Messages : 453 Date d'inscription : 20/10/2011 Age : 54 Localisation : Montréal, Kébec
Sujet: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Sam 26 Nov 2011 - 3:22
Rappel du premier message :
Aimerrrrrrrrrrrrrrrr
Aimer c'est se retrouver au fond de nous même s'abandonner et dépasser nos propres limites
Aimer c'est laisser nos veilles habitudes pour revivre en pleine béatitude
Aimer c'est s'envoler se laisser propulser au-dela de l'éternité
Aimer c'est rester authentique c'est laisser le moustique nous piquer afin de pas avoir peur de connaître la douleur physique mais de la compassion pour se moustique qui n'a voulue que se nourrir
Aimer c'est oublié notre Égo et penser qu'au bonheur de l'autre car tout comme l'univers est infini tout ce que nous donnons nous reviens en trois dimensions
Aimer c'est aider le plus petit à monter cette marche Aimer c'est se laisser aider par un plus grand à atteindre une autres marche Car tout comme l'amour est comme un nectar de velour sur notre coeur tout comme le corps et notre tête sont secondaires par apport à la véritable essence de notre être
Vous qui cherchez le bonheur dans la chaire physique c'est que vous n'avez pas encore compris la force d'amour qui habite dans vos propres tripes
Aimer c'est se permettre de rêver à un monde meilleur à une vie de bonheur ou ton coeur est le moteur de ton destin
Aimer c'est avant tout rêver ensuite elles deviennent nos pensées de tous les jours nos actions par tous nos gestes et nos réalisations par notre courage d'Être
Tout comme un lion les hommes de ce monde le sont
Si vous décidez de rester ce mouton contentez-vous de suivre les dirigeants de ce monde qui n'ont rien compris à la fraternité mais qui ne pensent qu'à leur égo et leurs intérêts matérielalistes
Constatez que lorsqu'il y a un groupe de personnes qui se battent pour une cause juste au Québec comment les dirigeants se soumettent car l'union des hommes est la force qui fait bouger les injustices de ce monde
Que ça soit l'histoire de Jésus, Bethoven, Michel-Ange ... ou de tous les grands Hommes de ce monde Rappelez-vous qu'ils avaient tous un point en commun faire avancer l'humanité car ils avaient eu une idée de génie (ou de folie pour d'autres) et qu'ils s'y sont soumis
Maintenant, réaliser leurs chef-d'oeuvres Que ça soit dans le domaine de l'art de la musique de l'architecture de la science ou ou de la spiritualité toutes ces beautés qui dépassent aujourd'hui notre entendement moral sont les résultats de la force de l'amour ou de nos pensées collectives qui nous habitent
Car toutes pensées d'amour sont aussi puissantes que vos pieds d'où vous marcher
À vos marques,prêt ,partez !
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Invité Invité
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Jeu 19 Déc 2013 - 8:30
"On ira"
"On ira écouter Harlem au coin de Manhattan On ira rougir le thé dans les souks à Amman On ira nager dans le lit du fleuve Sénégal Et on verra brûler Bombay sous un feu de Bengale
On ira gratter le ciel en dessous de Kyoto On ira sentir Rio battre au cœur de Janeiro On lèvera nos yeux sur sur le plafond de la chapelle Sixtine Et on lèvera nos verres dans le café Pouchkine
Oh qu'elle est belle notre chance Aux milles couleurs de l'être humain Mélangées de nos différences A la croisée des destins
Vous êtes les étoiles nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable nous sommes le désert Vous êtes êtes mille phrases et moi je suis la plume Oh oh oh oh oh oh oh
Vous êtes l'horizon et nous sommes la mer Vous êtes les saisons et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh oh oh oh
On dira que le poètes n'ont pas de drapeaux On fera des jours de fête quand on a deux héros On saura que les enfants sont les gardiens de l'âme Et qu'il y a des reines autant qu'il y a de femmes
On dira que les rencontres font les plus beaux voyages On verra qu'on ne mérite que ce qui se partage On entendra chanter des musiques d'ailleurs Et l'on saura donner ce que l'on a de meilleur
Oh qu'elle est belle notre chance Aux milles couleurs de l'être humain Mélangées de nos différences A la croisée des destins
Vous êtes les étoiles nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable nous sommes le désert Vous êtes êtes mille phrases et moi je suis la plume Oh oh oh oh oh oh oh
Vous êtes l'horizon et nous sommes la mer Vous êtes les saisons et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh oh oh oh
Vous êtes les étoiles nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable nous sommes le désert Vous êtes êtes mille phrases et moi je suis la plume Oh oh oh oh oh oh oh
Vous êtes l'horizon et nous sommes la mer Vous êtes les saisons et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh oh oh oh
