En epeluchant les comptes de 43.000 société, des chercheurs suisses ont trouvé 150 transnationales qui se partagent l'argent et son pouvoir
la world compagny, tout le monde sait qu'elle existe mais personne ne sait ou elle est.
a coup de licenciement et de restructuration, elle pourrit la vie de million de salariés.
Mais pas toujours facile d'identifié les veritables responsables, ceux qui detiennent , au bout du compte, le pouvoir.
Holdings, participations croisées, siéges sociaux dans des iles fiscalement paradisiaque: les vrais detenteurs du pouvoir ce disimule sous un maquis de societe ecran.
Il faut l'optination d'une LOUISE MICHEL pour en dénicher un et lui faire sa peau . Trop souvent, comme le chant depuis longtemps Le Fantôme de Pierrot, " les coups de pied au cul ne peuvent trouver leurs victimes ". Désormais, vous pouvez commencer a affûter vos croquenots, à aiguiser vos sabots et à plomber vos tatanes ! Car la cible se précise grâce au travail pionnier de chercheurs Suisses qui ont analysé les comptes de la structure du capital d'un peu plus de 43 000 (excusez du peu ) compagnies transnational . Les résultats sont édifiants : une large partie de l'économie mondiale et aux mains d'une toute petite poignée d'entreprises transnational . Un peu plus de 700 firmes seulement on la main sur 80% de la valeurs des entreprises . Au top , on trouve un petit "noyau dur" d'environ 150 transnational ( moins de 0.2% de l’ensemble des entreprises étudiées ) qui contrôle 40% . C'est énorme ! L'étude montre enfin que se noyau dur a un contrôle presque complet sur lui même autrement dis , on n'a la un petit club très fermé encore plus restreint que celui des 200 familles française ,dénoncé dans les année 30 par le président du conseil , Edouard Daladier , qui fustigeait " des forces qu'un état démocratique ne devait pas tolérer". On mesure le chemin parcourut ... Inutile de sombrer dans la théorie du complot car rien ne prouve que se noyau dur fonctionne sous la baguette d'un chef d'orchestre (ou d'un comité central capitaliste) . Ce n'est , de toute façon , par nécessaire tant les intérêts de ses entreprise sont liés. Mais cette concentration pose deux questions . Premièrement elle pulvérise le postulat économique standard d'une concurrence entre agents " atomisés". Les idéologues de la concurrence libre et on faussé vont avoir encore un plus de mal , désormais , a vendre leurs salades . Deuxièmement en ces temps de crise bancaire "systémique " , une tels concentration donne des frison . Car le visage de ses messieurs sylvestre et plutôt uniforme ses sont pour la plupart - à 75% - des institution financière (banque , assurance ) parmi lesquels on retrouve un certains nombre de boites 'Françaises ' comme Axa , Natixis , Société général ou Bnp Paris bas . Si notre zébulon National veut éviter , la catastrophe plutôt que d'imposer des cures d'austérité aux salariés , il feraient mieux de convoquer dans cagna élyséenne tous se beau monde pour le mettre au pas . On n'est président du G 20 ou on ne l'ai pas .
article de PIERRE CONCIALDI SINE MENSUELLE
excusez moi pour les fautes je vous est recopier cette article