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 Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer

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a2zeiss
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a2zeiss

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MessageSujet: Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer   Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer I_icon_minitimeMar 5 Oct 2010 - 10:52

(Source: L'eveil 2010)

Dans son livre « Voies alternatives dans le traitement du cancer », le docteur joseph Lévy dit d’un seul coup tout haut ce que des milliers de médecins honnêtes et thérapeutes consciencieux murmurent depuis une bonne dizaine d’années dans les couloirs des congrès et dans les « samizdats » des recherches médicales indépendantes.

Tout juste retraité, le docteur Lévy ne risque plus qu’on lui interdise d’exercer, mais ceci n’enlève rien au grand courage dont il fait preuve en affrontant les lobbies clinico-pharmaceutiques.

Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer 23873110

Peu de médecins ont étudié le cancer d’une manière aussi ouverte et complète, c’est-à-dire pluridisciplinaire.
Après son doctorat en médecine, plutôt que de considérer qu’il sait tout ce qu’il y a à savoir, joseph Lévy se lance dans des études complémentaires qui vont durer autant que sa carrière et qui se poursuivent encore aujourd’hui. Tour à tour, il présente avec succès un doctorat de spécialité en sciences physiques, écrit plusieurs ouvrages critiques sur la théorie de la Relativité, obtient un diplôme de médecine nucléaire et un diplôme de l’Institut international d’acupuncture et de médecine énergétique. Sa longue et patiente quête de la connaissance médicale le conduit de médecins en chercheurs, de chercheurs en trouveurs. A l’affût des publications scientifiques du monde entier, il constitue peu à peu une impressionnante documentation qui débouchera sur la publication de La Révolution silencieuse de la Médecine et sur des traitements anti-cancer qu’il expérimente avec succès dans son cabinet Pendant toutes ces années, il travaille et il se tait Seuls ses patients connaissent avec bonheur la pertinence des traitements qu’il a rassemblés et qu’il applique en fonction des cas qui se présentent à lui.

Aujourd’hui, le docteur Joseph Lévy rompt le silence. Voici un aperçu de son témoignage.

35 ans de gaspillage et de désinformation

Dans le New England journal of Medi cine, deux professeurs de la Harvard School of Public Health, John C. Bailar et Elaine M. Smith, dressaient le bilan – en s’appuyant sur des données épidémiologiques officielles- de trente-cinq années de recherches sur le cancer, pour un budget équivalent à celui de la conquête spatiale. «Trente-cinq années d’efforts intenses, centrés essentiellement sur l’amélioration des traitements, doivent être considérées comme un échec patent Les résultats n’ont pas été ceux qu’on espérait» «Mes conclusions sont tout autres, déclare le Dr Joseph Lévy. J’ai la conviction que nous avons réalisé d’immenses progrès dans la compréhension et le traitement de cette maladie. Mais si l’on veut que ces progrès passent dans la pratique, il faudra bien que la science officielle fasse le saut qu’elle a refusé de faire jusqu’à présent, et qu’elle prenne en considération les travaux de tant de chercheurs, écartés des organismes subventionnés, pour avoir osé faire preuve d’originalité.» Ces chercheurs, dont les plus connus ont été traînés dans la boue par les assauts médiatiques des chercheurs de la cancérologie officielle, le Dr. Joseph Lévy les connaît bien, puisqu’il s’est inspiré de leurs travaux pour mettre au point des synergies de traitements qui ont fait leurs preuves et dont il donne le détail dans son livre. Ils ont pour noms Keith Brewer (mondialement connu pour ses recherches sur la séparation des isotopes), René Jacquier (l’inventeur de l’oxygénation biocata¬lytique), Fritz-Albert Popp (le physicien allemand qui a découvert la respiration biophotonique des cellules), Geerd Hamer (médecin allemand qui a travaillé sur les origines psychosomatiques du cancer), Monique et Mirko Beljanski (auteurs de l’oncotest basé sur l’écartement des spires de l’ADN), Gaston Naessens (biologiste, inventeur du somatoscope et d’une thérapie anti-cancer), Hans Nieper le premier à avoir fait une synthèse des travaux de chercheurs isolés).

Ce qui les caractérise, c’est qu’ils ont étudié les mécanismes déclencheurs du cancer au lieu de se contenter d’étudier les tumeurs.


Le cancer précède la tumeur

Confondre le cancer avec la tumeur, explique le Dr. Lévy, c’est confondre la cause avec l’effet Or la destruction de l’effet n’a jamais été capable de supprimer la cause. Confondant le cancer avec la tumeur, le cancérologue se contente le plus souvent de la détruire, sans se préoccuper de changer les conditions qui ont favorisé son éclosion. Ce faisant, il ne peut espérer une réussite complète.

