Résonance de Schumann et signaux rythmique de la Terre
En 1957, le Pr. O.W.Schumann (Université Munich) découvre les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres aujourd’hui connues sous le nom d’Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann. Il s’agit d’un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d’une Onde Radioélectrique. Il faut tout d’abord savoir que la Terre est entourée d’une épaisse couche de particules chargées électriquement et ionisées appelée IONOSPHERE. Cette couche d’air ionisé s’étend sur une épaisseur qui va de 60/80 Km à 640 Km ; c’est le bouclier qui protège la Terre contre les vents solaires et les rayons cosmiques et réfléchit en outre les ondes radio. L’ionosphère est une couche épaisse fortement chargée qui forme avec la Terre un véritable condensateur ; ainsi la Terre est chargée négativement et l’ionosphère positivement, ce qui crée entre les deux une différence de potentiel variable de 200 volts par mètre en moyenne. Ce qui fait un véritable générateur électrique et les vents solaires, en interaction avec l’atmosphère en rotation, agissent comme des balais sur le collecteur d’un générateur. Terre et Ionosphère contiennent assez d’énergie potentielle (au moins 3 milliards de KW) chacune pour que l’excitation résonnante de la cavité Terre/Ionosphère augmente l’amplitude de fréquences Schumann naturelle, facilitant le captage de puissance électrique utile.
La Terre est en effet un grand conducteur sphérique et l’Ionosphère un plus grand conducteur encore. Les deux réunis constituent les plaques parallèles d’un condensateur d’un « condensateur sphérique » d’une capacité de 1500 microfarads pour la cavité totale Terre/Ionosphère. Dans les années 50, Russes et Américains s’intéressent aux travaux de M.TESLA, donc de l’Ionosphère, et se rendent vite compte que de puissantes émissions d’ondes ionisantes ont le pouvoir de modifier le climat. Ils leurs suffit d’activer les Electrons qui composent les différentes couches de l’atmosphère jusqu’à en modifier la densité. Le système HAARP de modification du climat est déjà là et nous lui consacrerons un chapitre.
Selon R.Miller « le champ magnétique » entourant la Terre peut être comparé à un gel assez ferme. Lorsque nos corps se déplacent et vibrent, ces mouvements sont transmis à l’environnement et vice-versa. Lorsque nous sommes normalement debout sur le sol, nous sommes « à la Terre » au sens électrique du terme.. Alors nos corps agissent comme de vidanges pour le champ électrostatique et déforment les lignes de force. Rappelons que le champ humain possède ainsi son propre champ électrostatique autour de lui, des lignes de champ résultant de diverses réactions biochimiques dans le corps ; le Bio champ qui en résulte, nous accouple au champ isoélectrique de la planète. En 1957, Schumann calcula les fréquences de la résonance Terre/Ionosphère et repéra la principale onde permanente à environ 7,83 Hz (cycles par seconde), chiffre confirmé plus tard par Koenig. Cette onde coincée dans la cavité d’air comprise entre la surface du sol et l’Ionosphère se répercute sans fin à la même fréquence de 7,83 car constamment réactivée. En fait, cette pulsation se nourrit de l’activité électrique des orages (à l’échelle du globe, il y a près de 300 éclairs à la seconde) mais aussi du vent solaire et de ses rafales de photons à hautes énergies qui viennent en permanence caresser les couches les plus hautes de notre atmosphère, l’électrisant progressivement et saturant la haute atmosphère de charges électriques qui constituent l’Ionosphère. Toutefois, en fonction du jour, de la nuit, des saisons, la pression du « souffle » solaire sur la haute atmosphère augmente ou diminue et l’épaisseur de l’ionosphère s’en ressent tout comme l’atmosphère terrestre. Rappelons que ces ondes Schumann vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains et des mammifères en général.
Selon HAIMSWORTH, le fait que les signaux naturels de la RS ont une influence sur l’évolution du modèle des ondes cérébrales montrent que tout les champs électriques de faible puissance sont susceptibles d’exercer une telle influence, autrement dit, que les champs électriques produits inconsidérément par les technologies humaines modernes peuvent constituer « des sources de changements » comme par exemple, à plus ou moins long terme, l’extinction progressive des espèces existantes. Cela se comprend aisément puisqu’il s’agit d’un système accordé constitué d’au moins 20 oscillateurs dont les fréquences naturelles de résonance sont identiques. Si les oscillateurs commencent à émettre, il active aussitôt l’autre par une sorte de processus de résonance dans les neutrons. HAIMSWORTH cite le cas où, lorsqu’un homme est en méditation profonde (marquée par des ondes aux rythmes Alpha et Thêta qui traversent son cerveau) une entrée en résonance peut se faire entre l’être humain et la planète Terre. La planète Terre, en effet communique avec nous selon ce langage primitif des fréquences. Même la santé des hommes semble liée aux paramètres géophysiques par le biais des résonances de Schumann. Comme la fréquence des signaux RS est déterminée par les dimensions de la cavité entre la Terre et l’Ionosphère, tout ce qui modifie ces dimensions, modifiera aussi les fréquences de Résonance, comme par exemple, les tempêtes de l’Ionosphère qui provoquent des modifications magmatiques sous forme de tempêtes géomagnétiques qui peuvent intervenir dans la modification des signaux RS. En effet, les fréquences des signaux RS varient en fonction des conditions Ionosphériques qui changent quotidiennement de façon saisonnière et selon les variations de l’activité solaire qui, à son tour, varie selon le cycle de 11 ans de tâches solaires et du cycle lunaire de 27/29 jours, surtout durant les périodes de tâches solaires minimales. Les marées lunaires, en affectant la hauteur et l’épaisseur des couches peuvent modifier les dimensions de la cavité et par conséquent les fréquences RS ; c’est aussi les signaux ELF de HAARP envoyés par des hommes inconscients des dangers qu’ils font peser sur l’humanité, car il faut le rappeler, ces ondes RS vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains soit 7,8 Hertz ou cycles par secondes. C’est la fréquence de Résonance de l’Hypothalamus et l’unique fréquence commune à tout les mammifères, alors que le rythme Alpha peut varier d’une personne à une autre (entre 9 et 11 Hertz) la fréquence de 7,8 Hertz est commune à absolument tous. C’est une constante biologique sous laquelle la vie humaine est impossible, c’est dire son importance.
