Bonjour à toutes et à tous,

Vous vous dites surement mais qu'est ce qu'il va raconter celui la (encore) ?
Beaucoup j'espère, oui j'espère être à la hauteur car ce sujet hautement tabou en France et qui, fatalement, touchera tout le monde.

Mais beurk quoi, c'est morbide la mort... mais justement là n'est pas le sujet et ce n'est pas comme un chiffre dans une colonne d'un fichier excel !
C'est avant tout une disparition... Avec tous les sentiments que cela entraînent... C'est un domaine de réflexion quoi que l'on pense.

Et c'est même une disciple scientifique la Thanatologie. La mort, l'état de non-vie, le mourant est parfois accompagnée spiritullement jusqu'aux derniers instants.

Mais je ne vais pas m'éterniser sur la mort car elle ne m'intéresse pas finalement, l'athée que suis-je. Qu'est-ce qui m'a poussé a mis pencher ?

Pour commencer la discussion, je me permets une parenthèse, répondre à ce sondage permettra à chacun de prendre un "instantané" avant qu'on en parle et après votre propre recherche car là est mon objectif finalement. Oui, n'attendez pas des réponses, cherchez les par vous-même les réponses et pour une simple raison : cela évite une interprétation supplémentaire. En effet moins on a d'intermédiaires et plus l'info est "valide". Enfin c'est comme cela que je conçois les choses (éviter les intermédiaires).

Des réponses oui il y en a mais êtes es-tu prêt à les entendre ? Les chercher, les accepter ou les rejeter ?


Je ne suis ni un écrivain, ni un docteur en quoi que ce soit, jsuis un mec tout à fait normal et sans diplôme :)
Ma bibliothèque contient des livres de science physique, géopolitique, spirituel/chamane, nde/survivance, histoire & sciences "cachées". Quelques octets de reportages et de documentaires, je me nourri d'informations officielles et alternatives et si je viens içi c'est parce qu'il y a une porte d'ouverte et de la lumière j'ai vu.


J'attends vos premières impressions et sans prétentions aucunes, je reviendrais répondre si des questions me sont directement posé mais dans tous les cas pour vous servir des éléments de recherche livresque. @ bientôt donc et merci de m'avoir lu jusqu'içi.

Extrait du livre
"A l'adresse de ceux qui cherchent"
(présenté précédemment)
demandé par un membre du forum

Un premier regard sur l'homme

L'homme étant ce qu'il est, aucun message d'ordre moral ne peut lui parvenir sans comporter un minimum de menaces. Notre propos n'est pas de faire peur, les femmes et les hommes qui nous intéressent apprendront vite à se libérer de la peur. Il s'agit simplement de définir comment les choses se passent ici, comme Louise a commencé à le faire en introduction. Nous parlerons maintenant en termes plus généraux.

Pourquoi y a-t-il des << monstres >> au sein de l'espèce humaine? Où se situent les responsabilités? Qu'en advient-il?
ceci est une question fondamentale, puisqu'une bonne partie de ce que vous subissez provient des petits et grands monstres que l'humanité génère, quelle que soit l'époque.

A cela nous répondons : Ces monstres sont des hommes, créés et influencés par l'homme. Ils sont aussi les outils de Dieu, dans un certain sens. Mais l'homme reste toujours aux commandes. Il nous suffit pour l'instant de dire :
L'homme a été, il est, il sera. Ceci implique que vous traînez tous une lourde hérédité, le péché originel disent certains, dont vous pouvez vous débarrassez en appliquant quelques principes de sagesse :
Ne faites pas aux autres ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse, aimez-vous les uns les autres comme Jésus vous a aimés, connaissez-vous vous-même, ne tuez pas, suivez les enseignements fondamentaux de votre Tradition.

Lorsque vous savez que vous n'êtes pas grand-chose, aussi grand que vous soyez, l'orgueil ne peut vous monter à la tête.
Vous êtes protégés, vous ne risquez pas de devenir un monstre.

Si vous n'aimez pas qu'on vous embête, vous n'embêterez personne, vous êtes là aussi protégés. Si vous vous aimez les uns les autres de l'amour qui libère, tout va bien, nul n'aura à en pâtir. Si vous ne voulez pas tuer, vous ne tuerez pas, sinon par accident.
Si, par contre, vous estimez que seule la << réussite » tangible importe, quels qu'en soient les moyens, si vous pensez qu'un idéal se défend à coups de fusil, et que la véritable puissance est quantifiable, vous n'êtes pas sorti de 1'auberge. Vos contemporains non plus d'ailleurs.

Ainsi poussent les monstres. Nourris par la folie qui les entoure, engraissés d'illusion, manœuvrés par les esprits mauvais, ils sont, puisqu'ils existent, utilisés par les Puissances supérieures, celles qui sont proches de Dieu. Tout sert, le meilleur comme le pire. L'important en la matière étant de faire germer la compréhension de la folie.

