Sur les pratiques pédophiles et satanistes de la famille royale anglaise
Le prince accusé d'abus sexuels sur une mineure
Pourquoi l'affaire Andrew est un vrai danger pour la Couronne
Paris Match | Publié le 25/01/2015 à 12h00 |Mis à jour le 28/01/2015 à 19h14
Clément Mathieu
Le prince Andrew et le prince Charles, lors de la cérémonie religieuse du Jubilé de Diamant de la reine en 2012.
Le prince Andrew et le prince Charles, lors de la cérémonie religieuse du Jubilé de Diamant de la reine en 2012. REUTERS/Andrew Winning
Le prince Andrew, duc d’York, second fils de la reine, cinquième dans l’ordre de succession au trône britannique, est soupçonné d'un crime aussi grave que malsain. Une jeune femme assure avoir eu, mineure, des rapports sexuels avec Andrew, sur ordre du milliardaire américain Jeffrey Epstein, délinquant sexuel condamné et ami du prince. Un scandale autrement plus dramatique, plus complexe, plus redoutable que les exploits de beuveries d’un prince Harry.
Que va-t-il se passer à présent ? Quand Andrew a répondu, jeudi soir à Davos, aux accusations d’abus sexuels en public et en personne, le prince a affronté la controverse de façon rarissime pour un membre de la famille royale. Mais par la même, le fils de la reine Elizabeth II a presque atteint la dernière des solutions médiatiques. Que faire de plus pour se sortir de cette affaire, dans laquelle une jeune femme assure avoir eu, mineure, des rapports sexuels avec Andrew, sur ordre du milliardaire américain Jeffrey Epstein, délinquant sexuel condamné et ami du prince ?
Une interview peut-être ? Après deux communiqués de Buckingham et le discours d’Andrew de jeudi, de nouvelles dénégations ne seront que redites sans effet. Une riposte sur le terrain judiciaire ? Ce serait risquer de devenir l'acteur vedette d'une procédure dont il n'est pour le moment qu'un figurant fameux. Andrew ne risque rien, il n’est pas visé par la plainte, mais qui sait ce qu’il adviendra au cours de l’enquête ? Déjà les avocats de la plaignante ont demandé à ce que le prince témoigne sous serment.
La plus grave, la plus dangereuse crise depuis la mort de Diana
Quoi qu'il en soit, le prince Andrew, duc d’York, second fils de la reine, cinquième dans l’ordre de succession au trône britannique, est soupçonné d'un crime aussi grave que malsain. En cela, l’affaire est déjà une catastrophe pour la couronne britannique, institution dont l’essence même est l’image qu'elle renvoie au pays. En cela, la famille royale affronte sûrement la plus grave et la plus dangereuse crise qu'elle ait connue depuis la mort de Diana, marasme qui l'avait rendue méprisante et méprisable aux yeux des sujets.
Depuis le mariage de Kate et William en 2011, la «firme» avait pourtant fait un quasi sans faute. Oubliées les annus horribilis, les «royals» sont devenus cools. Impitoyables dans les années 1990, insensibles dans les années 2000, les médias britanniques sont aujourd’hui bienveillants avec la famille. Même les tabloïds savent se tenir : ils ont un respect sans borne pour la reine, de l’indifférence polie pour Charles et chérissent Kate pour éviter de la détruire comme Diana. De toute façon, en engageant les meilleurs communicants du pays, la Cour ne leur a rien laissé à rogner.
Andrew, homme peu sympathique aux relations troubles, ne sera pas épargné
Et voilà que cette longue affaire Epstein, cette amitié «imbécile», refait surface. Trois années mirabilis brisées. Andrew, lui, ne sera pas épargné. Parce que le fils préféré de la reine n’a pas la réputation d’un homme sympathique ni brillant, parce que ses relations avec des personnages troubles sont nombreuses, parce que ses finances sont obscures. On le surnomme «Air Miles Andy» pour ses nombreux et coûteux voyages autour du monde, dans le cadre d’une mission d’ambassadeur économique du gouvernement qui laisse perplexe. Même le sérieux «Telegraph» et le tabloïd «Daily Mail», tous deux très monarchistes (et très gros tirages), n’hésitent pas à étriller le prince sur ses dépenses, ni à dévoiler tous les détails des accusations d’abus sexuels.
