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Tout savoir sur les fréquences de la 5G - Ariase
Pour fonctionner, un réseau mobile s'appuie sur des fréquences et des antennes ... Sur les 400 MHz de largeur de spectre, 310 MHz étaient ...
14 avr. 2021 · Ajouté par Agence nationale des fréquences
Couplages hétéronucléaires : exemple du carbone
Graphène - Wikipédia
https://fr.wikipedia.org › wiki › Graphène
Graphène - Wikipédia
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Le graphène est un matériau bidimensionnel cristallin, forme allotropique du carbone dont ... de graphène peut absorber 90 % de l'énergie électromagnétique (certaines ...
Formule : (C)n
No CAS : 1034343-98-0
Mobilité électronique : 200 000–250 000 cm2·...
Système cristallin : Hexagonal
Le graphène est une forme allotropique cristalline du carbone et constitue l'élément structurel de base d'autres formes allotropiques, comme le graphite, les nanotubes de carbone (forme cylindrique) et les fullerènes (forme sphérique). Ce matériau possède le record de conductivité thermique : jusqu'à 5 300 W m−1 K−1
Couplages J1H-13C
L'existence d'un couplage entre le 1H et le 13C est l'une des causes du succès que connait la RMN du 13C.
Comme nous allons le voir, ces couplages permettent d'identifier directement le nombre d'hydrogènes portés par un carbone et donc de classer le carbone observé en méthyle CH3-, méthylène -CH2-, méthyne >CH- ou carbone non porteur d'hydrogène.
Une seconde potentialité résulte de la différence importante existante entre les fréquences de résonance des deux noyaux. Si on compare ces fréquences en Hertz à des longueurs en millimètres, les deux noyaux résonnent sur deux bandes de largeur de l'ordre du centimètre qui sont distantes l'une de l'autre de 75 kilomètres !
Pour un champ donné de 2,35 Tesla par exemple, le 1H résonne à 100 MHz
Pour un champ magnétique typique B0 de 9.4T (environ 5 fois celui de la Terre) et pour le noyau proton 1H,
cette fréquence vaut 400 MHz, ce qui correspond à la gamme des radiofréquences du spectre électromagnétique (figure 2).
Pour la fréquence sera de 100Mz., la fréquence sera de 100Mz.
Nanostructures de carbone dédiées aux interconnexions hautes fréquences
La bande 400 MHz est intensivement utilisée en France et en Europe pour les réseaux indépendants,
notamment les deux bandes duplex 410 – 420 / 420 - 430 MHz et 450 – 460 / 460 - 470 MHz.
Les travaux européens sur l’introduction de nouvelles technologies dans la bande 400 MHz
31/03/2017
La bande 400 MHz est intensivement utilisée en France et en Europe pour les réseaux indépendants, notamment les deux bandes duplex 410 – 420 / 420 - 430 MHz et 450 – 460 / 460 - 470 MHz. Ces réseaux sont exploités par un grand nombre de secteurs (transport, bâtiment, énergie, industrie, sécurité, santé ou collectivités locales) et présentent une grande variété de taille (d’une seule station jusqu’à plusieurs centaines). Dans cette bande, l’ARCEP dispose de 2x12,5 MHz pour ces usages, la Défense étant affectataire des 2x7,5 MHz restant. Les réseaux actuels sont à bande étroite, de type analogique ou numérique (Tetra, Tetrapol, DMR).
De nombreux utilisateurs souhaitent pouvoir introduire des communications haut débit dans ces bandes de fréquences en utilisant les mêmes technologies que celles les opérateurs mobiles, c’est-à-dire le LTE (« 4G ») qui peut fonctionner avec des bloc de 2x3 MHz, voire de 2x1,4 MHz. Par ailleurs, les nouvelles technologies spécifiques à l’internet des objets (NB-IoT, LoRa) dont la largeur de bande est de l’ordre de la centaine de kHz intéressent certains secteurs (énergie, transport).
Les utilisateurs gouvernementaux ne sont pas en reste : le Ministère de l’Intérieur souhaite disposer dans ces bandes de 2x3 MHz pour son futur réseau régalien haut débit LTE tandis que le Ministère de la Défense souhaite y conserver ses capacités existantes.
