Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Sionistes VS jésuites :) Dim 1 Juin 2014 - 17:18
NOTE AKASHA/ Bonsoir; Nous assistons ici à une scène des plus singulière, mais ô combien parlante pour qui sait certaines choses... Ont sait à quelle point ces trublions de sionistes sont aux manettes de beaucoup d'institutions et lobbies. Ont un certain "aura" sur de grosses puissances...Mais ce n'est rien face au pouvoir des jésuites qui eut ont infiltré le plus gros du pouvoir. Et il est évident que les petits sionistes n'ont qu'une chose à faire c'est leur prêter allégeance..Ce qu'il est évident dans cette scène que vous allez découvrir..Le pouvoir mondiale qu'on se le dise reste politico-religieux, C'est le Vatican et les jésuites qui garde une mainmise sur le monde. Quand on étudie correctement l'histoire on découvre par-exemple après les guerres napoléoniennes comment les jésuites sous le règne du rois Gorge 3. De quelle manière ils prennent le pouvoir en Angleterre, rejette les chevaliers de Maltes et infiltre les franc-maçons !Et font emprisonner le Pape...Bien plus tard au Etats-Unis grosse prise de pouvoir, beaucoup de présidents seront sous leur emprise direct, Kennedy, Truman, Nixon,...Jusqu'aux Bush ainsi...Ils ont infiltrés CIA, NSA, FMI, CEE, Trilatérale, CFR,...Avec leur colonie anglo-saxonne, ça leur a permis d'être présent partout dans le monde..durant les guerres, que se soit à partir des guerres napoléoniennes, les deux grandes guerres jusqu'à nos jours, elles portent leur empruntes... Voici donc cette petite vidéo lourde en sens commun de qui commande qui
#PAS VU EN FRANCE - Vatican & Israël : Comment le pape François a humilié B. Netanyahou (vidéo)
JERUSALEM, Palestine et Israël - Comme vous le savez, le pape François vient de faire un mini-périple au Moyen-Orient, passant par La Jordanie, la Palestine puis Israël. Mais, il y a une séquence d’anthologie et mémorable inconnue des Français, qui a fait rire les Israéliens et les Américains.
Le mensonge chevillé au corps, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou s’est fait gaulé en beauté par le pape François. En effet, pour cet immigré d’origine lituanienne (ex URSS), la connaissance d’Israël ne se limite qu’à un sionisme des plus abjects. Honteux et confus, après son gros mensonge sur Jésus, le premier ministre israélien a quand même poursuivi dans sa menterie. Ambiance.
Dans la conversation avec le pape que vous découvrirez dans la vidéo en dessous, pour faire bonne figure après les manifestations ridicules des extrémistes contre les chrétiens israéliens et palestiniens, Bibi voulait parler de la forte connexion entre le judaïsme et le christianisme. Alors, il dit au pape "Vous savez, Jésus a vécu ici, dans ce pays". Mieux encore, il a ajouté honteusement qu’il parlait hébreu. La réplique du pape ne s’est pas faite attendre. Il leva les yeux et pointa légèrement du doigt en direction de Netanyahou. Il lui a assené un non en forme de coup de massue en lui indiquant qu’il parlait plutôt…araméen. Cette langue est encore pratiquée en Syrie, dans la région de Maaloula.
Coincé mais pas démonté pour un sou, bafouillant et mangeant presque ses mots, il sortit alors la chose la plus amusante qui soit, avec un laconique "Mais oui, il parlait araméen mais comprenait l’hébreu." Qui le lui a dit ? Un mensonge ridicule qui n’apparaît nulle part dans la Bible. Ah, les menteurs !
Source; Alainjules
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Aussi à propos de Netanyahu...
Monsieur Netanyahu est antisémite !
À force d’être matraquées dans les médias, certaines absurdités finissent par être prises pour vérités incontestables. Tant que ces fables ou chimères restent sans réelle conséquence sur la vie des humains, elles ne sont que dérisoires… Après tout, il existe bien des adorateurs du soleil, de la vache ou du concombre. C’est seulement quand elles sont utilisées comme arme pour opprimer ou exclure qu’il est salutaire, indispensable même, de les débusquer et de les dénoncer sans relâche… Quitte à susciter, dans le cas présent, la haine de l’extrême droite sioniste.
De l’antijudaïsme à l’antisémitisme
C’est vers la fin du XIXème siècle que le mot « antisémitisme », désignant la haine des Juifs, fait son apparition en Allemagne sous la plume d’un certain Wilhem Marr, un polémiste qui ne s’attendait sans doute pas à ce que sa « création » devienne aussi célèbre. Jusque là, c’est le terme « antijudaïsme » qui était utilisé pour désigner ceux qui attaquaient la religion et la culture juive. Avec ce nouveau qualificatif, Marr décida donc, en bon raciste qu’il était, de ne faire aucune distinction entre religion, culture et origine ethnique. Il décrétait ainsi que les citoyens juifs, quelles que soient leurs nationalités, constituaient un peuple, une race « sémite ». Ce qui est « marrant » (calembour assez débile, je le concède) c’est que ce terme qui voulait stigmatiser, insulter, la population juive s’est complètement retourné contre son auteur et désigne aujourd’hui une catégorie de racistes.
Peuple juif ?
À cette époque, beaucoup croyaient encore dur comme fer aux légendes bibliques, à l’arche de Noé sauvant tous les animaux et plantes du monde, à la mer Rouge s’ouvrant pour laisser passer les Hébreux, à la « Diaspora » obligeant les Juifs à une errance de plusieurs siècles à travers l’Europe et l’Afrique… etc. La confusion entre les faits historiques et les récits mythiques était souvent totale. Elle est loin d’avoir disparu.
Durant le XXème siècle, les scientifiques ont fait des découvertes assez gênantes, tant pour les amis de ce Marr que pour les inconditionnels d’une race « élue ». Les historiens modernes notamment, la plupart de nationalité israélienne, ont révélé que si on peut parler du « peuple juif » comme on parle du « peuple chrétien » ou du « peuple musulman », il n’y a pas, ethniquement parlant, de peuple juif.Leurs recherches ont abouti au constat qu’il n’existe pas de lien biologique ou généalogique entre un quelconque citoyen de religion ou de culture juive, vivant ou non en Israël, avec cette terre du Moyen-Orient. Seuls quelques 10 000 Israéliens autochtones, adeptes du judaïsme, descendants de ceux qui vivaient là bien avant l’ère chrétienne – ils s’agit très probablement de Palestiniens qui ne se sont pas convertis à la religion musulmane dans les années 700 ou, plus tard, au christianisme – peuvent revendiquer une appartenance ancestrale à cette terre. Ainsi, un dogme fondateur de l’idéologie sioniste – « C’est notre pays de toute éternité et nous y retournons » – se révèle inventé, fabriqué.
Cette information ne fait évidemment pas l’affaire des partisans de Netanyahou qui tentent de faire taire ceux qui osent la diffuser : « Mensonges ! Antisémites ! Juifs, honteux d’eux-mêmes ! ». Mais l’anathème ne peut pas grand-chose face à l’Histoire, et tant pis pour ceux qui recherchent vainement leurs ancêtres au Moyen-Orient. Inutile de gaspiller votre temps, messieurs et mesdames les Sionistes ! Comme ceux de vos dirigeants, vous les trouverez en Lituanie (Netanyahou et Barak), en Pologne (Ben Gourion et Livni), en Russie (Olmert), aux États-Unis (Bennett), en Ukraine (Meir), en Biélorussie (Pérès, Begin et Shamir), en Moldavie (Liebermann)… etc.Toutefois votre recherche risque d’être assez longue et compliquée, vu que plus de soixante générations, au minimum, vous séparent de votre premier aïeul converti à la religion hébraïque. Les branches de l’arbre généalogique de l’absurdité vous attendent !
Et la Diaspora ?
Le régime israélien a, évidemment, fait des pieds et des mains pour que ces découvertes historiques soient occultées, appliquant la bonne vieille recette de « si le message te déplaît, cloue le bec au messager ! ». Une révélation a notamment fait hurler : celle qui dévoile qu’il n’y a jamais eu de « Diaspora » après la « Grande Révolte » du Ier siècle. Elle repose sur au moins deux bases historiques reconnues. D’une part, Rome n’expulsait pas les populations des pays conquis, mais privilégiait toujours l’exploitation sur place de ses habitants… Plus rentable ! D’autre part, aucun historien de l’époque romaine – le principal, Flavius Josèphe était de religion juive – n’a jamais fait mention d’une quelconque « Diaspora du peuple juif ».
Hé oui ! Une légende de plus… s’ajoutant à tant d’autres récits du Nouveau Testament accueillis comme vérités historiques par les fidèles croyants. Le peuple de l’époque biblique n’a jamais été chassé par les Romains, et Israël est donc bien un pays de colons, européens pour l’essentiel, dont les premiers sont arrivés au début du XXème siècle. Assurément, et une fois de plus, ce constat ne fait pas l’affaire des inconditionnels du « peuple élu retournant dans son foyer ancestral ». Ils ne manqueront pas, comme d’habitude, de pousser des cris d’orfraie, mais la réalité est là, têtue : les citoyens juifs, d’Israël ou d’ailleurs, descendent presque tous de populations (Allemands, Russes, Français, Éthiopiens, Marocains, Grecs, Polonais…) converties par des « missionnaires » venus de la lointaine Palestine, bien avant les débuts de l’ère chrétienne. iv
Lire la suite sur Investig’Action
Et je terminerai par une autre vidéo qui nous vient de la visite du Pape à Bethléem, nous montrant les inepties de la religion...
on y voie le muezzin faire l'appel à la prière et se, pendant que le Pape lui commémore sa messe....Grande preuve d'unité et de respect entre différente communautés...
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zru
Messages : 205 Date d'inscription : 09/05/2014 Age : 55
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 9:51
personnellement je ne pense pas,c'est tout juste un leurre, se pape serait peut etre plus un faux prophete.........
il faut savoir que ce pape dit appartenir aux jésuites franciscain,dont le patron est st francois d'assis, st francois noble d'assis refusa toutes ses richesse qui était énorme a l’époque pour partir dans les bois soigner les lépreux et vivre parmi les loups. cette congrégation a un pape noir, donc francois obéis a une personne en secret ??????
il déclare lui même vouloir instaurer un nouvel ordre mondiale religieux............................
sa serait comme croire que l'empire vs fédération"u.s vs russe", que l'un serait pro et l'autre contre,que nenni les 2 sont très très infiltrés par les mêmes société secrètes, leurs but finale est l'instauration d'un nouvel ordre mondiale que l'un ou l'autre gagne le nouvel ordre passe par plein de domaine,l'alimentaire regardez bien les achats de terre en Afrique et par qui et pourquoi ? le pape est le grand maître de l'instauration du nouvel ordre mondiale religieux, dévoué a vous savez qui mais le pape est chrétien ? il en porte le nom mais en es l'inverse ceux qui ont lue la bible s'avent que les catholique font exactement l'inverse de la bible,faire l’envers de la bible fait de vous un ? chrétien bien sur ,lollllllllll
PS/ je connais l'histoire de st francois, car il est le patron des scouts de France, et je l'es étais durant 4 ans d'ou ma fleur de lys sur le cœur"que comprenne qui pourra"
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 11:32
Salut Zru :)
Tu ne penses pas quoi ?
Apparemment tu n'as pas bien compris se que j'ai écris
Je vais donc un peu plus développer...Déjà jésuites et franciscains, c'est pas la même chose..Je ne sais pas pourquoi le pape affirme une telle chose, sûrement pour embrouiller les pistes...
Les franciscains ont en effet fait voeux de pauvreté et Saint François d'assise avait à une époque côtoyé les jésuites par le billet de François de Borgia, mais il était dit qu'ils ne s’arrangeraient pas ces deux là...
Venons en aux jésuites..L'ordre fut créé par Ignace de Loyola au alentour de 1541 Il avait commencé vers 1536, mais fut arrêté par l'inquisition. C'est le pape Pie III qui consentit à se qu'il crée l'ordre. On l'appel aussi "l'ordre de Jésus" mais on se demanderais bien pourquoi (j'y reviendrait plus tard)...Il faut savoir que les jésuites est le chaînon manquant, celui qui relie toute les formes de pouvoir formant le nouvel ordre mondial à venir..Ainsi donc les sionistes inclut..Avant de continuer, et pour mieux comprendre je vous invites à lire ceci; [url=Les Monita Secreta, ou Instructions secr%C3%A8tes des J%C3%A9suites]Les Monita Secreta, ou Instructions secrètes des Jésuites[/url] (post de Dim 23 Fév 2014 - 18:35). Comme je le disais dans ma note, les jésuites ont infiltré un moment donné les franc-maçons se qui a considérablement changé la donne...Cela se passe juste après les guerres napoléoniennes. Quand sous le règne du rois Gorge 3 les jésuites arrivent à le convaincre de pactiser, de rejeter les chevaliers de Maltes. Faire emprisonner le pape, et ainsi de rentrer par se fait au Vatican..
A partir de se moment les jésuites prennent le pouvoir en Angleterre, convertissent la famille royale, et l'Angleterre n'aura de cesse de devenir une grande puissance par ces nombreuse colonies qui par la même occasion permettra aux jésuites de s'implanter dans le monde entier.
Plus tard revenons vers les années 1930, on sait que Staline par-exemple fut élever par des jésuites, à même titre que plusieurs SS. comme Joseph Goebbels...La liste des puissants de se monde toute époques confondue est impressionnante au hasard; Van Rompuy, Castro, José Manuel Barroso, Mario Monti, Zbigniew Brzezinski, Bill Clinton, Charles De Gaulle, John Kerry, Cardinal Richelieu, Maximilien Robespierre, Adam Weishaupt, Michael R. Bloomberg,...
Il est bien aussi de savoir que Amschel Mayer Rothschild était jésuite et a formé cette élite banquière sous celle-ci qui étaient leur banquiers..Plus tard le sionisme fut créé également sous l'égide jésuite. Les sionistes doivent allégeance à ces derniers.
Alberto Rivera est un des dénonciateur moderne du plan jésuite.. ainsi il indique, que l'OPUS DEI, les franc-maçons, les illuminati, le mouvement New Age, la commission trilatérale, le club de Rome sont tous des outils des jésuites et que cet ordre est une société secrète car ce que l'on connait de lui et faux. Même les jésuites de base ne connaissent rien des secrets de l'ordre. Comme on pouvait s'en douter, Rivera finira par être empoisonné en 1997....
Les jésuites qui s’autoproclame compagnie de Jésus sont en fin de compte lucifériens. Le général des Jésuites, et les autres hauts Généraux des Jésuites, sont des sorciers. Ils sont lucifériens, et ils adorent ce qu'ils appellent Lucifer. Ils ne croient pas en Satan. Ils croient en Lucifer. Or, selon Alberto Rivera qui était un haut jésuite à la fin des années 60, il fut invité à une "messe noire" en Espagne où il y avait un assez grand nombre de hauts généraux jésuites présents. Et il a appelé cette audience une "messe noire". Hey bien, quand vous êtes impliqué dans une "messe noire", vous êtes impliqué dans le culte de Lucifer, tous vêtus avec des capes noires et ainsi de suite...