ZAZ :
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Nos voeux Ven 20 Déc 2013 - 18:12
Nos voeux
Nous les âmes. Les immortels. Nous les cauchemars. Les rires grinçants. Nous sommes les dagues, nous sommes les drogues, les vains puissants. Nous les obscures, les trous fumants. Nous les altesses judicieusement. Nous choisissons l'alignement. Nous sommes le peuple frétillant, celui des horlogers déments. Nous somme le verbe débilitant et la cervelle gouvernement. L'obstination, la gourmandise, nous y voilà, notre devise. Nous sommes l'usure. Nous raffolons de la culture, nous les orbites, les charognards, violons les muses, notre devoir. Nous sommes le souffre et les ordures. Nous sommes infects, nous sommes brillants, certains diront répugnants. Nous sommes les pions admirateurs, les parasites voyeurs. Nous l'ironie, le firmament. Nous les bouchers d'un vague marché. Nous sommes la voix des prédateurs, les vaillants exterminateurs. Calculateurs et miroitant. Nous sommes les prix brefs dominants. Nous sommes la signature des camps. Des maraudeurs, des citadins, des graines de futurs plaisantins. Nous sommes les sires symboliques, prophètes et messagers divins. Nous les bidons épicuriens, les antédiluviens. Nous les bavards, les fortunés, croisons nos doigts les boudinés. N'oublions pas que nous dînerons, croquants fillettes en jalousie. Nous les veinards aux seins blafards. Nous les dresseurs spectaculaires. Les affameurs tentaculaires. Les oubliettes aux chouettes les miettes, nous nous priverons de sépulture. Ami bourreau amie torture. Nous l'agression, nous les pirouettes, nous sommes friands d'énergie pure. Nous les croquettes grassouillettes. Nous ne sommes que distractions, nous sommes l'immense diversion. Issus du labyrinthe, nous sommes les hommes d'affaire dévoués. Nous les expérimenteurs, nous sommes radieux, nous sommes d'éther, nous sommes la sainte planisphère. Nous sommes des bienfaiteurs, vos pairs. Nous les siffleurs, nous les fissures. Nous les royaux, les pourritures. Nous les joyaux de la nature. Nous nous souhaitons joyeux nöel, puisses-tu encore être aussi belle...
Dernière édition par Nemesys le Jeu 26 Déc 2013 - 23:57, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Ven 20 Déc 2013 - 19:01
Il y a de l'inspiration ! original
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Notre cadeau Jeu 26 Déc 2013 - 17:50
Notre cadeau
Nous les cafards. Nous les tiques. Nous les fourmis hystériques. Nous sommes merveilles, nous sommes soumis. Nous nous cachons, nous sommes unis. Nous sommes mirages, nous sommes les créatures sans âge. Nous sommes les vastes colonies et les armées mythologiques. Nous sommes piqûres, nous sommes brûlures. Nous sommes les agaçants moustiques, on nous prétend automatiques. Nous sommes les guêpes, le doux venin. Nous sommes croquant, la nuit des temps. Nous les milles-pattes humoristiques. Nous sommes lovés. Emprisonnés. Dans les entrailles scientifiques. Nous sommes si maigres, nous sommes blessés, nous les espoirs, les rêves, brisés. Les asticots, les dames de pique. Les destinées, le tout tragique. Nous fredonnons notre musique, promesse de chair et folle panique. Nous aiguisons nos mandibules, nous salivons, nous sommes si froids dans le pardon. Nous les dociles. Les acariens. Nous avons faim. La succulente explication. La déprimante excitation. Imaginez dévoration. Nous sommes l'absence de compassion, nous les moucherons en toute logique. Nous les pucerons anorexiques, les coccinelles, les petits poings. Nous les tisseuses. Nous sommes joueuses, tellement soyeuses, nous sommes les veuves, si délicieuses. Nous les crochets sans religion, les aiguillons si pathétiques. Nous sommes chenilles en formation, nous sommes les blattes et les moignons, nous les hannetons, l'hibernation. Nous sommes millions, nous sommes courtois, nous les scorpions fanatiques. Notre famille, les chimériques. Nous sommes les poux, un peu vantards, nous la nation des crânes rasés. Nous sommes les dards, l'adrénaline, nous sommes la frayeur incarnée. Nous sommes les pinces, les carapaces, les résistants, estomaqués. Nous nidifions tels des rapaces et nous craignons les becs voraces. Nous sommes des monstres, en miniature. Nous les antennes de la culture. Nous sommes les trompes, les bons amis, les serviteurs, du miel en barre. Nous sommes jaloux d'êtres aussi grands. Nous sommes acides parfois puants, nous sommes les cloques et les boutons, nous les morsures. Soyons plutôt les déchirures. Il nous arrive de la tristesse et puis tranchant. Nous devenons des troubadours, nous les criquets, nous les brochettes. Nous sommes les milles yeux à facettes, nous sommes les bouches, avides