La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a ironiquement qualifié d’agent en mission l'autre chat de Sergueï Skripal qui se serait enfui de sa maison bouclée par la police après l’éclatement du scandale sur l’empoisonnement de l’ex-agent double. Voici des animaux qui se seraient livrés à de l’espionnage pour le compte des humains.
Les services secrets de nombreux pays essaient par tous les moyens d’obtenir des informations sur d’autres pays, faisant appel parfois à des agents insolites, des animaux comme des oiseaux par exemple. Mais les services de contre-espionnage restent vigilants et rien ne leur échappe. Retrouvez quelques histoires d’animaux qui auraient collaboré avec les services.
Lieutenant-colonel Kochkina (nom de code Chat)
La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a ironisé dimanche sur le sort du second chat des Skripal qui aurait réussi à s’enfuir de la maison bouclée par la police.
chat
CC0 / papynoun
Fuyant, le second chat des Skripal «exécute la tâche qui lui a été confiée» au Royaume-Uni
«Au sujet du second chat connu sous le nom de code Moussia, le seul des quatre [animaux, ndlr] ayant fui, je peux vous dire que le lieutenant-colonel Kochkina [du mot russe "kochka" voulant dire chat, ndlr] se trouve sur le sol du Royaume-Uni et exécute la mission qui lui a été confiée. Pour le moment, c’est tout ce que je peux vous dire», a-t-elle noté.
«Acoustic Kitty», un chats espionnant l’URSS pour la CIA
D’après le mensuel américain The Atlantic, la CIA aurait transformé un chat en appareil d’écoute sophistiqué dans le cadre du programme intitulé «Acoustic Kitty» (chaton acoustique) au début des années 1960. Le chat portait des micros et des transmetteurs radios. Sa queue servait d’antenne.
La CIA aurait voulu relâcher le félin dans des endroits stratégiques pour espionner l’URSS. L’agence aurait pensé à tout et aurait investi plus de 10 millions de dollars dans ce projet, selon le média. Mais une fois relâché près de l’ambassade soviétique à Washington, le chat aurait été écrasé par une voiture lors de sa première mission, affirme le mensuel. Le projet aurait été abandonné vers 1967, comme le montre un document officiel partiellement déclassifié il y a quelques années.
Lézards nucléaires en Iran
En février dernier, Hassan Firouzabadi, conseiller militaire en chef du guide iranien, l’ayatollah Ali Hamenei, a déclaré aux journalistes occidentaux que l'Occident aurait utilisé des lézards et des caméléons pour espionner l’Iran.
Selon lui, des militants qui affirmaient être venus en Iran pour recueillir des dons pour la Palestine, auraient apporté des reptiles du désert comme des lézards et des caméléons. La peau de ces reptiles aurait été modifiée pour «attirer des ondes atomiques». Les lézards auraient pu ainsi localiser les entreprises nucléaires secrètes iraniennes.
caméléon
Sputnik . Vladimir Pesnya
Des lézards et des caméléons espionneraient le nucléaire iranien. L'avis de biologistes
Toutefois, Vladislav Starkov, chercheur à l'Académie russe des sciences et herpétologiste émérite, interrogé par Sputnik, a mis en doute cette hypothèse pour de multiples raisons.
«Les lézards, et surtout les caméléons, ne survivraient pas longtemps en Iran compte tenu de son climat, ces animaux poïkilothermes préférant les endroits chauds. Par conséquent, ils ne s'intéressent en aucun cas aux mines d'uranium, qui sont froides», a-t-il souligné.
Des vautours israéliens suspects au Liban
La vie d'un vautour est loin d’être facile. Toujours affamés, ces oiseaux nécrophages doivent patienter des heures avant de trouver de la nourriture. Mais certains vautours doivent endurer plus que d'autres, parce qu'ils sont injustement accusés d'espionner des puissances étrangères. A l'automne 2013, un vautour fauve a commis une grave erreur: il a fui une réserve naturelle en Israël et a traversé la frontière israélo-libanaise. Soupçonnant qu'il y a un émetteur sur la queue de l'oiseau, les habitants ont capturé le vautour. Le groupe radical libanais Hezbollah a accusé le vautour d’être un agent du Mossad. Une bague accrochée à la patte de l'oiseau géant par l'Université de Tel Aviv a été prise pour un équipement d'espionnage.
