Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 4 Mai 2014 - 14:47
Rappel du premier message :
Guide: Commentbiensenourrir
Bonjour; Je constate avec étonnement qu'il n'y avait pas encore un sujet globale, pour regrouper tout se qu'il fait référence au thème; bien manger. Je n'insisterai jamais assez sur l'importance de senourrir sainement et d'avoir de bonne connaissance en matière de la diététique. Et se, que l'on sois sportif, sédentaire, dans la vie active, ou même malade...Si tout est fait justement pour que l'on se jette sur la malbouffe, que l'on promeuvent les fast-food, la restauration rapide, et j'en passe, allons à contre-courant. Votre corps/mental vous dirons merci.
Se que j'aimerai voir sur ce sujet, Se serait des articles simple et détaillé sur les bases de la diététiques, bonne graisse/mauvaise graisse, sucre rapide/lent, les bonne heures pour les consommer, les classements des macronutriments et phytonutriments, etc...
Bien entendu on pourra aussi aborder les différents régimes, avec ses bienfaits et points faibles, tout se genre de choses..Tout se qui a trait à l'alimentation, à vous de jouer.
Akasha
________________________________________
Dernière édition par akasha le Jeu 11 Sep 2014 - 22:45, édité 3 fois
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akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Ven 21 Avr 2017 - 9:24
Bonjour mes frères & sœurs Je voudrais partager avec vous les blogs d'une grande passionnée et érudite en matière de santé et nutrition ! C'est une ancienne membre et originelle du forum, elle se nomme Laly et c'est une belle personne un exemple pour moi.
Les voici, ils sont très complet et agréable à consulter, on y trouve vraiment de tout :
- Equilibre de Vie - Monika Sensible blog
Belle visite à tous !
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 28 Mai 2017 - 0:38
Le sucre, cette calamité qui détruit notre santé
Mercola dim., 14 mai 2017 03:22 UTC
Commentaire: L'industrie du sucre, c'est démontré, a magouillé pour que ce dernier soit considéré comme inoffensif. Le mensonge, par la suite, va bien plus loin : le sucre est devenu indispensable au bon fonctionnement de notre corps ; sans lui, point d'énergie. Devenant, ainsi, bon pour la santé. Bien sûr, les maladies liées à la consommation de sucre n'ont pas cessé de progresser. Il a donc fallu, dans la foulée et à l'aide de scientifiques sans scrupules, trouver un coupable : le gras. Celui-ci, qui était réellement bon pour nous, est devenu mauvais. En regardant de plus près la genèse de cette manipulation, on se rend compte qu'il suffit de peu pour qu'une conspiration, appelons les choses par leur nom, aboutisse et ait des conséquences incalculables pour la population toute entière. Car il s'agit bien de cela, et « il n'est pas exagéré de dire que le sucre, qui joue un rôle majeur dans l'apparition et le développement des maladies qui nous éreintent, est l'un des fléaux de l'humanité. Au même titre que les criminels de guerre que l'on juge pour leurs actes d'une gravité particulière, ne devrait-on pas condamner ces mêmes industriels et scientifiques corrompus qui ont décidé, par avidité, d'assujettir leurs semblables à la tyrannie du goût sucré ? Une tyrannie prenant la forme d'une dépendance entraînant la mort à court, moyen ou long terme, c'est selon. »
La calamité du sucre, plus en détail : - Elle arrête le sucre pendant un an, voici ce qui s'est passé - Les manipulations criminelles de l'industrie du sucre - C'est officiel : l'industrie a conspiré pour faire croire que le sucre était sans danger - Se libérer du sucre qui détruit foie et cerveau - Sucre : le doux mensonge ou le doux poison - Addiction au sucre : comment le sucré s'est imposé dans nos assiettes et met en péril notre santé - Le sucre, l'ennemi « numéro 1 » de l'humanité
Chez les plus de 65 ans, une personne sur neuf est atteinte de la maladie d'Alzheimer, et on estime que la maladie est aujourd'hui la troisième cause de décès aux États-Unis, après les maladies cardiaques et le cancer. Des recherches de plus en plus nombreuses suggèrent qu'il y a un lien très étroit entre votre alimentation et votre risque de développer la maladie d'Alzheimer, par des voies similaires à celles qui provoquent le diabète de type 2.
Contrairement aux idées reçues, votre cerveau n'a pas besoin de glucose, et fonctionne même mieux en brûlant d'autres types de carburants, en particulier les cétones, que votre corps produit en réaction à la digestion des bonnes graisses. Selon certains experts, comme le Dr. Ron Rosedale, la maladie d'Alzheimer, ainsi que d'autres maladies du cerveau, seraient dues en grande partie à l'utilisation constante de glucose par le cerveau, comme source de carburant.
La maladie d'Alzheimer avait été provisoirement surnommée « le diabète de type 3 » début 2005, lorsque les chercheurs ont découvert qu'en dehors du pancréas, le cerveau aussi produit de l'insuline, et cette insuline cérébrale est nécessaire à la survie des cellules du cerveau.
Le sucre endommage la structure et la fonction cérébrale
Dans votre cerveau, l'insuline contribue à l'absorption du glucose par les neurones ainsi qu'à la régulation des neurotransmetteurs, tels que l'acétylcholine, qui sont essentiels pour la mémoire et l'apprentissage. C'est pourquoi la diminution du taux d'insuline dans le cerveau perturbe les fonctions cognitives. La recherche a également montré qu'avec l'âge, les diabétiques de type 2 ont une perte de volume cérébral - en particulier de matière grise - plus importante que la normale. Ce type d'atrophie du cerveau est un autre facteur contributif à la démence.
Les études ont montré que les personnes ayant un taux d'insuline et un nombre de récepteurs à insuline plus faibles dans le cerveau, sont souvent atteints de la maladie d'Alzheimer. Mais d'après une récente recherche publiée dans le magazine Neurology, le sucre et autres glucides peuvent perturber votre fonction cérébrale même si vous n'êtes pas diabétique ou ne montrez aucun signe de démence.
Afin de vérifier leur théorie, ils ont évalué des marqueurs de l'équilibre glycémique à court et à long terme chez 141 seniors en bonne santé, atteints ni de diabète, ni de démence. Des tests de mémoire et une imagerie cérébrale ont été réalisés pour mesurer leur fonction cérébrale ainsi que la structure de leur hippocampe. Ainsi qu'il a été rapporté dans Scientific American :
« Des taux plus élevés des deux mesures de glucose étaient associés à une plus mauvaise mémoire, ainsi qu'à un hippocampe plus petit et à une structure de l'hippocampe endommagée. Les chercheurs ont également découvert que les changements structurels étaient partiellement responsables du lien statistique entre le glucose et la mémoire. D'après Agnès Flöel, co-auteure de l'étude et neurologue à la Charité, les résultats ''apportent des éléments supplémentaires indiquant que le glucose pourrait directement contribuer à l'atrophie de l'hippocampe.'' »
Les découvertes suggèrent que même si vous n'êtes ni diabétique ni résistant à l'insuline (ce qui est le cas d'environ 80% des américains), la consommation de sucre peut néanmoins perturber votre mémoire. À long terme, il peut contribuer au rétrécissement de votre hippocampe, ce qui est un symptôme caractéristique de la maladie d'Alzheimer (votre hippocampe est impliqué dans la formation, l'organisation et le stockage des souvenirs).
Le lobby du sucre menace les organisations et enterre les découvertes de la science à propos des effets du sucre sur la santé
Des recherches convaincantes montrent que votre cerveau présente une importante plasticité, que vous contrôlez au travers de votre alimentation et de votre mode de vie. Malheureusement, le public a été endoctriné de façon grossière par l'industrie du sucre et des aliments transformés, qui lui font croire que le sucre est un « nutriment » parfaitement raisonnable qui a sa place dans une alimentation saine. Sans informations précises, il est certainement plus difficile de faire des choix sains. Newsweek a récemment publié un article révélant jusqu'où l'industrie du sucre est prête à aller pour défendre sa part de marché :
« D'après un nouveau rapport du Centre pour la Science et la Démocratie... Des groupes industriels représentant des entreprises qui vendent des édulcorants, tels que la Sugar Association et la Corn Refiner Association ... ont dépensé des millions de dollars pour contrer la science qui révèle les effets négatifs de leurs produits sur la santé. Par exemple, lorsqu'une étude de 2013, menée par l'Université de Californie du Sud, a découvert que la teneur effective des sodas en sirop de glucose-fructose ''différait de façon significative'' de la teneur en sucre indiquée sur les étiquettes des boissons, la Corn Refiners Association a décidé de faire faire une contre-étude.
Un consultant a suggéré de ne publier la contre-étude que si ses résultats servaient leur objectif de contester l'étude de l'UCS : d'après le rapport, le consultant aurait écrit : ''Si, pour quelque raison que ce soit, les résultats confirment [l'étude de l'Université de Californie du Sud], nous n'aurons qu'à enterrer les données''.
D'après le rapport du Center for Science, la Sugar Association a même menacé le directeur général de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). L'OMS avait publié un article sur le sucre, recommandant une limite de 10% sur les sucres ajoutés, indiquant que les sucres ajoutés « menacent la qualité nutritionnelle des aliments. » La Sugar Association a envoyé une lettre au directeur général pour le mettre en garde, lui indiquant que, si l'OMS ne retirait pas son étude, la Sugar Association convaincrait le congrès américain de retirer à l'OMS son financement fédéral. L'année suivante, lorsque l'OMS a publié sa stratégie mondiale pour l'alimentation et la santé, il n'y était fait aucune mention de l'étude en question sur le sucre.