de sang. Nous sommes les phasmes, les pures fantasmes, nous sommes les feuilles et les rameaux. Nous sommes les dents, nous sommes à cran, prière de s'envoler bien haut. Nous avons fait nos repérages, estimations et beaux présages. Nous avons tous bien médité sur le sort de ces bienfaiteurs. Nous les sauterelles nous réclamons un pack de tendons élastiques. Nous les abeilles, Nous choisissons. Du lard muqueux, des plus intimes, histoire de savourer les cris. Sentir la peur et le mépris. Nous papillons de collection, voulons des paumes et puis des peaux. Nous les frelons souhaitons cerveaux, de préférence, des bains thermaux. Nous, araignées, exigeons. Un seul magnat de la finance, un doux cocon d'indifférence. Un éveil à notre opinion, pour une vivante dégustation. Par pitié...je vous assure...ce n'est pas moi la boursouflure ! Nous aviserons sur le moment, originales en châtiment. Nous les cigales, nous désirons, changer les fables en invasions. L'hiver arrive, nous transpirons. Nous sommes au fond des plus comiques car nous sommes une moralité. Comme les termites et tarentules jurons entière fidélité. Nous les limaces de la grimace, les amateurs de viande surface. Notre décision est unanime. Nous l'expression de la famine, de la déesse calamité.
Nous sommes sincères, nous sommes vermines...aucune question d'humanité.
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Notre farce Sam 28 Déc 2013 - 7:01
Notre farce
Soyez généreux. Soyez heureux et amoureux, vous verrez c'est facile. Cultivez tôt votre empathie, soignez l'espoir des malheureux. Au marché d'une ville, glissez fièrement une pièce ou deux. Soyez confiants et assurés, prenez le temps de vous baisser. Soyez enfin des solidaires, augmentez l'aide, c'est populaire. Faîtes reculer misères, soyez le pouvoir du changement. Soyez cléments malgré les doutes, sauvez votre environnement. Soyez vivants et bien portants, irradiez de bons inconscients. Vous calculez les risques, soyez de meilleurs éléments. Laissez couler votre colère, elle est fichue de toute manière. Soyez marrants et puis tordants, décrochez des sourires sincères. Soyez joyeux et insouciants c'est sans doute la meilleure recette pour une vie saine et si prospère. Soyez enfin sécurisés, c'est la première priorité. Soyez jumeaux des protecteurs, donnez un peu de votre chaleur. Vos besoins en humanitaire défient les lois de l'attraction. Sinon. Soyez douceur, délicatesse, faîtes vous l'honneur de vos promesses. Soyez amicaux et rêveurs, ça vous rendra plus malléables. En vérité. Soyez musique et sons divins, les enchanteurs et les devins, les mesures, notes métaphoriques, les instruments orgasmiques, les mélodies. Soyez de pures créatifs, il en va de notre société, soyez les inventeurs uniques, les victorieux, les victoriens. Vous verrez que l'obscurantisme n'est qu'une ancienne prophétie. Soyez partage et discussion. Soyez le rire libérateur, une si géniale apparition. Soyez le charme et ses bourgeons, laissez donc naître l'admiration. Car en ces temps de crise, ne crachez pas sur vos franchises. Soyez des fous filmographiques. Soyez la baise sans discrétion. Soyez jouisseur des soulagements vous produirez un style perso. Soyez masculin au possible et l'innocence au féminin. Serrez-vous bien, très cher publique, vous écoutez votre malin. Soyez prodigues en douces caresses. Soyez senteurs ah les parfums. Soyez harmoniques amnésiques. Soyez la chance, votre destin. Soyez la marche et la balade, ne soyez pas des importuns. Très important, soyez le jeu, soyez habiles et courageux. Soyez boisson, l'hydratation, c'est capital vous le savez, vous en doutez nous le savons. Esquivez un soupir, faîtes vous mangeurs, faîtes vous plaisir. Soyez votre réussite d'un seul coup de baguette magique. Soyez des pros, les justes pitres, pour les profondes sonorités. Faîtes clin d'oeil à vos cliniques, soyez cyniques, soyez barrés, votre illusion est notre église. En vérité. Soyez toujours persévérants. Soyez mémoire à bon escient, il ne faut pas le répéter, vous êtes responsabilités. Soyez puissants, faîtes travailler. Imaginez pour embellir. Maman quelle curiosité. Soyez sculpture et écriture, gravez vos noms dans le futur. Soyez vos feux, soyez vos phares, filles et fils du hasard. Soyez des bâtisseurs cosmiques. Soyez de grands, de sages penseurs, c'est décidé, soyez critiques. Faîtes preuve de discernement vous êtes les croisés du jugement. Soyez l'arrosage de vos fleurs pour une nouvelle compréhension. Ayez toujours bon coeur, avec les gens, les migrateurs. Soyez des cuisiniers subtiles pour une entière satisfaction. Améliorez sans cesse vos conditions de détention. Soyez soutien moral, notre ultime vérification. Soyez