Une tumeur cancéreuse ne pousse pas sur un terrain vierge, il lui faut un certain nombre de conditions favorables à son développement (conditions de pH, potentiel d’oxydoréduction, état du système immunitaire, taux de sodium, polarisation de la membrane cellulaire, etc.). Ces conditions étant maintenues, toutes les raisons d’une récidive demeurent Cette attitude implique donc la poursuite de la radiothérapie ou de la chimiothérapie à vie. Mais ces thérapeutiques sont bien trop toxiques pour être poursuivies indéfiniment, sans l’aide d’un traitement de terrain visant à renforcer les défenses propres de l’organisme. On est dès lors assuré d’un échec.

L’organisme humain est doté d’une infrastructure extrêmement élaborée, qui lui permet de contrôler la croissance cellulaire. Il est bien connu aujourd’hui que de petites tumeurs cancéreuses naissent épisodiquement dans le corps de chacun d’entre nous, mais un organisme en bonne santé est capable de les contrôler et de les détruire. Sur 60 millions de Français, 59.500.000 n’ont pas de cancer, ils ne subissent pas de chimiothérapie ou de radiothérapie pour cela, mais leur mécanisme de contrôle fonctionne bien. » Il propose donc une double stratégie de lutte contre le cancer : renforcer le système de contrôle et affaiblir la cellule cancéreuse. Il s’agit de fonder une double politique de prévention et de soins appropriés.


Les mécanismes de la cancérogenèse

Différentes théories, parfois contradictoires, ont été émises pour expliquer la genèse du cancer. Le Dr. Lévy s’est intéressé à la fois à celles qui reposent sur des arguments sérieux et à celles qui se fondent sur des bases expérimentales solides. C’est ce travail qui devait le conduire sur les traces de ces fameux chercheurs en rupture de ban avec l’establishment médico-pharmaceutique.

Selon Keith Brewer, «toute cellule mal alimentée en oxygène peut se transformer en cellule cancéreuse».

«Dans les conditions normales, note le Dr. Lévy, l’énergie de la cellule est fournie par la combustion du sucre en présence d’oxygène. En l’absence d’oxygène, un autre mécanisme entre en jeu: l’énergie de la cellule est fournie par la dégradation du glucose en acide lactique; le milieu intracellulaire devient alors acide. Cette acidification induit des conséquences graves pour la cellule.» Quand on sait qu’une acidification excessive modifie les chaînes d’ADN des chromosomes et fait perdre à la cellule le contrôle de la multiplication cellulaire, on comprend que les traitements par «acidose» sont une erreur fondamentale et que l’oxygénation est prépondérante dans la prévention. «Ce processus peut être combattu en diminuant l’acidité du milieu intracellulaire, ajoute le Dr. Lévy. Cela peut être réalisé à l’aide du caesium ou du rubidium.»

Cette solution thérapeutique provient de l’observation de deux populations géographiquement éloignées mais proches par le fait qu’elles sont très peu touchées par le cancer: les Hunzas du nord Pakistan et les Indiens Hopi de l’Arizona. Les uns boivent une eau riche en potassium et en caesium, les autres consomment une plante du désert, la chamisa, particulièrement riche en rubidium et en potassium. Or des études effectuées chez la souris confirment l’efficacité du rubidium en tant que thérapeutique anticancéreuse. Le Dr. Lévy aborde également les travaux de Fritz-Albert Popp, l’inventeur de la «biologie de la lumière», pour qui les cellules vivantes sont douées d’un pouvoir photo réparateur, par le biais de l’émission d’un rayonnement ultraviolet (le bleu de Pop) de 400 nm (manomètres), appelée photo-réactivation.

Selon Popp, «on désigne par ce vocable le phénomène expérimentalement établi par lequel les dégâts génétiques des cellules et des formations cellulaires, quelle que soit la manière dont ils ont été provoqués, se réparent pratiquement en quelques heures dès qu’ils sont irradiés par un faible rayonnement ultraviolet d’une bande spectrale particulière (aux alentours de 400 nm de longueur d’onde). Il est vraisemblable que les tissus lésés émettent spontanément ce rayonnement, effectuant ainsi leur propre restauration. La cancérisation pourrait alors résulter d’un processus bloquant cette photo réparation.»