Un peu d'histoire ; (...)Loyola voulait former une armée, mais quand il commença ses exercices spirituels, il décida que ces exercices spirituels serait la formation de base pour l'ensemble de ses jésuites. Et qu’ils auraient tous du s’y soumettre et c’est ce que font encore aujourd’hui les jésuites. Une des maximes des exercices spirituels est que si mon supérieur dit «le noir est blanc et le blanc est noir", alors c’est que c’est comme ça et pas autrement. C'est dans ses exercices spirituels. C'est ce qui est cité dans le film d’Oliver Stone « JFK », quand Kevin Costner est assis à la table et déclare« Messieurs, nous devons commencer à penser différemment. Nous devons penser comme la CIA. Blanc, c'est noir, et noir, c'est blanc. » Ceci a été un cadeau envers les jésuites qui ont produit ce film, en citant un des exercices spirituel d’Ignace de Loyola dans le film. Ainsi, Loyola avait une volonté indomptable. Il avait une volonté d'acier, et il a mis tout son esprit à arriver à ce retour de la papauté qui avait perdu à la Réforme. Et donc, il est allé voir le Pape en 1540, et ils ont créé l'Ordre des Jésuites. Mais cet homme qui était donc un soldat et un avocat a rassemblé une légion de soldats et de guerriers pour reconquérir ce que Rome avait perdu, ainsi que l'institut d'un gouvernement mondial pour le Pape, à partir de Jérusalem. C’était en 1540.
Il a commencé à fonder l'Ordre en 1536, puis il a été arrêté par l'Inquisition, il a été libéré, et il est allé se jeter aux pieds du pape. Il dit qu’il aurait été complètement à son service. Le Pape y consentie , et ce Pape était Pie III. Le Pape ayant consenti, il créa donc l'Ordre des Jésuites, et vu que maintenant il avait la protection du pape, ils commencèrent leur terrible histoire d'actes de sang. Et guerre après guerre après guerre après guerre, ils attribuèrent tout à l'Ordre des Jésuites en quelque sorte. Les nobles catholiques donnèrent beaucoup d'argent, firent dons de châteaux , d’écoles et d'argent à l'Ordre des Jésuites. Pratiquement tout ce qu'ils possèdent a été donné ou volé par eux. Bien sûr, ils ont volé toutes les fortunes des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils ont volé tout l’or, tous les biens et tout ce qu’il y avait à prendre à chaque fois qu’ils sont allés dans un pays. Ce qui vient d'être publié n'est rien comparé à ce qu'ils ont pris en réalité.
Dans le livre d'Edmond Paris, imprimés par Publications Ozark, appelé « Le Vatican contre l'Europe », il est écrit dans le détail tout ce qu'ils faisaient. Il en fait l’élucubration (les 30 dernières années de guerre sont entièrement attribuables aux jésuites, leurs massacres de Serbes et de Juifs, etc..) Mais Edmond de Paris n'a pas compris pour le Général jésuite et c'est là un des points les plus importants que je veux dire à propos de Von Kolvenbach, Général des Jésuites. Il a un contrôle complet de la communauté du renseignement international: CIA, FBI, KGB, Mossad israélien, BND allemand, SIS britannique. Le Général des Jésuites a un contrôle complet sur l'ensemble du dispositif de renseignement du FBI, chaque agence bureaucratique dans ce pays, tout cela, il a un contrôle complet de celle-ci.
Donc, chaque fois qu'il veut trouver quelque chose sur un individu, ils cherchent dans le numéro de sécurité sociale, et dans tout l'ensemble des appareils de renseignements secrets et lui et ses provinciaux peuvent examiner et tout savoir sur cet homme. Cartes de crédit, votre nom, tout ce qui est attachée au nombre de Rome de la sécurité sociale, que FDR (Franklin D. Roosvelt) mis sur nous en 1933 avec l'aide de Spellman. En même temps, je crois, qu’il y avait l’Archevêque, ou peut-être le Cardinal Hayes mais Rome était derrière FDR en le mettant dans les bureaux.
Certaines choses ont été mises en œuvre comme l'insécurité sociale, l'impôt sur le revenu, et la reconnaissance du gouvernement de l'URSS du sanguinaire Joseph Staline élevé par les jésuites. C’est ainsi, qu’ils nous ont donné le numéro de sécurité sociale, qui est un numéro de Rome (et que je refuse d’utiliser) et c'est pourquoi ils veulent que tout le monde l’utilisent pour tout: permis de conduire, déclaration fiscale, carte de crédit, tout ce que vous faites, ce nombre est vous et ce nombre est le numéro de Rome.
Le but ultime des Jésuites est d’aller à Jérusalem et d’y mettre en place le siège des jésuites. Donc, il est allé là-bas, et il a essayé de le faire mais cela a échoué. Il est donc revenu, est allé à l'école, a commencé ses études en latin, etc… Peut-être que ce pourrait être une bonne idée d’en dire un peu plus sur Ignace de Loyola.... Leur but ultime est de contrôler le monde, et le pape par leur décision, reconstruire le temple de Salomon à Jérusalem.
Le général des Jésuites est un dictateur absolu, complet, total et autocrate de l'Ordre. Quand il parle, ses provinciaux se déplacent. Les provinciaux sont ses subordonnés majeur. Il y a environ 83 provinciaux en ce moment. Donc comme je l’ai compris, l'Ordre des Jésuites a divisé le monde en 83 régions. Ok? Pour chaque région, il ya une province jésuite. Il ya 10 provinciaux aux États-Unis. Il y en a un pour l'Amérique centrale, un pour l'Irlande etc... Ils ont partagé le monde dans ces provinces. Donc c’est le vieux gouvernement provincial babylonien, centré sur Nabuchodonosor ou sur le Général des Jésuites lui-même; il a donc une forme de gouvernement strictement romain où tous les états ou provinces sont subordonnés à ce souverain dans le monde entier.
Le général des Jésuites exerce le plein pouvoir sur l'Ordre entier. Il se réunit avec ses provinciaux. Quand ils décident de commencer une guerre ou une agitation, il obtient l'information de la province de ce pays, la meilleure façon de conduire ce sujet, le comportement des gens, et puis il utilise ses griefs légitimes pour provoquer une agitation civile comme le Mouvement des Droits en 1964. Ce fut une agitation provoqué par les jésuites, complètement, parce que le résultat final fut plus la consolidation du pouvoir à Washington avec la loi de 1964 sur les droits civils qui a été écrit par ([le président de longue date de l'Université de Notre Dame) le révérend Theodore Hesburgh. Le général des Jésuites commande le monde à travers ses provinciaux. Et les provinciaux bien sûr, commandent les Jésuites du bas, il y’a de nombreux jésuites qui ne sont pas «profès», et nombreux sont les jésuites du bas qui n'ont aucune idée de ce qui se passe au sommet. Ils n'ont aucune notion de la puissance de leur Ordre. C'est exactement comme dans la franc-maçonnerie. Ceux qui sont dans les grades inférieurs n'ont aucune idée que les hauts francs-maçons travaillent pour le général des jésuites. Ils pensent qu’ils font du bon travail et que ce sont de bonnes personnes. Mais l'essentiel est de savoir que les francs-maçons de haut niveau sont soumis, également, à l'Assemblée générale des Jésuites parce que le général des jésuites, avec Frédéric le Grand, a écrit les Hauts Grades, les 8 derniers degrés, de la franc-maçonnerie du Rite écossais lorsque Frédéric les protégea quand le pape décida de les supprimer en 1773.
Donc, vous avez l'alignement avec l'Ordre des Jésuites et les plus puissants des franc-maçons qui avaient de leur coté Frédéric le Grand, lors de leur suppression. C'est une conclusion irréfutable. Et puis, quand vous voyez les guerres napoléoniennes, la Révolution française et les guerres napoléoniennes menées par la franc-maçonnerie, et tout ce que Napoléon a fait, et les Jacobins, et bien vous vous apercevez que tout ce qu’ils ont fait a complètement profité à l'Ordre des Jésuites.(...)
Donc en claire le pape noir est celui qui détient le réel pouvoir et le pape du Vatican lui doit obéissance...Le pape noire actuel est Adolfo Nicolás Pachón qui succéda à Peter Hans Kolvenbach. Il est bien de savoir qu'il réside à Rome non loin du Vatican...
NAB; les textes en italique sont tiré de l'interview de Eric Phelps spécialiste et historien sur la question jésuite.
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 14:35
Être catholique ne veut pas dire être éduqué par des jésuites forcément. Quand le pape déclare être jésuite et franciscain, cela veut dire qu'il adhère à ces deux pensées religieuses. Il y a pire comme "problème", par exemple, ceux qui se déclarent national-socialistes, mais sans être nazis.
De plus, Staline est orthodoxe (à l'origine), que diable irait-il se faire éduquer par des catholiques ? Il en va de même pour la famille royale d'Angleterre, dont le catholicisme caché est un mythe puritain pour justifier la révolution américaine, entre autres, et refuser aussi le Commonwealth. Je rappelle qu'en Angleterre, il y a eu de violentes guerres de religion qui ont conduit jusqu'au fratricide. Ces guerres opposaient catholiques et anglicans.
Si le jésuitisme était réellement le "chaînon" manquant pour relier toutes les formes de domination mondiale, il faudrait être capable d'expliquer au moins ces deux incohérences.
Dans les années 1930, Staline était déjà adulte, et particulièrement anticlérical. Il en va de même pour Goebbels, même si l'anticléricalisme est moins prononcé.
En bref et en très clair : arrêtons le délire.
Cela dit : que le pape rappelle à l'ordre quelqu'un qui se trompe sur sa propre religion, quoi de plus naturel ? Il a eu raison. Et si en France on s'en fout, c'est bien parce que les déplacements du pape sont le cadet de nos soucis.
Je passe enfin sur cette attitude ordinaire qui consiste à créer la confusion sur des termes sans en avoir compris le sens.
zru
Messages : 205 Date d'inscription : 09/05/2014 Age : 55
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 14:53
en un les franciscain sont issue du mouvement catholique en 2 que Staline soit un tirant n’enlève en rien que le catholicisme soit pervertie au plus haut grade,toutes ses pratiques sont l'exacte inverse de la bible se qui font d'eux inévitablement des satanique,l'envers de la bible étant le satanisme,la croix inversé
en gros l'ensemble des religions ont perdu l’aspect divin, pour être contrôlé par les forces négative,exactement ce que les livres prévoit,jésus dit lui même qu'il vomira une partie des chrétiens, qui n'ont plus que le non de chretien
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 15:16
Aegis a écrit:
Être catholique ne veut pas dire être éduqué par des jésuites forcément. Quand le pape déclare être jésuite et franciscain, cela veut dire qu'il adhère à ces deux pensées religieuses. Il y a pire comme "problème", par exemple, ceux qui se déclarent national-socialistes, mais sans être nazis.
De plus, Staline est orthodoxe (à l'origine), que diable irait-il se faire éduquer par des catholiques ? Il en va de même pour la famille royale d'Angleterre, dont le catholicisme caché est un mythe puritain pour justifier la révolution américaine, entre autres, et refuser aussi le Commonwealth. Je rappelle qu'en Angleterre, il y a eu de violentes guerres de religion qui ont conduit jusqu'au fratricide. Ces guerres opposaient catholiques et anglicans.
Si le jésuitisme était réellement le "chaînon" manquant pour relier toutes les formes de domination mondiale, il faudrait être capable d'expliquer au moins ces deux incohérences.
Dans les années 1930, Staline était déjà adulte, et particulièrement anticlérical. Il en va de même pour Goebbels, même si l'anticléricalisme est moins prononcé.
En bref et en très clair : arrêtons le délire.
Cela dit : que le pape rappelle à l'ordre quelqu'un qui se trompe sur sa propre religion, quoi de plus naturel ? Il a eu raison. Et si en France on s'en fout, c'est bien parce que les déplacements du pape sont le cadet de nos soucis.
Je passe enfin sur cette attitude ordinaire qui consiste à créer la confusion sur des termes sans en avoir compris le sens.
Tout les points que tu soulèves ont déjà été clairement démontré sur le sujet Vatican. On ne vas quand même pas à chaque fois tout recommencer et réécrire par-ce que tu reviens sans cesse à la charge avec les mêmes choses... Surtout qu'en lisant bien mon plaidoyer, j'explique bien certains points...
Donc pour ceux que cela intéresse d'en savoir plus, veillez vous référer sur cette page ainsi que la suivante, merci; http://www.planete-revelations.com/t13664p195-le-pouvoir-occulte-du-vatican-participation-secrete-avec-les-regimes-totalitaires?highlight=Vatican
Et pour se qui est du nouveau pape il l'a clairement déclaré qu'il est jésuite, il n'y a aucun doute possible. Veillez vous référer à sa vie en Argentine pour vous en assurer http://www.jesuites.be/Le-Pape-Francois-et-la.html Donc pour le coup je ne vois pas bien où tu veux en venir...
Ensuite concernant Goebels et d'autres nazis, voici se que l'on peut lire; " Hitler, Goebbels et Himmler, ainsi que la majorité des membres de la « vieille garde » du parti, étaient Catholiques », écrit M. Frédéric Hoffet. Et il poursuit : « On ne saurait expliquer par le simple hasard le fait que le gouvernement national-socialiste ait été, par la religion de ses chefs, le plus catholique que l’Allemagne ait connu... « Cette parenté entre le National-Socialisme et le Catholicisme est particulièrement frappante si l’on étudie de près les méthodes de propagande et l’organisation intérieure du parti. Rien de plus instructif à ce sujet que les ouvrages de Joseph Goebbels. On sait que celui-ci a été élevé dans un collège de Jésuites et qu’il fut séminariste avant de se consacrer à la littérature et de se lancer dans la politique... Chaque page, chaque ligne de ses écrits rappelle l’enseignement de ses maîtres. Ainsi l’accent mis sur l’obéissance... Ainsi le mépris de la vérité... « Il y a des mensonges utiles comme le bon pain ! » proclame-t-il en vertu d’un relativisme moral puisé dans les écrits d’Ignace de Loyola... » (Source: Frederic Hoffet: "L'lmperialisme protestant" - Flammarion, Paris 1948, p.172)"
Pour terminer, si je dis que Josef Staline fut élever chez les jésuites, c'est parce-que nous l'avions déjà démontré sur un autre sujet....http://quotes-of-wisdom.eu/authors/josef-stalin/biography http://www.marxists.org/reference/archive/stalin/works/1931/dec/13.htm Je ne vais pas affirmer sir je ne sais pas de quoi je parle...
Et pour le rappel à l'ordre du pape envers Netanyahou, je pense avoir clairement dis qu'il a eut raison...
Donc en définitive, aucun délire de ma part, se que j'écris est étayé et cela avait déjà été fait...
zru
Messages : 205 Date d'inscription : 09/05/2014 Age : 55
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 16:28
si j'avais bien compris, ma réponse est adapter au titre VS, un peu de malice certainement ; de nombreuses personnes critique dieu a travers les religions, n'ayant pas compris que les religions sont faites homme, afin d'éloigner les hommes de la réalité divine.
les catholique applique la bible inversé, leurs lieu de culture pour la plus part porte les traces du blasphème "selon leur propre livre"
les protestant eux ont remplacer dieu par jésus, ce qui est contraire a la bible, jésus lui même dit a ses disciples, priez mon père, votre dieu, ce qui a l'avantage d'être très clair, ou plus loin il précise que quand l'inspiration manque, le notre père est la prière la plus bonne "toujours selon jésus et la bible", en plus ceux qui ont eut l'occasion d'approcher se mouvement connaisse leur amitié étrange avec l'argent, quoi que n'oublions pas que ce mouvement est issus de Luther et Calvin, et la il est très intéressant de savoir qui sont ces deux personnages...........
pour en finir avec l'islam, le djihad , sa traduction est, l'effort sur le chemin de dieu, nul besoin d'être un scientifique pour comprendre qu'il n'y a rien de guerrier et que la ont est plus sur un combat intérieur, de plus les croyants savent que dieu et tout puissant, d'un clignement d'œil détruit une nation, alors a t'il besoin d'être misérable pour tuer ?, alors qu'il enseigne par moise, tu ne tuera point
touts c'est courant soit disant religieux ne le sont pas, la bible le coran et la torah le confirme, que ce soit pour les uns et les autres "messie,aissa,jesus", il revient en combat ceux qui ceux disent de dieu et n'en ont que le nom, le plus grand nombre, dans la bible il est dit qu'il les vomira.................
heureux que tu sache ceux qu'est un jésuite, qui sont le bras armer religieux des catho, les jésuite ne sont pas chez les protestants , en tous cas a ce que j'en sache, et j'ai tout de même failli être pasteur chez les gens du voyage, donc je me suis un peu intéresser a ce sujet
zru
Messages : 205 Date d'inscription : 09/05/2014 Age : 55
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 18:11
Et pour le rappel à l'ordre du pape envers Netanyahou
es tu sur du mot ordre, ou peut jeux ?
