Quand on est une
victime du harcèlement électromagnétique ou torture imparable à distance dans mon genre, il y a une question qui vous taraude forcément plus que les autres :
Suis-je implanté d’un dispositif ou non ? Et si oui, où peut-il bien être ? Personne dans toute la francophonie n’est semble-t-il capable de répondre assurément à ce questionnement.
Ma position là-dessus est aujourd’hui et depuis plusieurs années plutôt tranchée, à savoir que l’on peut tous être plus ou moins atteints en France sans aucun dispositif, ou alors que nous sommes tous contaminés par une myriade d’éléments nanotechnologiques en nous quasiment impossibles à neutraliser.
Mais dernièrement, par acquis de conscience, pour en avoir le cœur net et parce qu’il faut bien malgré tout tenter quelque chose contre les attaques incessantes, je me suis mis à me demander, cela ne coûte pas grand-chose et n’est pas très contraignant, si ce ne serait pas pertinent de réaliser une radio du seul petit environnement dentaire qui m’a été soigné.
En effet, procédant dans l’ordre et par élimination, sans pour le moment rentrer dans des considérations aussi éloignées de la réalité que le fait d’être implanté après avoir été enlevé pendant la nuit sans s’en rendre compte ou par simple contact avec une personne ou un alien, le seul et unique moment où j’aurais pu recevoir un dispositif technologique extérieur, n’ayant jamais subi d’opération chirurgicale à l’hôpital ou ailleurs, serait a priori le jour de la seule et unique anesthésie pratiquée sur moi lors d’une consultation chez une dentiste fin février 2010. Je reviendrai plus tard sur les détails du déroulement de cette étrange opération s’il en est.
Et c’est donc ce que je fis le 19 novembre 2013, après deux mois d’hésitation, dans un autre cabinet dentaire proche de chez moi à l’occasion d’une consultation, où j’ai prétexté avoir une gêne dans une dent réparée et un mal dans l’autre. Que Dieu me pardonne ce mensonge négativement stérile. J’obtins donc une radiographie rétro-alvéolaire de trois dents, deux prémolaires et la première molaire supérieures droites, dont les deux seules réparées de toute ma denture, que voici (peut-être que les plus perspicaces d'entre vous y détecteront déjà l'anomalie) :
Cerveau ravagé durant 80% de mes journées oblige, on est rarement ciblé par amusement, je n’y ai rien trouvé d’anormal, de suspect. Mon attention s’était alors portée quasi-uniquement sur la première prémolaire. Jusqu’à ce que je la montre à un contact qui me fit remarquer quelque chose de plutôt étrange : un point noir comme entouré d’une capsule ovale ou oblongue et ceci, non pas dans la dent, mais entre la dent et l’os de la mâchoire. Cette anomalie n’a pas son pareil sur le reste de la radio et notamment dans l’ossature. En outre, ce point noir se situe exactement dans la continuité verticale de la réparation effectuée sur la première prémolaire, comme si elle avait uniquement servi à atteindre l’os.
Qu’est-ce que pourrait bien être ce petit élément ? Aucune certitude de possible pour le moment.
