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 Le trésor de Louis Mandrin

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Lordfanoo

Lordfanoo

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MessageSujet: Le trésor de Louis Mandrin   Le trésor de Louis Mandrin I_icon_minitimeVen 13 Aoû 2010 - 19:44

Louis Mandrin aurait pris l’habitude de cacher ses butins dans des endroits qu’il nommait ses coffres-forts. Plusieurs d’entre eux auraient été localisés !


Ainsi, une cassette serait encore enterrée dans le jardin de sa maison natale à Saint-Etienne-de Saint-Geoirs (Isère). A Verel-de-Montbel (Savoie), il fera une cache dans les hautes roches qui entoure le village et y glissa une bourse remplie de pierres précieuses. Il enterra 25 000 livres en or en pleine forêt du Vercors là où Mandrin aimait à prendre ses quartiers. Lors de sa dernière chevauchée, il fut contrait de dissimuler à une lieue au-dessus d’Ambert (Puy-de-Dôme) le précieux chargement de quatre de ses chevaux qui, exténués, ralentissaient la course. On parle aussi de caches aménagées dans le vieux château de Rochefort (Savoie) où il fut capturé en 1755 avant d’être exécuté.

La combe des Malavaux abrite également un autre trésor dont l'authenticité historique n'est pas douteuse. Il s'agit d'un des nombreux trésors de Mandrin.
Celui-ci cacha son trésor aux Malavaux, après sa désastreuse campagne de l'année 1754. En effet, après avoir raflé un fabuleux magot en Bourgogne et en Auvergne, et réalisé certains de ses plus fameux exploits aux dépens des employés des fermes, receveurs des greniers à sel et entreposeurs de tabac, le chevalier d'aventure fut pourchassé. Plusieurs escadrons de dragons et hussards de M. de Fischer le traquèrent et finirent par le surprendre avec ses hommes, à Gueunand, en Côte d'Or. Le contrebandier perdit quarante-deux hommes dans l'accrochage, dont deux de ses lieutenants, et décida d'abandonner le plat pays pour gagner le Bourbonnais. A marche forcée, il traversa la Saône et la Loire, dépassa Moulins, puis s'enfonça dans la montagne, où, à deux reprises, il eut encore à affronter ses poursuivants.

Mandrin serait néanmoins parvenu à cacher son butin aux Malavaux, dans un souterrain ou une fosse creusée quelque part dans une colline, derrière l'auberge Le Relais de l'Empereur. Cette colline, à l'est de la rivière, abritait alors deux petites carrières abandonnées depuis de nombreuses années.
La tradition du trésor de Mandrin a été conservée par une famille d'origine savoyarde fixée à Cusset, non loin des Malavaux, dont l'aïeul reçut des confidences de la bouche même de Mandrin, alors que celui-ci était conduit sur les lieux de son supplice. Hélas, le secret de l'emplacement exact a été perdu. Pour retrouver le trésor de Mandrin, il conviendrait, avant tout, de localiser les entrées des souterrains de la forteresse et l'emplacement des anciennes carrières. Et pour ce, l'auberge Le Relais de l'Empereur doit jouer un rôle de point de repère important.

Les Saint-Cheffois de vieille souche ont tous entendu parler de trésors ou magots mystérieusement enfouis dans la campagne locale. Le plus hypothétique semble être celui de Mandrin qui aurait été enterré au pied d'un chêne, près du chemin qui traverse la forêt du Gaillot-Candit, entre les hameaux de La Biousse et La Rivoire.

Selon la légende, les grottes de Mandrin sur le site de la Bastille prés de Grenoble, situées non loin du restaurant le Pèr’Gras, cacherait le trésor de Louis Mandrin. Mais creusées en 1845, 90 ans après la mort du célèbre bandit natif de Saint-etienne-de-saint-geoirs (38), elles peuvent difficilement dissimuler son butin.

Mandrin vint en Gévaudan en 1754. Il contraignit les entreposeurs des tabacs de Mende en Lozère, à lui acheter de nombreux ballots de cette herbe à Nicot, qu'il avait au préalable soustraits aux mêmes entreposeurs ou leurs confrères du Velay. La Légende veut qu'à Mende le célèbre contrebandier ait habité la maison Oziol, rue d'Aigues Passes, la maison dont la façade abrite la Pieta du XVIe siècle. Là il aurait caché un fabuleux trésor qui n'a jamais été découvert

On rapporte donc que tous les butins de Mandrin n'auraient pas été trouvés. Un vieux proverbe occitan, attribué aux contrebandiers, donne l'emplacement d'une de ses caches vers Devesset en Ardèche : Quau troubarès tri rioulous, tri vouargès, un agrevon, tri pèiras sous un pinaton, l'escoudaillo ès dessous ! ce qui signifie approximativement Quand tu trouveras trois rigoles, trois noisetiers, un arbre à houx, trois pierres sous un petit pin, la cachette est dessous ! Que trouverons-nous dans cette cache ? Une caisse d'écus en or. Voilà de quoi donner des idées à tous nos aventuriers baladeurs ! Une remarque cependant : depuis l'époque des faits, notre paysage s'est considérablement modifié, et il y a fort à parier que ces indices ont été sérieusement perturbés par l'activité humaine.
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