Netanyahou est il sioniste ? si oui donc il n'est pas représentatif du courant spirituel émanant d'Israël qui est la thora, le sioniste lui suit un livre qui porte le nom de talmud que les sionistes essais d'imposé au juifs "pure" donc si l'est Netanyahou, le pape est au courant, si il le choisie pour un instant de prière c'est étrange ?, parce que même si c'est politique et pas spirituelle ce n'est pas lui qui aurait du être invité idem si cela avait été spirituelle, Netanyahou n'est pas exactement le grand spirituelle écouter du peuple juif qui est resté en droite ligné avec dieu le simple fait que ce soit politique montre au vrais croyant que le pape est hors jeux, après la mort de jésus aucun des gens qui suivaient c'est enseignement ne faisait de politique, certain ne reconnaissaient même pas le drapeau de leur nation, leur seul nation étant le ciel j'ai appris au cours des années qu'ils ont pris l'habitude de créé les mauvais et les bons, la dernière guerre en est un magnifique exemple
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 19:44
@ Akasha,
Si ce que tu dis n'est qu'un plaidoyer, pour reprendre tes propres mots, cela n'est qu'un discours. Ce qui m'intéresse, c'est la validité de ce discours, et si je te reprends sur la validité de ton discours, c'est que cette validité n'est manifestement pas acquise.
Tu auras beau plaider que Staline a été élevé par des jésuites, il n'en demeurera pas moins qu'il a été élevé en vérité par des moines orthodoxes, peut-être influencés par ailleurs par un certain orientalisme. Il en va de même pour les histoires de famille, ou les faits historiques.
@ zru,
Évitons quand même de mettre tous les individus dans le même panier, et d'accuser les catholiques de ce qu'ils ne sont pas. C'est facile de hurler que les catholiques sont des satanistes, mais je doute que les individus concernés ici, sur ce forum, et qui se sentent catholiques, n'acceptent qu'on les accuse d'être des satanistes.
Autant affirmer aussi, tant qu'on y est, que les juifs sont des voleurs, et que les musulmans sont des terroristes...
Quant à ce qui concerne Jésus, là aussi, c'est très rapide et facile de l'affirmer, et aller dire que personne n'a suivi ses enseignements, tout en prétendant soi-même les avoir compris, c'est tout aussi facile et rapide. La nation, c'est avant tout le résultat du sentiment commun des individus. Ce sentiment ne peut être faux, puisqu'il existe a minima comme tel.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 19:53
Aegis a écrit:
@ Akasha,
Si ce que tu dis n'est qu'un plaidoyer, pour reprendre tes propres mots, cela n'est qu'un discours. Ce qui m'intéresse, c'est la validité de ce discours, et si je te reprends sur la validité de ton discours, c'est que cette validité n'est manifestement pas acquise.
Tu auras beau plaider que Staline a été élevé par des jésuites, il n'en demeurera pas moins qu'il a été élevé en vérité par des moines orthodoxes, peut-être influencés par ailleurs par un certain orientalisme. Il en va de même pour les histoires de famille, ou les faits historiques.
Manifestement tu ne m'as pas lue...Je parlai pour mon poste en particulier, sinon j'ai posté des liens qui démontre que se que je dit est vrai...Et comme précisé cela a déjà été démontré...
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Lun 2 Juin 2014 - 20:14
Si cela était démontré, alors il serait vrai que Staline a été élevé par des jésuites, or, cela est faux.
erikk
Messages : 254 Date d'inscription : 02/09/2010
Sujet: jésuites Lun 2 Juin 2014 - 20:18
Pour moi quelque_soit la ou les religions ;ce ne sont que des remédes ; que les maitres de la matrice nous ont légés pour nous faire oublier que le temps nous ai compté !! Eh !! oui cents ans ... peut etre 110 ANS !!! Du baume anti_micobien sur une plaie infectée .........Leur dernier coup de génie fut ; pour moi, d'avoir absorbé le message du Christ ; dans l' ancien testament . Pour au final le déluer !!! Aime ton prochain ; comme _et_ toi meme ........ le reste c' est des extentions de nos égos !!! Y_a longtemps que nous n' avons plus de pape digne de se nom ... alors ; pour moi; il peut bien faire son cinéma en serrant les mains de qui il veux ... pour moi ; c' est mort !!!!
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Mer 30 Juil 2014 - 9:22
Bonjour mes zamis J'avais carrément oublié se sujet Alors qu'il est plus que jamais d'actualité ! pour l'instant on assistent bien a se jeu de pouvoir entre les jésuites et les sionistes pour notre plus grand malheur !! J'ai posté plusieurs articles très complet et bien documenté qui démontre de façon claire et net le pouvoir jésuite. Et le sionisme n'en est qu'un instrument... Il n'empêche que pour l'instant et au vue de l'actualité, on ne peux pas passer à côté...J'ai remis la main sur un document très important, qui démontre si s'en était encore nécessaire les liens ténus entre sionisme et nazisme ! Qui du coup rejoint une discussion sur un autre fil, concernant la légitimité de Israël... Qui pour moi ne l'est clairement pas.
Ce document vaut son pesant de cacahuète Et est très rare, donc lisez-le avec attention il est bien plus pertinent encore que le discours de 1961 de Théodore Herlz, bonne lecture à tous
Le sionisme et le régime nazi: un texte important de Klaus Polkehn enfin disponible en français
J’ignore pourquoi les articles de Klaus Polkehn sur le sionisme n’ont jamais été traduits intégralement en français.
Cette lacune est maintenant en partie réparée puisque, après l’article sur les relations entre le mouvement sioniste et l’impérialisme, notamment allemand, dont je vous ai déjà livré la traduction, je vous propose un autre article qui tombe à point nommé en ce jour où les sionistes redoublent de condamnations morales, en attendant parfois des mesures plus pratiques, contre ceux qui selon eux ne prendraient pas assez au sérieux ce qu’ils appellent «holocauste» ou « shoah.»
Ne pas prendre au sérieux cet «holocauste,» c’est par exemple contester le chiffre officiel de 6 millions de Juifs tués pendant la deuxième guerre mondiale ou nier l’existence des chambres à gaz.
Mais c’est aussi situer le malheur des Juifs à l’époque dans une histoire commune des malheurs qui ont accablé et continuent à accabler l’humanité. C’et précisément l’erreur commise par le député Anglais David Ward qui provoque un tollé chez les sionistes parce que, adepte convaincu de la religion de l’holocauste, il pense être autorisé, au nom de principes universels, à critiquer les Juifs qui spolient et martyrisent le peuple palestinien. Les Juifs en question sont bien entendu les sionistes et personne d’autre.
Mais il est interdit de critiquer l’entité sioniste parce que c’est le plus souvent une expression voilée d’antisémitisme et que comparer peu ou prou ses agissements à ceux du nazisme relève du sacrilège.
Pourtant, s’il est des gens qui devraient faire profil bas quand on parle du nazisme, ce sont bel et bien les sionistes ainsi qu’on peut le constater en lisant le texte qui suit de Klaus Polkehn. Ce dernier présente de manière détaillée la somme des relations connues entre la clique sioniste et le régime nazi dès l’arrivée au pouvoir d’Hitler, une clique sioniste qui aurait dû être jugée à Nuremberg avec le reste de la bande.
Et contrairement aux apparences, la politique prosioniste des puissances européennes, de l’Allemagne tout particulièrement, loin de s’inscrire en rupture avec celle du fascisme hitlérien, se situe en fait dans une étonnante continuité. Une continuité dont la perception est cependant rendue très difficile par tout le brouillard émotionnel entretenu sur la première moitié du 20ème siècle et une guerre qu’on a voulue inanalysable par l’opinion publique.
Angela Merkel et Benjamin Netanyahou
L’article sur lequel j’ai basé ma traduction est en anglais (l’article original de Klaus Polkehn est écrit en allemand). Je n’ai pas reproduit l’important appareil de notes de l’auteur qui renvoie aux documents sur lesquels il s’est appuyé. Vous trouverez toutes ces références dans l’article en anglais disponible en format pdf (lien ci-dessous)
Les contacts secrets : le sionisme et l’Allemagne nazie, 1933 – 1941
Par Klaus Polkehn, Journal of Palestine Studies – 1976 traduit de l’anglais par Djazaïri
L’antisémitisme devint une politique officielle du gouvernement allemand quand Hitler fut nommé chancelier du Reich allemand le 30 janvier 1933. Le printemps 1933 avait aussi vu le commencement d’une période de discrète coopération entre le sionisme et le régime fasciste allemand afin d’accroître le flux de capitaux et d’émigrants Juifs vers la Palestine. Les autorités sionistes avaient longtemps réussi à maintenir cette coopération secrète, et ce n’est que vers le début des années 1960 que des critiques se sont exprimées ici ou là. La réaction sioniste a généralement consisté en des déclarations selon lesquelles leurs brefs contacts avec l’Allemagne nazie avaient été entrepris à seule fin de sauver des vies juives. Mais ces contacts étaient d’autant plus remarquables qu’ils avaient eu lieu à une époque où de nombreux juifs et organisations juives exigeaient un boycott de l’Allemagne nazie.
A l’occasion de la 16ème convention du Parti Communiste Israélien, un document proposé au début de la conférence affirmait que «après la prise de pouvoir par Hitler en Allemagne, alors que toutes les forces antifascistes dans le monde ainsi que la grande majorité des organisations juives avaient proclamé un boycott contre l’Allemagne nazie, des contacts et une collaboration existaient entre les dirigeants sionistes et le gouvernement hitlérien.» Le document citait les propos tenus par le dirigeant sioniste Eliezer Livneh (qui était le rédacteur en chef de l’organe de la Haganah pendant la deuxième guerre mondiale) lors d’un symposium organisé par le journal israélien Maariv en 1966, qui expliquait «que pour les dirigeants sionistes, secourir les juifs n’était pas un but en soi, mais seulement un moyen» (c’est-à-dire pour établir un Etat juif en Palestine). S’interroger sur la réaction du mouvement sioniste face au fascisme allemand qui, pendant ses douze années au pouvoir, a assassiné des millions de juifs relève du tabou aux yeux des leaders sionistes. Ce n’est que rarement qu’on peut tomber sur des preuves authentiques ou des documents au sujet de ces questions. Cette enquête rassemble des informations recueillies jusqu’à tout récemment sur certains aspects importants de la coopération entre les fascistes et les sionistes. La nature des choses veut que cette enquête ne présente pas une image complète. Cela ne sera possible que quand les archives (surtout celles qui sont en Israël) dans lesquelles les documents concernant ces évènements sont enfermés à double tour seront accessibles aux chercheurs universitaires.
L’avènement d’Hitler
Pour les dirigeants sionistes, l’arrivée d’Hitler au pouvoir était grosse de la possibilité d’un afflux d’immigrants en Palestine. Auparavant, la majorité des juifs allemands, qui se considéraient eux-mêmes comme allemands, n’avaient guère de sympathie pour l’entreprise sioniste. Les statistiques allemandes, compilées avant la prise du pouvoir par les fascistes, classait la minorité juive uniquement en tant que «confession religieuse» et ce sont les législateurs fascistes qui introduiront la notion de «race» en tant que caractéristique et incluront de la sorte même les descendants assimilés issus de la communauté juive dans la catégorie [raciale, NdT] juive.
Selon les statistiques, 503 000 juifs vivaient en Allemagne en 1933, constituant ainsi 0.76 % de la population totale. 31 % de tous les juifs allemands résidaient dans la capitale Berlin où ils représentaient 4,3 % de la population de la ville. Les statistiques allemandes indiquent aussi que la proportion de juifs dans la population de l’Allemagne avait diminué entre 1871 et 1933, passant de 1,05 % à 0.76 %.
Ces juifs allemands étaient dans leur écrasante majorité non sionistes ou antisionistes et, avant 1937, l’Union Sioniste pour l’Allemagne (Zionistische Vereinigung für Deutschland, ZVFD) avait beaucoup de mal à se faire entendre.
Parmi les juifs recensés en Allemagne en 1925, il n’y en avait par exemple que 8739 (pas même 2 %) susceptibles de voter dans les conventions sionistes (c’est-à-dire en qualité d’adhérents d’organisations sionistes). Aux élections régionales de la communauté juive tenues en Prusse en février 1925, seulement 26 des 124 personnes élues appartenaient à des organisations sionistes. Un rapport de Keren Hayesod présenté à la 24ème session de la ZVFD en juillet 1932 constatait : «dans le processus d’évaluation du travail de Keren Hayesod en Allemagne, on ne doit pas oublier qu’n Allemagne, nous devons tenir compte non seulement de l’indifférence de larges cercles juifs mais aussi de leur hostilité.»
Par conséquent, à l’époque de l’avènement au pouvoir d’Hitler, les sionistes étaient pour l’essentiel une petite minorité insignifiante et peu influente et d’étaient les organisations non sionistes qui jouaient un rôle dominant parmi les juifs. A leur tête se trouvait la Centralverein deutscher Staatsbürger jüdischen Glaubens (CVn ou Union Centrale des Citoyens Allemands de Confession Juive), fondée en 1893 qui, ainsi que son nom le laisse entendre, considérait les juifs allemands comme des allemands et considérait que son premier devoir était de combattre l’antisémitisme.
En accord avec cette position fondamentale, la CVn avait aussi nettement affirmé son rejet du sionisme. C’est ainsi qu’une résolution adoptée par la principale instance de la CVn le 10 avril 1921 se concluait par ces mots : « si le travail de colonisation en Palestine n’était qu’une affaire d’aide et d’assistance, alors, du point de vue de la Centralverein, il n’y aurait rien à redire à la promotion de ce travail. Cependant, la colonisation en Palestine est d’abord l’objet d’une politique nationale juive et sa promotion et son soutien doivent donc être rejetés.» En conséquence, c’était la CVn qui, pendant les années précédant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, se tenait à l’avant-garde des partis et organisations progressistes dans leur lutte contre l’antisémitisme. Au sujet de cette attitude, l’écrivain juif Werner E. Mosse remarquait : «Alors que les dirigeants de la CV considéraient comme de leur devoir de représenter les intérêts des juifs allemands dans l’action et le combat politiques, le sionisme prenait position pour … une non participation des juifs à la vie publique allemande. Il rejetait par principe toute participation à la lutte menée par la CVn.»