l'éducation car vos enfants vous le rendrons. Soyez la transmission, de vos coutumes, des traditions. Soyez toujours en quête d'une nouveauté, l'adaptation. Soyez intelligents. Soyez l'humilité. Faîtes-vous des cours de zen, à l'opposé des barbaries. Rendez de bons services à votre amie démocratie. Soyez le noble échange et d'authentiques jardiniers. Soignez vos plantations. Soyez des chevaucheurs. Soyez bavards, montez le ton. Faîtes le silence. Vous maîtrisez. Observateurs de vérité. Soyez soupirs et volupté. N'oubliez pas d'être curieux car vous seriez désorientés. Soyez méditation, la force amour, la compassion. Inspirez puis soufflez, c'est l'heure de la réalité. Je compte jusqu'à trois, vous sortirez de notre empire. Un. Deux. Trois. Vous êtes réveillés, il suffira de nous décrire. Soyez les voyageurs. Explorateurs du merveilleux. Oubliez de mourir, nous dominons vos sentiments. Soyez respiration pour un total épanouissement.
Nous les lutins.
Dernière édition par Nemesys le Dim 29 Déc 2013 - 2:09, édité 18 fois
langelin
Messages : 55 Date d'inscription : 23/09/2013 Age : 48
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Sam 28 Déc 2013 - 9:10
Voilà ce que je suis , je suis un poète qui compte fleurette , aux demoiselles sous leurs ombrelles , d'un temps ou élégances venais éclairer Louis des lumières solaires , de charme et de prestance Je suis un gai luron , provocant la raison des couronnes tombantes de bière m'abreuvant tant la saveur du sang en devient enivrante extase sous extasie , illusion des absinthes , frivole travesti je parade sous les soutanes salies , sur les blasphèmes de saintes , Je m'investi , bon camarade . Je suis un peu serpent , glissant et susurrant aux oreilles volatiles de bien couvrir leurs œufs , leurs rondes chancelantes , qui déploie leurs subtils me laisse comme un chien , restreint pour l’alléchante de l'os à rogner anxieux de perdre cieux des hommes de la colombe, je ne peux que grogner . Je suis un peu de dieu , un fragment de sa pièce , un peu de son radieux , si peu , quel tristesse ! j'aimerais m'en abreuver , qu'il vienne me posséder J'aimerais le mérité , J'aimerais pouvoir l'aider. Mais peut on aider Dieu ? Peut on aider des yeux qui transperce les cœurs qui savent bien avant l'heure Peut on aider des mains qui bâtissent d'un doigt les plus beaux univers ? Peut on aider un verbe qui d'une simple parole puisse briser tout les verres Peut on aider l'ultime quand infirme ou infime nous nourrissons la terre bien garder en conserve pour les périodes maigres , l'époques des austères Voilà ce que je suis , un petit gars bien petit amouracher des mots qui en fait des trésors , des laids et puis des beaux , guérisseur de mes maux Je ne veux être que ça , juste un homme qui écrit des bafouilles et les déposent , comme une bouteille à la mer , au regard de lecteur , à l’opprobre de la mère avec écrit à l'encre de citron, me réchauffe vos bisouilles...
langelin
Messages : 55 Date d'inscription : 23/09/2013 Age : 48
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Sam 28 Déc 2013 - 9:17
Méandres nocturnes , la pluie tombe , le vent souffle et moi , et moi j'ai l’impression de m'essouffler . Emporté par les éoles mes inspirations s'étiolent sur la toile d’arachnide virtuelle , ou je viens me donner vies quand le réel est si insipide. . Libre songeur , j'aime poser mes sombres excréments à la vue d'inconnue . Voilà , moi , petit rat d'égout , je suis là , je vie . J'existe , je laisse une trace . Avec un peu de chance , restera t'il quelques sels minéraux , ou autres éléments qui aux plantes seraient utiles , pour venir remplir les narines des convives d'un somptueux parfum de rose , des colorées pensées , de fraises délicieuses , La magie de la vie , le laid sert le beau , le beau rejette le laid , c'est le laid qui rends beau , mais le beau chie le laid . Mais moi le laid je le trouve grand , du rejet qu'on en fait , il se sublime , il se transcende . Alors je lui pardonne , d' être si repoussant et m’en vais le couvrir de quelques graines d'amour . , Je le trouve presque beau , je voudrais être son amant , juste pour lui rappeler qu'il est bon d'être aimer , mais qu'amour n'est pas crainte , mais qu'amour n'est pas peur , mais qu'amour vient du cœur et vous donne douceur . Il n'et pas juge , le juge est en soi . Alors , aussi affreux soit 'il , aussi nauséabond puissent 'ils être , je vais lui donner mon respect , je vais lui donner ma confiance , je vais lui donner mon amour . Juste donner , même sans retour , juste donner comme un conteur passant rependre les légendes , retracées de sa vie , passant de villes en viles , de villages en villages , dire que même petit , on a déjà du grand.