Le lobby du sucre alimente les épidémies de maladies chroniques
En effet, en dépit des preuves accablantes montrant que le sucre, et en particulier le fructose raffiné, est au cœur de l'obésité en pleine expansion et des épidémies de maladies chroniques, le lobby du sucre a si bien réussi à contrer l'impact de ces preuves qu'il n'existe toujours aucun consensus parmi nos organismes de réglementation, quant aux dangers « concrets » du sucre...
D'après les données du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le sucre représente 13% de l'alimentation d'un américain moyen. Au Royaume Uni, un rapport publié récemment par le Scientific Advisory Committee on Nutrition (SACN - Comité consultatif scientifique sur la nutrition) recommande de limiter vos apports de sucre ajouté à 5% afin d'éviter l'obésité et le diabète de type 2. Ils estiment que cela équivaut à 25 grammes de sucre (5 à 6 cuillères à dessert) par jour pour les femmes, et à 35 grammes (7 à 8 cuillères à dessert) pour les hommes.
[color:d8b7=#009999]Recommandations diététiques pour maintenir une fonction cérébrale saine et éviter la maladie d'Alzheimer
Il devient de plus en plus évident que le processus pathologique qui conduit à la résistance à l'insuline et au diabète de type 2, peut aussi agir sur votre cerveau. Si vous abusez du sucre et des céréales, votre cerveau finit par être débordé par les taux constamment élevés de glucose et d'insuline, qui affaiblissent sa signalisation de l'insuline, entraînant des troubles du raisonnement et des capacités de mémoire et, à terme, des dommages cérébraux irréversibles. De plus, lorsque votre foie est occupé à traiter le fructose (qu'il transforme en graisse), cela entrave fortement sa capacité à fabriquer du cholestérol, un composant essentiel de votre cerveau, indispensable à une fonction cérébrale optimale. En effet, des preuves croissantes soutiennent l'idée selon laquelle réduire la consommation de fructose de façon significative est une mesure très importante pour prévenir la maladie d'Alzheimer.
Les traitements étant très limités, et aucune guérison possible à l'heure actuelle, la seule solution est de prévenir l'apparition de la maladie d'Alzheimer. Comme l'explique le Dr. David Perlmutter, neurologue, la maladie d'Alzheimer repose principalement sur des choix de mode de vie, les deux principaux coupables étant les consommations excessives de sucre et de gluten. Le développement et l'augmentation de la consommation de céréales génétiquement modifiées, qui sont aujourd'hui présentes dans la plupart des aliments transformés, est un autre facteur important. En termes d'alimentation, les suggestions suivantes sont sans doute parmi les plus importantes pour prévenir la maladie d'Alzheimer :
- Évitez le sucre et le fructose raffiné. Idéalement, vous devez maintenir votre consommation totale de sucre et de fructose en dessous de 25 grammes par jour, voire 15 grammes si vous êtes résistant à l'insuline ou souffrez de troubles associés. Au cours d'une récente étude sur les animaux, une alimentation déséquilibrée, riche en sucre, a entraîné des troubles de la mémoire après seulement une semaine ! - Évitez le gluten et la caséine (principalement le blé et les produits laitiers pasteurisés, mais pas les matières grasses laitières, telles que le beurre). La recherche montre que votre barrière hémato-encéphalique, qui protège le cerveau des éléments qui n'ont pas à y pénétrer, est affectée par le gluten. Le gluten rend aussi vos intestins plus perméables, ce qui permet aux protéines de pénétrer dans le sang, ce qui ne devrait pas se produire. Cela sensibilise votre système immunitaire et favorise l'inflammation et l'auto-immunité, les deux jouant un rôle dans le développement de la maladie d'Alzheimer. - Adoptez une alimentation nourrissante, riche en folates. Les légumes sont sans aucun doute la meilleure source de folates, et nous devrions tous manger chaque jour des légumes frais et crus en quantité. Évitez les suppléments tels que l'acide folique, qui est une version synthétique et moins bonne des folates. - Augmentez la consommation de bonnes graisses, y compris d'acides gras omega-3 d'origine animale. Parmi les graisses bénéfiques dont votre cerveau a besoin pour fonctionner de façon optimale , on trouve le beurre cru bio, le beurre clarifié ou ghee, le beurre cru bio à base de lait de vaches élevées au pâturage, les olives, l'huile d'olive vierge bio et l'huile de noix de coco, les noix, notamment de pécan et de macadamia, les œufs de plein air, le saumon sauvage d'Alaska et les avocats. Assurez-vous également d'avoir un apport suffisant d'acides gras omega-3 d'origine animale, comme de l'huile de krill (je conseille d'éviter la plupart des poissons car, bien qu'ils soient naturellement riches en oméga-3, la plupart sont aujourd'hui gravement contaminés au mercure). Un apport important d'acides gras oméga-3 EPA et DHA aide aussi, en prévenant les dommages cellulaires provoqués par la maladie d'Alzheimer, ralentissant ainsi sa progression, et réduisant votre risque de développer la maladie. - Optimisez votre flore intestinale en mangeant régulièrement des aliments fermentés ou en prenant un supplément de probiotiques fortement dosé et de bonne qualité. - Mangez des myrtilles. Les myrtilles sauvages, qui ont une teneur élevée en anthocyanine et en antioxydants, sont connues pour préserver de la maladie d'Alzheimer et d'autres maladies neurologiques.
Autres conseils diététiques et suppléments utiles
Voici une liste brève de suppléments qui valent la peine d'être mentionnés pour leurs bienfaits spécifiques dans la prévention et le traitement de la démence. Bien que votre stratégie fondamentale pour prévenir la démence doive consister en une approche globale de votre style de vie, vous pouvez prendre note des produits diététiques naturels suivants. Ces 3 aliments/suppléments naturels sont soutenus par des données scientifiques sérieuses, en termes de prévention des changements cognitifs liés à l'âge :
1) Le Gingko biloba : de nombreuses études scientifiques ont montré que le Ginkgo biloba a des effets positifs sur la démence. Une étude de JAMA de 1997 a clairement démontré que le Ginkgo améliore la performance cognitive et le fonctionnement social des personnes souffrant de démence. Une autre étude de 2006 a montré que le Ginkgo était aussi efficace que l'Aricept (donepezil), un médicament contre la démence, dans le traitement des démences légères à modérées de type Alzheimer. Une méta-analyse de 2010 a également montré que le Ginkgo biloba est efficace pour traiter de nombreux types de démence. 2) L'acide alpha-lipoïque (AAL) : il a été démontré que l'AAL aide à stabiliser les fonctions cognitives chez les personnes atteintes d'Alzheimer et peut ralentir la progression de la maladie. 3) La vitamine B12 : une petite étude finlandaise publiée dans le magazine Neurology a découvert que les personnes consommant des aliments riches en vitamine B12 peuvent réduire leur risque de développer la maladie d'Alzheimer en vieillissant. Pour chaque unité supplémentaire du marqueur de vitamine B12, le risque de développer la maladie d'Alzheimer diminue de 2%. Souvenez-vous que la méthylcobalamine sublinguale est la meilleure option.
Les choix de mode de vie qui peuvent aider à repousser la maladie d'Alzheimer
- Optimisez votre taux de vitamine D par une exposition raisonnable au soleil. Des liens étroits entre un faible taux de vitamine D et de mauvais résultats aux tests cognitifs ont été révélés chez des patients atteints d'Alzheimer. Les chercheurs pensent qu'un taux optimal de vitamine D pourrait augmenter la quantité d'importantes substances chimiques dans votre cerveau et protéger les cellules cérébrales en augmentant la capacité des cellules gliales à remettre sur pied les neurones endommagés. - Faites de l'exercice régulièrement. Il a été suggéré que l'activité physique pourrait modifier la façon dont la protéine précurseur d'amyloïde est métabolisée, ce qui ralentit l'apparition et la progression de la maladie d'Alzheimer. L'activité physique augmente également le nombre de protéines PGC-1alpha. La recherche a également montré que les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ont moins de PGC-1alpha dans le cerveau et les cellules qui contiennent une plus grande quantité de la protéine produisent moins de la protéine amyloïde toxique associée à la maladie d'Alzheimer. - Évitez et éliminez le mercure de votre corps. Les amalgames dentaires, qui sont composés à 50% de mercure, sont l'une des plus importantes sources de toxicité aux métaux lourds. Vous devez toutefois être en bonne santé avant de les faire enlever. - Évitez l'aluminium, tel que celui contenu dans les antitranspirants, la vaisselle anti-adhésive, les adjuvants vaccinaux, etc. - Évitez de vous faire vacciner contre la grippe car la plupart de ces vaccins contiennent à la fois du mercure et de l'aluminium, agents neurotoxiques et immunotoxiques bien connus. - Évitez les médicaments dits anticholinergiques et les statines. Il a été démontré que les médicaments qui bloquent l'acétylcholine, un neurotransmetteur du système nerveux, augmentent le risque de démence. Ces médicaments incluent certains antalgiques à prendre le soir, des antihistaminiques, des somnifères, certains antidépresseurs, des médicaments pour contrôler l'incontinence et certains antalgiques narcotiques. - Stimulez votre esprit chaque jour. La stimulation mentale, en particulier apprendre quelque chose de nouveau, comme à jouer d'un instrument ou apprendre une nouvelle langue, est associée à la diminution du risque de développer la maladie d'Alzheimer. Les chercheurs pensent que les défis mentaux aident à renforcer le cerveau, le rendant moins vulnérable aux lésions associées à la maladie d'Alzheimer.