Le Vautour fauve
Wikipedia
Un vautour soupçonné d'espionnage pour Israël capturé au Liban
Les employés de l'Université ont dû expliquer que l’oiseau avait été relâché par les chercheurs de la localité juive de Kfar-Etzion en Cisjordanie.
On pensait que la question était close et qu’on laisserait les vautours en paix. Mais en janvier 2016, les villageois de Bint Jbeil (Liban du Sud) ont capturé un autre vautour venu depuis Israël. Selon l’agence de protection de l’environnement israélienne, le vautour s’était évadé d’une réserve naturelle en Israël. Mais comme le rapace portait une bague d'identification et un émetteur GPS mentionnant Tel Aviv, les villageois de Bint Jbeil l’ont soupçonné d’espionnage et l’ont attaché à un pilier. Selon les médias libanais, des employés des services de sécurité n'ont trouvé sur lui aucun équipement d'espionnage. Selon eux, l'émetteur servait uniquement à suivre les déplacements de l'oiseau. Légèrement blessé, l’oiseau a été relâché et remis à Israël avec le concours de l’Onu.
Corbeaux, des espions de la CIA
Le drone le plus furtif se fera passer pour un oiseau !
nano control 5G HAARP comme les doubles de nos présidents et stars fabriqué en grande Bretagne est les clones de la ZONE 51
Ceci n’est pas un drone mais ce à quoi le matériel proposé par Expal pourrait ressembler
Principalement dédié à un usage militaire, le drone Shepherd-Mil peut être utilisé pour l’espionnage et l’observation. Son camouflage en oiseau lui permet de survoler les ennemis à une altitude relativement peu élevée de 100 mètres, sans risquer de se faire intercepter. Rappelons que les drones militaires de surveillance et d’observation survolent généralement à une altitude 10 fois plus élevée pour ne pas se faire repérer.
Sofia Alfaro Marco, le Branding Manager d’Expal, a expliqué que personne ne se rendra compte qu’il s’agit d’un outil d’espionnage puisque le camouflage est une réplique exacte des formes et du corps d’un aigle. Même la taille du drone serait trompeuse. Mais le drone pourra se déguiser en un autre volatile, selon l’environnement où il sera utilisé.
Comme le drone est équipé de capteurs d’images, il peut, par exemple, permettre aux tireurs de mortiers d’identifier la localisation exacte qu’ils doivent cibler. Cet équipement est commercialisé à un prix assez « abordable » avoisinant les 1 200 euros. Le dispositif serait déjà testé par les forces armées espagnoles et pourrait s’exporter dans d’autres pays. Il reste à savoir si ce genre d’outil sera accessible aux civils. En tous cas, la prochaine fois que vous allez être survolé par un aigle, vous serez peut-être méfiant.
Mais cette société n’est pas la seule entité à avoir expérimenté un drone voulant se faire passer pour un oiseau. Plus tôt cette année, des chercheurs de l’Université du Maryland, aux Etats-Unis, ont développé un drone baptisé RoboRaven. Celui-ci volait de la même manière qu’un oiseau et le réalisme aurait été poussé à un tel point que le prototype s’est fait attaquer par un faucon. Mais l’initiateur du projet n’a pas été découragé par cet accident, y voyant un signe de réussite.
Les nanotechnologies au service de l’alimentation humaine et animale
22 February 2017 corrigé l utilisation militaire des animaux est humains est déjà en cours arrête de croire que ces pour soigné ceci ou cela mais la doc est intéressante
nous avons perdu en 2019 plus de 60 millions d espèce
est on continue pour la guerre espionnage ou pour Google faire une tarte au citron qui coute 500 kilos de co2 a la planet par segonde
avec un four éco samsung fabriqué par des gamins en chine de 10 ans un
mais çà va changer !
bienheureusement avec ma nouvelle Apple watch !