Ces soupçons sordides sont d’autant plus dangereux qu’ils surviennent dans un contexte sensible en Grande-Bretagne, difficile à saisir de ce côté-ci de la Manche. Celui des affaires Jimmy Savile, Rolf Harris, ou encore Gary Glitter, ces idoles nationales de la télévision et de la chanson, qui après 50 ans de carrière, se sont révélées être d’horribles prédateurs pédophiles. D’autres stars ont été fortement suspectées, sans qu’on ait pu les condamner. Alors à présent, les soupçons suffisent au dégoût.
La Cour et le prince Charles pourraient "amincir" la famille royale
L’affaire de l’Américain Epstein est, au Royaume-Uni, l’affaire Andrew. Si un article concerne le financier de Wall Street, son titre le désigne avant tout comme «l’ami du prince»... Andrew pourrait, chaque jour un peu plus, incarner aux yeux des sujets de Sa Majesté la noblesse dégénérée, les élites décadentes, les parasites corrompues. La poignée de Républicains britanniques devra encore attendre longtemps pour sortir la guillotine, mais l’affaire leur donne raison.
Andrew est trop loin du trône pour le renverser, mais pas assez pour ne pas le faire chanceler. Si la situation venait à s'aggraver, la Cour pourrait tirer un cordon sanitaire, en réduisant par exemple les fonctions officielles de la famille à la seule branche en ligne directe pour le trône. Le secrétaire privé de la reine, Sir Christopher Geidt, y travaille depuis des années. Il s'agit d'avoir un coup d'avance sur les contempteurs de la couronne. Charles, qu'on dit presque régent, est aussi partisan d'une «firme» amincie. Cela lui avait valu quelques passes d'armes avec son frère Andrew, dont il n'est pas proche. Le futur roi saurait couper les branches pourries de la famille.
Andrew pourrait-il abandonner ses prétentions au trône pour ne plus gêner la Couronne ?
Se pourrait-il qu'Andrew doive abandonner ses prétentions au trône pour ne plus gêner la Couronne ? Pas impossible. Difficile à imaginer pourtant. La famille royale est terrorisée depuis l’abdication d’Edward VIII par ce genre de rupture. Andrew a beau n’être que cinquième, un abandon de ses prétentions au trône pourrait créer un dangereux précédent. Dès lors, n’importe quel membre de la famille pris dans une controverse plus ou moins importante pourrait se voir pousser à la sortie. Le premier sous pression serait sûrement Charles, qu’on aimerait voir laisser la place à son fils William et à la duchesse Kate, son épouse si populaire. Un renoncement de ce genre et c’est le principe de la continuité dynastique qui s’effondre, avec lui l’un des fondements de la monarchie. Et pour quel résultat ? Andrew resterait le fils de la reine, le frère du futur roi, l’oncle du suivant.
Abandonner ses prétentions au trône pourrait même aggraver les choses pour Andrew. Si elle n’hésite pas à mettre le prince en Une, la presse est encore prudente. Ne serait-elle pas bien plus dure avec Andrew s'il ne faisait plus partie de la «firme» ? Aucun placard ne résiste aux tabloïds invasifs du royaume, et le duc a montré qu’il était homme à y cacher des cadavres.
L'atmosphère à la Cour n'est pas sereine
Pour ne rien arranger, l'atmosphère à la Cour n'est pas sereine. La réunion des services de communication de tous les membres de la famille sous l'égide de la directrice de Charles, il y a un an, a été un échec. Celle-ci est en guerre larvée avec la principale conseillère médiatique du prince de Galles. Leurs approches respectives, radicalement différentes, se sont heurtées autour d'un documentaire de la BBC consacrée à leur champion commun. Le sujet a été déprogrammé, causant une nouvelle controverse sur les relations ambiguës de la cour avec l'audiovisuel public du Royaume.
La Couronne est-elle en ordre de bataille ? L'affaire Andrew est autrement plus dramatique, plus complexe, plus redoutable que les exploits de beuveries d’un prince Harry. Car quelles que soient les réponses aux questions posées par la procédure judiciaire, aux problèmes posés par le scandale public, si un homme a forcé une jeune femme mineure à des relations sexuelles avec un autre homme, prince ou non, couronne ou pas, la justice et les journaux devront faire leur œuvre.
Sur les pratiques pédophiles et satanistes de la famille royale anglaise
Le réseau pédophile d’élite en Angleterre n’est hélas pas un mythe. Dans les années 80, on a entendu parler d’un réseau pédophile installé par le MI6 au Kincora Boys Home, à Belfast. Peu après, ce sont les orphelinats du Pays de Galles qui ont fait parler d’eux. ¨Puis ceux de Londres, d‘Ecosse, et finalement c’est Jimmy Savile qui est tombé. Aujourd’hui, les grandes manœuvres continuent afin d’étouffer le plus gros du scandale : l’implication de la famille royale dans ce réseau pédophile. On va donc parler de satanisme, de pédocrminalité, et d'une sombre affaire de cérémonie qui a mal tourné dans le sud de la France.