L’attitude des sionistes à l’égard de la menace d’une domination fasciste totale en Allemagne était déterminée par certains présupposés idéologiques communs : les fascistes tout comme les sionistes croyaient aux pseudo théories raciales, et les uns comme les autres partageaient la croyance dans des généralisations mystiques comme le caractère national» (volkstum) et la «race,» les uns et les autres étaient chauvins et penchaient pours «l’exclusivisme racial.» C’est ainsi que l’officiel sioniste Gerhart Holdheim écrivait en 1930 dans une livraison du Süddeutsche Monatshefte consacrée à la question juive (une publication dans laquelle, entre autres, des antisémites notoires faisaient connaître leurs opinions) : « Le programme sioniste conçoit la communauté juive comme étant homogène et indivisible, sur une base nationale. Le critère qui définit la communauté juive n’est pas al confession ou la religion, mais un sentiment global d’appartenance à une communauté raciale que réunissent des liens de sang et historiques et qui est déterminée à préserver son individualité nationale.» C’état le même langage, la même phraséologie que celle utilisée par les fascistes. Il va de soi que les fascistes allemands voyaient d’un bon œil les conceptions sionistes, tel Alfred Rosenberg, le principal idéologue du parti nazi qui écrivait :
«le sionisme doit être soutenu vigoureusement de sorte à ce qu’un certain nombre de juifs allemands partent chaque année en Palestine ou que, du moins, on leur fasse quitter le pays.» Considérant une déclaration de ce genre, Hans Lamm écrira plus tard : «…il est incontestable que dans les premières étapes de leur politique juive, les nationaux socialistes pensaient qu’il convenait d’adopter une attitude pro sioniste.»
De manière très perspicace, la CVn avait remarqué que la reconnaissance par les sionistes de «certains postulats des nationalistes allemands » avait donné des munitions aux antisémites et, dans une déclaration de politique générale émise par la CVn il était même question du sionisme comme ayant mis au mouvement [juif] un «coup de poignard dans le dos» dans la lutte contre le fascisme.
Mais les sionistes pensaient que seul Hitler pouvait pousser les juifs allemands antisionistes dans le bras du sionisme. Robert Welsch, qui était alors rédacteur en chef du journal sioniste allemand Jüdische Rundschau déclarait le 8 janvier 1933 (trois semaines après l’arrivée d’Hitler au pouvoir) lors d’ une réunion du comité local de la ZVFD : «Le caractère antilibéral du nationalisme allemand [i.e. les tendances réactionnaires de la bourgeoisie allemande – K.P.] s’accordaient avec la position antilibérale du sionisme et nous nous trouvons maintenant devant une chance de trouver, non une base pour une compréhension [mutuelle, NdT] mais pour la discussion.»
L’appel à Hitler le 30 janvier pour prendre la tête du gouvernement fut suivi par une mainmise sur toutes les positions d’autorité par le parti national Socialiste, ce qui signifiait que des antisémites déclarés étaient désormais au pouvoir. Les juifs allemands regardaient ces évènements avec appréhension parce que dans le programme du parti nazi figuraient le retrait de la citoyenneté aux juifs (Point 5) la révocation des Juifs exerçant dans la fonction publique (Point 6) ainsi que l’expulsion de tous les Juifs qui avaient immigré en Allemagne après le 2 août 1914 (Point 8).
Seuls les sionistes voyaient des avantages à cette tournure des évènements (L’historien britannique Christopher Sykes, qui n’était certes pas antisioniste, est de l’opinion «que les dirigeants sionistes étaient déterminés dès le tout début du désastre nazi à retirer un avantage politique de la tragédie.»
La première expression publique de cela fut l’œuvre du Dr Joachim Prinz, un rabbin berlinois qui était un sioniste convaincu et qui immédiatement après le 30 janvier 1933 décrivit la prise de pouvoir par Hitler comme étant le «début du retour des juifs à leur judaïsme.»
Evoquant le terrorisme fasciste contre les juifs allemands, Prinz écrivait : « Nous n’avons plus nulle part où nous cacher. Au lieu de l’assimilation, nous souhaitons la reconnaissance de la nation juive et de la race juive.» Ce point de vue n’était pas du tout celui d’un individu isolé. On pouvait lire le 13 juin 1933 dans l’organe officiel de la ZVFD, le Jüdische Rundschau:
Le sionisme reconnaît l’existence d’une question juive et veut la résoudre d’une manière généreuse et constructive. A cette fin, il veut s’attirer le soutien de tous les peuples ; ceux qui ont de la sympathie pour les juifs tout comme ceux qui leur sont hostiles, dans la mesure où, du point de vue sioniste, ce n’est pas une question sentimentale mais un véritable problème à traiter à la solution duquel tous les peuples sont intéressés.
En recourant à cette argumentation, le sionisme adoptait la même ligne politique que les fascistes.
Le 21 juin 1933, les sionistes firent une déclaration officielle sur leur politique à l’égard de la prise de pouvoir par les fascistes : «La déclaration de l’Union Sioniste pour l’Allemagne en Référence à la Position des Juifs dans la Nouvelle Allemagne.» Dans une partie de ce long document, il était souligné que «Notre avis est qu’un des principes du nouvel état allemand d’exaltation nationale rendrait possible une solution satisfaisante.» Dans son document, la ZVFD, jetait un regard sur l’histoire de la situation des juifs en Allemagne, en se servant d’un vocabulaire fasciste comme les «liens du sang et de la race» et, exactement comme Hitler, postulait une «âme spécifique» pour les juifs. Les sionistes affirmaient ainsi : «Pour le juif aussi, l’origine, la religion, la destinée commune et la conscience de soi doivent avoir une signification décisive dans sa façon de vivre. Ce qui nécessite de surmonter l’individualisme égoïste qui s’est répandu à l’époque libérale, et devrait être réalisé à travers l’acquisition d’un sentiment commun d’unité et en assumant avec joie notre responsabilité.»
Après cette admission et cette reprise des thèses fascistes, suivait une reconnaissance ouverte de l’Etat fasciste : «Sur le sol du nouvel Etat [i.e. l’Allemagne fasciste], qui a établi le principe de la race, nous volons organiser l’ensemble de la structure de notre communauté de la même manière, de sorte que, pour nous aussi, l’aboutissement de la revendication de notre patrie puisse aboutir dans la sphère qui nous est allouée.» En conclusion, les sionistes condamnaient la lutte contre le régime hitlérien menée par les forces antifascistes qui avaient appelé au printemps 1933 au boycott économique de l’Allemagne nazie. « La propagande pour le boycott qu’ils sont en train de faire contre l’Allemagne est dans sa nature même contraire au sionisme dès lors que le sionisme ne veut pas combattre mais convaincre et construire.»
Pour saisir toute la portée de cette déclaration du ZVFD, il faut ici aussi se souvenir de ce qui l’a précédée. La persécution des juifs avait déjà commencé et avait déjà atteint un premier point culminant avec un grand pogrom qui avait touché toute l’Allemagne le 1er avril 1933. Dans les premiers jours de mars 1933, les citoyens juifs allemands avaient été maltraités dans des viles allemandes (par exemple des boutiques juives avaient été pillées à Brunswick le 11 mars et, le 13 mars, des avocats juifs avaient été malmenés devant le palais de justice de Breslau [aujourd’hui Wroclaw en Pologne]. Les autorités fascistes avaient promulgué la loi sur la restauration de la fonction publique [le 7 avril 1933] qui aura pour conséquences, entre autres, la révocation de 2000 chercheurs et professeurs juifs des universités. Le 18ème congrès sioniste, qui s’était réuni à l’été 1933n’y voyait pas de problème : quand, pendant las session du congrès sioniste qui se tenait le 24 août 1933, la situation des juifs en Allemagne allait être débattue, le présidium du congrès a fait en sorte d’empêcher la discussion. Il avait aussi réussi à empêcher l’introduction d’une résolution appelant au boycott des marchandises allemandes, et avait à la place insisté fortement sur la nécessité d’organiser l’émigration des juifs allemands. Les protestations contre les évènements en cours en Allemagne avaient été réduites au plus strict minimum.
Les fascistes récompensèrent les sionistes pour leur «retenue » et permirent au ZVFD de poursuivre ses activités sans entraves. (C’était au moment où tous les partis et organisations démocratiques et antifascistes en Allemagne étaient soumis à une répression des plus rigoureuses et où leurs cadres et leurs membres étaient en prison ou en camp de concentration) Dans le même temps, les fascistes mettaient toutes sortes d’obstacles sur le chemin des organisations non sionistes. Ces entraves touchaient en tout premier lieu la CVn parce que, avant 1933 déjà, les fascistes voyaient dans la CVn « leurs principaux opposants juifs, » ainsi qu’il est indiqué dans de nombreux exemples tirés de la presse nazie.
La CVn avait toujours accusé les sionistes de monter peu d’intérêt pour la «lutte [contre le fascisme … et qu’ils [les sionistes] suivaient une politique d’indifférence [devant l’emprise du péril fasciste] parce qu’il ne se sentait pas concerné.»
Le 1er mars 1933, les SA, des paramilitaires fascistes, occupaient le siège central de la CVn pour le fermer. Le 5 mars 1933, la CVn était interdite en Thuringe pour cause de «complot de haute trahison.» Dans le même temps, l’Etat nazi se tournait contre d’autres organisations juives non sionistes, comme la « Ligue du Reich des Anciens Combattants », par exemple, qui représentait une tendance juive nationaliste allemande. L’ «Union Nationale des Juifs Allemands» était également interdite.
Avec ce soutien fasciste, les dirigeants de l’Union Sioniste pour l’Allemagne purent obtenir pour la première fois une position dominante auprès des juifs allemands. A l’automne 1933, la « Association du Reich des Juifs en Allemagne» fut fondée et de grandes organisations juives, dont le CV et le ZVFD y participèrent. Le chef de cette organisation était le rabbin Leo Baeck dont la personne reflétait l’attitude ambivalente de l’organisation à l’égard du sionisme ; Baeck était à la fois membre de la principale instance du CV, et président du fonds de colonisation juive «Keren Hayesod» en Allemagne.
L’organisation nouvellement créée offrait aux dirigeants sionistes une plateforme plus large pour leurs activités.
L’Association du Reich n’avait pas été, comme on l’a parfois prétendu, créée sur instruction des autorités fascistes. Ball-Kaduri écrit :
«Il s’est avéré que la création de l’Association du Reich se fit sans aucune interférence de l’Etat ; une fois le processus de structuration achevé, l’organisation a simplement été déclarée au ministère de l’intérieur du Reich. – la Gestapo ne s’y était pas du tout intéressée.» C’est seulement le 4 juillet 1939 que l’ordonnance concernant la création obligatoire d’une Union des Juifs du Reich en Allemagne fut promulguée, amenant à changer le nom de l’organisation qui passa de celui de Députation à celui d’Union. Cette ordonnance rendait obligatoire l’adhésion de tous les Juifs à l’Union du Reich. Le paragraphe 2 de cette ordonnance satisfaisait également un des objectifs du sionisme en affirmant : «L’Union du Reich a pour objectif la promotion de l’émigration de tous les Juifs.»
Le parti nazi, à ses échelons les plus élevés, autorisait des activités politiques de divers types. A cet égard, par exemple, la police politique bavaroise notait le 9 juillet 1935 :
Les organisations sionistes collectent depuis un certain temps de l’argent auprès de leurs adhérents et de leurs sympathisants avec l’intention de promouvoir l’émigration, en achetant de la terre en Palestine, et d’obtenir un soutien pour la colonisation en Palestine.
Ces collectes n’ont pas besoin d’obtenir une autorisation administrative parce qu’elles se font dans des cercles juifs fermés. De plus, la police de l’Etat n’a pas d’objections contre l’organisation de ces réunions dès lors qu’elles portent sur ce genre de fonds qui ont pour but de promouvoir la résolution en pratique du problème juif. Après 1933, les fascistes permirent aux sionistes de continuer avec leur propagande. Tandis que tous les journaux en Allemagne étaient placés directement sous supervision du Ministère de la Propagande (les journaux publiés par les communistes, le parti Social-démocrate ou les syndicats et d’autres organisations progressistes étaient interdits) le Jüdische Rundschau pouvait paraître sans entraves.
Voila, je vous laisse lire la 1e partie à votre aise, je vous met la suite ultérieurement
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Ven 1 Aoû 2014 - 7:03
Bonjour tout le monde Comme promis, voici la suite de ce très bon document historique.
1936: réunion berlinoise de la ZVFD, l’organisation sioniste en Allemagne (photo musée Yad Vashem)
Partie 2 :
Winfried Martini, correspondant à l’époque de la Deutsche Allgemeine Zeitung à Jérusalem et qui, selon son propre témoignage, avait des «liens personnels étroits avec le sionisme » observa plus tard ce « fait paradoxal » que «de toute la presse, c’était la presse juive i.e. sioniste] qui pendant des années conserva une certaine marge de liberté qui avait été complètement retirée à la presse non juive.» Il ajoutait que dans le Jüdische Rundschau, on pouvait très souvent trouver des opinions critiques à l’égard des nazis sans pour autant que cela se traduise par l’interdiction du journal.
C’est seulement à partir de fin 1933 que cela conduisit à une interdiction de la vente de ce journal à des non juifs. Les Juifs devaient, c’est ce que souhaitaient les fascistes, être convertis au sionisme même si cela devait se faire avec une argumentation dirigée contre les fascistes. De la sorte, la diffusion de ce journal sioniste qui était auparavant assez faible connut une rapide augmentation.
Que le journal sioniste ait pu se féliciter d’être dans les bonnes grâces des dirigeants fascistes est compréhensible quand on examine la position de cet organe de presse vis-à-vis du boycott des commerces juifs du 1er avril 1933. Ce pogrom organisé contre des citoyens Juifs en Allemagne, qui avait soulevé l’indignation dans le monde entier et provoqué colère et répulsion chez tous les Allemands honnêtes n’avait pas été condamné franchement par le journal qui l’évaluait plutôt comme une confirmation de la justesse de la position sioniste : «l’erreur fatale de nombreux Juifs [de croire] que quelqu’un peut représenter les intérêts juifs sous une autre casquette [autre que juive en tant que telle, NdT] est écartée, » écrivait le Jüdische Rundschau en parlant du pogrom : «Le 1er avril 1933 peut être un jour de réveil juif et de renaissance juive.»
La liberté d’action des sionistes incluait aussi l’édition de livres à côté de leur journal. Jusqu’en 1938, plusieurs maisons d’édition (dont entre autres, Jüdische Verlag à Berlin-Charlottensburg et Schochen-Verlag à Berlin) pouvaient publier sans entraves de la littérature sioniste. C’est ainsi que purent être publiés en toute légalité dans l’Allemagne fasciste des textes de Chaim Weizmann, David Ben Gourion et Arthur Ruppin.
Les premiers jours de la domination nazie en Allemagne virent aussi le début d’une collaboration économique entre les fascistes et les sionistes. En mai 1933, la compagnie sioniste de plantation de citronniers en Palestine, Hanotea», avait déjà sollicité du ministère de l’économie du Reich la permission de transférer du capital d’Allemagne, ouvrant ainsi la voie à l’accord de transfert(Haavara) qui interviendra plus tard.
La compagnie «Hanotea » achetait les marchandises allemandes dont elle avait besoin, les payant avec des comptes bancaires en Allemagne d’émigrants Juifs. Les émigrants quittaient alors l’Allemagne et recevaient l’équivalent en immobilier de ce qui avait été prélevé sur leurs comptes. Comme l’expérience avec Hanotea semblait avoir été une réussite aux yeux des dirigeants sionistes, des négociations furent entreprises à l’été 1933 entre la partie sioniste et le ministère allemand de l’économie, ce qui aboutit à la signature de ce qu’on a appelé l’accord Haavara.
Les négociations de 1933 sur la Haavara sont un des épisodes de l’histoire du sionisme sur lequel un voile a été jeté, vu qu’elles constituaient un exemple de coopération économique au moment où les forces antifascistes essayaient de prendre la tête d’un boycott de l’Allemagne nazie. En évoquant cette démarche de boycott, Nahum Goldmann qui occupait alors une position importante dans le mouvement sioniste, écrira plus tard :
Cependant, beaucoup d’organisations juives refusèrent d’y participer [au boycott], soit parce que beaucoup de firmes juives étaient en fait des représentantes commerciales d’entreprises allemandes, ou parce que certaines organisations juives, celles des Etats Unis plus précisément, avaient adopté la position selon laquelle in était antipatriotique d’organiser un boycott contre un pays avec lequel son propre pays entretient des relations commerciales normales.»