«Un argument de poids vient renforcer cette hypothèse, souligne le Dr. Lévy: le 3-4 benzopyrène est capable d’absorber ce rayonnement de 400 nm. Or ce dérivé du benzène (que l’on trouve dans le tabac) présente justement un fort pouvoir cancérigène. Certes, ce mécanisme n’est peut-être pas le seul en cause dans la genèse du cancer, mais il permet d’expliquer de façon plausible certaines formes de cancérisation induites par des produits chimiques toxiques.»

Des causes et des solutions

Parmi les autres causes de cancer ou de prolifération des cellules cancéreuses étudiées dans ce livre, on peut citer la chute de la capacité électrostatique cellulaire, la surproduction de radicaux libres, la formation de mucus autour des cellules cancéreuses et la présence de substances chélatrices dans l’alimentation.

«Les cellules normales du sein ont, de part et d’autre de leur membrane, une capacité électrostatique de 18 picofarads. Il arrive souvent que cette capacité chute et tombe à 8 ou 9 picofarads (cela a été observé dans les tumeurs du sein). Dans ces conditions, la probabilité de survenue d’un cancer est fortement augmentée. Toute substance capable de relever la capacité électrostatique, comme le squalène ou l’AEP calcique, est donc capable de s’opposer au développement du cancer.

«La surproduction de radicaux libres est également un facteur de cancérisation. Espèce chimique très réactive et instable, apparaissant fréquemment dans de nombreuses réactions du métabolisme, les radicaux libres, lorsqu’ils sont produits en quantité raisonnable, sont utiles et jouent un rôle physiologique important Lorsqu’ils sont produits en trop grande quantité, ils agressent les membranes cellulaires et le noyau, favorisant ainsi la cancérisation.» Les radicaux libres ont une origine à la fois endogène (les fonctions métaboliques, les stress) et exogène (la pollution, le tabac, les rayonnements u-v du soleil, les rayons X utilisés en radiodiagnostic et radiothérapie, les rayons gamma de la radioactivité, la suroxygénation, etc.).

«Les antioxydants, tels les vitamines A, C et E, le sélénium, la superoxyde dismutase, etc. permettent de neutraliser les radicaux libres. II va de soi qu’une alimentation très carencée en ces éléments sera un facteur favorisant la cancérogenèse.

«Pour détruire les facteurs étrangers susceptibles de nuire au bon fonctionnement de l’organisme (microbes, antigènes), celui-ci est équipé d’une véritable armée constituée par les globules blancs. Au sein de ceux-ci, une catégorie est spécialement affectée à la lutte et à la destruction des cellules cancéreuses, il s’agit des natural killers (N K).

«Les NK injectent dans les cellules malignes une substance toxique qui les tue : la tumostérone, qui dérive de la vitamine D2. Ainsi cette vitamine s’avère indispensable à la lutte anticancéreuse. Cette notion est, hélas, généralement ignorée de la cancérologie conventionnelle !

«Pour se défendre contre les lymphocytes tueurs (NK et lymphocytes cytotoxiques), les cellules cancéreuses sécrètent une substance mucoïde dont elles s’entourent pour se protéger. Ainsi, les lymphocytes sont réduits à l’impuissance. Il est donc indispensable de détruire cet écran de mucus. Ce rôle est habituellement réservé à une vitamine naturelle, le bêta carotène, dont la molécule possède des charges électriques libres capables de disperser l’écran de mucus. Il est également possible de dissoudre l’écran de mucus en faisant appel aux propriétés enzymatiques de substances naturelles, telle la bromélane extraite de l’ananas. A l’inverse, la caséine du lait est susceptible de renforcer cette couche mucoïde. C’est pourquoi les laitages sont peu recommandés en cas de cancer.

«Un autre aspect de la cancérogenèse est généralement ignoré : il s’agit du rôle joué par les substances chélatrices présentes dans l’alimentation. Les chélateurs sont de grosses molécules capables de capturer et d’emprisonner certains éléments jouant un rôle important dans l’immunité anticancéreuse. Le magnésium, le sélénium, le zinc et le manganèse font partie de ces substances utiles. Lorsqu’ils sont chélatés, l’organisme est très diminué dans ces capacités de défense.

«Parmi les chélateurs, on trouve des pesticides utilisés en agriculture, de nombreux colorants et conservateurs utilisés dans l’alimentation, des médicaments, des vaccins… Bien que ne présentant souvent pas une action cancérigène directe, ils n’en jouent pas moins un grand rôle en privant l’organisme de moyens de défense essentiels. Si l’on ajoute à cela le fait que les engrais chimiques ne contiennent que de faibles quantités de sélénium, de magnésium ou de zinc, et que la vie moderne avec ses stress répétés entraîne des déperditions importantes en ces éléments essentiels, on comprendra à quel point le mode de vie contemporain peut s’avérer propice au cancer.»