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 9 Juil 2017 - 23:19
L'ADDICTION AU SUCRE : comment gérer ?
Comment j’ai arrêté mon addiction au sucre / chocolat : C’est un article un peu particulier aujourd’hui, où je chausse le « je » pour vous partager mon expérience personnelle. J’ai été une accro au sucre et surtout au chocolat. J’emploie le passé mais en réalité cela fait partie de moi, comme toute addiction parait-il. Certaines personnes sont dépassées par cette notion, parfois moqueurs, comment peut-ton être dépendant au chocolat ? Voici mon expérience et mes solutions. (source)
2016-03 - Sucre et gras
Des mouvements tectoniques sont en train de se produire dans les recommandations médicales concernant l’alimentation humaine. En France, cette disruption passe inaperçue car elle n’est pas décodée tant les paradigmes anciens sont répétés et ressassés comme des leitmotivs. Un exemple : la phrase obligatoire au sujet de l’alcool qui n’est plus pédagogique et dont on peut se demander si elle n’est pas devenue contre-productive. Il en est de même pour les graisses saturées, puisqu’en plus ces graisses s’avèrent être neutres du point de vue du risque cardiovasculaire. (source)
BlackHole
Messages : 964 Date d'inscription : 07/10/2012 Age : 58
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Lun 10 Juil 2017 - 11:35
Bonjour,
En faite, dans vos articles il y a confusion, ni le sucre ni le gras ne sont dangereux pour la santé si ils sont consommés modérément.
Comme le disait Paraselce "Tout est poison, rien n'est poison : c'est la dose qui fait le poison"
Un petit test suffit à le démontrer, préparer un gâteau à la crème :
Étape 1 : Manger le sucre prévu pour le gâteau à la petite cuillère, et noter à quelle cuillère vous êtes écœuré.
Étape 2 : Manger de la crème prévu pour le gâteau à la petite cuillère, et noter à quelle cuillère vous êtes écœuré.
Je suis prête à parier que vous serez écœuré après seulement une seule cuillère.
Pourquoi?
Simplement parce que votre corps réagit à la quantité d'énergie qu'il vient d'absorber, et il sait très bien qu'après une seule cuillère il a atteint sa dose maximale après quoi la consommation de cet aliment devient nocif.
Étape 3 : Faite votre gâteau à la crème et mangez en jusqu’à être écœuré, et calculer la quantité de sucre et de gras assimilé.
Je suis prêt à parier que vous aurez mangez bien plus de sucre et de gras que ce qui vous aurait écœuré mangez seul.
Mais alors commentse fait-il qu'il y ait autant de problème avec la consommation de sucre et de gras?
Tout simplement parce que les industriels trompent notre corps, en effet dans la nature il n'existe pas d'aliment à la fois sucré et gras (car les deux sont une forme de stockage de l'énergie). Ainsi, notre corps est incapable de déterminer la dose toxique d'un aliment à la fois gras et sucré, nous somme donc capable d'avaler une grande quantité d'aliment gras et sucré, bien que dépassant le seul toxique du gras et du sucré.
Ce qu'il faut éviter ce n'est donc ni le sucre no le gras, mais les aliments qui contiennent les deux à la fois.
A+
shakur1999
Messages : 508 Date d'inscription : 20/02/2014 Age : 42 Localisation : Medine
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Lun 10 Juil 2017 - 18:52
BlackHole a écrit:
Bonjour,
En faite, dans vos articles il y a confusion, ni le sucre ni le gras ne sont dangereux pour la santé si ils sont consommés modérément.
Comme le disait Paraselce "Tout est poison, rien n'est poison : c'est la dose qui fait le poison"
Un petit test suffit à le démontrer, préparer un gâteau à la crème :
Étape 1 : Manger le sucre prévu pour le gâteau à la petite cuillère, et noter à quelle cuillère vous êtes écœuré.
Étape 2 : Manger de la crème prévu pour le gâteau à la petite cuillère, et noter à quelle cuillère vous êtes écœuré.
Je suis prête à parier que vous serez écœuré après seulement une seule cuillère.
Pourquoi?
Simplement parce que votre corps réagit à la quantité d'énergie qu'il vient d'absorber, et il sait très bien qu'après une seule cuillère il a atteint sa dose maximale après quoi la consommation de cet aliment devient nocif.
Étape 3 : Faite votre gâteau à la crème et mangez en jusqu’à être écœuré, et calculer la quantité de sucre et de gras assimilé.
Je suis prêt à parier que vous aurez mangez bien plus de sucre et de gras que ce qui vous aurait écœuré mangez seul.
Mais alors commentse fait-il qu'il y ait autant de problème avec la consommation de sucre et de gras?
Tout simplement parce que les industriels trompent notre corps, en effet dans la nature il n'existe pas d'aliment à la fois sucré et gras (car les deux sont une forme de stockage de l'énergie). Ainsi, notre corps est incapable de déterminer la dose toxique d'un aliment à la fois gras et sucré, nous somme donc capable d'avaler une grande quantité d'aliment gras et sucré, bien que dépassant le seul toxique du gras et du sucré.
Ce qu'il faut éviter ce n'est donc ni le sucre no le gras, mais les aliments qui contiennent les deux à la fois.
A+
@ Blackhole,
J'ai bien aimé votre réponse, mais permettez moi juste d'ajouter une chose, c'est que le sucre rajouté est plus dangereux.
A Bientôt
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Lun 10 Juil 2017 - 20:14
Bonsoir Au fait j'en parle plus loin des sucres et des lipides dans le sujet, où personnellement je m'explique plus longuement sur la question.
Les sucres même rapide on leurs avantages aussi même si ils sont assez restreint surtout pour un sportif qui en aura besoin pour sa récupération car les muscles sont vidé de leur glycogènes et les sucres rapides genre dextrose vont renflouer les réserves.
Le grand soucis pour les sucres rapides est leur transformations en sucre raffiné de façon mécanique et industriel.
Pour les graisses c'est le même constat, surtout que l'on peut les classé en bonne et mauvaises graisses j'explique tout ça plus longuement en début de sujet. Les graisses sont nécessaire pour plusieurs fonctions dont celui du bon fonctionnement cognitifs du cerveau, elles le sont aussi pour les articulations et la régénération des tissus. peau, fibre musculaires, etc... Mais il est préférable de privilégier les bonnes graisses, huile de olive, de lin, les poissons gras pour les omnivores, ou encore les fruits à coques qui sont eux aussi riche en oméga 3.
(consultez les pages 1 et 2)
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 12 Nov 2017 - 1:33
Les aliments riches en… manganèse, oligo-élément bénéfique à petite dose
Essentiel à la formation des os, le manganèse est un nutriment qui joue également un rôle au niveau de réactions liées au métabolisme des acides aminés, des glucides et du cholestérol. Alors, quelles sont les meilleures sources alimentaires de manganèse ?
Le manganèse, sous le symbole chimique Mn, est partout dans l’environnement, que ce soit dans les roches, les sédiments, les sols ou l’eau. Mais il n’est présent qu’en quantités infimes dans l’organisme humain. Pourtant, notre corps en a vitalement besoin pour rester en bonne santé.
À quoi sert le manganèse dans l’organisme ?
Le manganèse fait partie de la catégorie des oligo-éléments, fonctionnant comme un activateur enzymatique : il joue le rôle d’un catalyseur dans la synthèse des acides gras, du cholestérol, des vitamines E et B1 et des acides aminés tout en facilitant le métabolisme des glucides.
Plus concrètement, il participe à la production d’hormones sexuelles, à la formation osseuse et au bon fonctionnement du système nerveux. Enfin, il permet de lutter contre le stress oxydant et l’effet néfaste des radicaux libres.
Les besoins en manganèse
Le corps humain renferme entre 12 et 20 mg de manganèse, répartis principalement dans le foie, les reins et le pancréas. Mais aussi indispensable soit-il, le manganèse ne doit pas être ingéré au-delà de 2,5 mg/jour chez la femme adulte et de 2,8 mg/jour chez l’homme adulte(2).
À noter qu’il est sans danger pour les femmes adultes enceintes ou allaitantes, à des doses inférieures à 10 mg par jour. De même pour les enfants de 1 à 3 ans en quantités inférieures à 2 mg par jour ; pour les enfants de 4 à 8 ans en quantités inférieures à 3 mg par jour ; maximum 6 mg pour les 9 à 13 ans, et moins de 9 mg pour les 14 à 18 ans.
Ces données sont à considérer avec sérieux quand on sait que si la Limite Supérieure Tolérable (UL) de 10 mg par jour est dépassée, l’oligo-élément peut devenir neurotoxique. C’est la raison pour laquelle, en France, la teneur limite dans l’eau potable est fixée à 50 microgrammes pour éviter tout problème. Si vous êtes amené à utiliser ce minéral, il est donc important de suivre à la lettre les instructions fixées dans la posologie recommandée.