En 2012, un certain Chris Jones affirme que ses deux frères, Adrian et Leander, ont été assassinés parce qu’ilss’apprêtaient à exposer le réseau pédophile d’élite, et notamment Margaret Thatcher. Chris Jones a expliqué qu’encore enfant, il a été forcé à des relations sexuelles avec un juge de la Haute Cour, ou encore par un flic.
Jones dénonçait aussi John Allen, qui gérait un orphelinat dans le Nord du pays de Galles, où nombre de scandales ont été révélés récemment. Adrian Johns avait été pensionnaire à Bryn Alyn, et en 1992 il avait menacé John Allen de le balancer s’il ne lui payait pas une compensation financière[1]. Il a été tué le 17 avril 1992 dans l’incendie criminel de sa maison.
En 1995, Chris et Leander ont témoigné contre Allen lors d’un procès. Peu après, Leander est mort d’une overdose.
Allen a été condamné à 6 ans de prison en 1995 pour des agressions commises entre 1972 et 1983. Puis, lors de l’enquête Waterhouse sur les viols commis dans les orphelinats du Pays de Galles, il a de nouveau été inquiété en 2003 mais a finalement échappé à 36 chefs d’accusation pour des abus dans les homes dont il était responsable.
Il était arrivé dans le business des orphelinats au milieu des années 60, après avoir commencé dans l’hôtellerie, et en 1969 il a ouvert la Bryn Alyn Community residential schools, une chaîne d’orphelinats et de foyers pour enfants. Le premier home a fonctionné avec 11 personnes non formées à s’occuper d’enfants.
A un moment, Allen gérait une cinquantaine d’orphelinats dans le Nord du Pays de Galles et ailleurs, comme Londres et Brighton, et environ 500 enfants y seraient passés.
Le business était très rentable puisque dans les années 80, l’Etat versait 15.000£ par an pour un enfant placé [2]. Au milieu des années 80, le chiffre d’affaires était d’environ 2,8 millions de livres par an pour un bénéfice de 80 à 90.000£, mais Allen touchait en 1988 pas moins de 204.800 £ par an, possédant un yacht et diverses propriétés, notamment sur la Côte d’Azur. Où il possédait une villa revendue en urgence à 200.000£.
En 1992, Allen a perdu ses agréments et les écoles ont fermé en 1997, suite à une gestion calamiteuse et à des dettes importantes.
172 personnes avaient déclaré avoir été victimes dans les orphelinats d’Allen. Evidemment, certains (28 ont été finalement retenus) ont aussi dénoncé Allen comme étant un pédophile. Leander Jones était l’une de ses victimes. Il est devenu prostitué à Londres juste après avoir quitté le home. A 17 ans, il s’est ensuite rendu à Amsterdam. Il a témoigné lors de la procédure contre Allen, mais il est mort d’une overdose avant le début du procès, en février 1995. Comme par hasard, Allen a disparu de la circulation entre les déclarations de Leander et son décès, pour revenir comme une fleur nier en bloc à son procès.
Finalement, on n’a retenu contre Allen que des agressions sexuelles, pas de viols malgré les nombreux témoignages concordants.
Déjà en 1982, Allen avait été entendu par des flics au sujet d’abus commis sur des enfants dans ses homes, mais cela n’a rien donné. Déjà à l’époque, une victime avait dit qu’Allen lui donnait de l’argent pour qu’il se taise. Logiquement, on peut se demander si les difficultés économiques d’Allen n’étaient pas directement liées aux chantages de ses victimes.
Le rapport Lost in care considérait quant à lui que les abus commis par Allen étaient extensifs et répétés. Il estime qu’Allen entraînait un comportement pédophile du personnel des homes. Des enfants étaient envoyés dans des orgies, prostitués dans des hôtels, menacés. Certaines victimes étaient violées par les éducateurs, par les responsables des orphelinats, mais aussi par les amis de ceux-ci. Evidemment, aucun signalement ni aucune plainte n’a abouti dès que des pédophiles puissants, flics ou magistrats étaient impliqués.