Ainsi je me peins , je donne vie à ma vie , j'entre dans les hautes sphères , puis tombent dans l'oublie , je suis comme un fantôme , passant de chambres en chambres , écrire sur les vitres embuées , les vers qui viendront vous hanter . Où vous saisir , là dans le cœur , vous faire entendre le doux miracle , d'un homme qu'on ne voit bien trop peu , se sentant étouffer dans un costume trop serré , mais qui ne sait ou n'ose pas marcher torses poils , la poitrine bombée , fier de ce qu'il est . Fier de pouvoir sourire , de pouvoir goûter , de pouvoir sentir , de pouvoir toucher , de pouvoir voir , oui , voir , ce somptueux spectacles qu'est la vie. . Comment ne pas dire merci , comment ne pas accepter ce don et se limiter à n' être qu'un vulgaire clampin , posant ses bafouilles sur les écrans de l' éphémères . Parce que c'est dans le guano qu'on fait le meilleurs engrais...
Joyeux noël à tous , que Dieu vous garde , suivez votre chemin de lumière , déployez vos ailes d'anges , redonnez à la vie , la gloire qu'elle mérite , faites en un don du ciel car Dieu aime ses enfants , Peu importe qui tu es , toi qui lit , toi qui vois , toi qu'entends , tu as par ta lecture construit un bout d'Eden , fait refleurir se jardin au gout de paradis , Tu m'as redonné source , tu m'as redonné force , car c'est en m'exposant , en livrant mes histoires , que j'existe un petit peu , aux yeux de quelques curieux. Merci de me donner vie , c'est un si grand présent . Que la paix des peuples s'expriment , et agenouillé ensemble , de toutes illusions , qu'on remercie le ciel de nous offrir une vie . Et remercions la mort de la rendre précieuse , trésor que l' on protège du bout de nos mains de nourrissons fragiles. Merci .
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Sam 28 Déc 2013 - 17:03
Nous les poètes, nous sommes méchants.
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Notre meilleure chance Ven 3 Jan 2014 - 18:14
Imaginez un monde meilleur. Un court instant de pur bonheur. Nous serions vifs et lumineux. En un seul don des harmonieux. Nous incarnons les profondeurs, nous devenons des vertueux. Terminé fourbe solitude, nous partageons la plénitude. Nous cessons là tous les ravages, nous exprimons les mêmes pensées, créons des miséricordieux. Nous cultivons des tonnes de fleurs, nous détruisons notre malheur. Nous consacrons nos énergies, à embellir, pleinement, nos vies. Vies minérales et végétales et animales, nos familiers. Nous unissons nos rêves lointains et bannissons nos cauchemars. Nous décidons d'une simple trêve, nous pouvons enfin respirer. Prenons le temps de regarder, de modeler la gravité. Quelle dure épreuve me direz-vous car nous sommes tous à moitié fous. Il suffirait de faire le bien, tendre les bras et se serrer. Nous y mettons la volonté, la foi d'une nouvelle unité. Comme par magie les liens se tissent. Mémoire s'accorde entre filles et fils. L'amour s'étend à toute vitesse. Le maître mot devient tendresse. Nous caressons les utopies, sauvons l'avenir de nos enfants. Nous croyons avoir vu le pire, de nos mystères, les sentiments. Mais nous savons communiquer, dans le silence et dans l'adresse. Nous renversons les affrontements, nous devenons enseignements. Nous entamons de nobles quêtes, nous recherchons des vérités. Nous oublions le stress et le pouvoir de posséder. Nous connectons nos coeurs à ce réseau d'éternité. Un jour se lève, stupéfaction, la peur n'est plus notre prison. Nous échangeons quelques regards emprunt d'humour et de sagesse. Nous arrêtons de nous presser. Chaque maison devient mélodie, hébergement de l'amitié. Nous travaillons les symphonies d'un âge béni de la justesse. Nous voilà éclairés sur le rôle de l'humanité. Il suffisait de nous guider afin de mieux nous entre-aider. Nous assistons à la naissance d'une ancestrale connaissance. Nous pouvons échanger sans crainte, faire des alliés de circonstance. Nos énergies deviennent balances, adieu à vous, les dépendances. Nous voilà finalement élus, équilibrés de l'existence. Nous sommes liés à tout jamais, nous partageons la même essence. Nous sommes la corne d'abondance, continuons de ramasser. J'entends le minotaure qui gronde. Un sacrifice, ça doit marcher...