Citation :
Le saviez-vous ?
Le manganèse contribue à la formation normale de tissus conjonctifs dont le cartilage des articulations fait partie. D’après une étude, le manganèse protège l’acide hyaluronique de l’oxydation, et permet ainsi l’augmentation de la viscosité du liquide synovial2
Si vous souffrez d’inconfort articulaire, nous vous conseillons cartilage de roussette FLEURANCE Nature ou KRILL, une formule à l’huile de grill, à la vitamine C et au manganèse.
Dans quels aliments trouve-t-on le manganèse ?
Présent en grande quantité principalement dans les aliments d’origine végétale, on peut faire le plein de manganèse en consommant avant tout des amandes et des noisettes. Le riz brun, le tofu, le thé, les graines de soja ou de citrouille, les légumes secs ou verts à feuille en sont une bonne source également. Tout comme l’ananas, la myrtille et le gingembre.
D’autres aliments d’origine non végétale n’en sont pas avares, bien au contraire : les huîtres de l’Atlantique, l’huile de krill, le cartilage de roussette et les moules.
Citation :
4 tranches fines de pain complet (80 g),100 g de framboises et une tasse de thé (10 cl) couvrent 100 % des besoins nutritionnels pour une femme
Doit-on se supplémenter ?
Bonne nouvelle ! Les carences en manganèse sont exceptionnelles chez l’humain. Une alimentation normale et équilibrée en apporte naturellement entre 2 et 9mg/jour, ce qui couvre largement les besoins journaliers d’un adulte. Mais dans des cas rares, le manque peut se traduire par des troubles de la croissance et de la coagulation, des problèmes de peau, d’ongles, de cheveux ou de corpulence.
Toutefois, en mettant de côté ces exceptions, le manganèse est souvent utilisé en oligothérapie à très faible dose, seul ou en association : seul pour lutter par exemple contre les allergies, associé au cuivre pour lutter contre des états infectieux, ou encore à du cobalt pour contrer un état d’asthénie ou d’anémie, des troubles nerveux, de l’anxiété ou des palpitations. Il est également précieux en cas d’arthrose et d’ostéoporose, souvent combiné au calcium, au zinc et au cuivre.
A lire aussi :
- Les aliments riches en fer - Les aliments riches en omega 3 - Les aliments riches en calcium Les aliments riches en calcium
Source : Consoglobe
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Mer 2 Mai 2018 - 1:48
Un tiers des décès prématurés pourraient être évités par un changement de régime
Jusqu’à un tiers des décès précoces pourraient être évités si nous adoptions tous un régime végétarien ou presque, selon de nouvelles estimations faites par des chercheurs américains de la Harvard Medical School.
Le professeur d’épidémiologie et de nutrition de la Harvard Medical School (HMS), Walter Willett, révélait il y a quelques jours que 200 000 vies pourraient être sauvées annuellement en Grande-Bretagne si les gens renonçaient à la viande. «Nous avons fait quelques calculs pour comprendre à quel point nous pourrions réduire la mortalité si l’on suivait un régime sain à base de végétaux, pas nécessairement entièrement végétarien», explique t-il. «Selon nos estimations, on pourrait éviter environ un tiers des morts». Ces conclusions, qui peuvent également être appliquées dans une certaine mesure à l’échelle mondiale, ont été présentées lors de la quatrième Conférence internationale du Vatican.
Le professeur David Jenkins, de l’Université de Toronto (Canada), qui a notamment mis au point l’indice glycémique permettant d’expliquer comment les glucides influent sur la glycémie, a également déclaré à la conférence que les avantages du végétarisme avaient été «sous-estimés». Selon le chercheur, «les humains feraient mieux de suivre un régime « simien », semblable à celui des gorilles des plaines qui mangent des tiges, des feuilles, des vignes et des fruits plutôt qu’un régime « paléo » qui réduit les glucides mais autorise la viande».
Les nutriments retrouvés dans un régime végétarien sont en effet connus pour abaisser la pression artérielle, réduire le risque de crise cardiaque et l’indice de masse corporelle (IMC). Dans le même temps, des études ont montré que manger certaines viandes rouges augmente votre risque de cancer. Des recherches récentes menées par des scientifiques de l’Université de Toronto ont, par exemple, révélé que les régimes végétariens sont aussi efficaces que les médicaments pour contrôler le taux de cholestérol. Les chercheurs canadiens n’avaient alors donné aux participants de l’étude que des aliments à base de plantes contenant de la vigne, des fruits, des tiges et des feuilles. Après seulement quelques semaines, le taux de cholestérol des participants avait chuté de 35% !
Pour le docteur américain Neal Barnard, éminent chercheur dans le domaine de la nutrition et de la médecine préventive, et qui enseigne par ailleurs à l’Université George Washington, «les gens s’imaginent qu’une alimentation saine n’a qu’un effet modeste et qu’un régime végétarien peut vous aider à perdre un peu de poids. Mais quand ces régimes sont correctement construits, ils sont extrêmement puissants».
Ces revendications sont également soutenues par des recherches antérieures. Une étude de l’American Heart Association révélait il y a quelques semaines que le fait de consommer des graisses à base de plantes plutôt que des graisses animales pourrait réduire le risque de maladie cardiaque et d’autres causes de décès prématuré. L’étude avait suivi 63 412 femmes ainsi que 29 966 hommes sur une période de 22 ans. Dans l’ensemble, les chercheurs avaient enregistré 20 672 décès, dont 4 588 avaient été causés par une maladie cardiaque. Après avoir analysé les données et le régime alimentaire des participants, les chercheurs ont constaté que ceux qui avaient un plus grand apport en graisses animales présentaient un risque 21% plus élevé de décès prématuré. Pour ceux qui ont consommé plus de graisses végétales, leur risque était inférieur de 16%.
Également, des experts ont récemment souligné le fait qu’un régime végétalien pouvait prévenir le développement de maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiaques, l’arthrite et la démence – en particulier chez les personnes âgées. Ils préconisaient alors de consommer des aliments entiers tels que le brocoli, les haricots, les bananes, les patates douces, le quinoa et les noix.
Certains se diront alors :«mais qu’en est-il des protéines ?». On lit en effet à longueur de journée que les protéines de la viande sont essentielles à notre survie, et que sans elles nous risquons de souffrir de graves carences. Pour certains, la protéine est même considérée comme indispensable. La viande est en effet tellement riche en protéines et en fer qu’elle serait même à l’origine d’une grande partie des maladies cardiovasculaires.
Les protéines devraient idéalement composer 6 à 10% de notre assiette pour une ration calorique normale. Elles sont certes essentielles, mais pas en grandes quantités. Et il s’avère que ces protéines sont très largement présentes dans le règne végétal.Elles sont également plus saines, car non transformées : les protéines animales ne sont en effet rien d’autre que des protéines végétales transformées, les animaux ne produisant pas directement de protéines.
Source : SciencePost/XcienceAlert
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Mer 2 Mai 2018 - 22:42
Manger sainement en évitant une alimentation trop grasse
De nombreuses études ont mis en avant les risques d’une alimentation trop grasse sur notre santé. Quels sont-ils ? Comment les éviter ?
Tout comme les glucides, les protéines, les oligo-éléments, les minéraux et l’eau, les lipides sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Ils sont, en effet, une source d’énergie importante. Cependant, il existe plusieurs catégories de lipides : si les acides gras essentiels sont indispensables à notre corps, les acides gras saturés ont des effets néfastes lorsqu’ils sont consommés en trop grande quantité. Les acides gras trans sont également pointés du doigt.
Les risques d’une alimentation trop grasse
Les acides gras saturés sont surtout présents dans les produits d’origine animale : le beurre, les produits laitiers entiers, la crème fraîche, le fromage mais aussi les viandes et charcuteries. On en retrouve également dans certaines huiles végétales, notamment l’huile de palme et l’huile de coco.
Tout comme les acides gras trans, ils sont aussi présents en quantité importante dans les produits industriels.
Pourtant, manger trop gras n’est pas sans risque pour notre santé. Les méfaits des graisses pour le coeur et les vaisseaux sanguins
Les acides gras saturés ont la particularité d’augmenter le taux de mauvais cholestérol dans le sang. Ce dernier va alors se déposer dans les artères, augmentant ainsi le risque d’athérosclérose (vieillissement des artères dû à l’accumulation de corps gras) et de maladies cardio-vasculaires.
Un excès de graisse entraînerait également un déséquilibre de la flore intestinale. En effet, une récente étude menée sur les souris par l’Institut Pasteur et l’Inserm a montré qu’une alimentation trop grasse modifiait la composition du microbiote de notre système digestif. Ces modifications entraînent notamment une perméabilité de l’intestin grêle et une réduction de la couche de mucus protectrice. Néanmoins, ils semblerait que ces déséquilibres étaient réversibles : moins d’un mois après un retour à une alimentation équilibrée, l’organisme des souris s’était rétabli.
Citation :
Difficile de se passer, de temps à autre, du traditionnel poulet-frites qui reste le plat préféré des Français le dimanche, de vos mini-rouleaux de printemps maison dont tout le monde raffole à l’heure de l’apéro, ou encore des beignets maison ? Pas d’angoisse, pour une cuisson homogène des aliments sans apport superflu de matières grasses, Philips a mis au point Airfryer. Ce cuiseur à chaleur tournante offre la garantie d’une cuisson saine et rapide, laissant les aliments croustillants à l’extérieur et fondants à l’intérieur.