L’ensemble de ces nouveaux besoins pourrait être satisfait grâce une nouvelle répartition des fréquences entre les affectataires, ce qui donnera lieu à des réaménagements importants. Mais, quelles que soient les décisions à venir, la coexistence entre des technologies de largeurs de bande aussi hétérogènes (allant de 0,0125 à 3 Mhz) constituera un défi. La protection des systèmes en bandes adjacentes pourrait aussi être menacée par les émissions hors-bande s’étalant bien au-delà de ce que l’on connaissait dans cette bande des 400 MHz.
L’étude de cette question a été lancée au niveau de la CEPT. Les travaux techniques devraient permettre de fixer des règles simples (par exemple, des bandes de garde) permettant la protection des différentes applications entre elles ainsi que des systèmes en bandes adjacentes. L’ECC réunira dans une même décision la désignation de ces bandes à l’ensemble des applications, en laissant à part les réseaux de sécurité et en établissant les règles de coexistence.
Ces travaux vont permettre le développement d’un écosystème dans cette bande pour les technologies LTE et IoT. Il bénéficiera à l’ensemble des acteurs en permettant la montée en débit des réseaux indépendants et l’introduction de nouveaux services.
Philippe Roux-Levy 1
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02018707
Résumé : A extrêmement hautes fréquences, les applications électroniques vont être confrontées à des challenges liés à la réduction des dimensions et la compacité des systèmes. Les limites physiques des matériaux conventionnels étant atteintes, de nouvelles alternatives sont nécessaires dans le domaine du nano-packaging. De nouveaux matériaux ont été étudiés pour remplacer les matériaux conventionnels. Parmi eux, le nanotube de carbone démontre une excellente conductivité électrique et thermique ainsi qu’une résistance physique extraordinaire. Il est donc un candidat de choix pour des applications comme les interconnexions, l’évacuation de chaleur, le blindage électromagnétique ou encore le renforcement structurel. Autant de points capitaux pour le nano-packaging moderne. Dans ce manuscrit, les nanotubes de carbone vont être étudiés en profondeur pour réaffirmer leurs propriétés électroniques et thermiques hors du commun. Nous nous concentrerons ensuite sur l’étude de deux types d’interconnexions à base de nanotubes de carbone : des interconnexions à base de plot en nanotubes de carbone utilisant la technologie Flip-Chip et des interconnexions sans-fil à base de monopole composé de nanotubes de carbone. Enfin, nous étudierons la possibilité de créer des composants passifs Radio-Fréquence à l’aide de structures en nanotubes de carbone. De nouvelles méthodes de fabrication des structures en CNT ont été utilisées au cours de ces travaux de thèse afin d’obtenir une compatibilité avec les technologies CMOS.
films de nanotubes de carbone dans les frequences terahertz (IMPRESSION A LA DEMANDE)
Dekermenjian Maria
Editions Universitaires Europeennes 1 Novembre 2016
Littérature générale
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À propos
Dans ce livre, il est question d'étudier les interactions optiques des films de nanotubes de carbone avec les ondes térahertz (THz). Des expériences d'absorption THz faites par spectroscopie dans le domaine temporel ont été entreprises sur des films dont l'épaisseur varie (de 14 à 145nm). Les films sont des couches minces de nanotubes de carbone empilés les uns sur les autres et sont déposés sur substrats de GaAs et de silicium. D'abord, une caractérisation comparative des épaisseurs des films est entreprise par AFM et par ellipsométrie spectroscopique. Ensuite, l'expérience d'absorption THz sur les films consiste à enregistrer la transmission d'une impulsion THz à large bande à travers les échantillons de films de nanotubes de carbone. Bien que l'on note une atténuation de l'impulsion principale THz transmis à mesure que l'épaisseur du film augmente, il n'en est pas ainsi pour l'impulsion de réflexion, qui est l'écho de l'impulsion principale THz à travers le substrat. Cette anomalie laisse présager des propriétés antiréfléchissantes aux films de nanotube de carbone dans le domaine de fréquences THz.