Cet exposé est sans doute valable pour les raisons évoquées prises une à une, mais il occulte néanmoins la vérité, parce que ceux qui ont rompu le boycott ont d’abord été les sionistes eux-mêmes.
Il y a des versions divergentes sur les circonstances qui ont amené à l’accord Haavara. Selon une version, l’initiative des négociations avec les autorités fascistes serait venue des l’Union Sioniste pour l’Allemagne qui avait intéressé au projet Hoofien, le directeur-général de l’Anglo-Palestine Bank en Palestine. Hoffien, est-il rapporté, s’était rendu à Berlin en 1933 et était entré sur place en négociations avec Oberregieunsgrat Hartenstein du ministère de l’économie du Reich. (raison pour laquelle l’accord Haavara est souvent appelé aussi l’accord Hoofien, une appellation qui réduit la responsabilité de l’ensemble de la chose au seul personnage de Hoofien). Dans la mesure où Hoofien était impliqué (une implication sans doute nécessaire du moment où il était question d’accords concrets sur des questions de transferts qui requéraient l’expertise d’un banquier professionnel), on doit considérer qu’une affaire d’une telle importance ne pouvait pas résulter d’une initiative privée et qu’elle n’aurait pu être mise en œuvre sans l’autorisation des institutions sionistes. On peut de fait apprendre par d’autres publications que les négociations étaient chapeautées à Berlin par celui qui était alors le chef du département politique de l’Agence Juive : Chaim Arlosoroff. Finalement, l’accord conclu en 1935 sera approuvé officiellement par le Congrès Sioniste Mondial !
Les mots mêmes de Ball-Kaduri sont que l’accord Haavara avait été conclu « sous la forme d’une lettre adressée à Herr Hoofien par le ministère de l’économie du Reich. Les négociations s’étaient déroulées sereinement car les Nazis avaient encore un «penchant sioniste» à l’époque.
En vertu de l’accord signé à Berlin, deux compagnies furent créées : la compagnie Haavara à Tel Aviv et une compagnie sœur baptisée Paltreu à Berlin. La procédure se déroulait de la manière suivante : l’émigrant Juif payait avec son argent (la somme minimale était d’un millier de livres sterling) sur le compte en Allemagne de la Haavara (à la banque Wassermann Bank de Berlin ou à la banque Warburg de Hambourg). Avec cet argent, les importateurs Juifs pouvaient acheter des marchandises allemandes pour les exporter en Palestine tout virant une somme équivalente en livres palestiniennes dans le compte de la Haavara à l’Anglo-Palestine Bank en Palestine. Quand l’émigrant arrivait, il trouvait dans son compte une somme équivalente à celle qu’il avait versée en Allemagne (c’est là que Ball-Kaduri observe : « après avoir déduit des frais assez élevés »).
En relation avec l’émigration vers la Palestine permis par l’accord Haavara, les sionistes fondèrent la Palestine Shipping Company qui acheta le bateau allemand de transport de passagers «Hohenstein » qu’ils rebaptisèrent «Tel Aviv.» Le bateau fit son premier voyage vers Haïfa au départ du port allemand de Bremerhaven au début de l’année 1935. Pendant ce voyage, le bateau portait à la poupe son nouveau nom en caractères hébraïques tandis que le swastika flottait sur son mât ; « une combinaison d’absurdité métaphysique » écrira plus tard un des passagers. Le capitaine du navire, Leidig, était un adhérent du parti Nazi !
Le Hohenstein rebaptisé Tel Aviv sera revendu en 1937 au Japon
L’accord Haavara vouait à l’échec la démarche de boycott de l’Etat nazi et maintenait sans disruption pour l’économie fasciste l’accès à ’un large marché à l’export à une époque où le commerce mondial souffrait encore des traces de crise économique internationale de1929. Ce point avait été souligné dans un mémorandum par Stuckart, le secrétaire d’Etat au ministère de l’intérieur du Reich. Dans ce mémorandum, daté du 17 décembre 1937, il était observé : «Les principaux avantages [de l’accord Haavara] sont les suivants : l’influence du groupe Haavara en Palestine a amené au résultat imprévu et inhabituel mais espéré que, de tous les endroits, la Palestine est le pays dans lequel les biens allemands ne sont pas boycottés par la partie juive…» En même temps, la procédure Haavara a rendu possible une accélération du mouvement d’émigration juive vers la Palestine, amenant au renforcement de la position des sionistes en Palestine. Les immigrants qui viennent d’Allemagne amènent avec eux un plus haut niveau de compétences économiques entre autres choses.
Ce qui résultait aussi de la «sélectivité.» Comme l’accord requérait le versement par l’émigrant d’un millier de livres sterling au minimum, seuls des membres de la bourgeoisie juive étaient en mesure de profiter de ce dispositif, tandis que les travailleurs d’origine juive étaient lassés à leur destin. Ainsi, l’évaluation suivante de l’accord de Haavara dans le cadre de l’examen de la politique raciale du fascisme peur être considérée comme parfaitement juste : le principe de solidarité qui nécessitait que les Juifs restent unis devant leurs persécuteurs avait volé en éclats du fait d’intérêts capitalistes. Pecunia non olet. Dans le même temps, les dispositions prises par les entrepreneurs Juifs dans le seul objectif de transférer leurs capitaux de l’Allemagne fasciste vers la Palestine étaient accueillies avec grande considération. On a affirmé que le capital envoyé au Moyen Orient était placé au service des Juifs. En réalité cependant, cet argent servait en Palestine aux mêmes objectifs qu’en Allemagne : le profit de ses détenteurs.
Le même livre affirme que «l’Internationale Sioniste voulait que les émigrants Juifs d’Allemagne arrivent sur le sol de Palestine non comme des sans le sou mais en tant que propriétaires d’un capital qui contribuera à l’édification d’un Etat capitaliste. C’est à partir de ce désir qu’a grandi l’intérêt des sionistes pour s’associer avec des antisémites.»
De fait, avant même la création d’Israël, l’accord de transfert donna une forte impulsion à l’économie sioniste en Palestine. Des sources sionistes parlent d’une somme de 139,6 millions de Reichsmarks – une somme énorme à l’époque – transférée d’Allemagne en Palestine. Une autre source situe le montant transféré à 8 millions de livres sterling. Ce n’est pas une simple coïncidence si les projets les plus importants en Israël ont été créés ou dirigés par des émigrants partis d’Allemagne. La plus grande fonderie de Palestine et l’industrie du ciment par celui qui fut à une époque directeur de la compagnie des eux et d’électricité de Berlin, le Dr Karl Landau. Le Dr Arnold Barth de Berlin, le Dr Siegfried Sahlheine de Hambourg et Herbert Förder de Breslau furent les premiers organisateurs de la banque Leumi. Fritz Naphtals de Berlin et George Josephthal de Nuremberg transformèrent en entreprise géante l’insignifiante «Arbeiterbank.» Certains des plus importantes firmes israéliennes furent fondées par Yekutiel er Sam Federmann de Chemnitz ( Karl-Marx-Stadt à l’époque communiste) ; l’entré Yekutiel dans le Who’s Who en Israël (1962) le présente comme un «fondateur de ‘l’Israel Miami Group’ (Dan Hotel) ; le partenaire israélien du cimentier ‘Isasbest’ ; le fondateur et associé de ‘Israel Oil Prospectors Corp, Ltd ‘ qui procéda au premier forage pétrolier ‘Mazal 1’ et présida de nombreuses autres entreprises.
Les accords économiques entre les sionistes et le fascisme allemand avaient l’approbation de toutes les instances du Reich nazi. Le ministère des affaires étrangères avait déjà adopté une attitude pro-sioniste en maintes occasions avant 1933 (il y avait eu des rencontres entre Chaim Weizmann et les secrétaires d’Etat von Schubert et von Bullow).
C’est seulement après le déclenchement de la révolte arabe palestinienne de 1936 que les premières divergences d’opinion s’installèrent dans les diverses institutions fascistes sur l’utilité de poursuivre les transferts dans le cadre de la Haavara. Le ministère des affaires étrangères se rendait maintenant compte que la politique de facto pro-sioniste allait aliéner les Arabes à l’Allemagne hitlérienne – une perspective qui n’était pas dans l’intérêt du Reich Nazi. Döhle, consul général d’Allemagne à Jérusalem, était le porte-voix de ce point de vue et, dans un long mémorandum daté du 22 mars 1937, il observait que « par notre promotion de l’immigration juive… la position qu’avait pu réoccuper l’Allemagne… allait être mise à mal.» En adoptant cette position, Döhle était moins animé par un intérêt pour les Arabesque par une inquiétude pour les intérêts politiques du fascisme allemand. Il ajoutait que l’Allemagne ne devait «pas trop se préoccuper des sympathies des Arabes à l’égard de l’Allemagne dès lors que ce dont nous avions besoin était moins d’avoir une politique arabe active que d’éviter la promotion voyante accordée à l’édification d’un foyer national juif.»
Döhle craignait «un revirement de l’humeur des Arabes et que nous soyons accusés de participer activement à la lutte contre eux.»
Les inquiétudes de Döhle étaient partagées par d’autres autorités fascistes. Ainsi, l’Office du Commerce Extérieur de l’Auslandsorganisation du parti nazi (le bureau du parti chargé des affaires internationales) déclarait en toute franchise : «Politiquement, il [l’accord de la Haavara] revient à apporter un soutien efficace à l’établissement d’un foyer national juif avec l’aide du capital allemand.»
Le 17 décembre 1937, il était signalé dans le mémorandum déjà cité de Stuckart, Secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur, que depuis le début de la révolte arabe en Palestine «les avantages procurés par la procédure [de Haavara] sont devenus plus faibles tandis que ses inconvénients deviennent de plus en plus importants.»
Stuckart était d’avis que si la création d’un Etat juif était inévitable, alors «tout ce qui permettrait le développement d’un tel Etat devrait être évité.» Puis Stuckart déclarait clairement : Il est hors de doute que la procédure de la Haavara a apporté la plus forte contribution au développement extrêmement rapide de la Palestine [i.e. des colonies sionistes – K.P.]. Cette procédure n’a pas seulement permis l’apport de très grosses sommes d’argent [d’Allemagne] ; elle a aussi apporté les hommes les plus intelligents parmi tous les immigrants, et a en fin de compte fourni les machines et les équipements industriels nécessaires – aussi d’Allemagne.»
Les craintes de ces responsables (qui, ainsi que nous le verrons étaient en contradiction avec l’opinion des SS et de la Gestapo) furent finalement communiquées à Hitler. Hitler, ainsi qu’on peut le lire dans un mémorandum du département de la Politique Commerciale du ministère des affaires étrangères en date du 27 janvier 1938, décida que la procédure de la Haavara devait continuer. Cette position d’approbation prise par Hitler vis-à-vis du renforcement de la colonisation sioniste de la Palestine resta inchangée malgré les doléances émanant du ministère des affaires étrangères er l’Auslandorganisation du parti nazi relativement à la montée de l’hostilité des Palestiniens à l’égard de l’Allemagne. C’est ainsi que l’Auslandorganisation au ministère des affaires étrangères exigea à nouveau dans un mémorandum daté du 12 novembre 1938 que «une initiative soit entreprise pour une annulation d’un accord de Haavara qui n’a que trop duré.» Jon et David Kimche confirment le fait qu’Hitler «avec une détermination sans ambigüité, avait ordonné la promotion d’une immigration de masse en Palestine,» et qu’Hitler avait en outre formulé la décision fondamentale que «l’émigration juive devait être encore plus encouragée par tous les moyens disponibles. Il est donc indiscutable que l’opinion du Führer était qu’une telle émigration devait être avant tout orientée vers la Palestine.»
Finalement, même Winfried Martini confirme la position pro-sioniste des cercles fascistes les plus importants pendant la révolte arabe de 1936-39. Il écrit que, en tant que correspondant de la Deutsche Allgemeine Zeitung en Palestine, ses articles sur la révolte «étaient assez clairement favorables à la partie juive,» et que cela n’avait soulevé aucune objection de la part des responsables nazis.
Hitler resta donc le garant des transferts Haavara qui ne furent stoppés qu’avec le déclenchement de la deuxième guerre mondiale.
Coopération avec les services de renseignements nazis
Pendant les premiers jours de la domination fasciste sur l’Allemagne, les sionistes avaient un contact direct avec l’appareil de répression fasciste, ce qui se traduisit par une coopération informelle entre la direction sioniste et les organisations de terreur du Reich nazi (la Gestapo, la SS etc.). Dès avant 1933, le dirigeant sioniste Leo Plaut «avait une connexion» avec la police politique et avec un cadre de la police, l’Oberregierungsrat Rudolf Diels (supposé être un camarade de classe de Plaut). Quand Diels fut d’abord nommé chef de la police secrète en 1933, il maintint ses relations avec Plaut. «En fait, Plaut avait même le numéro de la ligne secrète de Diels et pouvait l’appeler à tout moment.» On peut seulement spéculer sur les détails de leurs contacts parce que les documents à ce sujet sont enfermés à double tour aux archives de Yad-Vashem à Jérusalem. On peut cependant supposer que c’est grâce à ces contacts qu’une rencontre avait pu être arrangée entre le premier ministre Prussien Herman Goering (plus tard condamné à mort par le tribunal de Nuremberg pour crimes de guerre) et les chefs des organisations juives allemandes. La réunion eut lieu le 26 mars 1933. Parmi les dirigeants sionistes présents, se trouvait Kurt Blumenfeld, mais il a gardé le silence sur cet épisode sans ses mémoires.
De tels contacts se faisaient en secret, mais il existe des preuves concernant des préparatifs en vue d’une coopération entre les sionistes et la SS (l’organisation qui chapeautait tout l’appareil policier et du renseignement dans l’Etat fasciste). Peu de temps après la prise du pouvoir par les fascistes, le journal Der Angriff, contrôlé par les chefs propagandistes Nazi, publiait un article sur un voyage en Palestine qui présentait en termes positifs la colonisation sioniste en Palestine. Le reportage, intitulé «Un nazi voyage en Palestine,» «ne comportait pratiquement aucune critique.»
Voila, c'est déjà tout pour aujourd'hui...J'ai plus le temps, bonne lecture, à suivre...
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Ven 1 Aoû 2014 - 12:21
Oui, et comme ça, comme il y avait un activisme juif, les nazis ont pu avoir tous les arguments nécessaires au monde pour justifier le fait que les juifs étaient bien une menace. Staline a fait la même avec la NEP.
Ces tentatives de réécrire l'histoire sont tout autant naïves que nauséabondes d'arrière plan idéologiques.
Il suffit ENCORE une fois de LIRE, et de BIEN LIRE, les DISCOURS de Hitler, ou n'importe quelle autre théorie du mouvement nazi pour comprendre qu'ils SE SERVENT DE TOUTE OPPOSITION POUR EN JUSTIFIER SA SUPPRESSION.
Hitler l'a fait avec tous ses "ennemis", des juifs aux russes en passant par les français, les communistes ou les handicapés (oui, les handicapés étaient une menace à la pureté du sang).
C'est vraiment lourd de lire systématiquement le même genre d'articles qui déforment les faits pour en tirer des conclusions stupides et mensongères. Car oui, c'est stupide de dire que Hitler était sioniste parce qu'il a favorisé les mouvements sionistes.