Alimentation trop grasse et effets sur le cerveau
Une alimentation trop grasse aurait également des conséquences sur les zones du cerveau qui régulent notre appétit. En effet, une étude britannique réalisée sur des souris a montré qu’en les soumettant à un régime composé à 60 % d’acides gras saturés, des dommages cérébraux apparaissaient. Ces dommages s’apparentaient notamment à une inflammation ou à une embolie cérébrale.
Ce régime gras a entraîné une modification des gènes et des protéines présentes dans l’hypothalamus des souris, une zone du cerveau qui régule l’appétit. Cette découverte permettrait d’expliquer pourquoi les personnes habituées à manger gras ont tant de difficultés à modifier leur comportement alimentaire.
Excès de lipides et prise de poids
L’accumulation anormale de graisse dans le corps est également très mauvaise pour notre poids. Ce n’est une secret pour personne : le gras nous fait prendre quelques kilos. Une alimentation trop grasse mais aussi trop sucrée et trop salée est un facteur de risque d’obésité.
Des aliments trop gras, trop souvent = danger pour la santé Nitr
Pour le développement des cellules cancéreuses
La protéine CD36 qui détecte et absorbe les lipides dans notre corps, serait également liée au développement des métastases. En effet, une étude réalisée par des chercheurs espagnols a montré que manger trop gras augmenterait la production de CD36, cette dernière participant quant à elle à la propagation des métastases.
Source : Consoglobe
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Jeu 16 Aoû 2018 - 22:32
Mettez de l’huile dans vos assiettes
Contrairement aux idées reçues, toutes les huiles ne sont pas mauvaises pour la santé, notamment les huiles végétales, lorsqu’elles sont équilibrées et bien mélangées. QuinteSens a développé des produits « clé en main » qui répondent aux besoins spécifiques des différentes étapes de la vie.
Nous savons que nous mangeons trop gras. Néanmoins, toutes les matières grasses ne sont pas à bannir, encore moins celles d’origine végétale, qui ne contiennent pas de cholestérol, contrairement aux matières grasses d’origine animale, comme le beurre.
Mais alors, vers quoi se tourner ? L’huile d’olive ? Excellente, mais insuffisante pour combler tous les besoins de notre corps. En effet, ce dernier ne fabrique pas d’acides gras et a besoin d’apports équilibrés. L’huile de tournesol est riche en oméga 6, permettant de réguler le cholestérol et de lutter contre l’hypertension. Elle contient également des acides gras non saturés en oméga 9 et de la vitamine E antioxydante, mais est pauvre en oméga 3, présent cette fois-ci dans l’huile de colza ou de lin. Chaque huile possédant ses propres apports, un mélange est nécessaire.
Des besoins différents tout au long de la vie
D’autre part, nos besoins diffèrent selon la période de notre vie. La santé des bébés et celle des personnes de plus de 50 ans n’ont pas les mêmes exigences. Ainsi, la marque QuinteSens a développé des mélanges d’huiles végétales pour tous : les femmes enceintes, les bébés, les enfants de 3 à 9 ans, les jeunes actifs et les personnes de plus de 50 ans.
Citation :
Sébastien Loctin, le fondateur et gérant de la marque, a constaté: « Lorsque j’incorporais un mélange d’huiles dans la purée de mon bébé, certains amis pensaient systématiquement que je voulais faire grossir mon enfant. Sachant que 99 % des enfants sont carencés en acides gras, j’avais envie d’être utile aux parents ». Il décide alors de constituer un groupe experts, composé d’un cabinet de nutritionnistes, de l’ITERG (l’Institut des corps gras) et de naturopathes, oléologues et huiliers bio. Son but est alors de trouver le meilleur produit pour les bébés, mais s’élargit très vite aux autres tranches d’âge.
La préparation pour bébé nécessite près d’une année de conception. Elle est le résultat d’une association de cinq huiles végétales biologiques et d’huile marine afin de répondre à des besoins nutritionnels spécifiques. Sur la même lancée, quatre autres « huiles santé bio » sont développées.
A la fin du mois de mars, QuinteSens lancera une nouvelle gamme de produits : des assaisonnements issus d’ingrédients bio et bons. L’association gingembre-curcuma-citron met déjà l’eau à la bouche !
Photo : Donireewalker / Flickr
http://www.greenweez-magazine.com
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Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Sam 18 Aoû 2018 - 8:20
La meilleure alimentation est celle de l'esprit Le Prana y contribue ^^
Dernière édition par evol le Ven 24 Aoû 2018 - 16:27, édité 1 fois
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Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Jeu 23 Aoû 2018 - 18:18
evol a arrêté de manger apparamment...
un petit contrepoint au dernier post d'akasha : il est bon de se passer d'huile (et de graisses en général) pendant quelques temps régulièrement car cela donne beaucoup de travail au foie, en excluant les graisses, le foie peut mieux se consacrer aux autres tâches qu'il remplit (plus de 300 fonctions vitales, dont le nettoyage du sang... sans compter ses relations aux émotions)
on peut conseiller de ne manger que de l'avocat comme source de lipides pendant de courtes périodes
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Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Ven 24 Aoû 2018 - 16:36
Tout le monde sait a notre époque que le bio est bien meilleur que tout
Et pour ceux qui ressentent l’énergie des aliments, la difference peut être considérable (a ma grande surprise) Des fois chez des gens je me disais mais s'est fou l’énergie vitale qu'il y a dans votre nourriture, ils me disent ont vient de la cueillir du jardin
La difference est considérable Mais maintenant je pense que s'est trés très loin de suffire si les pensées ne sont pas saines ^^ ou bio ^^
S'est l'etat d'esprit, l'etat de conscience qui produit vraiment la santé
Même les eaux minérales ont une énergie plus ou moins pures, alors que scientifiquement elles sont saines Elles n'ont pas du tout la meme énergie
Apres réflexion, s'est pas seulement la pureté de l'eau mais les chemins tellurique qu'elle emprunte Il n'y a rien scientifiquement qui permet de le savoir, seul le ressenti
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Mar 23 Oct 2018 - 18:19
Bonsoir, Les oméga 3 et 6 sont des indispensables dans votre plan nutritionnel, d'autant plus si vous pratiquez une activité sportive. Car il est important de savoir que les recommandations nutritionnelles sont déterminées par rapport aux sédentaires ayant une activité professionnelle de bureaucrate, nullement pour des ouvriers et ou sportifs. Il est donc clair que si vous faites partie de ce (ses) groupe(s), vous devriez revoir vos apports à la hausse. Et ce, que ce soit pour les omégas qui nous intéressent aujourd'hui, ou tout autres macronutriments.
L'article préconise le saumon, ce qui n'est guère étonnant vu sa bonne source d'oméga 3 de qualité et très assimilable par l'organisme. Néanmoins beaucoup de personnes s'en méfient pour cause des métaux lourds qui les contaminent dans certaines eaux ou de la mauvaise qualité des saumons d'élevages, cependant vous pouvez avantageusement le remplacer par la truite qui plus est, n'est pas difficile de trouver fraichement pêchée. Après je conseil les fruits secs (noix et amande), le beurre de cacahouètes bio, les bonnes huiles comme celle d'olive première pression à froid, l'huile de lin ou de foie de morue. Orné
Oméga-3 : ce qu’il faut manger, ce qu’il faut savoir
Notre laboratoire s’intéresse particulièrement au rôle des oméga-3 dans les pathologies cérébrales. En effet, de nombreuses données chez l’Homme associent une diminution des taux sanguins et cérébraux en oméga-3 à la dépression, la schizophrénie ou la maladie d’Alzheimer. Aussi, voici un court récapitulatif de ce qu’il faut savoir sur l’action de ces nutriments sur le cerveau.
Que sont les oméga-3 ?
Les oméga-3 sont des nutriments de la famille des lipides que l’on retrouve dans notre alimentation. Ils sont d’ailleurs dits « essentiels » puisqu’ils sont apportés exclusivement par l’alimentation. Notre corps n’est pas capable de les synthétiser alors même que notre cerveau en est particulièrement friand.
D’où proviennent les oméga-3 ?
Ils peuvent être assimilés via la nourriture à partir de deux sources principales : tout d’abord, les végétaux tels que le colza, le lin ou les noix. Ces derniers nous apportent les précurseurs des oméga-3. Ils devront donc être métabolisés par notre corps avant de s’incorporer dans le cerveau ; puis, les sources animales telles que les poissons gras (saumon, maquereau, etc.). Ces aliments contiennent de grandes quantités d’omega-3 à chaîne longue et sont donc directement bénéfiques et utilisés pour le fonctionnement cérébral.
En quoi les oméga-3 sont-ils si importants pour notre cerveau ?
Une fois ingérés, les oméga-3 s’intègrent dans la membrane de toutes les cellules du corps humain et sont ainsi des briques essentielles dans notre construction. C’est dans le cerveau que l’on retrouve les plus grandes concentrations en oméga-3. À ce niveau, ces lipides et leurs dérivés sont impliqués dans un certain nombre de processus comme la neurotransmission, la survie des cellules, la neuroinflammation et par conséquent peuvent agir sur nos humeurs et nos capacités cognitives (telles que la mémoire par exemple).