Tout d’abord il faut savoir que pour obtenir cette radio, ce fut étonnement compliqué. J’ai dans un premier temps téléphoné quelques jours après mon passage au cabinet en demandant si c’était possible de me la faire parvenir par mail, ce à quoi le docteur m’a répondu par l’affirmative. Puis deux semaines passèrent sans aucune nouvelle ni aucun mail. Je rappelle alors en demandant si le mail avait été effectivement envoyé mais la secrétaire me répondit qu’ils n’arrivaient pas à l’envoyer. J’ai donc proposé de venir la récupérer sur place et si possible par clé USB. Réponse encore une fois affirmative, sauf que quand j’arrive au cabinet, la secrétaire, faisant mine d’être pressée, me remet une version imprimée de la radio (sur papier d’imprimante !). Je lui dis que je m’attendais à ce que l’on me donne le fichier de la radio sur ma clé mais elle me rétorque que ce n’est pas possible ! Je lui demande donc gentiment de ne pas se payer ma tête car au téléphone on m’avait dit oui, en lui disant de ne pas me mentir et que si elle est pressé et que ce n’est pas possible maintenant ce n’est pas grave, je reviendrai une prochaine fois. Elle me répond « oui, voilà ». Pas de souci, je rappelle pour être sûr de ne pas trouver porte close et me fait encore une fois confirmer que je peux récupérer ma radio en version numérique. C’est donc armé de pas moins de quatre clés USB de tailles et marques différentes que j’arrive quelques jours plus tard, pour m’entendre dire par le dentiste cette fois-ci qu’ils n’arrivent pas à exporter les fichiers des radios rétro-alvéolaires mais seulement avec les panoramiques. Si c’est le même logiciel je ne vois comment cela pourrait poser problème. En outre, sur la radio imprimée figure le nom du logiciel, SOPIX/SOPRO IMAGING, dont j’ai réussi à trouver le manuel d’utilisation sur le net via Google. Je me rends à la page concernée par l’exportation et la sauvegarde de radiographies et constate que la procédure est simplissime…
Pour quelle raison dans ce cas chercherait-on visiblement à ce que je n’accède pas à la version haute définition de ma radio ?! En effet, la version papier est vraiment de piètre qualité et ne permet pas de zoomer sur des zones précises et en l’occurrence d’agrandir la partie suspecte où se trouve le point noir.
Deux possibilités : Soit on ne souhaite pas que je l’obtienne car on pourrait y découvrir (un autre professionnel de santé non corrompu, des contacts ou moi-même) une anomalie non médicale, soit c’est une fausse manigance pour me faire croire que l’on fait tout pour que je ne l’obtienne pas à des fins diverses, dont celles qui pourrait m’amener à faire des faux pas dans cette quête (psychiatriques ou mortels comme par exemple en m’arrachant des dents comme c’est le cas dans le film BUG dont l’analyse figure ici : http://bruleparlesillumines.e-monsite.com/pages/nom-films/bug-maladie-des-morgellons.html). Aucune certitude pour moi pour le moment là-dessus.
Quelques indications :
* Il faut savoir que de nombreuses personnes croisées çà-et-là sur le net en rapport avec mon souci m’ont rapidement mis sur la piste de la micropuce (« les dentistes sont payés 15000€ pour t’implanter », des dessins et tags évocateurs, des pseudos, des fausses victimes etc.), tellement que ça m’a paru suspect.
* Pourquoi avoir cherché à attirer mon attention sur cette réparation douteuse au lieu de le faire en douce, si l‘on m’a implanté un dispositif permettant discrètement de me nuire sur le long terme ? Mieux vaut que je ne me doute de rien n’est-ce pas ?
* Pour quelle raison la forme suspecte se trouverait-elle dans l’os plutôt que dans la dent, si ce n’est pour qu’elle y reste le plus longtemps possible quand bien même des dents soient arrachées ?
Dans l’attente d’un éclaircissement sur la situation, je cale plusieurs heures par jour un aimant néodyme de puissance N45 plus gros qu’une pièce de 2€ contre la région suspectée de préférence face Nord, comme cela peut être conseillé par certains sur le net pour ce qui concerne la destruction d’implants technologiques.
Revenons maintenant sur la dentiste peu scrupuleuse et sur ses deux interventions d’affilée sur moi. Intervention 1 (février 2010) :- Réparation de la première molaire douloureuse visible sur la radio de ce topic (à droite) ;
- Sans anesthésie car j’ai refusé (elle n’a pas insisté) ;
- Matière de la réparation rugueuse au passage de la langue ;
- Elle se moque de la précédente réparation réalisée à cette dent qui a tenu quatre ans alors que la sienne n’en tiendra que deux ;
- Comme une sorte de mini languette à l’intérieur de la molaire est perceptible en passant la langue dessus mais ne le sera plus lorsqu’une petite partie de la réparation se cassera (mai 2012) ;
- Cette réparation est repérable à l’œil nu (contrairement à la suivante) ;
- Elle me demande de revenir pour une carie que j’aurais entre deux dents en restant très évasive et sans me montrer exactement où, je n’ai alors aucune douleur où que ce soit dans la bouche.