Les réseaux pédo – FM
BRETAGNE GRANDE BRETAGNE NORMANDIE INDRE ET LOIRE LOIRE ATLANTIQUE REGIONS CENTRE CES AXE sont a survielé de tres pres !
Derrière toute cette histoire, l’ombre de la Franc Maçonnerie planait. Même si comme toujours, on n’a officiellement rien trouvé, nombre de protagonistes essentiels de l’enquête étaient FM. A tel point que des victimes ont demandé au tribunal qu’on dresse une liste des magistrats, flics et autres intervenants appartenant à la franc-maçonnerie. Pourquoi ? Parce qu’on craignait un étouffement dans les règles, ce qui a d’ailleurs été le cas. Il faut dire qu’avec un Gerard Elias, membre de la loge Dinas Llandaff à Cardiff, juge à la haute cour qui dirigeait le tribunal, il pouvait difficilement en être autrement. Quant au chef de la police du nord du pays de Galles à l’époque des abus, Lord Kenyon, il était Grand Maître provincial[3] et a été pris plus d’une fois à protéger ses camarades.
Les enfants étaient envoyés dans des hôtels ou des villas pour y être violés par des pédophiles ayant un pouvoir d’achat certain.
On sait aussi que divers pédophiles, comme un certain Gary Cooke, alias Reginald Cooke, avaient leurs entrées dans les homes d’Allen. Ledit Cooke, qui avait quitté l’armée en 1974, introduisait ensuite les enfants auprès d’autres pédophiles. Un autre pédophile qui avait ses entrées chez Allen, Graham Stephens, avait même emmené un jeune au Danemark fin 1972.
On a aussi l’affaire du massacre de Dunblane en mars 1996, où un « tueur fou » et pédophile notoire est entré dans une école pour massacrer 16 gamins et leur institutrice avant de se suicider, a été armé grâce à un permis d’armes signé par un franc maçon devenu ensuite le secrétaire général de l’OTAN, Lord Robertson.
C’est d’ailleurs un franc maçon, Lord Burton, grand maître local, qui a dénoncé les protections incroyables dans cette histoire et a qualifié l’enquête de « cover-up », de couverture. Burton dénonçait surtout l’appartenance de Lord Cullen, le haut magistrat qui a mené une pseudo enquête sur ledit massacre, à la Speculative Society, liée à la FM, et dont certains membres violaient des enfants de l’école Queen Victoria (pour les enfants de militaires, présidée par leDuc d’Edimbourg c’est-à-dire le prince Philip), école où le tueur fou a justement trainé à une époque. Il n’empêche, Cullen a été nommé baron en 2003, probablement en récompense pour avoir protégé ses camarades.
Et ceci n’est qu’une infirme partie des scandales pédophiles étouffés au Royaume Uni.
L’affaire Elm Guest house, ce bordel pour pédophiles puissants installé au cœur de Londres, en est un autre. Pourquoi ces étouffements systématiques ? Parce que des noms de députés, de juges, de ministres, de premiers ministres, et même la famille royale sont cités par diverses victimes.
On va parler de la famille royale anglaise, mais là on va manquer de sources écrites, évidemment.
La famille royale anglaise, une coterie nazie ?
On ne va pas s’éterniser longtemps sur cet aspect des choses aujourd’hui très bien documenté, n’en déplaise à certains propagandistes de l’Histoire officielle.
On sait que les liens de la famille royale anglaise avec les nazis ont été très étroits, et le sont probablement encore, si l’on en juge par le déguisement arboré récemment par le prince Harry.
Prince Phillip
Dans la famille royale aussi, on découvre quelques nazis. Commele Prince Charles Edward, un duc de Saxe Cobourg Gotha et petit fils préféré de la reine Victoria[4], qui est passé pour un traitre en Angleterre durant la première guerre mondiale et a rejoint le parti nazi dès sa création. En 1936, Hitler l’a envoyé en Angleterre pour devenir le président de l’Anglo German Friendship Society afin de développer les relations entre les deux pays, et il ‘la aussi nommé comme président de la Croix Rouge Allemande.
On a aussi Edouard VIII, qui a carrément donné à Hitler les plans de défense de la France avant le début de la deuxième guerre. Charles Edward s’est rapproché de lui par le biais de son association, mais pas de chance Edouard VIII a du abdiquer juste avant la guerre.
Quant à Philip, ses quatre sœurs sont mariées à des princes allemands aux sympathies nazies. L’un d’eux était Colonel dans la SS, attaché au service personnel d’Himmler. La mère d’Elisabeth II s’était d’ailleurs opposée au mariage de sa fille avec ce prince allemand.