Il y a-t-il une période optimale pour l’ingestion d’omega-3 ?
Les apports nutritionnels doivent être appropriés tout au long de la vie pour maintenir un fonctionnement cérébral optimal. Néanmoins, c’est au cours du développement intra-utérin et dans les deux ans suivant la naissance que l’entrée des oméga-3 dans le cerveau est la plus massive. Ainsi, les chercheurs posent aujourd’hui comme hypothèse que le comportement alimentaire des mères pendant la grossesse et l’allaitement, la composition en oméga-3 des laits maternisés ainsi que le régime alimentaire donné aux bébés après le sevrage sont autant de facteurs déterminants dans le développement cognitif des enfants. Néanmoins, et bien que de nombreuses études aient été menées chez des cohortes mère-enfant, aucune conclusion claire ne peut être tirée aujourd’hui quant au rôle causal d’une supplémentation en oméga-3 pendant le développement cérébral et de meilleures performances cognitives chez l’enfant.
Ceci est certainement lié à la grande hétérogénéité des approches expérimentales utilisées par les équipes de recherche (quantités d’omega-3 ingérées, période de supplémentation, impossibilité de contrôler les apports nutritionnels de la mère et/ou de l’enfant en dehors de la supplémentation, etc.). Cette question du rôle des oméga-3 dans le développement du cerveau est donc toujours un domaine d’étude très actif aujourd’hui.
En revanche, à l’opposé du spectre de vie, il semble clair que des apports en oméga-3 constants tout au long de la vie retardent l’apparition des désordres cognitifs liés à l’âge et pourraient ralentir le développement de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, l’ingestion d’omega-3 peut être davantage considérée comme un facteur préventif pour la santé du cerveau, plutôt qu’un facteur curatif.
Quelles sont les recommandations actuelles en terme d’apport ?
Les recommandations actuelles sont deux sardines par jour ou 2-3 portions de saumon par semaine. Ces recommandations ont été élaborées sur la base de la santé du système cardio-vasculaire mais semblent également pertinentes pour la santé du cerveau. Il n’existe aujourd’hui aucune recommandation pour les femmes enceintes ou les enfants.
À ce jour, la quasi-totalité de la population humaine a une consommation en oméga-3 inférieure aux recommandations sanitaires. Notre régime a en effet évolué drastiquement depuis l’avènement de l’ère industrielle vers un excès de graisses saturées et de sucre, au détriment des oméga-3. Nous pensons que ceci constitue un facteur de risque environnemental probable quant à l’apparition de pathologies cérébrales.
Quel est le rôle et l’implication des oméga-3 dans les pathologies neuropsychiatriques et neurodégénératives ?
Des travaux menés par les chercheurs de notre laboratoire décryptent chez la souris comment une carence en oméga-3 perturbe leur comportement émotionnel via la modulation de la morphologie de certaines aires cérébrales. Leurs résultats montrent également le rôle d’un régime riche en oméga-3 pour prévenir l’apparition de la dépression. Ces observations sont concordantes avec des essais cliniques menés avec des supplémentations alimentaires en oméga-3 qui révèlent une amélioration de l’efficacité de certains traitements médicamenteux, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives thérapeutiques. L’ensemble de nos recherches vise à définir ce que serait un apport nutritionnel en oméga-3 optimal pour le fonctionnement du cerveau et sa protection, notamment face à des neuropathologies.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Lun 29 Avr 2019 - 0:26
Bonsoir mes frères & sœurs J'aurais pu parler des lentilles dans mon sujet végane tellement c'est l'un des aliments phare et incontournable. Mais il est aussi assez essentiel dans un régime omnivore ou flexitarien.
Pourquoi mettre les lentilles au menu?
Elles sont parmi les plus digestes des légumineuses.
En salade, avec une vinaigrette légèrement relevée de moutarde, elles sont exquises. Combinées à du riz et à quelques légumes, elles composent un plat végétarien riche en protéines et faible en matières grasses.
Elles fournissent aux femmes enceintes de l’indispensable acide folique. Leur contenu en fibres alimentaires est exceptionnel.
Quelques mots sur les légumineuses
La très grande famille des légumineuses compte des centaines de genres, dont les Lens (lentilles), les Glycines (sojas), les Vigna (doliques) et les Phaseolus (haricots), chacun de ceux-ci faisant l’objet d’une fiche dans notre encyclopédie. La fiche que voici ne traite que du genre lentilles.
La lentille fait partie de l’alimentation humaine depuis la préhistoire. Trônant parmi les légumineuses ayant la plus petite taille, la lentille a l’avantage de nécessiter un temps de cuisson plus court que la majorité des légumineuses. On connaît mieux la lentille verte ou brune qu’on utilise parfois dans les soupes, mais on trouve aussi sur les tablettes la lentille corail (parfois appelée lentille rouge), un peu plus petite. Durant la dernière décennie, on estime que la consommation mondiale de lentilles a augmenté d’environ 3 % par année.
Des études ont associé une consommation régulière de légumineuses à divers bienfaits tels qu’un meilleur contrôle du diabète1, une diminution du risque de maladies cardiovasculaires et une diminution du risque de cancer colorectal4. Les recommandations alimentaires américaines suggèrent d’ailleurs de consommer des légumineuses au moins quelques fois par semaine5. Enfin, parmi les grandes recommandations de l’American Institute for Cancer Research visant la prévention du cancer, on conseille à la population de consommer majoritairement des aliments d’origine végétale, en y incluant une variété de légumes et de fruits, de légumineuses et de produits céréaliers peu transformés.
Boulettes de lentilles à l’indienne
200g de lentilles corail ou blanches 1 oignon haché 400ml d’eau 1 c. à s. de curry 1 clou de girofle 1 c. à c. de graines de cumin sel – poivre chapelure huile de friture
Porter l’eau à ébullition avec le clou de girofle, le cumin et le curry. Ajouter les lentilles, baisser le feu et laisser mijoter (10 minutes pour les lentilles corail, 20 minutes pour les lentilles blanches). Faire rissoler pendant ce temps l’oignon haché dans un peu d’huile d’arachide, puis l’ajouter aux lentilles. Quand les lentilles sont cuites, saler, poivrer, puis laisser refroidir. Si la préparation est trop mouillée, ajouter de la chapelure, jusqu’à pouvoir former des boulettes (2,5cm de diamètre) qui ne collent pas aux mains. Faire frire les boulettes quelques instants dans l’huile de friture.
http://cuisinez-vegetalien.net
Les lentilles
Antioxydants
Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement. Quelques études ont été effectuées dans le but d’analyser le contenu des lentilles en certains antioxydants, mais on en sait encore peu sur leurs effets potentiels.
Catéchines et procyanidines
Des chercheurs ont détecté, dans divers échantillons de lentilles, des antioxydants qui appartiennent pour la plupart à la grande famille des flavonoïdes. Ce sont principalement des catéchines et des procyanidines. Ces antioxydants sont surtout situés dans l’enveloppe externe de la lentille8. D’après certaines observations, lorsque la lentille est trempée ou cuite, la quantité de catéchines augmente9. Une vaste revue de littérature scientifique a été effectuée sur l’efficacité de divers antioxydants chez l’humain. On y rapporte que les catéchines et les procyanidines, provenant d’autres aliments que la lentille, ont démontré certains effets chez l’humain tels qu’une diminution de la concentration sanguine et de l’oxydation du cholestérol LDL (« mauvais » cholestérol).
Delphinidine
La lentille noire, une variété moins connue au Canada, contient des antioxydants appelés anthocyanines, dont le principal serait la delphinidine11. Des études in vitro ont démontré que la delphinidine diminuait la croissance de cellules cancéreuses humaines12. D’autres études sont toutefois nécessaires afin de vérifier la présence de cet effet chez l’humain.
Saponines
Une étude rapporte que les lentilles contiendraient environ 1 139 mg/kg de saponines, soit une fois et demie plus que les pois chiches13. Ces composés sont naturellement présents dans plusieurs végétaux et possèdent une activité antioxydante. Des travaux chez l’animal, portant sur une forme purifiée de saponine ne provenant pas de la lentille, ont démontré que ce composé pouvait diminuer certains paramètres du cholestérol sanguin, notamment les triglycérides14. Des études cliniques chez l’humain sont toutefois nécessaires afin d’évaluer cette propriété de manière plus approfondie.
Lectines
Les lectines sont un type de protéines qu’on retrouve fréquemment dans les aliments d’origine végétale; il en existe de nombreuses variétés. Bien qu’elles soient aussi considérées comme des facteurs antinutritionnels (qui diminuent l’assimilation de certains nutriments), de récentes études ont remarqué qu’elles pouvaient posséder des propriétés potentiellement bénéfiques. Selon une vaste revue de la littérature scientifique portant sur ces composés, la lectine propre à la lentille, appelée LCA (Lens Culinaris Agglutinin) aurait la capacité d’inhiber in vitro la croissance de cellules cancéreuses15. D’autres études sont toutefois nécessaires afin de déterminer si la lectine peut contribuer à prévenir le cancer chez l’humain.