Intervention 2 (deux jours plus tard) : - Elle me persuade pendant plusieurs minutes d’accepter de recevoir une anesthésie parce que soi-disant elle n’aime pas me voir souffrir (très étrange sachant que je n’ai à ce moment-là aucune douleur nulle part aux dents contrairement à la fois précédente) ;
- Elle passe plus d’une minute à m’injecter du produit ce qui a eu pour effet d’endormir la moitié de mon visage et de me mettre dans les vapes ;
- Elle réalise une longue opération, surement près d’une heure, durant laquelle elle coupera l’intérieur de ma joue (intentionnellement à 90% sûr) ;
- Beaucoup de personnes feront des allers retours dans la pièce ce jour-là ;
- Je crache beaucoup du sang à la fin de l’opération quand je dois me rincer la bouche ;
- Je lui parle en sortant d’une carie sur une dent de sagesse et elle me dit qu’on ne peut rien faire et qu’il faudra l’arracher alors que dans les jours qui suivent un autre dentiste me la réparera sans souci en quelques minutes ;
- Quand je quitte le cabinet elle me dit, en compagnie de sa secrétaire que c’est étrange car elles ne retrouvent plus mon dossier (sachant que j’ai déjà eu une intervention chez elle en septembre 2008 et que j’y suis donc enregistré depuis) ;
- Quatre jours après se manifeste une douleur aigüe sous l’articulation droite de la mâchoire avec un gros gonflement qui s’avère être une parotidite, inflammation de la glande salivaire parotide, m’empêchant d’avaler quoique que ce soit sans gros pincements instantanés ;
- De plus, dans les jours qui ont suivi cette maladie j’ai remarqué l’apparition soudaine d’un kyste aux environs de cette même glande parotide de la forme d’un grain de riz de deux centimètres ;
- Cette réparation n’est pas repérable à l’œil nu et est lisse (contrairement à la première), il faut que j’en informe les dentistes pour qu’ils la remarquent.
J’ai déjà fait une telle description orale dans une audio datant d’octobre 2012 que voici (dès 25:52) :
https://youtu.be/kOp2JVrfnFI?t=25m52s
En évitant de griller les étapes, je vais pour l’instant taire l’identité de la dentiste incriminée en l’absence de preuves tangibles et irréfutables. Mais il est clair que je n’hésiterai pas si le crime est avéré.
Je me permets au passage de m’autoévaluer sur cette seconde intervention, en remarquant qu’il a fallu être particulièrement stupide pour ne pas ne serait-ce que demander à voir la fameuse carie entre deux dents alors que je n’avais mal nulle part et rien remarqué ainsi que pour accepter une anesthésie, si petite soit-elle, afin de soigner une carie non-douloureuse alors que deux jours avant je la refusais pour une carie très douloureuse et profonde. Mais on mettra ce laxisme ou lâcher-prise sur le compte du gigantisme, de la quasi-universalité et de la persévérance de la bêtise humaine dans mon environnement et dans tous les recoins de ce foutu monde, à ce moment-là depuis plusieurs années A moins que ce ne soit l’influence indolore de dame technologie sur mon psychisme, allez savoir.
Je vous fais grâce de tous les signes et messages que m’a fait passer sa sainteté autour de ces interventions et suspicions d’implantation qui sont trouvable dans mon blog ou dans un coin de ma vieille mémoire.
Prochaines étapes de mon investigation : - Récupérer la radio en HD ou en faire réaliser une nouvelle dans un autre cabinet ;
- Faire constater l’existence d’un corps étranger ou non par plusieurs professionnels de santé et par la public sur la toile ;
- Si oui, faire constater par l’ICAACT ou un ingénieur/bureau d’études la présence d’émissions et/ou réceptions d’ondes électromagnétiques à partir de mon corps ;
- Porter l’affaire aux forces de l’ordre et/ou devant les tribunaux afin d’obtenir une extraction surveillée, filmée, attestée et une analyse approfondie en laboratoire du dispositif extrait ;
- Punir et mettre hors d’état de nuire ce ou ceux qui doivent l’être.
Mes réflexions et pérégrinations sur cette affaire et sur les moyens du harcèlement électronique figurent pour la plupart dans cette page de mon site (toutes les contributions y sont les bienvenues) :
http://bruleparlesillumines.e-monsite.com/pages/harcelement-urbain-et-electronique/harcelement-qui-pourquoi-comment-combien/comment-reussissent-ils-a-nous-atteindre.html
Suite au prochain épisode.