Non, Hitler s'est servi du sionisme pour instaurer son règne de terreur sur le monde. Il a créé et entretenu le sionisme pour ensuite l'écraser et subjuguer l'Allemagne en lui montrant les preuves de la véracité de leur complot. Mais le complot n'a jamais existé, il l'a créé de toute pièces, preuves à l'appui, quand il s'en prend au journal de Stuttgart qui explique pourquoi les Protocoles des Sages de Sion (créé par la police secrète du Tsar, pour rappel) sont des faux : il répond c'est bien parce que la presse juive dit que ce sont des faux que c'est vrai. La Gestapo a également constitué une partie de son réseau en se servant des querelles doctrinaires entre juifs ou croyants et laïcs... Ils ont aussi créé un sentiment de sécurité relatif pour faire croire aux juifs que la situation allait "s'arranger". Quand ils les mettaient dans les wagons avant de les conduire à l'abattoir, ils avaient parfois l'humour d'affréter des trains en première classe. Mais non, malgré les preuves accablantes d'une planification et d'un antisionisme nazi (qui s'est allié avec le grand mufti palestinien justement pour lutter contre l'entité sioniste), il faut qu'il y ait quand même des tarés (les auteurs de ce genre d'articles) qui vont sortir des non sens historiques pour justifier qu'il faille partir en croisade contre Israël... C'est aussi crétin que malsain, ça n'est ni bon, ni vrai, ni juste, et ça ne peut que servir les intérêts d'Israël, tout en prétendant lutter contre, car cela donne force aux autorités... Il serait temps de changer de disque.
En plus, c'est oublier tout l'arrière plan darwinien déformé sur lequel Hitler appuie toutes ses théories. En clair, c'est vraiment parler pour ne rien dire, car cela n'a pu être écrit que par de sombres ignorants.
Il serait bon aussi de cesser de déterrer sans arrêt les cadavres de l'Allemagne nazie pour ensuite venir se plaindre que j'atteindrai le point Godwin. C'est légèrement agaçant, et ça pourrait passer pour de la mesquinerie.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Ven 1 Aoû 2014 - 22:05
Bonsoir Aegis;
Non Hitler n'était pas sioniste, il n'est tout d'abord point question de ça...Il est question qu'un moment donner Hitler n'a pas eut d'autre choix que de traiter avec eux. Hitler ne décidait pas de tout. Il s'agit bel et bien de fait historique, ne t'en déplaise.
Il n'est pas question de promouvoir une quelconque idéologie, tu as vu ça où ? l'article relate simplement un passage de l'histoire mal connu, et qui explique bien la création de l’État d’Israël. C'est le seul but de l'article. Entre se que Hitler voulait, et se qui un moment donner pouvait faire, il y a une marge. Et affirmer que Hitler a manipuler les sioniste et enfin les écraser est absurde, l’histoire le prouve. Vu que c'est les sionistes qui on remporter la bataille et non Hitler...
Citation :
Il suffit ENCORE une fois de LIRE, et de BIEN LIRE, les DISCOURS de Hitler, ou n'importe quelle autre théorie du mouvement nazi pour comprendre qu'ils SE SERVENT DE TOUTE OPPOSITION POUR EN JUSTIFIER SA SUPPRESSION.
Ils n'y sont pas arriver, vu qu'ils ont créé leur état. De plus le but était de confronter le nazisme face au sionisme afin que celui-si triomphe, et se fut le cas. Le nier ne rime à rien.
Citation :
Non, Hitler s'est servi du sionisme pour instaurer son règne de terreur sur le monde. Il a créé et entretenu le sionisme pour ensuite l'écraser et subjuguer l'Allemagne en lui montrant les preuves de la véracité de leur complot. Mais le complot n'a jamais existé"(...)
...Et l'histoire de notre monde, prouve que tu te trompes...Il a perdu la guerre, les sionistes dominent le monde...
Citation :
Ils ont aussi créé un sentiment de sécurité relatif pour faire croire aux juifs que la situation allait "s'arranger". Quand ils les mettaient dans les wagons avant de les conduire à l'abattoir, ils avaient parfois l'humour d'affréter des trains en première classe. Mais non, malgré les preuves accablantes d'une planification et d'un antisionisme nazi (qui s'est allié avec le grand mufti palestinien justement pour lutter contre l'entité sioniste), il faut qu'il y ait quand même des tarés (les auteurs de ce genre d'articles) qui vont sortir des non sens historiques pour justifier qu'il faille partir en croisade contre Israël... C'est aussi crétin que malsain, ça n'est ni bon, ni vrai, ni juste, et ça ne peut que servir les intérêts d'Israël, tout en prétendant lutter contre, car cela donne force aux autorités... Il serait temps de changer de disque.
Le fait est que, les juifs n'était pas tous logé à la même enseigne...Les sionistes savaient très bien que Hitler exterminaient des juifs..Mais pour eux cela n'était pas important...La réussite du plan passait avant toute choses... Il existait des listes d'intouchables. Il en fut de même en France, ou une liste fut remise par le CRIEF eux même pour protéger les juifs de France, ceux qui étaient bien implanté. Dans la liste il y avait des juifs manouche venant des pays de l'est....
Citation :
En plus, c'est oublier tout l'arrière plan darwinien déformé sur lequel Hitler appuie toutes ses théories. En clair, c'est vraiment parler pour ne rien dire, car cela n'a pu être écrit que par de sombres ignorants.
Oui d'eugénisme tu veux dire...OUI on sais tout ça !
Il y a l'histoire menteuse et la vraie histoire beaucoup plus occulte et moins connu du grand publique, à elle on leur vend une histoire édulcoré et arrangée d'une certaine manière...
JE VOUS METS LA SUITE DE MON ARTICLE DES QUE J'AI UN PEU DE TEMPS...
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Ven 1 Aoû 2014 - 22:31
C'est nouveau ça tient que le sionisme s'est servi du nazisme, enfin, je veux dire, que c'est nouveau que le nazisme ne soit pas du sionisme, avant, c'était une partie du vaste complot juif pour dominer le monde.
L'article ne relate rien du tout, il déblatère des absurdités et se contente de balancer le discours habituel des anti-sionistes habituel. Et le problème est là. L'idéologie est que l'on ne connaît pas les "détails" de l'histoire, alors que c'est faux, les détails, on les connaît très bien, on a toutes les informations que l'on souhaite avoir sous la main. Ce n'est pas comme si Hitler avait "comploté" (lui qui avait une sainte horreur du moindre petit comploteur).
Il n'a pas été "contraint" de "coopérer" avec les sionistes. Non, il a voulu entuber les sionistes jusqu'au bout en extrayant jusqu'à la dernière goutte de leur sang. Il l'a d'ailleurs fait en partie, avec des cheveux, des dents, de la graisse, et autres joyeusetés que l'on peut "extraire" du corps humain.
Hitler n'était pas défavorable en soi à un état juif, car ça lui permettait de pouvoir "identifier" l'ennemi sans avoir à le "chercher". Il le dit assez régulièrement, et comme c'est su, connu, et reconnu, il a œuvré dans le sens de la création d'un Etat juif, en dehors de son Reich, bien entendu.
Il a perdu la guerre, certes, mais que les sionistes dominent le monde, j'ai un doute, surtout quand tu vois la taille de l'empire chinois. Je ne me sens personnellement pas sous la menace, ou la contrainte, du juif parrain de la mafia local. Donc bon, que le sionisme domine le monde, c'est bien une opinion, ou une vision de l'esprit, mais elle ne repose assurément pas sur quelque chose de rationnel.
Et attention, je ne nie pas qu'il y ait un impérialisme sioniste.
Libération a beau être la firme Rotschild (admettons), il a pourtant mis en première page une annonce de la possible dissolution de la LDJ, et il y a consacré la page 10 de son journal du jour, en expliquant POURQUOI cette mesure n'était pas une mauvaise mesure... donc bon, si ça aussi c'est du sionisme éhonté et avéré, tout en consacrant une double page au non sens de l'invasion de Gaza... C'est à se demander si les personnes qui s'en prennent à ce genre de journaux ont fait l'effort de les lire, sans l'a priori politique d'être d'extrême droite... Car Libération est un journal de gauche.
On reparlera des juifs intouchables quand tu seras allée au mémorial de la Shoah. Hitler en avait après la grande bourgeoisie, car c'est la tête qu'il voulait décapiter. C'est inutile de faire mentir le discours de Hitler, une fois de plus. Bref, là encore, il s'agit d'une relecture de l'Histoire, ou peut-être plutôt, d'une méconnaissance complète de l'Histoire.
Et non, je ne parle pas d'eugénisme, mais de la vision même du monde d'Hitler, pour qui le monde est un jeu de forces et où tout se résume à une lutte pour la survie, c'est en cela que l'eugénisme s'inscrit, mais Hitler l'applique à tous les niveaux. C'est à savoir, si l'on veut prétendre dire quelque chose sur lui, et encore plus se lancer dans de savantes théories sur sa soi-disant coopération forcée avec l'entité sioniste.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Sam 2 Aoû 2014 - 2:37
Aegis a écrit:
C'est nouveau ça tient que le sionisme s'est servi du nazisme, enfin, je veux dire, que c'est nouveau que le nazisme ne soit pas du sionisme, avant, c'était une partie du vaste complot juif pour dominer le monde.
ha bon ? C'est nouveau...Tu as lu ça où il n'a jamais été question de ça, du moins de ma part.
Citation :
L'article ne relate rien du tout, il déblatère des absurdités et se contente de balancer le discours habituel des anti-sionistes habituel. Et le problème est là. L'idéologie est que l'on ne connaît pas les "détails" de l'histoire, alors que c'est faux, les détails, on les connaît très bien, on a toutes les informations que l'on souhaite avoir sous la main. Ce n'est pas comme si Hitler avait "comploté" (lui qui avait une sainte horreur du moindre petit comploteur).
Si si, c'est bel et bien basé sur des faits historiques..Que cela te tiennes...Il n'y a pas de discours dans l'article, juste des faits, il n'y a aucune orientation affichée, enfin il suffit de lire pour s'en rendre compte...Donc je ne vois pas l'utilité que tu as à affirmer se genre de chose...
Et tu déformes mes propos et ceux de l'article, je ne dis pas que Hitler a comploté.
Citation :
Hitler n'était pas défavorable en soi à un état juif, car ça lui permettait de pouvoir "identifier" l'ennemi sans avoir à le "chercher". Il le dit assez régulièrement, et comme c'est su, connu, et reconnu, il a œuvré dans le sens de la création d'un Etat juif, en dehors de son Reich, bien entendu.
Déjà il n'était pas le seul à y être favorable, et bien avant la guerre...C'est déjà en sois un bonne indice. Sans compter qu'il a été financé par des industries et banques détenues par des sionistes...
Puis il c'est planté ne l'oublions pas...Il c'est fait avoir par les sionistes, comme il a voulu la faire à l'envers aux russes et qu'il lui ont bien fait regretté...Armée qui je le rappelle, dirigée en grande partie par des juifs.
Citation :
Il a perdu la guerre, certes, mais que les sionistes dominent le monde, j'ai un doute, surtout quand tu vois la taille de l'empire chinois. Je ne me sens personnellement pas sous la menace, ou la contrainte, du juif parrain de la mafia local. Donc bon, que le sionisme domine le monde, c'est bien une opinion, ou une vision de l'esprit, mais elle ne repose assurément pas sur quelque chose de rationnel.
Et attention, je ne nie pas qu'il y ait un impérialisme sioniste.
Bien sûr que si c'est du rationnel et non une opinion....
Se que je dis, est basé sur une longue étude...De qui détiens les multinationales et les banques, ou les vrais groupe dirigeants genre CFR ou trilatérale. Ou encore de sociétés secrètes...
Et pour la Chine, ils sont eux aussi dépendant de l'économie mondiale, certes par encore assez à leur goûts, tout comme la Russie qui eut sont volontiers plus sous la bote des juifs orthodoxes, si qui on le voies pose problème....
Citation :
Libération a beau être la firme Rotschild (admettons), il a pourtant mis en première page une annonce de la possible dissolution de la LDJ, et il y a consacré la page 10 de son journal du jour, en expliquant POURQUOI cette mesure n'était pas une mauvaise mesure... donc bon, si ça aussi c'est du sionisme éhonté et avéré, tout en consacrant une double page au non sens de l'invasion de Gaza... C'est à se demander si les personnes qui s'en prennent à ce genre de journaux ont fait l'effort de les lire, sans l'a priori politique d'être d'extrême droite... Car Libération est un journal de gauche.
Heu ? Je ne te suis plus là Qu'est-ce que Libé vient faire ici...Roooooh, tu te trompe de sujet réponds sur l'autre file si il te palis bien bien....Celui sur Gaza justement, ou tu as dis que Libé justement en parlait de la dissolution de la LDJ...Et où je te réponds, "oui car c'est moi qui ais posté l'article" Sinon je ne le savais pas qu'il appartient à Rothschild...Mais en même temps cela ne change pas grand chose à la donne. En effet les médias sont détenu par l'entité sioniste, mais se qu'il ne laisse pas moins encore une once de liberté de presse, de couleur aussi...Sinon tout serais claire alors, nous serions sous domination totale...Déjà qu'en France on a assisté ces derniers temps à leur toute puissance, cela va des derniers événements jusqu'à ceux concernant dieudo, ou encore avant Au "gonflement" médiatique d'agression isolée de juifs. Donc au moins deux cas c'était avéré l'oeuvre du prétendu agressé qui avait mit son antagoniste en situation de légitime défense.
Citation :
On reparlera des juifs intouchables quand tu seras allée au mémorial de la Shoah.(...)
M'enfin Aegis ! Ais-je nié se genre de faits gravissime ? c'est du négationnisme ça ! Et je ne donne pas dans se genre de marasme historique, désolée Non j'ai parlé de la défense d'une certaine caste...Ou de la défense de leur propre sujet juifs pour leur éviter les camps, ça oui, mais de la à dire qu'ils fut tous épargné ça non, je ne le nierais jamais ! Je n'oublie pas que partout, il y a le peuple, et la caste dirigeante, et je me sens proche de tout les peuples du monde, sans exception
Citation :
Et non, je ne parle pas d'eugénisme, mais de la vision même du monde d'Hitler, pour qui le monde est un jeu de forces et où tout se résume à une lutte pour la survie, c'est en cela que l'eugénisme s'inscrit, mais Hitler l'applique à tous les niveaux. C'est à savoir, si l'on veut prétendre dire quelque chose sur lui, et encore plus se lancer dans de savantes théories sur sa soi-disant coopération forcée avec l'entité sioniste.
C'est un autre sujet ça Aegis....un sujet "passionnant" pour lequel j'ai déjà pris part sur un autre sujet. La vision de Hitler est une chose, et se qu'il a pu en appliquer une autre...
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Sam 2 Aoû 2014 - 12:41
Les deux sujets sont liés. Il y est question du vaste "complot" sioniste. Pour comprendre ma position, je t'invite à visionner le film "Le Juif Süss". Tu comprendras mieux pourquoi je t'explique en quoi tu te trompes. Le mémorial de la Shoah permet d'apprendre pour ceux qui l'ignorent que le nazisme a touché toutes les couches de la société, en témoignent les piles de manteaux de fourrure, les bijoux et autres produits de luxe accumulés par le régime dans les camps.
Évite aussi de redire ce que je dis : j'ai dit qu'on connaissait très bien les détails de l'Histoire, et tu réponds que non on ne le connaît pas, et que c'est pour cela que tu les relates... Donc je te le redis : on les connaît très bien, et pas besoin d'une relecture idéologique pour les comprendre. Hitler s'est servi en bon pragmatique de tout ce qui pouvait être utile à ses intérêts, en particulier, tout ce qui pouvait amener à la division parmi ses ennemis... D'où une implantation du nazisme d'ailleurs dans d'autres pays pour paralyser (du moins tenter de) certains secteurs (idéalement, le gouvernement).