Car il en est de la folie comme d'une maladie contagieuse. Ce n'est pas en exécutant les malades qu'on enraye une épidémie, mais en renforçant les capacités de résistance. Lorsqu'un monstre prend son essort, c'est que le terrain lui est favorable. Il s'agit d'un terrain humain, Dieu est bien loin de tout ça. Pour inverser la tendance, seul un grand choc peut se révéler salutaire.

Examinez ce que vous connaissez sous cet angle, vous comprendrez beaucoup. Chaque société est responsable des monstres qu'elle engendre, car si les conditions de leur émergence ne sont pas réunies, s'il n'y a pas résonance au sein du corps social, ni Dieu ni diable ne peuvent leur donner de consistance. Un criminel n'atteint le statut de monstre qu'à deux conditions : qu'il trouve des complices et que la lâcheté ambiante lui donne du courage. Là où règne la peur prospère le tyran.

Maintenant, qu'advient-il des monstres, dans l'univers spirituel? Comme Louise 1'a expliqué, se trouvent ici les victimes de tous les monstres de la planète, beaucoup d'entre elles ne sont pas encore convaincues des vertus du pardon. Ici le monstre est nu, ses alliés se débattent dans leurs propres problèmes, il récoltera la haine qu'il a semée. C'est une question de réciprocité, d'action-réaction, dont vous recevez les échos sur terre, malgré la pesanteur inhérente à votre monde, qui amortit les chocs ou qui les retarde.

Les réactions, chez nous, sont plus immédiates, à notre niveau, où le temps n'a pas la même valeur intrinsèque. Nous réagissons vite à l'injustice, à la sauvagerie, à la cruauté, fût-elle justifiable par des intérêts prétendus supérieurs. Car en ce domaine, il n'y a pas d'intérêt supérieur qui puisse justifier la souffrance délibérée infligée à des innocents, des enfants par exemple. Nous ne parlons pas de la sévérité, hélas nécessaire, mais de la volonté délibérée de nuire. Rien ne justifie cette volonté-là, et nous la combattons, avec les moyens qui nous sont propres.

Comme pour l'épidémie, nous préférons renforcer le bien plutôt que de détruire le mal. Toutes les périodes de turbulences ont vu surgir des figures « providentielles >>, c'est là que nous agissons. Nous ne faisons pas de miracles, mais dans la ville condamnée nous recherchons les femmes et les
hommes de bien, ceux qui sont prêts à lutter, selon leurs moyens. Nous leur donnons l'énergie si nous trouvons chez eux le courage. Nous les inspirons s'ils ont la volonté. Nous les affermissons s'ils sont sincères. Encore nous faut-il les trouver.

Les grandes contractions historiques prennent leur origine dans l'abus : riches trop riches dans un monde pauvre, humiliations infligées au faible par le puissant, fanatisme, convoitise, cupidité, peur. Ce sont des périodes propices pour nombre d'individus qui peuvent, impunément en apparence, user ou abuser des pouvoirs que leur confèrent la situation. Dieu n'y est pour rien.

Les vrais criminels, ceux qui vivent pour défier les lois fondamentales de 1'espèce, ceux qui répandent la haine et prospèrent sur la souffrance des autres ne peuvent attendre ici aucune liberté tant qu'ils n'auront pas accepté la loi de réciprocité : << Ce que j'ai fait subir, j'accepte de le subir en retour. >> Ils sont dans une spirale sans fond dont ils ne peuvent sortir avant d'avoir atteint le plein accord, avec eux-mêmes d'abord, avec leurs victimes ensuite.

Cette spirale peut prendre la forme de réincarnations (1) successives qui les obligent à se nettoyer, de l'intérieur. Les anges gardiens veillent scrupuleusement au bon déroulement de ces nettoyages. Les monstres réincarnés rencontrent ainsi toutes les embûches, toutes les tentations, toutes les chausse-trappes sur leur chemin, ils doivent s'en accommoder. D'autres âmes les accompagnent par l'esprit, qui doivent suivre le même chemin, souvent par obligation. Et c'est dur. Tout, dans le monde spirituel, est ressenti avec plus d'acuité.

Là se trouve le << châtiment >> que Dieu dans sa grande bonté réserve à ceux qui enfreignent ses lois. Il faut comprendre le sens de chacun de ces termes. Dieu, nous en parlerons plus tard. Mais il y a contradiction apparente entre la << bonté >> ou la « miséricorde >> divine et la notion de « châtiment >>, ou de rétribution, lorsque cette dernière n'est pas favorable à l'être qui en bénéficie. Nous utilisons à dessein le terme « bénéficier >>, car, lorsque le semeur a honnêtement travaillé, il est juste qu'il soit correctement « rétribué >>, qu'il bénéficie en quelque sorte des fruits de son labeur. Mais si le semeur a semé de l'ivraie, ou l'ortie, ou les ronces, il est juste qu'en retour il récolte l'amertume, l'irritation ou les épines. Il bénéficie donc des fruits de ses travaux. Et c'est grande justice que d'avertir l'homme : tu récolteras ce que tu as semé. Nul ne l'inflige de punition, nul ne te condamne, mais tu couds toi-même ton linceul selon le sens que tu donnes à ta vie. Fais-le bien, évite d'enfreindre les commandements fondamentaux de la propre espèce, les lois naturelles, en somme, et ton linceul sera de lin blanc, pour autant que cette image puisse rendre l'idée de bonheur. Si tu répands la peine et le chagrin, si tu fais souffrir - que ça te fasse plaisir ou non -, si tu vas à l'encontre de ce que le bon sens te dicte - il ne t'est jamais demandé l'impossible -, attends-toi à un linceul d'épines.