Fibres alimentaires
Comme toutes les légumineuses, les lentilles sont riches en fibres : les lentilles bouillies en sont une bonne source avec 4,5 g de fibres par portion de 125 ml (1/2 tasse). Les fibres alimentaires, qui se retrouvent seulement dans les végétaux, regroupent un ensemble de substances qui ne sont pas digérées par l’organisme. Une alimentation riche en fibres est associée à un plus faible risque de cancer du côlon et peut aider à satisfaire l’appétit en apportant plus rapidement une sensation de satiété16. Il existe deux grands types de fibres qui ont des effets bénéfiques différents dans l’organisme : les fibres solubles et les insolubles. Les lentilles renferment les deux, mais avec une plus grande proportion de fibres insolubles. On attribue aux fibres insolubles la capacité de prévenir la constipation en augmentant le volume des selles16. Les fibres solubles, de leur côté, peuvent contribuer à la prévention des maladies cardiovasculaires en diminuant notamment l’absorption des acides biliaires, ce qui aide à normaliser le taux de cholestérol sanguin. Elles peuvent également aider au contrôle du diabète de type 2 grâce, entre autres, à un ralentissement de la digestion du glucose des aliments16. Il est recommandé de consommer 25 g de fibres par jour pour les femmes de 19 ans à 50 ans, et 38 g par jour pour les hommes du même groupe d’âge.
Nutriments les plus importants
Excellente source Phosphore. La lentille est une excellente source de phosphore (voir notre fiche Palmarès des nutriments Phosphore). Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Finalement, le phosphore est l’un des constituants des membranes cellulaires.
Excellente source Fer. La lentille est une excellente source de fer pour l’homme et une bonne source pour la femme, leurs besoins étant différents. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux).
Excellente source Manganèse. La lentille est une excellente source de manganèse pour la femme et une bonne source pour l’homme, leurs besoins étant différents. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres.
Excellente source Cuivre. La lentille est une excellente source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.
Excellente source Folate. La lentille est une excellente source de folate. Le folate (vitamine B9) participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique (ADN, ARN), dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production de nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du foetus.
Bonne source Zinc. La lentille est une bonne source de zinc pour la femme et une source pour l’homme, leurs besoins étant différents. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du foetus. Il interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes et participe, dans le pancréas, à la synthèse, à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.
Bonne source Vitamine B1. La lentille est une bonne source de vitamine B1 pour la femme et une source pour l’homme, leurs besoins étant différents. Appelée aussi thiamine, cette vitamine fait partie d’un coenzyme nécessaire à la production d’énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l’influx nerveux et favorise une croissance normale.
Source Magnésium. La lentille est une source de magnésium. Le magnésium participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Il joue aussi un rôle dans le métabolisme de l’énergie et dans la transmission de l’influx nerveux.
Source Potassium. La lentille est une source de potassium. Dans l’organisme, le potassium sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. De plus, il facilite la contraction des muscles, incluant le coeur, et participe à la transmission de l’influx nerveux.
Source Sélénium. La lentille est une source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’un des principaux enzymes antioxydants, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.
Source Vitamine B2. La lentille est une source de vitamine B2. Cette vitamine est aussi connue sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges.
Source Vitamine B3. La lentille est une source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d’énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l’alcool que nous ingérons. Elle collabore aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux.
Source Acide pantothénique. La lentille est une source d’acide pantothénique. Aussi appelée vitamine B5, l’acide pantothénique fait partie d’un coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la synthèse (fabrication) des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux) et de l’hémoglobine.
Source Vitamine B6. La lentille est une source de vitamine B6. Cette vitamine, aussi appelée pyridoxine, fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse des neurotransmetteurs. Elle collabore également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Enfin, cette vitamine joue un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.
Que vaut une « portion » de lentilles?
Poids/volume
Lentilles bouillies, 105 g/125 ml
Calories
121,5
Protéines
9,4 g
Glucides
21,1 g
Lipides
0,4 g
Fibres alimentaires
4,5 g
Source : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2005.
La complémentarité des protéines : pas si compliquée!
Les légumineuses font partie des aliments de source végétale qui contiennent le plus de protéines. Toutefois, contrairement aux protéines animales, les légumineuses ont généralement une faible teneur en méthionine (un acide aminé essentiel à l’organisme), ce qui rend leurs protéines incomplètes. Toutefois, les personnes qui mangent peu ou pas de protéines animales peuvent combiner les légumineuses avec des produits céréaliers ou des noix, ce qui leur permet alors d’obtenir des protéines complètes (qui contiennent tous les acides aminés essentiels). Chez les adultes, il n’est pas nécessaire de rechercher cette complémentarité au sein d’un même repas, car le fait de l’obtenir dans la même journée est habituellement suffisant18. Par contre, chez les enfants, les adolescents et les femmes enceintes, il est préférable d’atteindre la complémentarité des protéines dans un même repas.
Des composés à la fois nuisibles et bénéfiques dans les légumineuses
Les légumineuses contiennent des composés phytochimiques tels que les lectines ou les saponines; ces composés peuvent diminuer la biodisponibilité de certains nutriments. Toutefois, les chercheurs s’entendent pour dire que, dans un contexte nord-américain où il y abondance et diversité alimentaire et où la déficience nutritionnelle est plutôt rare, cet effet a peu d’impact sur la santé. Depuis quelques années, des recherches in vitro et chez l’animal associent même la consommation de ces composés à certains bienfaits tels qu’une diminution de la croissance des cellules cancéreuses et une amélioration du profil de lipides sanguins.
Vu sur http://www.passeportsante.net
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Jeu 30 Mai 2019 - 18:54
Bonsoir mes frères & sœurs En tant que sportif et sportive végane, Orné & moi avons comme "secret", la datte, ce fruit magique et délicieux on le consomme surtout pour la récupération après le sport, exemple, après une bonne séance de muscu ! Car cela aura pour effet de renfloué les réserves de glycogène musculaire, accélérer la récupération et stoppé le catabolisme. De plus il est bien plus profitable de de "bêtement" prendre du dextrose comme la plupart des pratiquants car elle est une source non négligeable de vitamines et minéraux. Dans la même idée, la figue est elle aussi géniale, car elle aura une fonction tout autre, en effet son IG bien plus bas permet de la consommer en journée et remplace favorablement n'importe quelles sources de glucide lent comme les sempiternelles riz/pâtes complètes car bien plus riche nutritionnellement parlant ! Voyons cela dans le détail si vous le voulez bien !
10 Bienfaits des dattes, Avantages des dates pour la santé - Santé Naturelle
Les 10 bienfaits des dattes sur la santé
On ne pense pas assez à acheter des dattes, pourtant elles sont excellentes pour la santé. Nous avons sélectionné 10 bienfaits de ce fruit dont vous ne pourrez bientôt plus vous passer.
7 bonnes raisons de manger des figues tous les jours
Les figues semblent venir d'Egypte et ont été utilisées dans la nourriture depuis le début des temps. Les figues fraîches peuvent être trouvées pour une courte période de l'année, mais vous pouvez acheter des figues sèches dans un magasin ou un supermarché dans le monde entier, et vous pouvez les utiliser pour remplacer le sucre dans de nombreuses recettes.
La figue est un fruit qui contient 80% d'eau, mais contient aussi beaucoup de sucre. Cela en fait un fruit qui fournit beaucoup d'énergie, ce qui stimule la fonction cérébrale, la concentration et la mémoire. Les figues contiennent de grandes quantités de calcium et de potassium, des minéraux importants pour la santé de la peau et pour le bon fonctionnement de nombreux organes.
C'est pourquoi nous recommandons de manger des figues, surtout pour les personnes âgées. Ils stimulent aussi le métabolisme car ils sont riches en fibres organiques. Ils sont également excellents pour le nettoyage des vaisseaux sanguins.
Les figues séchées contiennent plus de calcium que le lait de vache. Voici sept raisons pour lesquelles vous devriez manger des figues tous les jours:
Les bonnes raisons de manger des figues
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 2 Juin 2019 - 2:51
MAJ
Je rajoute à mon dernier poste ceci ;
Les DATTES sont-elles BONNES pour le DIABETE?
Salade de pois chiche & épinards aux dattes
QUE FAIRE avec la FIGUE et comment la préparer ?
Salade minceur de figues à la mozzarella
Jibenji
Messages : 383 Date d'inscription : 08/04/2019 Age : 66 Localisation : Antioquia Colombia
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 2 Juin 2019 - 3:20
Holà la Vegan Compagnie
pas de dattes en Colombie , quel dommage , j'adore çà mais des figues breva oui .
une recette de lentilles du Penjab Quand j'etais dans un ashram au Penjab , nous avons été invité à un anniversaire .. une véritable cuisine de Maharajah .. jamais mangé de la cuisine indienne aussi raffinée et d'une grande variété . La cuisine indienne se conjugue toujours avec beaucoup d'épices souvent aussi des piments TRÈS forts .. j'adore les piments forts accompagné des traditionnels "chapati "
Jibenji
Messages : 383 Date d'inscription : 08/04/2019 Age : 66 Localisation : Antioquia Colombia
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 2 Juin 2019 - 3:44
Le Golden Temple d'Amritsar .. le temple sikh au Penjab Je ne suis pas religieux , mais je suis sikh dans mon âme ^^ j'ai médité longtemps dans ce merveilleux temple avec pleins de merveilleuses expériences de méditation , après mon initiation.