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Notre espion Lun 27 Jan 2014 - 6:44
L'Histoire commence à menacer. Je la confie à mes alliés. Nous étions sous le joug des Huiles, les magistri de la pensée. Nous étions tristes et solitaires, encore voûtés et prosternés. Dans les cavernes du bon temps, dans le sommeil de l'envoûtement. Un amical Lémurien voyageait vite, portant le baluchon mystique et une vieille canne farfelue. Il boitait juste un tantinet, dessinait des sillons terreux. Il observait avec malice le vol des oiseaux carnassiers. Ses yeux amers, d'un bleu d'azur, clignaient avec curiosité. Il voulait réunir un cercle, dresser un modeste tableau, puis décamper, à travers l'est, briser un genre de crescendo. En face de lui, une altitude, des sommets de béatitude mordaient ses moustaches et sa truffe. A l'horizon des centenaires, des racines mères, des soupirs lents. Le vagabond s'approche, il file tout droit par enchantement. Les choses bruissantes émettent une onde, une voix funeste d'avertissement. Le Lémurien de la balance rampa jusqu'à la frondaison, franchit sans dommage la frontière, quitta la lisière des buissons. Il s'engouffra dans une clairière, petite nature en miniature. Champignons mauves et lierres grimpants. Il avançait dans la pénombre en effrayant les papillons, les carnivores et les lampions. Une pancarte surgit du néant. L'indication : bouleversement > Un groupe de foyers s'embrasa. Ils vinrent illuminer, la Une, focus sur les esprits nocturnes. Ils criaient gloire, faveur aux urnes, livrez nous un divertissement ! Une étincelle d'apocalypse et la flamme souffla les chaumières. Selon vengeance, il s'agissait de nos misères. Elles rôdaient là, dans les parages. Violence murmurait dans la nuit. Nous commencions à suffoquer. La crainte nous avait gouvernés. Ainsi germaient les égrégores nommées Chimères et Mères Veilleuses. Ces créatures puisaient sans trêve, dans la magie des impulsions, les honorables elficologues, les érudits vous le diront. Les pierres s'opposent, elles nous pardonnent. Naguère nous vivions maintenant, une ère lucide et tourmentée. N'oubliez pas, on nous l'ordonne, nous sommes déjà médiatisés. Nous les gardiens de l'automne, les fers de lance hypnotisés. Et le pouvoir s'épanouit.
Il enterra un sac de graines, dans le ciment des coeurs fanés. Les Nymphes songeaient, elles sont jalouses, à la chaleur d'un printannier. Le Lémurien sifflait pour lui, la mélodie des hérétiques, la guerre heureuse, en parodie à toute logique. Une tornade suivit la rumeur, des événements annonciateurs. Il les fendît aussi serein. Nous étions sur l'amène chemin des accumulateurs de chagrin. Je n'en doute pas, ça ne crève pas, ce genre d'harpies voleuses de vie. Je suis un humble ami des ruses, ça ne se voit pas. Ils en abusent. Nous fûmes bercés par l'adversaire, les princes démons totalitaires. Ils ruinèrent les terres lutines, ces faux-jetons, ces vils gredins. Nous fulminons quand ils culminent. Firent des esclaves, les farfadins. Ils imposèrent sourdine et firent du feu un sacrilège. Un autre destin, un autre temps. Les bois sommeillent sous le miroir. Sentez la joie de leurs épines, de leurs bourgeons, de leurs épices. Rassurez vous faîtes bonnes figures. Un seul danseur, éclat psychique, qui luit, patine, sur un étang. Il est givré et il s'escrime. Il virevolte harmonieusement. Il multiplie les cabrioles. Ce magnifique élémental, ce virtuose halluciné. Viens au défi de l'ignorer. Les plumes gribouillent un passager. Nous avons déniché des runes, aux aspects des plus bienveillants. Elles permettent de souffler les brumes de l'univers, c'est amusant. L'alchimie des disparitions, les fortins de la perversion. Les léthargies de la nation. Pareilles foutaises, un grand pardon. Nous les sorciers, les imbéciles, soumis aux forces, aux négations. Elle est parfaite et si sublime, la toute puissante admiration. Elle implora notre indulgence, nous proposa une trahison. Le Lémurien tandis le doigt d'une implorante accusation. Mes soeurs sont là, piaffent d'impatience. Mes frères sont fous et ligotés. Sonnons les sorts, les sons guerriers. Scions les chaînes de Charité.