L'utilité c'est d'éviter de dire encore que les sionistes ont fait un vaste complot top secret, parce que c'est faux.
Akasha a écrit:
Déjà il n'était pas le seul à y être favorable, et bien avant la guerre...C'est déjà en sois un bonne indice. Sans compter qu'il a été financé par des industries et banques détenues par des sionistes...
Puis il c'est planté ne l'oublions pas...Il c'est fait avoir par les sionistes, comme il a voulu la faire à l'envers aux russes et qu'il lui ont bien fait regretté...Armée qui je le rappelle, dirigée en grande partie par des juifs.
Akasha a écrit:
Aegis a écrit:
C'est nouveau ça tient que le sionisme s'est servi du nazisme, enfin, je veux dire, que c'est nouveau que le nazisme ne soit pas du sionisme, avant, c'était une partie du vaste complot juif pour dominer le monde.
ha bon ? C'est nouveau...Tu as lu ça où scratch il n'a jamais été question de ça, du moins de ma part.
Et ça, ça n'est pas affirmer que le sionisme s'est servi du sionisme pour arriver à ses fins ? En plus, c'est être inculte sur ce point, parce que c'est ignorer que Staline a fait exécuter ABSOLUMENT toute l'armée qui a conquis l'Allemagne. Donc les juifs (à supposer que les généraux soient tous réellement des juifs), ils se sont fait impérialement entuber par le grand spécialiste des complots et de la manipulation que fut Staline.
En clair, d'après ta pensée : les juifs sont partout... Et c'est là ENCORE le bon vieux poncif qui a conduit au nazisme. C'est malsain, puant, intolérable et complètement pervers, parce que cela est faux, et utilisé à des fins douteuses, voire complètement abjectes, car cela conduit à justifier des massacres. Tu ne le fais peut-être pas, mais aie au moins conscience que l'arrière plan de ce que tu défends c'est ça.
Une longue étude peut parfaitement être irrationnelle. Il y a bien une Eglise de Scientologie.
Et puisque tu soutiens qu'il y a des castes intouchables juives, tu apprendras que cela est faux, car le nazisme n'a fait aucune distinction de rang ou de classe sociale. Il a exterminé tous ceux qui n'avaient pas les moyens (ou l'intelligence) de s'enfuir. Il est vrai qu'une bonne partie de la très grande bourgeoisie a fui (assez loin) quand il était encore temps, mais les grandes rafles nazies ont touché toutes les couches de la société.
D'après les chiffres et les statistiques dont on dispose : - 250 000 juifs (environ) quittent l'Allemagne dès 1933.
Les USA (en particulier) se montrent réticents à l'accueil de ces juifs. Parmi ces juifs là, tu trouves quelques célébrités (évidemment, on pense à A. Einstein), mais d'autres comme S. Zweig restent en Allemagne.
L'un des principaux effets est le vieillissement de la population juive d'Allemagne, mais SURTOUT, cela pousse à créer un sentiment identitaire juif, puisque le régime fait tout pour les isoler du reste du pays (méthode totalitaire simple, mais efficace, Staline y excellait lui aussi). Et comme le nazisme est pervers, il créé un organisme d'Etat sous tutelle de la Gestapo fréquenté uniquement cependant par un public juif (interdit aux allemands).
Quand Hitler prend ses premières mesures d'exclusion des juifs d'Allemagne, on assiste à une vague de suicides de la part de la bourgeoisie juive (des gens qui donc, avaient les moyens de fuir). Cela fait partie des informations que l'on a pu récupérer, car le Reich avait des services "comptables" assez performants, et ils n'ont pu tout détruire. Il y a eu des mouvements de résistance divers également, dont les fameuses "jeunesses juives" qui ont pu servir de base pour ces mouvements clandestins.
Enfin, pour rétablir les faits avec rigueur, il y a bien eu, dans une certaine mesure, collaboration juive avec le régime nazi.
Si tu veux réellement t'intéresser à un juif controversé, épineux, et problématique, intéresse toi à Rudolph Kastner ou Elke Sirewiza. Si tu veux te confronter à des cas de conscience, je te conseille le cas du rabbin Benjamin Murmelstein.
Tu noteras assez vite que cela concerne les pays de l'est.
Concernant maintenant les pays de l'Ouest (Allemagne incluse), tu trouveras quelques salauds (ils sont surnommés comme ça par les historiens) notoires : - Icek Glogowski, - et globalement, les Jüdenräte, qui posent de nombreuses questions, et qui oscillent entre simple survie ou goût pour l'autodestruction.
Enfin, sur la question des juifs dans les "hautes" sphères du pouvoir nazi : - outre la question de Hitler lui-même, qui serait un bâtard d'une célèbre lignée juive (ce qui peut expliquer pourquoi le nazisme considère qu'avoir un seul grand parent juif n'est pas un "crime"), - dans la Wehrmacht, on trouve des "métis" juif-allemand, et là, on tombe dans le délire nazi de savoir qui est véritablement juif et qui ne l'est pas véritablement... En d'autres termes, cela tient surtout au bon goût des dignitaires. Ce n'est pas une question à prendre cependant à la légère, et les études actuelles sont controversées. Il n'y a pas de réponse pour le moment sur cette question.
C'est également une question qui suscite des réactions violentes, voire très violentes, dans les populations juives. Il y a eu des meurtres de collabo juifs, et de nombreux règlements de compte.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Dim 3 Aoû 2014 - 7:06
Aegis a écrit:
Les deux sujets sont liés. Il y est question du vaste "complot" sioniste. Pour comprendre ma position, je t'invite à visionner le film "Le Juif Süss". Tu comprendras mieux pourquoi je t'explique en quoi tu te trompes. Le mémorial de la Shoah permet d'apprendre pour ceux qui l'ignorent que le nazisme a touché toutes les couches de la société, en témoignent les piles de manteaux de fourrure, les bijoux et autres produits de luxe accumulés par le régime dans les camps
Oui, je ne le nie pas ! J'ai bien la différence entre juifs et sionistes. Au départ les juifs étaient farouchement opposé au sionisme en Allemagne (cf ils étaient moins de 2%). Et étaient allemand avant-tout ! car ils avaient durant la 1er guerre, combattu du côté des allemands...
Aussi Quand les britanniques ont proposé en 67 de coupé la Palestine en deux pour les juifs, le partit nazis on commencé à avoir des doutes sur le fait d'avoir laissé les sionistes d'Allemagne avec les coudées aussi franche. Mais Hitler fit taire ses opposants, et continua le plan des accords de transfert. Il fit d'ailleurs signé d'autres pays (Italie, Roumanie, Hongrie, enfin tout ceux sous l’influence nazie) Qu'avait-ils à gagné d'agir de la sorte ? Le commerce bien-Sûr, entre le moyens orient et l'Allemagne.
de plus les sionistes se sont comporté comme leur agent !
Il faut bien se rendre compte, dès que les Nazis parvinrent au pouvoir en 1933, les Sionistes acquirent un statut politique visiblement protégé. Après l’incendie du Reichstag, les Nazis écrasèrent pratiquement tous les partis politiques d’opposition et provoquèrent la fermeture de 600 journaux. Mais pas ceux des Sionistes, ni leurs publications qui étaient colportées à chaque coin de rue, et virent leurs circulations se multiplier par cinq à 38 000 exemplaires....
Au fait, le sionisme était la seule philosophie politique distincte accréditée par le Troisième Reich... Il avait leur propre uniforme, c'était les seules autorisés...
Donc voila, il faut bien faire la distinction entre juif pratiquant et les sionistes qui auront tout fait pour obtenir leur terre d’Israël...Et moi je dis qu'avec cette partie de l'histoire occultée on comprends mieux la façon actuelle de Israël d'agir !
Citation :
Évite aussi de redire ce que je dis : j'ai dit qu'on connaissait très bien les détails de l'Histoire, et tu réponds que non on ne le connaît pas, et que c'est pour cela que tu les relates... Donc je te le redis : on les connaît très bien, et pas besoin d'une relecture idéologique pour les comprendre. Hitler s'est servi en bon pragmatique de tout ce qui pouvait être utile à ses intérêts, en particulier, tout ce qui pouvait amener à la division parmi ses ennemis... D'où une implantation du nazisme d'ailleurs dans d'autres pays pour paralyser (du moins tenter de) certains secteurs (idéalement, le gouvernement).
L'utilité c'est d'éviter de dire encore que les sionistes ont fait un vaste complot top secret, parce que c'est faux.
Hey bien tu vois bien que non...Il y a tellement de faits historiques occulté. Qu'il est un devoir de cherché la vérité, tout doit être remis en question car la plupart des historiens savent très bien qu'une partie est cachée pour des raisons bien précise, qui en générale est "de caché la vérité au bon peuple qui doit resté ignorant" Et sur des faits aussi grave et au vue de l'influence sioniste, tu penses bien qu'il faut creusé. Ils nous ont pas pondu la Loi Gayssot pour rien ! Sais-tu par-exemple qu' au procès de Nuremberg de l’après-guerre, Julius Streicher a affirmé que les lois de Nuremberg de 1935 ont été calqué sur la loi juive religieuse raciste ; "J’ai à maintes reprises insisté sur le fait que les Juifs devraient servir d’exemple à toutes les races, car ils ont créé une loi raciale pour eux-mêmes, la loi de Moïse, qui dit : «Si vous venez dans un pays étranger, vous ne prendrez pas pour vous-mêmes les femmes étrangères."...
Ces lois des Juifs ont été prises comme modèle pour ces lois
Citation :
Et ça, ça n'est pas affirmer que le sionisme s'est servi du sionisme pour arriver à ses fins ? En plus, c'est être inculte sur ce point, parce que c'est ignorer que Staline a fait exécuter ABSOLUMENT toute l'armée qui a conquis l'Allemagne. Donc les juifs (à supposer que les généraux soient tous réellement des juifs), ils se sont fait impérialement entuber par le grand spécialiste des complots et de la manipulation que fut Staline.
Non ! ET JE VIENS D' ARGUMENTER PLUS SERRE ! Sinon entre sionisme et nazisme, je dirai plus COMPLÉMENTAIRE ! Ainsi les choses seront-elles plus claire ? pour Staline, je connais bien aussi cette partie de l'histoire, mais je doute là aussi que les choses se soit passé ainsi...A se sujet Orné avait eux un beau débat avec toi, agrémenté de bon papiers sur le sujet : http://www.planete-revelations.com/t14101p30-europe-trilaterale-mondialisme-soyez-un-conspirationniste-tot-ou-tard-vous-serez-forcement-dans-le-vrai?highlight=soyezvoila à voir à partir du milieux de cette page jusqu'à la suivante. Il vous sera exposer de façon claire et précise le rôle juif dans le bolchévisme et la création du communiste, encore un fait de l'histoire bien occulté !
Citation :
En clair, d'après ta pensée : les juifs sont partout... Et c'est là ENCORE le bon vieux poncif qui a conduit au nazisme. C'est malsain, puant, intolérable et complètement pervers, parce que cela est faux, et utilisé à des fins douteuses, voire complètement abjectes, car cela conduit à justifier des massacres. Tu ne le fais peut-être pas, mais aie au moins conscience que l'arrière plan de ce que tu défends c'est ça.
Vraiment ? On se demande bien c'est qui encore une fois qui à repris les méthodes de l'autre pour l'appliquer sur un peuple ! Et on se demande quelle grande puissance qui a aussi calqué son empire sur les nazis pour persécuté le monde entier en jouant les gendarmes du monde... Et ayant manœuvré et comploté pour construire l'UE à la carte pour pouvoir les asservir à terme (cf union transatlantique). Il y a une grande différence entre justement dénoncer que justifier !
Citation :
Et puisque tu soutiens qu'il y a des castes intouchables juives, tu apprendras que cela est faux, car le nazisme n'a fait aucune distinction de rang ou de classe sociale. Il a exterminé tous ceux qui n'avaient pas les moyens (ou l'intelligence) de s'enfuir. Il est vrai qu'une bonne partie de la très grande bourgeoisie a fui (assez loin) quand il était encore temps, mais les grandes rafles nazies ont touché toutes les couches de la société.
...Encore une fois, sauf les sionistes...Qui bénéficiaient de toutes les largesses du régime nazis...Et se également dans d'autres pays sous l'autorité des nazis, comme le gouvernement de Vichy...
Citation :
Enfin, pour rétablir les faits avec rigueur, il y a bien eu, dans une certaine mesure, collaboration juive avec le régime nazi.
...Non sioniste.
Citation :
Si tu veux réellement t'intéresser à un juif controversé, épineux, et problématique, intéresse toi à Rudolph Kastner ou Elke Sirewiza. Si tu veux te confronter à des cas de conscience, je te conseille le cas du rabbin Benjamin Murmelstein.
Merci, je vais chercher ça
Citation :
D'après les chiffres et les statistiques dont on dispose : - 250 000 juifs (environ) quittent l'Allemagne dès 1933.
Les USA (en particulier) se montrent réticents à l'accueil de ces juifs. Parmi ces juifs là, tu trouves quelques célébrités (évidemment, on pense à A. Einstein), mais d'autres comme S. Zweig restent en Allemagne.
Au fait, personne n'en voulait ! Et il faut savoir que les sionistes se sont montré fort peu loquasse à faire changer d'avis, les pays à les accueillir. Visiblement cela ne les arrangeait pas de trop...
"le dirigeant sioniste Eliezer Livneh (qui était le rédacteur en chef de l’organe de la Haganah pendant la deuxième guerre mondiale) lors d’un symposium organisé par le journal israélien Maariv, en 1966, qui expliquait « que pour les dirigeants sionistes, secourir les juifs n’était pas un but en soi, mais seulement un moyen » (c’est-à-dire pour établir un Etat juif en Palestine)" : http://www.interet-general.info/spip.php?article19104
Il est bien de savoir aussi que les sionistes dès 37 ont organisés une série d'attentats visant des bus, et tuant plus de 27 personnes et autant de blessés !! Quoi ?! Vous avez dit des putains de bus ?
Puis en 47 de nouveaux une vague d'attentats commis sur des palestiniens..Des bombes lancées depuis des camions...
le 13 décembre de cette année, le Irgoun Zvei leumi organise de nouveau un attentat, tuant et assassinant 18 palestiniens du côté de Jaffa et Lod...
Le 9 décembre le Haganah attaque un village prés de Zaffad et font sauté deux maisons...
Et en 48 cela continue..Exemple le Haganah munis de faux uniformes britannique s'introduiront à Jaffa dans un sérail qui servait de QG au comité internationale arabe tuant net plus de 40 personnes et en blessant 98 autres...
Vous voyez quand on voie un peu la vraie histoire..On se rend compte que Israël est un faux état et xénophobe de surcroit...Et un état terroriste ! Si vous voulez en savoir plus, lisez cet ouvrage ----> Edwin Black "Le Contrat de Transfert"
Et pour terminer, j'ai mis la main sur la version complète de la thèse de Klaus Polkhen :Histoire : Le sionisme et le régime nazi _________________________
Dernière édition par akasha le Ven 8 Aoû 2014 - 23:37, édité 1 fois
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Dim 3 Aoû 2014 - 11:33
Evidemment que Hitler n'allait pas faire fermer les journaux juifs... Pourquoi l'aurait-il fait ? C'était le meilleur moyen, et le plus simple, d'entretenir d'une part la séparation avec le reste de l'Allemagne, d'autre part préparer l'exclusion des juifs de la société allemande, et surtout, de pouvoir accumuler des preuves qu'ils sont une menace, afin de faire réagir le peuple allemand.