: Bases de la Résonance Magnétique Nucléaire (RMN)
La RMN est un outil précieux pour le chimiste et peut le renseigner sur la structure, les
mouvements et les réactions chimiques des molécules, mais aussi sur les dynamiques d’échange
(équilibres conformères, tautomères, liaisons hydrogène).
En effet, le noyau de certains atomes qui constituent les molécules, en plus de leur masse et de
leur charge, possède un spin nucléaire.
1 – Notion de spin nucléaire
Pour l’électron, le spin a été introduit pour rendre compte de la structure fine du spectre de
l'hydrogène. En effet, même en l'absence de perturbations extérieures, on observe une ou
plusieurs transitions d'énergies très voisines alors que la théorie ne tenant compte que des
nombres quantiques n, l et m ne permet de prévoir qu'une seule énergie de transition. Cette
structure fine du spectre de l'hydrogène s'explique par l'existence d'un moment cinétique propre
à l'électron appelé SPIN. Ce moment est analogue à celui qui résulterait de la rotation sur elle-
même d'une particule de dimension nulle, d'où son nom de spin (rotation en anglais). La
description de l'électron de l'atome d'hydrogène par la mécanique quantique fait intervenir des
états stationnaires caractérisés par ces quatre nombres quantiques reliés aux propriétés de
l'électron :
nombre quantique principal,
nombre quantique azimutal (l ≤ n-1),
nombre quantique magnétique (-l ≤ m ≤ l)
nombre quantique magnétique de spin (±½)
Le spin associe à la rotation de la charge de l'électron (moment cinétique) une propriété
magnétique induite. De la même façon, le proton (= noyau d'hydrogène) a un comportement
analogue, modifié par la nature de la charge (positive) et la nature de la particule. Le neutron
pour sa part a également un spin mais pas de charge. Pour ces trois particules, le spin est de ½.
Selon la mécanique quantique, il existe donc deux états magnétiques distincts m = +½ et m = -½.
Les noyaux possèdent donc un moment angulaire intrinsèque, le spin nucléaire I qui dépend du
nombre de protons et de neutrons présents dans le noyaux. Ainsi, les isotopes d’un même atome
n’auront pas le même spin I (tableau 1).
Seuls les noyaux de spin non nul possèdent un moment magnétique et peuvent être étudiés par
RMN. La charge du noyau en rotation génère alors un champ magnétique, associé à un moment
magnétique μ non nul. Le moment magnétique μ et le moment de spin nucléaire I sont liés par le
rapport gyromagnétique g, propriété intrinsèque du noyau. Si ces deux moments sont parallèles
(resp. antiparallèles), le rapport gyromagnétique est positif (resp. négatif).
2 – Interaction du spin nucléaire I avec un champ magnétique statique B0
En l’absence de champ magnétique extérieur, tous les états magnétiques du noyau sont
dégénérés (i.e. ont la même énergie). Cette dégénérescence est levée par application d’un champ
extérieur B0 : par effet Zeeman (interactions magnétiques), les (2I+1) états d’énergie
E m B= - hg 0 , sont alors régulièrement espacés d’une quantité DE B= hg 0 (figure 1).
Les spins des noyaux magnétiques étant quantiques, ils ne peuvent prendre que des valeurs
définies. Avec un noyau de spin I = ½, le spin ne peut prendre que deux orientations m =+ ½ (α) et
m = -½ (β). Pour le deutérium de spin I = 1, le spin prendra trois orientations : +1, 0, -1
suite ici pdf : https://cours.espci.fr/site.php?id=41&fileid=1507
Couplages hétéronucléaires : exemple du carbone
Couplages J1H-13C
L'existence d'un couplage entre le 1H et le 13C est l'une des causes du succès que connait la RMN du 13C.
Comme nous allons le voir, ces couplages permettent d'identifier directement le nombre d'hydrogènes portés par un carbone et donc de classer le carbone observé en méthyle CH3-, méthylène -CH2-, méthyne >CH- ou carbone non porteur d'hydrogène.
Une seconde potentialité résulte de la différence importante existante entre les fréquences de résonance des deux noyaux. Si on compare ces fréquences en Hertz à des longueurs en millimètres, les deux noyaux résonnent sur deux bandes de largeur de l'ordre du centimètre qui sont distantes l'une de l'autre de 75 kilomètres !