Récit d'un voyageur de Lémurie Occidentale (sous l'Antarctique) – Avant Babylone X
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: La Tour du Givre Mer 29 Jan 2014 - 0:41
Alors les cerveaux bouillonnèrent. Comment matérialiser un égrégore ? Un avatar de la Nuit ? Un Grand Conseil se réunit. Les alchimistes prirent la parole : transmuer une énergie de là-bas jusqu'ici exige des trésors d'intelligence. Évidemment, ils supposaient l'être assez. Il nous faut réunir des éléments. Une simple pierre fera l'affaire. Ensuite il suffira de nous focaliser sur la roche-matrice et animer le golem...
N'y a t il pas un risque que l'autre monde contamine notre réalité ? Lança une voix anonyme. Théoriquement non. Sauf si nous créons simultanément une armée de ces...choses. Un murmure parcouru l'assemblée. Ce pouvoir ne nous appartient pas ! Cette dimension livre déjà de nombreuses batailles ! Les êtres qui la peuplent éprouvent de grands chagrins ! Nous ne savons pas ce qui surgira de l'obscurité ! Et surtout, les humains ne sont pas prêts ! Le technomancien s'interrompit.
A quoi nous servirait un golem ? Les visages se tournèrent vers un druide. Ses yeux brillaient d'une flamme ardente. Un Gardien. Notre « ambassadeur » pourrait-il négocier avec les forces en présence ? Rencontrer leurs...gouvernements ?
Cela dépend des sentiments qui l'animent siffla un nécromancien...
Certes. Les élémentaux s'épuisent...glissa un vieillard barbu. Un autre enchaîna : ils tiennent en esclavage des millions de prisonniers, nos amis, qu'ils massacrent impunément. Ils pensent avoir gagné la guerre. Leurs soldats n'ont plus de coeur et s'agitent comme des pantins. Ils construisent des nids de forteresses. La lumière les aveugles et le silence les étourdit. Ils sont redoutables !
Nous connaissons tous la situation ! s'exclama un sage, magnétiseur.
Ils songeaient...comment les délivrer de la torpeur ?
Les esprits crépitaient à l'unisson. Chacun redoutait l'emploi des arcanes, chacun avait ses traditions. La nuit allait être longue, 'ils partageraient leurs opinions...
La tour fut avalée par un brouillard cristallin, elle s'évanouit dans le néant.
Nous avons tout notre temps
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Archerie Sam 1 Fév 2014 - 1:11
Chapitre tiré du Livre des Rancunes de Karak-Kadrin - passage rédigé par Gotrek Gurnisson, un soir de beuverie – Publié avec l'aimable autorisation du Roi Ungrim Poing De Fer - Epoque incertaine
Et les gobelins, bla, bla, bla, et les fanatiques (les boulets), etc.
Si vous chassez soyez prudents. Mais avant tout soyez joueurs. C'est l'occasion de vous lâcher. Fermez les yeux et puis marchez. Le plus longtemps, longtemps possible. Tôt ou tard vous atteindrez l'humilité et la sagesse. La crainte de vous faire bousculer. Le frisson de la trajectoire. L'horreur de vous faire renverser. La peur, cette créature pleine d'ardeur, qu'il faudra bien apprivoiser, guidera vos premiers pas. Il s'y trouve une suite logique. Vous aiguisez, votre pratique ? Si vous cherchez des enchanteurs ou des paroles atmosphériques, passez votre chemin. Soyez métaphoriques ou encore méthodologiques. Ce n'est qu'un simple apprentissage. Vous serez vite persécutés par les démons de la cité. Voir impossible de voyager sans un regard décomplexé. Changez de place, soyez aveugles et puis patients. Nous sommes aussi des intrigants. Si vous souhaitez une expérience, entraînez vous au marché. Si vous suivez, voyez les runes. Je suis un nain, un type posthume. Les monstres se cachent, non chez les hommes, mais dans la lune. Ils sont malins mais ils rayonnent. D'une énergie particulière. Si quelqu'un peu la qualifier, qu'il n'hésite pas à m'informer. Je penche encore pour de l'amour, le goutte à goutte du chaque jour. Passons les doutes. Croisons les doigts. Vous vous promenez dans les rayons colériques. Le boucher crie. Déambulez comme d'ordinaire, regardez fixement les prix. Réfléchissez vite, prenez des bières ou du poisson c'est l'occasion. Abordez un air détaché. Dîtes au revoir à la lumière, c'est temporaire. Fiez-vous à votre instinct. Clignez des yeux et respirez, vous affrontez votre torpeur. Où est-ce la sienne, un amateur ? Juste un éclair d'hésitation, vous éclairez les profondeurs, le labyrinthe des odeurs, les sensations. Les villageois sont concentrés, ne remarquent pas votre manège. Vous reprenez votre commerce, un bon fromage et du poulet, vous voilà presque satisfait. Pensez aux courses. Battez doucement des paupières. Bandez votre arc et détendez. Faîtes le vibrer. Recommencez. Il finira par s'énerver ou se planquer. Quitter le lieu. Revenez y et décochez. Il est inutile de viser. Retournez seul(e) dans votre nuit.
