Après avoir bien cherché et avoir tenté d'agir, il apparaît difficile d'échapper aux intoxications imposées par les grands noms des empoisonneurs; dans tous les domaines.
Il y a quelques mois, j'ai fais une action soutenue auprès de la chaîne LIDL, aux siège,... par plusieurs mails, j'ai décris et motivé le besoin présent et futur des consommateurs pour avoir au moins une référence de dentifrice sans fluor.
J'ai été bien considéré, ils ont bien répondu et m'ont bien remercié pour mes propositions, mais mes voeux n'ont pas été concrétisés.
Comme toutes les chaînes de distribution, les dentifrices à la vente sont à 100% empoisonnés au fluor.
En fait, les acheteurs sont soumis à leur chefs qui ont tous peur de perdre leur job s'il achète hors des listes de multinationales de la mondialisation.
Le seul choix du consommateur est de ne pas acheter ces tubes, et bien d'autres produits; c'est ce que je fais depuis des mois.
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J'ai essayé diverses solutions. Et comme je fabrique moi-même déjà beaucoup de choses, j'ai fais des petits coups pour le dentifrice.
Mais on trouve quand même quelques références dans le commerce. Donc, pas besoin de faire sa cuisine dentifrice soit-même, sauf pour son plaisir.
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Il existe pas mal de produits disponibles sur Internet, en vente en ligne, mais aussi dans les petits magasins spécialisés.
Ces réseaux de vente font de la speudo marque, ils flairent le bon filon et font de la marge.
Un peu comme si je faisais mon dentifrice "Tipol", pourquoi pas, à 9,45 le tube !
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Près de chez moi, j'ai sélectionné le dentifrice revendu par Biocoop. Ils ont plusieurs produits à une gamme de prix correct, acceptable.
Sur Internet, c'est minimum de 5€ le tube de 75ml, jusqu'à 10€ et plus.
Chez biocoop, il y a plusieurs références autour de 4€.
Mais aussi une très bonne entrée de gamme, simple, mais très agréable, le LOGODENT plusieurs parfums...
J'y ai trouvé du 75ml à 2,05€ et 2,20€,...
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Il reste une prudence.
Quand un fabricant indique des mentions du type "sans fluor ajouté", sans "fluor synthétique",... c'est qu'il y a forcément du fluor endogène... le fluor contenu dans les plantes, dans les résidus divers de glycérine, talc, calcium,... on ne pourra y échapper qu'à un prix très supérieur.
C'est de toutes façons les mêmes taux de résidus que l'on retrouve dans les médicaments en pharmacie.
Il y aurait énormément de surprises et de scandales si les boîtes de médicament indiquaient les taux de résidus indésirables dans les substances médicaments de bases.
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J'achète assez souvent des tas de produits de base, je viens d'acheter 6kg d'acide ascorbique, j'ai toute la collection des acides aminés, des vitamines,... de sulfates, chlorures, citrates divers, acides, bases... tout pour mon jardin, et mes belles plantes !
Tous ces produits sont fabriqués en Chine, importés par palettes de 500kg mini, et distribués dans toute l'Europe.
Nous en consommons tous, tous les jours. La majorité de ces produits n'indique pas les résidus.
J'achète chez les chimistes en Europe, les principaux résidus sont indiqués, et souvent les produits sont purs vers 98%
Les 1 à 2% de résidus acceptés permettent de descendre le prix. Le produits pur à 99,99% est 100 fois plus cher.
En plus un produit pur 99,99% passerait à 99% dès l'ouverture de la boîte par l'oxydation, la carbonatation due au CO2, l'humidification...
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La majorité des résidus ne sont pas toxiques, un peu de sulfates, de nitrates, quelques métaux cuivre, zinc, fer,... rien de bien méchant.
Malheureusement quand ils marquent métaux lourds <0,1%, ça fait quand même beaucoup, et ça ne donne aucune indication sur la nature.
La mention "autres résidu peut contenir n'importe quoi; et venant de la Chine, on est bien en droit de se méfier.
Mais toute l'alimentation industrielle contient tout ça sans émouvoir personne.
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Ce qu'il nous faudrait pour progresser :
1) Faire indiquer la nature exacte des résidus dangereux, le micro-gramme de fluor et pas le milligramme de fer ou de nitrate.
2) Avec la référence EAN produit, et les numéros de lot, faire publier sur Internet les résultats complets des analyses effectuées par les laboratoires d'analyses qui contrôle tout ça en France, et ailleurs par des prélèvements dans les magasins, aux culs des camions,... Aujourd'hui, cette publication est interdite.
3) Réviser la publication des analyses de l'air et de l'eau. Imposer les analyses de fluors, d'aluminiums, de radioactivités, de cyanures, de mercures,... aucune mairie, aucune collectivité de fait cela.