Pour un champ donné de 2,35 Tesla par exemple, le 1H résonne à 100 MHz, le 13C résonne à 25,144 MHz. Cela signifie que compte tenu du domaine de résonance du 1H et du 13C (15 ppm pour le proton et 250 ppm pour le carbone), on peut intervenir sur le domaine d'un des noyaux sans perturber la résonance de l'autre. On peut donc envisager un découplage hétéronucléaire total, alors que techniquement l'équivalent est exclu entre noyaux de même nature pour lesquels on ne peut faire que des découplages partiels localisés. Voyons à quoi correspond ce découplage hétéronucléaire total.
En RMN du 13C on peut obtenir un spectre dépourvu d'interaction spin spin en 1H et 13C par irradiation de l'ensemble des fréquences spécifiques du 1H. Voyons comment cela se passe...
Très schématiquement, l'irradiation consiste à observer la résonance du 13C pendant que l'on maintient en forte résonance le noyau 1H couplé avec le carbone. On utilise pour cela une deuxième source de radiofréquence, très puissante, qui couvre la plage de fréquence de résonance du proton 1H. Il en ressort que le 1H effectue des transitions très rapides entre ses deux états de spin +1/2 et -1/2. De ce fait, le noyau 13C étudié ne voit plus un état de spin particulier pour le 1H mais une situation moyenne qui en fait est nulle puisque la transition est très rapide entre les états -1/2 et +1/2. Il en résulte pour l'observateur du noyau 13C une disparition du couplage avec le proton 1H. C'est ce que l'on appelle une "double irradiation" ou un "découplage de spin". Le phénomène est aussi appelé "double résonance".
En RMN du 13C on peut également obtenir un spectre "normal" dans lequel les couplages 1J13C-1H peuvent être observés. Notez que le signal du TMS apparaît sous forme de quadruplet...
On observe sur ce spectre la forte valeur du couplage 1J13C-1H = 125 Hz qui va conduire à des superpositions parfois inextricables de raies dans le cas de carbones couplés ayant des déplacements chimiques voisins. Il sera possible de contourner cette difficulté d'interprétation en irradiant partiellement le domaine du proton. Cela conduit au maintien de couplages partiels dont la valeur est de l'ordre de 10% du couplage effectif. Cette méthode réduit les superpositions de signaux mais entraîne la disparition des couplages de valeurs faibles 2J et ne permet pas la mesure exacte des valeurs des couplages.
Exemple de spectres :
- en haut, totalement irradié... pas de couplages !
- en bas, partiellement irradié. Attention, les valeurs des constantes de couplage ne sont pas significatives...
Voici le spectre obtenu si on n'avait fait aucune irradiation.
C'est plus complexe... même en couleurs !
En noir et blanc voilà ce que vous auriez dû interpréter...
Revenons à la RMN du proton 1H.
Le couplage 1J1H-13C toujours présent en RMN du 13C (sauf découplage...) n'est pas observé systématiquement en RMN du 1H. En fait, si le couplage J1H-13C est observé en RMN du 13C, il devrait donc forcément (par réciprocité) être observé en RMN du 1H. C'est en fait le cas... mais il n'est observé qu'à l'état de trace. En effet, seuls 1,1 % des carbones sont des carbone 13C et donc l'information principale collectée est celle des molécules dans lesquelles la majorité (99,9 %) des carbones sont des carbones 12C... Le spectre observé en RMN du 1H correspond en fait à la molécule qui contient 99,9 % de carbones 12C.
Prenons par exemple le spectre du 1,3,5-trichlorobenzène :
Les hydrogènes sont isochrones. On observe un singulet à 7 ppm. La rigueur voudrait que l'on associe ce spectre et cette isochronie uniquement au composé ne comportant que des carbones 12C puisque seule, environ, UNE molécule sur 100 possède UN 13C, UNE molécule sur 10 000, DEUX 13C ! On peut cependant observer le couplage J1H-13C si l'on amplifie l'enregistrement du spectre.
Sur le spectre amplifié, le signal principal sort du spectre et des raies satellites apparaissent de chaque coté. On observe deux petits triplets qui correspondent toujours au signal du proton H porté par un carbone 13C.
