vie des gens je n'ai pas respectée.
Combien de monde, dois-je avoir fait pleuré?
Maintenant c'est moi qui doit payer
Pour les crimes que j'ai fait dans la société.
Je vois venir Noël et le Jour de l'An,
Ça me rappelle quand j'étais enfant.
La messe de minuit, le réveillon,
J'étais si bien avec mes parents à la maison.
Beaucoup de chagrin je leur ai fait
Et toujours ils me pardonnaient.
J'aimerais tellement les embrasser
Une dernière fois, avant que Dieu vienne les chercher.
Si quelqu'un lit ce que j'écris dans le poème,
Ne faites pas comme moi, faites honneur à vos parents.

(Snooppy)

Relève toi
Tombées dans le néant,
Elles ne réapparaissent pas,
Dans cette abîme est
leur nouvelle demeure,
N’essaye pas de les retrouver
Ou tu tomberas à leur niveau,
Toi qui, déjà, es si bas.
Relève toi tête haute, et
Grimpe la paroi escarpée.
Rejoins moi tu n’es plus
très loin.
Encore quelques mètres
et tu pourras attraper la mienne
alors que ta main est couverte
par l’ombre des actes malveillants
que tu as commis.
Ces sombres souvenirs infâmes
s’évaporent à chaque pas en avant
que tu fais.
Approche, tu y es presque,
ton majeur frôle le mien comme
le bien et le mal qui nous séparent.
Tu m’attrapes la main, te voici dans
le néant, une seule action te permettra
d’en sortir.
Le choix est le tiens, t’accrocheras-tu à l’unique
chance de t’en sortir, qui est mon bras, ou
sauteras-tu dans l’abîme pour rejoindre
tes viles amies dans l’obscurité ?

Relève toi
Tombées dans le néant,
Elles ne réapparaissent pas,
Dans cette abîme est
leur nouvelle demeure,
N’essaye pas de les retrouver
Ou tu tomberas à leur niveau,
Toi qui, déjà, es si bas.
Relève toi tête haute, et
Grimpe la paroi escarpée.
Rejoins moi tu n’es plus
très loin.
Encore quelques mètres
et tu pourras attraper la mienne
alors que ta main est couverte
par l’ombre des actes malveillants
que tu as commis.
Ces sombres souvenirs infâmes
s’évaporent à chaque pas en avant
que tu fais.
Approche, tu y es presque,
ton majeur frôle le mien comme
le bien et le mal qui nous séparent.
Tu m’attrapes la main, te voici dans
le néant, une seule action te permettra
d’en sortir.
Le choix est le tiens, t’accrocheras-tu à l’unique
chance de t’en sortir, qui est mon bras, ou
sauteras-tu dans l’abîme pour rejoindre
tes viles amies dans l’obscurité ?

je vous le dis avec des armes..........................dans les larmes

froide est la lame qui a balafré mes rêves..........................

j'avais cru que les humains, n’étaient qu"amour...........................

alors qu'en vérité...........................

mes premiers placards mon appris a aimer le noir.......................................

une habitude d'un chaos perpétuel...........................................

perpétuité .........................ce que j'ai finalement pris.................................mais c'est sa la vie

ou est la vérité ?


moi

Ceci sera ma seule et unique contribution, car je ne partage en général ce que j'écris que dans l'intimité.


LES JARDINS SUSPENDUS

De l'usage que l'on a
De ces fameux espoirs
Concrétisés tout bas
Dans le feu et le noir
De ce monde furtif
Qui se pare d'ordure...
Disons...évolutif...
Pour pensant nos fissures....
De l'usage que l'on a
De la joie que l'on sème
A se dire tout bas
Qu'on est là,
Et qu'on s'aime,
Parfumant nos errances
Du voile de l'Amour...
Sur les murs ds consciences,
Graffitis de nos jours...
De l'usage que l'on a
De ces actes pensés
Qui rayonnent du bas
Et qui vont ricocher
Sur les murs défaits
D'une cité tremblante
Qui croule sous les plaies :
Tu poses et je cimente,
Ou bien vice-versa;
De l'usage que l'on a,
Du pouvoir de guérir
Et de mettre son oeil
Là où on a posé
La fleur de chèvrefeuille
Couvrant le Barbelé.
De l'usage que l'on a
De ces larmes cachées
Qui ne ruissellent pas,
Profondément couvées;
De l'usage que l'on a
De pleurer dans les mots,
Et d'en faire un combat
Pour un monde plus beau...

merci lampe a l'huile, c'est très beau..................sa donne envie de devenir un de tes intimes

mille merci pour ta contribution, la poésie amène la douceur dans les mots..............j'aimerais savoir manier les mots, pour que vous me compreniez................

qui je suis , ou ne suis pas..................

MERCI

si je n’étais pas handicapés du stylo, j'essayerais de vous faire rire............................malheureusement je ne peux que vous faire pleuré