Les sikhs , c'est une société sans classes sociales. Avec le devoir d'entraide entre tous . Dans ce temple , chaque jour 50 000 repas sont offerts gratuitement pour les visiteurs . 100 000 les jours de fête ! Tous les temples sikhs ou ashrams font ainsi . Une cuisine collective végétarienne uniquement de grande organisation , par des bénévoles volontaires et des donations .. le Langar . Regarde Akasha la taille des chaudrons
je portais le même turban que le gars de la vidéo , et une tenue indienne toute dorée brodée avec des fils d'or même les militaires s'arrêtaient pour me saluer .. Namasté
j'ai trouvé le cuistot en chef , le toqué FF >> (on dirait un bonnet d'âne ^^).. rappelle que la blonde raciste veut interdire le turban des sikhs en France parce que cela fait étranger , comme un nom comme le pen en fait ^^ mais bon on rasera cette blonde collabo à la Libération de toutes façons , elle est déjà ficelé sur une roue d'infortune de la revue The Economist ..^^
https://youtu.be/qB5e0rvE5C8
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 2 Juin 2019 - 6:46
Hola Hombrè
Merci beaucoup pour cette recette de lentille, on en mange beaucoup (sport oblige) et parfois je ne sais comment les préparer autrement... Je sent que ça va être bon :)
Merci !
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Dim 15 Sep 2019 - 18:33
Bonsoir mes frères & sœurs Un parallèle entre Particules, Aliments et Etre Humain Ah justement un aliment important à intégrer de urgence à votre stratégie alimentaire, les graines de lin ! Riche en oméga 3 elles contribuent au bon fonctionnement de notre organisme et plus particulièrement au bon fonctionnement de notre métabolisme ou encore au système hormonal. Vous pouvez aussi la consommer en huile sur vos salades ou vos préparations à base de graines germées.
Les graines de lin pour maigrir : comment les consommer ?
Les graines de lin semblent être l'un des nouveaux aliments minceur les plus tendances du moment. En y regardant de plus près, il faut reconnaître qu'elles ont de nombreux atouts santé. Riches en fibres, Oméga-3 et micronutriments, ces petites graines ont tout pour plaire. Dans cet article, découvrez comment et quand consommer les graines de lin pour maigrir.
Intérêts des graines de lin pour maigrir
Les graines de lin ont trois intérêts majeurs : leur richesse en Oméga-3, leur richesse en fibres et leur richesse en micronutriments. Ces actifs contenus dans le lin ont de réels avantages pour la santé de l'organisme et dans le cadre d'un projet de perte de poids.
]Graines de lin, Oméga-3 et perte de poids [/size
Les acides gras Oméga-3 ont de très nombreux rôles positifs sur l'organisme. Notamment, ils stimulent la synthèse de certaines hormones et favorisent le destockage et l'utilisation des lipides (lipolyse). Aussi, ils permettent de réguler le taux de cholestérol sanguin et assurent la fluidité sanguine. C'est pourquoi l'utilisation des graines de lin pour maigrir peut être judicieuse. Au delà de leurs rôles minceur, les Oméga-3 participent aussi à la protection des cellules du cerveau et à la protection du système cardiovasculaire. De ce fait, ils sont excellents pour prévenir les pathologies cardiovasculaires et les maladies neuro dégénératives.
[size=18]Fibres et perte de poids
Les graines de lin contiennent également une grande quantité de fibres solubles. Ces fibres solubles sont excellentes pour favoriser la perte de poids. D'une part, elles permettent de réguler le transit et de favoriser le bien être digestif. Aussi, elles favorisent la satiété et ont un effet coupe-faim très intéressant. Enfin, les fibres solubles ont un effet positif sur la régulation de la glycémie, du taux de cholestérol et sur l'élimination des graisses en excès.
Graines de lin, antioxydants et micronutriments
L'intérêt des graines de lin pour maigrir réside aussi dans leur teneur particulièrement élevée en antioxydants, vitamines et minéraux. Ainsi, une consommation régulière de graines de lin pourrait contribuer à lutter contre l'oxydation cellulaire et l'installation de processus inflammatoires. Excellent d'un point de vue santé, cet atout a aussi des avantages pour réduire la cellulite et la formation de capitons disgracieux. De plus, cette richesse nutritionnelle permet d'assurer le fonctionnement optimal du métabolisme et de soutenir les fonctions d'élimination de l'organisme.
Comment consommer les graines de lin pour mincir ?
À priori, utiliser les graines de lin pour maigrir se résume a en ajouter quelques unes dans les soupes et yaourts. Pourtant, ces petites graines au goût très neutre peuvent être intégrées un peu partout et beaucoup plus facilement qu'on le pense.
Toutefois, il est important de souligner l'importance de tremper et de concasser les graines de lin avant leur emploi en cuisine. En effet, les graines de lin libèrent la majorité de leurs vertus après broyage. Sans cela, l'organisme ne pourra pas assimiler correctement les acides gras essentiels et micronutriments contenus dans la graine mais seulement les fibres contenues dans l'enveloppe externe. Idéalement, il faudrait avoir un moulin à poivre rempli de graines de lin à disposition pour pouvoir les intégrer facilement aux préparations quotidienne. Le trempage permet, quant à lui, d'augmenter la biodisponibilité des éléments nutritifs contenus dans les graines de lin.
Dans quoi peut-on consommer les graines de lin pour maigrir ?
Smoothies
Soupes
Plats de légumes
Céréales et mueslis
Préparations pour pains et pâtisseries
Salades de crudités et de fruits
Yaourts et fromages blancs
Compotes
Etc.
Les graines de lin : un produit minceur miracle ?
Si l'intérêt des graines de lin pour maigrir est indéniable, il ne s'agit pas pour autant d'un produit minceur miracle ! La graine de lin n'a un effet intéressant que si elle est intégrée à une alimentation variée et diversifiée correspondant aux besoins de l'organisme. Pour mincir durablement, rien ne remplace une hygiène de vie correcte incluant une alimentation de qualité, la pratique d'une activité physique régulière et une hydratation suffisante. Une alimentation riche en fruits, légumes, féculents complets, acides gras de qualité et protéines maigres est le meilleur atout minceur existant.
Recette du smoothie minceur aux graines de lin et fruits rouges
Voici une recette de smoothie minceur aux graines de lin et fruits rouges qui permet d'intégrer la graine de lin facilement à l'alimentation quotidienne. Ce smoothie riche en fibres, antioxydants et Oméga-3 est parfait à l'heure du petit-déjeuner ou en collation !
Pour 1 smoothie
150 g de mélange de fruits rouges surgelés
150 ml de lait d'amande
1 c. à soupe de graines de lin moulues
1 c. à soupe rase de miel liquide
Préparation du smoothie minceur aux graines de lin
Pour réaliser ce smoothie minceur, commencez par laisser décongeler les fruits rouges. Vous pouvez choisir de les décongeler partiellement pour un smoothie glacé.
Ensuite, placez l'ensemble des ingrédients dans le bol d'un blender puis mixez rigoureusement jusqu'à obtention d'un mélange crémeux et homogène.
Enfin, versez dans un grand verre et dégustez sans attend
Source
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Mar 14 Juil 2020 - 22:54
Bonsoir mes frères & sœurs On dit souvent que dans un régime salutaire, la base c'est de ne consommer que des aliments de base non transformé, c'est vrai, mais aussi d'éviter toutes sources de sucres rapides, raffinés et transformé, ainsi que tout ce qui est soda et jus de fruits industriels. Le seul moment où il est judicieux de consommer du sucre à index glycémique (IG) élevé est après l'effort sportif. Et encore pas avec n'importe quelle source, une poignée de datte c'est bien, ou en complément le Vitargo.
Intégrale : sucre, comment ils nous rendent accros ! - Tout compte fait
Le sucre est devenu un ingrédient de base de l'industrie agro-alimentaire, qui en met même dans des plats salés comme les pizzas surgelés, le pain de mie, les soupes ou la charcuterie. Quel est son intérêt ? Est-ce une question de coût ?
***** Tout compte fait : sucre, comment ils nous rendent accros ? ***** https://www.youtube.com/watch?v=gal2x...
***** Le sucre, l’ingrédient présent absolument partout ! ***** https://www.youtube.com/watch?v=2Bhlt...
***** Des activistes combattent le sucre ***** https://www.youtube.com/watch?v=iuR5-...
Tout Compte Fait, présenté par Julian Bugier tous les samedis à 14h00 sur France 2, vous dévoile les coulisses d'un monde qui change.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire Lun 31 Mai 2021 - 14:22
Ces aliments sains qui nous empoisonnent
Une alimentation saine est indispensable pour une bonne santé… Mais qu’est ce qu’un produit réellement sain ? S’il est bon pour la santé de manger des fruits et légumes, attention à ce qu'ils renferment. Pesticides, conservateurs mais aussi mode d’élevage, de culture et les traitements chimiques sont mis en cause. Les fruits et légumes deviennent dangereux non à cause de leurs propriétés naturelles mais à cause de tout ce qui y est ajouté dès la culture. Comment savoir si ce que l’on mange est vraiment sain, en dépit des apparences ? Ce documentaire nous éclaire sur le traitement de ces aliments, qui dénaturent parfois le produit et qui apporte plus de mal que de bien.
Réalisateur : Eric Wastiaux
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Sujet: Re: Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire
Comment bien se nourrir : la diététique pour une alimentation équilibrée et salutaire