Tout cela est prouvé par les archives et les recherches des historiens, mais il ne faut pas oublier que ce fut un grand tabou durant 60 ans. Philip n’a commencé à parler de ses connexions nazies que quand le feu a été allumé, pour mieux noyer le poisson.
C’est l’oncle de Philip, George van Battenberg, frère de Louis Montbatten, qui fut son représentant légal.
Lord Mountbatten : il est considéré comme le mentor du prince Charles, après avoir été celui du prince Philip.Amiral de la navy, il était aux premières loges pour organiser le trafic de drogue entre l’Asie du sud est et l’Europe. Mountbatten était le frère de la reine de Suède, l’oncle du prince Philip, et les deux portent comme vrai nom celui de Battenberg, anglicisé en Mountbatten.
Mountbatten, tout comme Edward Heath, a été relié à l’affaire du Kincora Boys Home, un orphelinat où il est avéré que le MI5 a élaboré un réseau pédophile destiné à compromettre diverses personnalités. Des enfants du Kincora Boys Home étaient emmenés dans un château au milieu de l’Irlande, qui appartenait à la famille du fondateur duHellfire Club, un groupuscule élitiste fondé fin XVIII e.
Les orphelinats du pays de Galles servaient également au MI5pour filmer des diplomates étrangers dans des positions plus que compromettantes.
On sait aussi que c’est Mountbatten qui a permis à Savile d’être le premier civil à être décoré du « béret vert », une distinction militaire, dès 1966.
On prête souvent une relation homosexuelle à Mountbatten et Edward VIII, qui étaient cousins.
Il est mort en 1979 dans l’explosion de son bateau qui a été attribuée à l’IRA parce qu’est pratique, mais plusieurs théories circulent notamment vers la piste des services secrets. Accessoirement, il était avec un garçon de 14 ans,Nicholas Knatchbull, sur le bateau au moment de l’explosion.
Porphyrie
La porphyrie (du grec porphyra qui signifie violet) est une maladie du sang très répandue dans les familles royales européennes et chez les tsars russes, où la consanguinité est quasiment la règle. On nous explique que cette maladie, qui se présente sous différentes formes, a entraîné le mythe de Dracula car les personnes atteintes de porphyrie sont obligées de régénérer leur sang, soit par dialyse, soit en en buvant.
On peut ajouter qu’à force de se défoncer à la coke synthétique du matin au soir, le sang de certaines personnes est tellement pourri qu’ils doivent boire du sang neuf dès le matin au petit déjeuner[5]. Ca peut paraître incroyable, mais c’est vrai.
Le débat fait rage et les familles royales, notamment celle d’Angleterre, nient absolument être victimes de cette maladie, comme on le soupçonne chez leurs ancêtres Georges III et Mary Stuart. Charlotte, petite fille de la Reine Victoria, avait aussi la porphyrie, de même que sa mère Vicky ou le cousin de la reine Elisabeth, William de Gloucester.
C’est certainement un hasard si le prince Charles a déclaré en octobre 2011 qu’il était un descendant de Dracula par sa grand-mère, la reine Marie.
Sauf que Dracula n’est pas un mythe, pas plus que le fait de boire du sang ou de se protéger de la lumière du jour. Et quel est le sang le plus recherché ? Celui des enfants Blancs, évidemment.
La famille royale, une clique pédophile
La famille royale anglaise est surtout, comme tous les dirigeants des pays développés et probablement des autres pays aussi, est vérolée jusqu’à la moelle par ses comportements pédocriminels.
Pourquoi ? Parce que comme tous nos dirigeants, la famille royale anglaise est sataniste.
A ce titre, elle est forcément pédophile. On pourrait ajouter que la reine d’Angleterre comme ses descendants sont cocaïnés jusqu’aux yeux, et consomment plusieurs kilos de cocaine pure chaque mois.
On sait par exemple que deux anciens premiers ministres, Harold Wilson et Edward Heath, pratiquaient les sacrifices d’enfants, qui sont incontournables pour un bon sataniste bien taré. Heath, qui appréciait beaucoup les virées à Jersey, aurait ainsi tué plusieurs enfants. On le retrouve aussi du côté de Belfast, au Kicora Boys Home, directement lié au groupuscule satanique le Hellfire Club, et aussi du côté d'Elm Guest house.