Cela n'a rien à voir, une fois de plus, avec un privilège accordé aux sionistes. Non, c'est l'inverse, c'est l'un des premiers moments de la persécution. C'est tout aussi pervers que de retourner les faits et de dire que c'est un privilège...
Hitler a créé et entretenu le sionisme, il le voulait, pour avoir un ennemi à écraser. S'il n'avait pas créé cet ennemi, son mouvement n'aurait pas pu prendre racine et créer au sein de la population allemande ce sentiment de menace juive. C'est encore une fois, une méthode totalitaire, qui manifestement continue à piéger même après la mort du mouvement nazi.
Ne vous faites pas avoir par la perversité de la pensée nazie, cela vous évitera de croire au passage tout ce que l'on peut raconter sur le sionisme des années 30 et de la "collaboration" du Reich avec eux.
En parallèle, Staline a entretenu et favorisé la NEP, avant de tous les écraser quand il a fallu changer de politique. Hitler a fait pareil avec les juifs. Encore une fois, le procédé est assez simple : - créer une distinction (le juif, ou le néo-bourgeois russe), - entretenir une distinction, en lui accordant des privilèges, - montrer à l'opinion publique qu'ils ne sont pas comme eux, - créer la menace (le retour du tsarisme, le complot juif), - rendre la menace objective en amenant à revendiquer cette différence de traitement, ce privilège, etc., - écraser la menace.
Au contraire à chaque fois que je lis un soit disant élément occulté, je ne vois que le travestissement de quelque chose de déjà bien connu, reconnu et identifié, tout autant perverti qu'incompris ou pire. C'est en plus ne pas assez rendre compte du caractère profondément pervers de la pensée totalitaire, et c'est rendre les gens comme Hitler sots ou naïfs... Ce qui est un contresens historique absurde.
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Bonjour tout le monde Encore un très bon article sur le sionisme que je ne vais pas manquer de partager avec-vous. il est important de bien le définir, afin de bien comprendre que les sionistes n'ont vraiment rien avoir avec la religion hébraïque. Et n'a jamais eux comme objectif de sauver le peuple juif.... Le sionisme est un impérialisme ! Le sionisme s'adapte aussi très bien aux régimes ou système politique des autres...On le vois bien en Europe, particulièrement en France, ou encore aux USA..Ou dans le passé avec le régime du 3ème Reich ! Voici donc cet excellent papier de monsieur Meyssan qui encore une fois tape avec beaucoup de justesse, bonne lecture
Israël Qui est l’ennemi ? par Thierry Meyssan
Chacun a son opinion pour expliquer les massacres commis par l’État d’Israël à Gaza. Alors que dans les années 70 et 80, on y voyait une manifestation de l’impérialisme anglo-saxon, beaucoup l’interprètent aujourd’hui comme un conflit entre juifs et arabes. Revenant sur la longue période —quatre siècles d’Histoire—, Thierry Meyssan, consultant auprès de plusieurs gouvernements, analyse l’origine du sionisme, ses véritables ambitions, et détermine qui est l’ennemi.
La guerre, qui se poursuit sans interruption depuis 66 ans en Palestine, a connu un nouveau rebondissement avec les opérations israéliennes « Gardiens de nos frères », suivie de « Roc inébranlable » (traduit étrangement dans la presse occidentale en « Bordure protectrice »).
À l’évidence, Tel-Aviv —qui avait choisi d’instrumenter la disparition de trois jeunes Israéliens pour lancer ces opérations et « déraciner le Hamas » afin d’exploiter le gaz de Gaza, conformément au plan énoncé en 2007 par l’actuel ministre de la Défense [1]— a été dépassé par la réaction de la Résistance. Le Jihad islamique a répondu par l’envoi de roquettes à moyenne portée très difficiles à intercepter, qui se sont ajoutées à celles lancées par le Hamas.
La violence des événements, qui ont déjà coûté la vie à plus de 1500 Palestiniens et 62 Israéliens (mais les chiffres israéliens sont soumis à la censure militaire et sont probablement minorés), a soulevé une vague de protestation dans le monde entier. En plus de ses 15 membres, le Conseil de sécurité, réuni le 22 juillet, a donné la parole à 40 autres États qui entendaient exprimer leur indignation devant le comportement de Tel-Aviv et sa « culture de l’impunité ». La séance, au lieu de durer les 2 heures habituelles, en a duré 9 [2].
Symboliquement, la Bolivie a déclaré Israël « État terroriste » et a abrogé l’accord de libre-circulation le concernant. Mais d’une manière générale, les déclarations de protestation ne sont pas suivies d’une aide militaire, à l’exception de celles de l’Iran et symboliquement de la Syrie. Tous deux soutiennent la population palestinienne via le Jihad islamique, la branche militaire du Hamas (mais pas sa branche politique, membre des Frères musulmans) et le FPLP-CG.
Contrairement aux précédents (opérations « Plomb durci » en 2008 et « Colonne de nuée » en 2012), les deux États qui protègent Israël au Conseil (les États-Unis et le Royaume-Uni), ont facilité l’élaboration d’une déclaration du président du Conseil de sécurité soulignant les obligations humanitaires d’Israël [3]. De fait, au-delà de la question fondamentale d’un conflit qui dure depuis 1948, on assiste à un consensus pour condamner au minimum le recours d’Israël à un emploi disproportionné de la force.
Cependant, cet apparent consensus masque des analyses très différentes : certains auteurs interprètent le conflit comme une guerre de religion entre juifs et musulmans ; d’autres y voient au contraire une guerre politique selon un schéma colonial classique. Que faut-il en penser ?
Qu’est ce que le sionisme ?
Au milieu du XVIIe, les calvinistes britanniques se regroupèrent autour d’Oliver Cromwell et remirent en cause la foi et la hiérarchie du régime. Après avoir renversé la monarchie anglicane, le « Lord protecteur » prétendit permettre au peuple anglais de réaliser la pureté morale nécessaire pour traverser une tribulation de 7 ans, accueillir le retour du Christ et vivre paisiblement avec lui durant 1 000 ans (le « Millenium »). Pour ce faire, selon son interprétation de La Bible, les juifs devaient être dispersés aux confins de la terre, puis regroupés en Palestine et y reconstruire le temple de Salomon. Sur cette base, il instaura un régime puritain, leva en 1656 l’interdiction qui était faite aux juifs de s’installer en Angleterre et annonça que son pays s’engageait à créer en Palestine l’État d’Israël [4]
La secte de Cromwell ayant été à son tour renversée à la fin de la « Première Guerre civile anglaise », ses partisans tués ou exilés, et la monarchie anglicane ayant été rétablie, le sionisme (c’est-à-dire le projet de création d’un État pour les juifs) fut abandonné. Il ressurgit au XVIIIe siècle avec la « Seconde Guerre civile anglaise » (selon la dénomination des manuels d’Histoire du secondaire au Royaume-Uni) que le reste du monde connaît comme la « guerre d’indépendance des États-Unis » (1775-83). Contrairement à une idée reçue, celle-ci ne fut pas entreprise au nom de l’idéal des Lumières qui anima quelques années plus tard la Révolution française, mais financée par le roi de France et conduite pour des motifs religieux au cri de « Notre Roi, c’est Jésus ! ».
George Washington, Thomas Jefferson et Benjamin Franklin, pour ne citer qu’eux, se sont présentés comme les successeurs des partisans exilés d’Oliver Cromwell. Les États-Unis ont donc logiquement repris son projet sioniste.
En 1868, en Angleterre, la reine Victoria désigna comme Premier ministre, le juif Benjamin Disraéli. Celui-ci proposa de concéder une part de démocratie aux descendants des partisans de Cromwell de manière à pouvoir s’appuyer sur tout le peuple pour étendre le pouvoir de la Couronne dans le monde. Surtout, il proposa de s’allier à la diaspora juive pour conduire une politique impérialiste dont elle serait l’avant-garde. En 1878, il fit inscrire « la restauration d’Israël » à l’ordre du jour du Congrès de Berlin sur le nouveau partage du monde.
C’est sur cette base sioniste que le Royaume-Uni rétablit ses bonnes relations avec ses anciennes colonies devenues États-Unis à l’issue de la « Troisième Guerre civile anglaise » —connue aux États-Unis comme la « guerre civile américaine » et en Europe continentale comme la « guerre de Sécession » (1861-65)— qui vit la victoire des successeurs des partisans de Cromwell, les WASP (White Anglo-Saxon Puritans) [5]. Là encore, c’est tout à fait à tort que l’on présente ce conflit comme une lutte contre l’esclavage alors que 5 États du Nord le pratiquaient encore.
Jusqu’à la presque fin du XIXe siècle, le sionisme est donc exclusivement un projet puritain anglo-saxon auquel seule une élite juive adhère. Il est fermement condamné par les rabbins qui interprètent la Torah comme une allégorie et non pas comme un plan politique.
Parmi les conséquences actuelles de ces faits historiques, on doit admettre que si le sionisme vise à la création d’un État pour les juifs, il est aussi le fondement des États-Unis. Dès lors, la question de savoir si les décisions politiques de l’ensemble sont prises à Washington ou à Tel-Aviv n’a plus qu’un intérêt relatif. C’est la même idéologie qui est au pouvoir dans les deux pays. En outre, le sionisme ayant permis la réconciliation entre Londres et Washington, le remettre en cause, c’est s’attaquer à cette alliance, la plus puissante au monde.
L’adhésion du peuple juif au sionisme anglo-saxon
Dans l’Histoire officielle actuelle, il est d’usage d’ignorer la période XVIIe-XIXe siècle et de présenter Theodor Herzl comme le fondateur du sionisme. Or, selon les publications internes de l’Organisation sioniste mondiale, ce point est également faux.
Le vrai fondateur du sionisme contemporain n’était pas juif, mais chrétien dispensationaliste. Le révérend William E. Blackstone était un prêcheur états-unien pour qui les vrais chrétiens n’auraient pas à participer aux épreuves de la fin des temps. Il enseignait que ceux-ci seraient enlevés au ciel durant la bataille finale (le « ravissement de l’Église », en anglais « the rapture »). À ses yeux, les juifs livreraient cette bataille et en sortiraient à la fois convertis au Christ et victorieux.
C’est la théologie du révérend Blackstone qui a servi de base au soutien sans faille de Washington à la création d’Israël. Et ceci bien avant que l’AIPAC (le lobby pro-Israélien) soit créé et prenne le contrôle du Congrès. En réalité, le pouvoir du lobby ne vient pas tant de son argent et de sa capacité à financer des campagnes électorales que de cette idéologie toujours présente aux USA [6].
La théologie du ravissement pour aussi stupide qu’elle puisse paraître est aujourd’hui très puissante aux États-Unis. Elle représente un phénomène en librairie et au cinéma (voir le film Left Behind, avec Nicolas Cage, à paraître en octobre).
Theodor Herzl était un admirateur du diamantaire Cecil Rhodes, le théoricien de l’impérialisme britannique et fondateur de l’Afrique du Sud, de la Rhodésie (auquel il donna son nom) et de la Zambie (ex-Rhodésie du Nord). Herzl était juif, mais pas israélite et n’avait pas circoncis son fils. Athée comme beaucoup de bourgeois européens de son époque, il préconisa d’abord d’assimiler les juifs en les convertissant au christianisme. Cependant, reprenant la théorie de Benjamin Disraéli, il arriva à la conclusion qu’une meilleure solution était de les faire participer au colonialisme britannique en créant un État juif, dans l’actuel Ouganda ou en Argentine. Il suivit l’exemple de Rhodes dans la manière d’acheter des terres et de créer l’Agence juive.
Blackstone parvint à convaincre Herzl de joindre les préoccupations des dispentionnalistes à celles des colonialistes. Il suffisait pour cela d’envisager de créer Israël en Palestine et de multiplier les références bibliques. Grâce à cette idée assez simple, ils parvinrent à faire adhérer la majorité des juifs européens à leur projet. Aujourd’hui Herzl est enterré en Israël (sur le Mont Herzl) et l’État a placé dans son cercueil La Bible annotée que Blackstone lui avait offerte.
Le sionisme n’a donc jamais eu comme objectif de « sauver le peuple juif en lui donnant une patrie », mais de faire triompher l’impérialisme anglo-saxon en y associant les juifs. En outre, non seulement le sionisme n’est pas un produit de la culture juive, mais la majorité des sionistes n’a jamais été juive, tandis que la majorité des juifs sionistes ne sont pas israélites. Les références bibliques, omniprésentes dans le discours officiel israélien, ne reflètent la pensée que de la partie croyante du pays et sont avant tout destinées à convaincre la population états-unienne.
C’est à cette période que l’on créa le mythe du peuple juif. Jusque-là, les juifs se considéraient comme appartenant à une religion et admettaient que leurs membres européens n’étaient pas des descendants des juifs de Palestine, mais de populations converties au cours de l’Histoire [7].
Blackstone et Herzl ont artificiellement fabriqué l’idée selon laquelle tous les juifs du monde seraient des descendants des juifs antiques de Palestine. Dès lors, le mot juif s’applique non seulement à la religion israélite, mais désigne aussi une ethnie. En se fondant sur une lecture littérale de La Bible, ils sont devenus les bénéficiaires d’une promesse divine sur la terre palestinienne.
Le pacte anglo-saxon pour la création d’Israël en Palestine
La décision de créer un État juif en Palestine a été prise conjointement par les gouvernements britannique et états-unien. Elle a été négociée par le premier juge juif à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, sous les auspices du révérend Blackstone et fut approuvée aussi bien par le président Woodrow Wilson que par le Premier ministre David Llyod George, dans le sillage des accords franco-britanniques Sykes-Picot de partage du « Proche-Orient ». Cet accord fut progressivement rendu public.
Le futur secrétaire d’État pour les Colonies, Leo Amery, fut chargé d’encadrer les anciens du « Corps des muletiers de Sion » pour créer, avec deux agents britanniques Ze’ev Jabotinsky et Chaim Weizmann, la « Légion juive », au sein de l’armée britannique.
Le ministre des Affaires étrangères Lord Balfour adressa une lettre ouverte à Lord Walter Rotschild pour s’engager à créer un « foyer national juif » en Palestine (2 novembre 1917). Le président Wilson inclut parmi ses buts de guerre officiels (le n°12 des 14 points présentés au Congrès le 8 janvier 1918) la création d’Israël [8]
Par conséquent, la décision de créer Israël n’a aucun rapport avec la destruction des juifs d’Europe survenue deux décennies plus tard, durant la Seconde Guerre mondiale.
Lire la fin sur le lien source : http://www.voltairenet.org/article184968.html
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Dernière édition par akasha le Ven 8 Aoû 2014 - 23:14, édité 1 fois
erikk
Messages : 254 Date d'inscription : 02/09/2010
Sujet: le sionisme Lun 4 Aoû 2014 - 18:01
Le sionisme ... le sionisme ... c'est fou en ce moment comme le sujet fait mouche !! ça _y est!! on a trouvé les coupables!!!!Si ça se trouve les jésuites instrumentalisent les sionistes; comment savoir !! et puis quel importance de savoir qui sont les kapots en chef ??? ... meme eux ; au final seront sur le bateau que leurs maitres couleront quand le vent tournera!!! A la prochaine version ; si ça se trouve ils choisiront les éveillés d'aujourdhui pour reprendre le flambeau !!LOL!!!
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Mar 5 Aoû 2014 - 10:55
L'essentiel c'est d'avoir des coupables.
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Sionistes VS jésuites :) Ven 8 Aoû 2014 - 6:20
Bonjour, Pas mal du tout l'article de Meyssan, akasha, merci. pour un peu appuyer son exposer, je rajouterai bien en substance ceci (sourire)