La conception d'un artiste d'une usine de production hydrogène commerciale qui utilise la lumière du soleil pour fendre de l'eau pour produire le combustible hydrogène propre.
Une équipe d'université de recherche de Rocher de Colorado s'est rapprochée à quel peu d'appel le Saint-Graal d'une économie hydrogène durable — se déchirant l'eau avec la lumière du soleil.
L'équipe de CU-rocher a conçu un système solaire et thermal conçu pour utiliser une gamme vaste de miroirs de terre pour concentrer la lumière du soleil sur un point simple atop une tour centrale de jusqu'aux centaines pieds de haut. La tour cueillerait la chaleur et 2,500 degrés Fahrenheit (1,350 Celsius) et la livrerait ensuite dans un réacteur contenant des composés chimiques connus comme les oxydes en métal.
Comme le composé d'oxyde en métal chauffe, il libère des atomes d'oxygène, en changeant sa composition matérielle et en faisant le composé nouvellement formé dénicher de nouveaux atomes d'oxygène. L'équipe a montré que le fait d'ajouter la vapeur au système ferait de l'oxygène des molécules d'eau adhérer à la surface d'oxyde en métal, en libérant des molécules hydrogènes pour la collection comme le gaz hydrogène. Pour recevoir la vapeur, la lumière du soleil concentrée rayonnée à la tour chaufferait de l'eau au bouillonnement.
La théorie conventionnelle croit que la production de l'hydrogène par le biais du processus d'oxyde en métal exige 1) que le chauffage du réacteur à une haute température enlève de l'oxygène 2) alors le refroidissement d'elle à une température basse avant d'injecter 3) la vapeur pour réoxyder le composé et libérer du gaz hydrogène pour la collection. L'innovation est ici qu'aucun balancement dans la température n'est exigé. Le processus entier peut être entrepris à la même température et peut être conduit en allumant une valve à vapeur ou de.
Avec la nouvelle méthode, la quantité d'hydrogène produit aux piles à combustible de pouvoir ou pour le stockage dépend entièrement de la quantité d'oxyde en métal (une combinaison de fer, cobalt, aluminium et oxygène) et combien de vapeur est introduite dans le système.
Les chercheurs envisagent des tubes de réacteur construisants grossièrement un pied dans le diamètre et plusieurs pieds de long, en les remplissant de la matière d'oxyde en métal et en les empilant sur le haut l'un de l'autre. Un système de travail pour produire une quantité significative de gaz hydrogène exigerait qu'un certain nombre de grandes tours, chacun avec son propre réacteur, cueillent la lumière du soleil concentrée de plusieurs acres de miroirs entourant chaque tour.
Un papier de la Science nationale la recherche financée de la Fondation a été publié dans l'édition du 2 août de Science.
Solar thermal water-splitting (STWS) cycles have long been recognized as a desirable means of generating hydrogen gas (H2) from water and sunlight. Two-step, metal oxide–based STWS cycles generate H2 by sequential high-temperature reduction and water reoxidation of a metal oxide. The temperature swings between reduction and oxidation steps long thought necessary for STWS have stifled STWS’s overall efficiency because of thermal and time losses that occur during the frequent heating and cooling of the metal oxide. We show that these temperature swings are unnecessary and that isothermal water splitting (ITWS) at 1350°C using the “hercynite cycle” exhibits H2 production capacity >3 and >12 times that of hercynite and ceria, respectively, per mass of active material when reduced at 1350°C and reoxidized at 1000°C.
source ; http://www.livescience.com/38884-sunlight-water-hydrogen-fuel-nsf-ria.html