En 2008, c’est un majordome de Buckingham Palace et ancien marine, Paul Kidd, qui s’est fait coincer pour des viols commis sur des mineurs durant 30 ans, alors qu’il travaillait pour la famille royale. Bien sûr, aucun lien n’a été fait entre le réseau pédophile mis en place par Kidd et la famille royale. Une de ses victimes a expliqué que quand il avait 14 ans, Kidd l’a invité à prendre le thé en compagnie de la reine à la fin des années 70.
En 1999, une enquête internationale appelée operation Ore a mené à des arrestations aux Pays Bas et en Angleterre notamment, où les flics ont pu établir des liens entre des pédophiles du Labour présents au gouvernement et du trafic d’enfants dans un but de prostitution en Belgique et au Portugal[6]. Blair a eu tellement chaud aux fesses qu’il a imposé aux médias de ne citer aucun nom[7].
Quant à Savile, il ne fait désormais plus aucun doute qu’il s’adonnait à des cérémonies satanistes.
On sait qu’il fournissait des enfants au gouvernement, notamment à Jersey où un témoin l’a vu faire monter un enfant sur le yacht d’Edward Heath, alors 1er ministre.
Ce n’est pas pour rien que le député Tom Watson a demandé une enquête sérieuse au sujet d’ « un réseau pédophile puissant lié au Parlement et à Downing Street »
Plusieurs éléments corroborent ce penchant de la famille royale, notamment :
> Jimmy Savile : la star de la BBC était le fournisseur d’enfants pour les cercles fermés de la famille royale et du gouvernement. Il avait accès à de nombreux orphelinats (comme celui de Jersey par exemple), mais aussi à des pensionnats de jeunes filles, à des hôpitaux psychiatriques (dont il avait toutes les clés et où il était même hébergé[8]), et pouvait se fournir en enfants n’importe où et n’importe quand.
Savile, qui cumule aujourd’hui plus de 450 plaintes, a été introduit auprès du Prince Charles par Lord Mountbatten au début des années 70, soit une dizaine d’années après les premières plaintes d’abus sexuels contre Savile (en 1964).
Ensuite, Savile est carrément devenu un proche conseiller de Charles, donnant son avis sur la nomination d’un assistant, ou même sur l’organisation de son mariage. Au palais, Savile se comportait normalement, c’est-à-dire comme un camionneur en rut.
Certains considèrent aussi que l’émission débile de Savile, « Jim’ll fix it » (1975 – 1994), n’avait pour but que de faciliter l’accès du prédateur aux enfants.
Ajoutons qu’en plus d’être pédophile, Savile se livrait à des pratiques nécrophiles[9] ainsi qu’à des pratiques satanistes, ce qui est décrit dans plusieurs témoignages de victimes. Ce n’est probablement pas pour rien que le corps d’une jeune femme a été retrouvé juste devant chez lui le matin du 5 février 1977. D’ailleurs, les liens d’amitié de Savile avec le tueur en série Peter Sutcliffe qui a avoué le meurtre, et leur proximité géographique avant que Sutcliffe ne soit envoyé dans l’un des hôpitaux du circuit de Savile, posent aussi question, Broadmoor.
Le neveu de Savile, Guy Mardsen, a expliquéil y a quelques mois comment son oncle l’emmenait dans des partouzes avec des types puissants, et comment il lui demandait de trouver d’autres enfants plus jeunes pour amuser la clique.
> L’affaire des enfants volés dans un orphelinat indien du Canada. J’ai déjà abordé cette affaire dans un article consacré au génocide des indiens du Canada, notamment en envoyant leurs enfants dans des orphelinats tenus par l’Eglise, de véritables mouroirs dans lesquels opéraient des réseaux pédophiles. Pour résumer, trois survivants de ces orphelinats ont déclaré avoir été témoins de l’enlèvement d’une dizaine d’enfants par la Reine d’Angleterre. Lors d’une visite royale dans l’un de ces orphelinats à Kamloops, en Colombie Britannique en octobre 1964, on a présenté les enfants à la reine et au prince Philip qui l’accompagnait. Le premier de ces témoins est mort rapidement après avoir parlé, et le dernier survivant, William Combes, est mort en février 2011 avant d’avoir pu témoigner au procès qui a valu une condamnation à 25 ans de prison pour le pape et la reine d’Angleterre, notamment (mais on va y revenir plus bas). Au passage, le décès de Combes ressemble beaucoup à un assassinat, d’après certains comme Kevin Annett qui a enquêté sur le sujet.