Comme ce proton H voit un 13C de spin non nul, on a couplage. Son signal est un doublet. On observe une constante de couplage J1H-13C de 150 Hz. Voyant un 13C, ce proton H n'est plus isochrone aux deux autres H situés en position méta... Il est donc couplé à ces deux H avec un couplage 4Jméta. Le doublet est donc détriplé. En théorie, les signaux des deux autres H sont des doublets... Le couplage 3J avec le 13C n'est pas observé car trop faible. Par contre, on a un couplage 4Jméta avec le H porté par le 13C. Expérimentalement, on n'observe pas la multiplicité du signal des deux autres H car le doublet est noyé dans le large signal précédent situé à 7 ppm. Dans tous les spectres amplifiés, on verra donc ce couplage J1H-13C. Dans ce cas, la symétrie de la molécule est partiellement rompue et il est donc possible d'observer d'autres couplages comme dans le cas du 1,3,5-trichlorobenzène.
Selon les couplages potentiels et les ruptures d'isochronie créées la multiplicité des raies satellites observées sera plus ou moins complexe.
Ainsi, dans le spectre du Cl3C-H ou chloroforme, on observe un simple doublet... avec une constante de couplage de 209 Hz.
Par contre, dans le cas du spectre du benzène, l'examen des raies satellites montre deux systèmes très complexes... absolument ininterprétables au premier ordre.
La RMN du carbone 13 (13C ou parfois simplement appelée RMN du carbone) est l'application de la spectroscopie RMN du carbone.
...
RMN du carbone 13.
Général
Rapport gyromagnétique [107 Rad/T/s] 6,728284
Fréquence relative [MHz], 1H = 100 MHz 25,145020
Sensibilité relative (1H = 1,00) 0,017
Oui, il y a de l’Oxyde de Graphène dans le vaccin corona !
1 août 2021 | Catégorie: Actualités, Tribune
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Kingston soupçonne que cet ingrédient n’est pas mentionné dans les brevets du vaccin car il est toxique pour les humains et parce qu’il peut littéralement être influencé par les ondes radioélectriques. “Ils expérimentent les doses supportables par les vaccinés.
Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer confirme : “Oui, il y a de l’oxyde de graphène dans le vaccin corona qui peut provoquer la mort” !
Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et analyste pour les industries pharmaceutiques et les dispositifs médicaux, a présenté des éléments incontestables qui devraient être partagés avec le monde entier ! Elle a formellement confirmé que l’oxyde de graphène est présent dans les vaccins Covid. “Il est extrêmement difficile de trouver cette information”, a-t-elle déclaré au Stew Peters Show.
Cela veut dire que la “vaccination COVID”, est une condamnation à mort et personne ne devrait se faire vacciner.
Des chercheurs espagnols ont récemment découvert que les vaccins corona de Pfizer et AstraZeneca sont en grande partie constitués d’oxyde de graphène. Les fact-checkers et les médias sont alors devenus fous pour réfuter les informations sur la découverte.
Lorsque Peters a demandé si l’oxyde de graphène était présent dans les vaccins corona, Karen Kingston a répondu sans équivoque: “À 100%, c’est irréfutable.”
Kingston soupçonne que cet ingrédient n’est pas mentionné dans les brevets du vaccin car il est toxique pour les humains et parce qu’il peut littéralement être influencé par les ondes radioélectriques. “Ils expérimentent les doses supportables par les vaccinés. Nous sommes les cobayes”.
S’il est activé, des dommages et la mort peuvent en résulter.
L’ancienne employée de Pfizer a expliqué que le graphène peut conduire l’électricité. Lorsque le graphène est chargé électriquement, il détruit tout ce avec quoi il entre en contact. Pour le moment, les particules ne sont pas chargées. Si elles sont activées par un champ radioélectrique, des dommages et la mort peuvent en résulter. Cela dépend du nombre de nanoparticules de graphène présentes dans le corps et de leur emplacement, selon Kingston.
Quand elle a appris l’information, elle a pleuré. “Je ne savais pas qu’une femme pouvait pleurer autant”, a-t-elle déclaré.
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