Un pavé dans la mare

Ces quelques extraits montrent que l’intérêt de ce livre est immense. D’autant que pour faire bonne mesure, le Dr. Lévy s’est risqué à détailler les thérapeutiques cas par cas dans la deuxième partie de l’ouvrage. La prévention elle aussi a fait l’objet de la plus grande attention de l’auteur, ainsi que la plupart des techniques de détection précoce de l’apparition de cellules cancéreuses dans l’organisme les fameux tests tant décriés par la médecine orthodoxe qui préfère employer ses instruments de haute technologie quand la tumeur est déjà bien visible.

Après avoir lutté pendant des années pour retarder le moment où ils n’auraient plus de raison d’être, les lobbies clinico-pharmaceutiques «anticancéreux» vont probablement réagir vigoureusement a raison de 25.000F la journée, les établissements anticancéreux vont perdre des milliards d’un seul coup faute d’avoir accepté de se reconvertir à d’autres méthodes. Tributaires des industries pharmaceutiques et des fabricants d’appareils sophistiqués tournés vers une stratégie anticancéreuse somptuaire, trop de médecins se sont faits pendant des décennies les apôtres d’une politique médicale inepte et criminelle, politique dans laquelle les affaires du sang contaminé et des fortunes détournées par l’ARC ne sont que les petites parties émergées de l’iceberg de la désinformation médicale. Et après les campagnes de dénigrement et d’interdiction de chercheurs originaux tels que Beljanski, Benveniste, Hamer, Elmiger, Gernez, et de tant d’anonymes muselés avant d’avoir pu mener leurs travaux à terme, il n’est que justice que les faits finalement donnent tort aux dénigreurs et que la vérité apparaisse au grand jour.

Les dégâts économiques, dans la monstrueuse niche du lobbying anticancéreux, seront probablement considérables.

Mais on n’abandonne pas sans combattre un territoire aussi riche que celui-là.

Les médecins qui ont choisi la voie de l’éthique et la voix de la vérité vont devoir affronter les grands maîtres de la manipulation et de la désinformation dont la préoccupation principale est évidemment moins la santé de leurs contemporains que celle de leurs revenus…

… Il faut transmettre le Savoir et la Vérité…
… La Vérité finit toujours par se Savoir…

DJAMELITO

http://djamelitoinfo.blogspot.com

Voies alternatives dans le traitement du cancer, par le Dr. Joseph Lévy, éditions du Rocher, 1998.
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http://divulgation-spirite.forumactif.org/
mesange30

mesange30

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MessageSujet: Re: Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer   Voies Alternatives dans le Traitement du Cancer I_icon_minitimeVen 17 Juin 2011 - 13:01

source : http://cancertemoignage.free.fr/cancertemoignage/aloe.htm


ALOE ARBORESCENS ET CANCER

Tout le monde ou presque connaît l'aloe vera et ses principes curatifs mais bien peu connaissent son cousin, l'aloe arborescens qui fait preuve d'un pouvoir de guérison encore plus puissant notamment en ce qui concerne le cancer. Il possède des propriétés anti-inflammatoires, antivirales et antiseptiques. Il stimule le système immunitaire et favorise la régénérescence des tissus.
Récemment, une étude a démontré l'efficacité de l'aloe arborescens sur l'hépato-carcinogénèse alors que le cancer du foie est le plus souvent un arrêt de mort.
Cette étude menée par des chercheurs japonais, in vivo et in vitro, montre que non seulement la prise d'aloe arborescens diminue le nombre de cellules cancéreuses mais qu'elle est utile pour prévenir ce cancer grâce à son pouvoir inhibiteur sur la naissance et le développement des cellules cancéreuses (Okada K. Yakayama J. "Studies on in vitro and in vivo effects of aloe extract on hepato carcinogenesis") journal of the Yakayama medical Society, 1997, 48/85-95.
En outre, l'aloe arborescens aide à la restauration des tissus brûlés par les rayons X.
La recette qui suit, nous vient d'un bidonville du Brésil (Rio Grande do Sol) où le cancer ne fait aucun ravage. Elle a été expérimentée dans bien d'autres régions avec un taux de succès d'environ 80 %. J'ai attendu de l'avoir moi-même testée pour en parler.