L’école était tenue par l’Eglise catholique, et les enfants y étaient systématiquement torturés, certains étaient même tués, comme c’était le cas dans une bonne partie de ces « residential schools ». Le jour de la visite royale, certains enfants ont eu le privilège de pique niquer avec la reine et Philip, ainsi que quelques prêtres. Combes, qui avait 12 ans à l’époque, se souvient : « Je me rappelle que c’était bizarre parce qu’on a tous du baiser les pieds de la reine, qui avec des chaussures blanches à lacets ». Après un moment, la reine a quitté le pique nique avec dix enfants de l’école, sept garçons et trois filles âgés de 6 à 14 ans, « et ces enfants ne sont jamais revenus », dit encore le témoin dans sa déposition officielle le 3 février 2010, « on n’a plus jamais entendu parler d’eux et on ne les a jamais revus, même quand nous étions plus âgés ».
> La condamnation récente de la Reine d’Angleterre (de même que du pape) par un tribunal canadien pour crimes contre l’humanité. On parle du massacre des indiens du Canada, envoyés dans des orphelinats tenus par l’Eglise qui étaient transformés en véritables bordels. On estime avoir totalement perdu la trace de 50.000 enfants, en plus de ceux dont on sait qu’ils y sont morts. Ce verdict est intervenu le 25 février 2013 après un mois de délibération par plus de trente jurés qui ont examiné 150 cas d’abus sexuels et maltraitances dans ces orphelinats. Benoît 16 a été condamné à 25 ans de prison, mais comme il a démissionné pile au bon moment et qu’il est vieux, il pourrait passer entre les mailles du filet. La reine d’Angleterre va-t-elle aussi démissionner, comme la Reine Beatrix qui vient de le faire, ou le roi des Belges Albert II qui a lui aussi le feu aux fesses avec des dossiers de pédocriminalité et s’apprête à faire de même ? Ces condamnations (ils ont tous pris 25 ans et encore ce n’est pas cher payé) sont le fruit d’une centaine d’années de combat des indiens du Canada pour faire reconnaitre le massacre dont ils ont été victimes. La parole s’est libérée récemment, au cours des années 90, et des centaines de personnes se sont mobilisées pour accumuler des preuves de ces ignominies sans nom.
84785069_p.jpg> L’affaire château templier en 2001. Là, je vais me démarquer d’un certain David Ike, qui parle aussi des pratiques satanistes de la famille royale, mais ajoute qu’il s’agit de reptiliens. David Ike ne sert qu’à envoyer les gens sur de fausses pistes. L'affaire est très grave, et a été couverte principalement dans le but de faire chanter les coupables.
En 2001 dans le sud de la France, très probablement dans les Alpes Maritimes, et très probablement entre la mi mai et la mi août, la France a connu une affaire qui a fait jaser dans les services secrets, mais que le bon peuple ignore totalement, hélas. Chaque année, une grande cérémonie satanique est organisée dans un château templier près de Cagnes sur Mer, par et pour la famille royale anglaise. Le gratin sataniste anglais se doit d’y être présent, y compris de nombreux membres du MI5 et du MI6 surtout. Le programme, c’est des orgies, des tortures, des meurtres d’enfants et d’adultes en quantité. Pour cela, il faut de nombreuses proies, qui étaient enfermée dans les sous-sols, où avaient également lieu les rituels. Précisons que tout le monde est complètement défoncé, voire à moitié hypnotisé, et que des jeux de rôle mélangeaient encore les choses davantage.
Le truc, c’est qu’en 2001, de nombreuses victimes se sont échappées[10]. Ce qui a entrainé une véritable panique dans la campagne environnante et l’intervention de la gendarmerie française. Celle-ci a ensuite a fait venir l’armée anglaise, afin d’exfiltrer des membres de la famille royale, au moins William et Philip, en les cachant avec des sacs de pommes de terre qui les couvraient jusqu’à la taille [11]. De cette manière, ni les flics français ni les militaires anglais présents ne savaient qui avait été sorti discrètement du château et mis à l’arrière d’un van.
84785378_p.jpgTout aurait été pour le mieux si des services étrangers n’avaient pas mis la main sur des vidéos réalisées lors des rituels dans le château. La CIA, le Mossad, ont ainsi leurs exemplaires, et il semble que des copies soient en vente un peu partout dans le monde.
Apparemment, plusieurs satanistes anglais sont sous le coup de chantages qui leur coûtent très cher depuis cette affaire.