Là se manifeste la sagesse et la bonté divine. L'espèce humaine n'est qu'une espèce parmi tant d'autres, elle subit les lois propres à sa nature, comme tout le reste dans le corps glorieux de Dieu. Tout y est bien agencé, bien équilibré pour que chacun se fasse justice suivant ses propres lois. On ne peut transgresser des lois qui ne sont pas les siennes. Il n'y a pas de « condamnation >> divine. Certes, l'homme souffre de ses limitations, mais il a la possibilité d'évoluer, de comprendre, et de s'associer, au cours de sa vie terrestre, au grand œuvre de Dieu.

C'était l'essence du message du Christ (2), dont les manifestations humaine annonçait que l'homme pouvait ressusciter d'entre les morts, sans attendre un hypothétique « jour du jugement ».

Pour l'homme responsable, libéré par l'Amour, il n'y a pas, il n'y aura pas de « jour du jugement ». Car c'est au jour le jour que les actions se jugent, au jour le jour qu'elles se gravent dans la mémoire intérieure d'où elles ressurgiront pour pour cette confrontation qui ne peut être qu'individuelle, au moment de la mort physique. Tous les hommes n'ont pas atteint le niveau de développement, certains plaident l'irresponsabilité et s'en remettent aux « mains de Dieu ».

L'âme irresponsable sera alors guidée jusqu'à ce qu'elle puisse, un jour, s'affronter elle-même. Tout, ici, pousse l'homme esclave à accéder au statut d'homme libre, celui que nous appelons Homme. L'esprit soumis à la matière, doit redécouvrir sa véritable place en Dieu, plus fort, plus apte, plus utile. Tel est le destin de l'espèce.


1. Oui, la réincarnation existe, telle que certains la définissent: une âme prédestinée reçoit un « véhicule » terrestre, un corps. Selon les Traditions, car si l'Esprit influence les Traditions, il est influencé par elles. Nous aimons dire :
l'Esprit qui est proche de vous. Cela vaut pour les individus comme pour les sociétés. Dans certaines Traditions, dont la nôtre, celle qui est proche du scribe, nous préférons cette autre forme de réincarnation qui est le suivi, par certaines âmes, de la vie terrestre. Le système des anges gardiens si vous préférez. Ceci dit, le choix appartient toujours à l'âme individuelle: enrichir son parcours dans l'Esprit ou dans la Matière. Toutes les âmes réincarnées ont un travail à accomplir. Ce n'est ni bien ni mal, c'est utile.

2. Nous utilisons ici une symbolique chrétienne, bien qu'il n'y ait pas que des chrétiens parmi nous. Nous nous en expliqueront ultérieurement.

>> LA SUITE ICI <<

>> LA SUITE <<

E X T R A I T
du livre en version pdf

Je prépare un autre extrait du livre "au seuil de la vérité" présenté également ici, où des explications (révélations) relatives à se que l'on appelle communément/religieusement l'enfer ; que Jean prieur démontre dans ses écrits qui est une erreur (volontaire) de traduction/interpretation du mot grec "hades".

Retrouvailles de Bernard De Montréal


Partie 1


Ces deux vidéos font parties d'un ensemble de 10 dont le reste va suivre.
La 8ième est manquante à mon plus grand regret.
Une chasse ouverte sur les fichiers de BdM,
qui j'espère ne conduira pas à la suppression
de ceux-ci.
Une autre fois j'expliquerai pourquoi BdM ne peut être
écouté par tout le monde et
surtout compris par tous.
A ce sujet, avez-vous les bonnes clés de compréhension ?

Ajout d'un encadré VIDEO, en bas à droite du site lepaysdapres.eklablog.fr

>> + d'info sur ce livre <<

>> + D'INFORMATIONS <<

>> VOIR LA VIDEO <<

1

Présentation de la personnalité

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2

parties 2 & 3

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3
Tci-audio
Patrick Flamand

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4

+ vidéo

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5
Interview de melody par Yann-Erick - Audio

ps: Parfois les liens de certaines vidéos ne sont pas exportables c'est pourquoi je vous renvoie sur le site directement, merci de votre attention, cordialement fr_ankh