Les nanoparticules sont présentes dans la nature et les humains y sont quotidiennement exposés. Aujourd’hui, il est tout à fait possible de créer volontairement de la matière de très petite dimension. En permettant de modifier la composition des produits alimentaires, des aliments pour animaux et des matériaux d’emballage, les nanotechnologies pourraient favoriser le développement de nouveaux aliments, et améliorer les emballages et la transformation des produits alimentaires. Pour en faire bénéficier les consommateurs.
Qu’est-ce que la nanotechnologie ?
La nanotechnologie est le contrôle intentionnel de la matière (dont les denrées alimentaires et les aliments pour animaux) à des dimensions extrêmement réduites, de 1 nanomètre (nm) à 100 nm. Une nanoparticule est une particule de matière comprise dans ces dimensions. Le terme « nano » correspond à un milliardième de mètre (10-9m), ou un millionième de millimètre. À titre de comparaison, un cheveu humain a une largeur d’environ 80 000 nm1-2. À ces dimensions minuscules, la matière dans les aliments peut se comporter de différentes façons, potentiellement bénéfiques et susceptibles d’être utilisées dans l’industrie agro-alimentaire et l’industrie de l’alimentation animale pour créer de nouveaux produits, ou améliorer les produits existants et les opérations de transformation alimentaire.
Quelles sont les applications possibles pour les produits alimentaires et les aliments pour animaux ? La nanotechnologie est-elle récente ?
Les humains sont naturellement exposés aux nanoparticules dans leur vie quotidienne, et ils l’ont d’ailleurs toujours été. Par exemple, le processus de digestion transforme les aliments que nous mangeons en nanoparticules pour nous permettre d’en absorber les nutriments. Les nanoparticules naturelles ou celles qui sont introduites lors de la transformation traditionnelle des produits alimentaires (meunerie, mouture) sont depuis longtemps présentes dans les aliments. Certains d’entre eux ont ainsi une structure nanométrique invisible à l’œil nu (c’est le cas de la mayonnaise, qui résulte de l’émulsion de minuscules particules d’huile et d’eau).
Ce qui est toutefois nouveau, c’est la possibilité d’utiliser les nanotechnologies pour créer délibérément de la matière de très petite dimension ou de forme, de composition et de comportement spécifique. L’on peut citer en exemple le développement de matériaux d’emballage aux propriétés physiques et chimiques uniques : ainsi, aux États-Unis, certains fabricants de bière les utilisent pour incorporer des nanoparticules dans les matériaux des canettes de bière, pour éviter que le gaz ne s’échappe (et permettre à la bière de conserver ses bulles) et que l’air ne pénètre (ce qui compromet la saveur de la bière)3-4.
L’utilisation à grande échelle des nanotechnologies dans l’industrie agroalimentaire et celle des aliments pour animaux est encore balbutiante, et beaucoup de ces applications sont en cours de développement. L’une des possibilités majeures qui se présentent a trait à l’amélioration de la nutrition : le corps absorberait plus facilement les nutriments, vitamines ou enzymes contenus dans une nanoparticule, ce qui permettrait en outre de masquer des saveurs désagréables.
La recherche s’intéresse également à l’utilisation de nanotechnologies pour réduire l’utilisation des antibiotiques pour les animaux, et diminuer par conséquent la résistance aux antibiotiques chez les animaux comme chez les humains5. Parmi les autres avantages escomptés figurent aussi une meilleure efficacité des pesticides et biocides, des aliments pour animaux plus sûrs et plus efficaces, des codes-barres nanométriques pour une meilleure traçabilité, ou encore une reformulation des produits alimentaires pour les faire contenir moins de matières grasses, de sel et de sucre, tout en conservant toute leur saveur et leur apparence3-4. Le tableau 1 présente un résumé des applications possibles.
(Source) https://www.presse-citron.net
https://www.eufic.org
Terra Natura, Spain. Nikon D300 with 70-300 VR
corrigé sputniknew & xerox 2019