Pourquoi ne bon peuple n'a-t-il pas le droit de savoir que cela est arrivé, et pourquoi ne peut-on pas en connaître les conséquences, notamment au niveau géopolitique? Car, il semble que 12 ans après, on en subit encore les conséquences. Enfin, il est clair que ça continue, puisque l'impunité règne et que les satanistes cocaïnés dirigent le monde. Question: combien d'enfants -et d'adultes, surtout des femmes- sont-ils massacrés lors des délires de cette bande de tarés? Et jusqu'à quand cela doit-il durer?
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Il y a encore deux ans, il m'aurait semblé parfaitement incongru de parler de satanisme. Pour moi, les satanistes étaient des dingues isolés, aux rituels aussi ridicules qu'inoffensifs. Lourde erreur.
J'ai d'abord du admettre que les pratiques satanistes ou assimilées sont courantes en France, et qu'elles s'accompagnent de viols collectifs d'enfants et souvent de meurtres. On ne retrouve pas toujours le folklore sataniste complet, les robes, les chandelles etc., mais les viols et les meurtres sont systématiques.
J'ai ensuite du admettre, parce que des témoins en parlent, que les satanistes se sont infliltrés partout: politique, justice, médias, services sociaux, entreprises. Notamment parce qu'ils ont eu la bonne idée de s'infiltrer dans des groupuscules tels que la franc maçonnerie et diverses sectes.
On reviendra évidemment sur ce sujet dans les semaines à venir.
[1] De fait, Allen a expliqué au procès qu’il avait versé entre 7 et 8.000£ à Leander et Adrian.
[2] Les enfants les plus difficiles rapportant davantage, Allen en prenait bien au-delà des capacités d’accueil de ses homes. Idem pour les placements en urgence. Selon la même logique financière (qu’on retrouve évidemment en France avec toutes ces associations privées qui se gavent sur le dos des enfants tout en conseillant aux tribunaux… de placer les enfants), les enfants restaient la plupart du temps entre deux et trois années dans les homes d’Allen.
[3] Son fils Thomas a même été voir un pédophile emprisonné dans cette affaire pour lui demander de ne pas balancer le réseau et qu’il interviendrait pour lui auprès de son père. Il était pédophile (ce que les flics savaient parfaitement, pourtant sa victime préférée n’a pas été protégée bien au contraire) et est mort du SIDA en 1993.
[4] C’est la reine Victoria qui a décidé d’envoyer son petit fils en Allemagne et qu’il deviendrait duc de Saxe Cobourg Gotha, la principauté allemande d’où venait son mari le prince Albert. A 16 ans il est devenu Carl Eduard, possédant 13 châteaux en Allemagne et en Autriche etc. Il s’est marié avec une fille du Kaiser et a combattu l’Angleterre durant la première guerre, si bien qu’il a perdu tous ses titres anglais en 1918.
[5] La prise de certaines drogues telles que la cocaïne, dont raffole toute la famille royale anglaise, peut déclencher une porphyrie latente ou empirer la maladie.
[6] Des enfants de la Casa Pia, cet orphelinat portugais qui servait à fournir des partouzes pédophiles en enfants, étaient embrigadés dans ce réseau.
[7] Ce qui a permis à l’un de ses assistants, Philip Lyon, de ne pas être inquiété avant 2003, quand il s’est fait pincer pour avoir téléchargé des images pédophiles.
[8] Savile avait son appartement à l’hôpital Stoke Mandeville et aussi à Broadmoor, pour lequel il avait lancé une collecte de fonds. Il se rendait seul à la morgue de l’hôpital, ce qui laisse désormais songeur. Il avait aussi toutes les clés de Broadmoor (hôpital psychiatrique), où plusieurs viols ont été commis.
[9] Ce qui était d’autant plus facile pour lui qu’il avait accès aux morgues des hôpitaux précités, notamment.
[10] A ce stade, je en sais pas si c’est l’une des victimes qui est parvenue à faire sortir les autres, ou si c’est un service étranger qui leur a permis de sortir, mais je penche pour la deuxième solution.
[11] Il paraît qu’on a appelé cette opération l’opération SPUDNIKS, du nom d’une marque de chips.
la famille anglaise fesai des orgie en france avec meurtre d enfants
les anfants fure sauvé par quelque menbre de la CIA et du mossade les section qui sont pas nique der la téte petite partie
les gendarme francais les on evacué avec de sac du pomme sur la téte pour qu il ne coi pas pris photos cette ces soiré etait satanique avec
meurtre et torture d enfants est coke ces anfants sauvé du chateaux en normandie sont arrive dans la ville et on donné l alerte voila a plus tard
et vive la bretagne et la grande bretagne un VLF bien !