PS: ils traînent souvent du côté des farines, animales ou non (Felix Jaegar)
Graal
Messages : 362 Date d'inscription : 15/08/2012 Age : 59 Localisation : ici ou là
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Dim 2 Fév 2014 - 14:57
Nemesys
Messages : 13 Date d'inscription : 17/12/2013 Age : 45
Sujet: Comptine pour trouver le sommeil... Mer 5 Mar 2014 - 22:58
AYA ! (Salut!)
Nous les robots, nous sommes l'acier. Nous sommes la joie, sous les pavés. Nous sommes tuyaux, nous les tous-tous, braves animaux. Nous les totems chromatiques, les chrysanthèmes, nous hululons dans les forêts. Gardons la foi dans les mirages. On nous distrait. Le grand message de l'armada :
Des doigts futiles de technophiles. Mécapanique! stop! Traquez les riants carnassiers, les minerais de la colère. Chauffez vos forges et vos chaudières...
Observation. Végétation. Elévation des eaux dormantes. La Sylvanie des sépultures. Léchez vos plumes, votre feuillage. La nuit est notre meilleur ennemie, apprenons à l'épouser...
Les voies lactées, petits sentiers. Apparitions vite disparues. Vous filez des toiles noueuses, nous affûtons nos vils pinceaux.
Une esquisse, une ombre rageuse
Les pistons s'activent et s'illuminent. Les lances marines, plumes et grigris. Les voiles aux vents. Bientôt claqués, les étendards à têtes morbides J'invoque le pouvoir du pardon ! Un oeil pour oeil, une tradition.
Hagarde, la terre des vagabonds. Bordée d'étoiles et de ficelles. Les papillons font des zigzags, primo déposent la fine poussière. Makima : la lumière. Les Haut-Chênes de notre temps et leurs parents, encagoulés. Posez les farces, nous admirons, nous sommes les pièges, nous les iris. Nous les nuées. Nous les signons...petits oignons.
Et dans tout ça la culture, la religion de la foison, de l'abondance à profusion. Je vous offre de la valeur, rendez-moi de la valeur ! Et plus vite que ça !!!
Mais l'âme, ce chapiteau, va raviver nos foudres et faire gronder nos berceaux. Les amitiés n'ont plus de prix. Chacun son lit.
Les mystères de la misère sont le mensonge des guérisons
Adieu les mères, déesses tendresse. Je laisse mon cor à qui voudra pour mieux souffler sur nos bougies. Sur nos vies. Et sur nos râles. Nous chavirons...
Voyons l'écume et les shamans.
Nous les principes.
Vivez disciples !
0AYA !
(Chant traduit par Nagash lors de son existence humaine)
akasha
Messages : 6818 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Mar 13 Mai 2014 - 10:52
Bonjour je viens de trouver un poème comme je les aimes, je vous le partage
Elixir de jouvence
Mange mon corps, Absolu, Rassasies toi de mes vertus, Ton appétit se fait accru, Alors ne soit jamais Repus.
Bois mon élixir, Jouvence, Qu’il t’emplisse de puissance, Ta soif sera toujours intense, Alors refuse toute Abstinence.
Mange moi jusqu’à plus Faim, Repas digne d’un souverain, Faire un régime serait vain, Ta boulimie me… Convient.
Bois ma précieuse Liqueur, Fais en un prix de saveurs, Elle te procurera la chaleur, Du feu qui consume…Ardeur.
Le Poète Fou
dissident
Messages : 346 Date d'inscription : 03/09/2013 Age : 59
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Mar 13 Mai 2014 - 14:41
Dans un style proche je connais " la main de ma sœur dans la culotte d'un zouave". Vous voulez que je raconte ?
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nabi
Messages : 447 Date d'inscription : 13/03/2013 Age : 52 Localisation : aveyron
Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains .... Lun 27 Sep 2021 - 10:21
Petit roi
Petit roi n'ira pas à la droite du Père Car petit roi songe et espère Un monde de misère.
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Sujet: Re: Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains ....
Le Café de la poésie... à vos plumes, à vos mains ....