RECETTE
(telle qu'elle a été testée et transmise par le Frère Romano Zago qui travaillait dans ce bidonville)

INGREDIENTS
- Un demi-kilo de miel liquide (biologique)
- 40 à 50 ml (la valeur d'une petite tasse à café) de distillat (whisky, cognac, eau de vie de fruit, personnellement, je conseille une eau de vie de pomme : le calvados). Les personnes ne supportant pas du tout l'alcool peuvent le remplacer par un pur jus de carotte ou de fruit (par exemple : citron ou pomme). Toutefois, le jus de carotte est totalement déconseillé lorsque le foie est en mauvais état. Si le foie ne fonctionne pas bien, il est très possible qu'il soit incapable de transformer le bétacarotène en vitamine A. En ce cas, la carotte agit comme un poison, il vaut mieux l'éviter momentanément (j'ai moi-même expérimenté ce phénomène).
- 350 grammes de feuilles d'aloe arborescens entières, soit deux feuilles ou plus

PREPARATION
Pour garantir la fraîcheur de ce mélange, il est préférable de ne préparer que la moitié ou mieux le quart des quantités à la fois. Enlever le bout des épines des bords de la feuille à l'aide d'un couteau ou de ciseaux. Essuyer la poussière de la feuille avec un chiffon propre sec ou très légèrement humide. Couper la feuille en morceaux sans retirer la peau. Mettre dans un mixeur les morceaux de feuille, le miel et l'eau de vie. Mixer à coups rapides de façon à ne pas chauffer la préparation. Ne pas cuire, ne pas filtrer. Mettre au réfrigérateur, dans une bouteille bien bouchée, sombre car la préparation craint la lumière.

DOSES CONSEILLEES
Prendre une cuillerée à soupe du produit 20 à 30 minutes avant les trois repas principaux (petit déjeuner, déjeuner et dîner). Bien agiter avant l'emploi. En début de cure, certaines personnes hyperréactives peuvent avoir des réactions d'urticaire, d'eczéma ou autres, il est conseillé, en ce cas, de diminuer les doses à une cuillerée à café ou même moins puis de remonter progressivement les doses.


Une fois le traitement commencé, il est important de prendre tout le contenu de la bouteille. Ce cycle sera répété autant de fois qu'il est nécessaire pour éliminer le mal avec une pause de 3 à 7 jours entre les cures (En ce qui me concerne la première cure a été magnifiquement efficace mais la pause de 5 jours après la première cure a fait ressortir tous mes signes de cancer et je ne compte pas refaire de pause tant que demeure la petite grosseur qui se trouve juste au dessous de mon oreille dans le pli entre le crâne et la mâchoire).
Après quatre tentatives infructueuses, on doublera les doses (soit deux cuillerées à soupe avant chaque repas). A l'issue de ces cures, il faudra se soumettre à des examens médicaux, le résultat des analyses permettra de juger de l'état de la personne et s'il y a lieu de continuer les cures. En effet, une simple amélioration ne doit en aucun cas entraîner l'arrêt des cures sous peine d'une reprise plus forte du cancer.

MA RECETTE PERSONNELLE
Très rustique, elle présente l'intérêt d'éviter certains problèmes. Il s'agit simplement de couper à peu près l'équivalent d'une demi-cuillerée à soupe de feuille entière et de retirer le bout des épines puis de la mâcher soigneusement avant de l'avaler. Le goût bien qu'amer est tout à fait acceptable. Les problèmes ainsi évités sont le sucre et l'alcool.
En effet, pour moi, après une amélioration très significative, la recette classique ne fonctionnait plus. Une de mes joues commençait à enfler légèrement comme il m'arrive souvent lorsque je travaille sur un écran non équipé de filtre. J'ai mâché de l'aloe cru et nature avant de me coucher et dès le lendemain matin je n'avais plus d'oedème.
Je vais donc continuer avec cette recette toute simple, permettant une fraîcheur maximale et qui a l'avantage de ne nécessiter aucune préparation.

L'aloe arborescens ne profite pas seulement aux cancéreux, selon un article de John Ellis, ses indications sont nombreuses, notamment :
Eczéma, pellicules, cicatrices disgracieuses, orgelets, mycoses, candida albicans, hyperplasie bénigne de la prostate, anxiété et dépression, mauvaise circulation, acidité d'estomac, gastrite, ulcère peptique, yeux chassieux, cors, furoncles, arthrite, polypes intestinaux, polypes utérins, suées nocturnes, certaines paralysies, certaines surdités, constipation, excès de cholestérol, normalisation de la tension, calvitie, sinusite, lupus, herpès, psoriasis, certaines épilepsies, pied d'athlète, ongles cassants, acné, rhumes, indigestions, ulcères variqueux, ulcères de la rétine, toxoplasmose de l'oeil, perte de l'odorat, brûlures, coups de soleil.




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