Ainsi, lorsque les astronautes rentraient de leurs missions spatiales, ils avaient tous de sérieux problèmes de santé. En effet, lorsqu’ils volaient au dehors de l’Ionosphère, il leur manquait cette fréquence vitale de 7,8 Hertz. Pour résoudre ce problème majeur, on installa à bord des vaisseaux de l’espace des générateurs d’ondes de Schumann artificielles. La NASA a, sur ce sujet, multiplié les études et prouvé que si l’on enferme quelqu’un dans un bunker totalement isolé magnétiquement, de graves problèmes de santé surviennent rapidement accompagnés de rythmes cardiaques complètement anarchiques. Dés que l’on émet des pulsations de 7,8 Hertz à l’intérieur, immédiatement les conditions se stabilisent. Notons encore que beaucoup de problèmes cardiaques surviennent durant les tempêtes électromagnétiques sur Terre ; ils sont dus aux perturbations de ces ondes RS ou onde Schumann. Actuellement, toutes les recherches faites sur la RS indiquent que la fréquence de base de la RS a augmenté dangereusement créant une menace pour toute la Biosphère et pour la santé et l’avenir de l’espèce humaine. Rappelons que tous les processus biologiques sont fonction des interactions du champ électromagnétique. Ces champs EM constituent le lien entre le monde des formes et les schémas de résonance ; ils stockent les configurations et les modèles d’information. Enfin, le pont qui relie les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales se situe dans l’hélice de l’ADN humain. HAIMSWORTH, comme Schumann se rendit vite compte que la santé des hommes, leur existence même était liée à des paramètres géophysiques par le biais de ELF naturelles. HAIMSWORTH précisait les particularités naturelles de la gamme des fréquences des ondes du cerveau : les fréquences des signaux électromagnétiques naturels qui circulent dans l’enceinte électriquement réverbérante délimitée par la Terre et l’Ionosphère ont dirigé ou déterminé l’évolution ou le développement des fréquences de fonctionnement des principaux signaux du cerveau humain. En particulier, le rythme Alpha est situé de telle sorte qu’il ne peut, en aucune circonstance supporter une interférence importante de la part des signaux naturels ambiants.
Pour HAIMSWORTH, ces fréquences cérébrales évoluent en réponse à ces signaux ; donc les conditions des changements évolutifs des modèles des ondes cérébrales sont bien établies et leurs variations peuvent affecter gravement la santé et le comportement humain ; certains effets commencent à être connus mais dans la plupart des cas, la nature des stimulis ne permet pas toujours l’identification exacte des effets provoqués, surtout si au milieu s’insèrent des effets eux aussi provoqués, de stress, on obtient donc, avec ces changements de signaux, des comportements asociaux, des troubles mentaux profonds, des états psychosomatiques et des perturbations neurologiques. Certains phénomènes des champs électromagnétiques ont pu être associés à une diminution de la résistance immunitaire et à la prolifération de cellules anormales (tumorales.). Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués ; nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes affectant notre équilibre. Nos schémas REM (Rapid Eye Mouvement), notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales. Les rythmes et les pulsations du cerveau humain reflètent bien les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’onde. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes d’ondes cérébrales. Comme les EEG, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes (R.A.MILLER). En 1977, le chercheur ITZA BENTON traita de cette relation entre les signaux ELF de la Terre et les rythmes des ondes cérébrales confirmant les propos tenus ici. Un autre grand physicien Finlandais, MATTI PITKANEN, a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes Psy et le Temps Sidéral qui donne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 1h30. Rappelons que le Temps Sidéral en un lieu est l’angle horaire du Point Vernal en ce lieu ; ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure ni le temps solaire vrai. Il y implique le Flux Magnétique provenant du centre galactique, combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. Ses recherches l’amènent à penser que « les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio contrôle dans l’homéostasie et dans les interactions à distance ». Pour Pitkanen, le système corps-esprit fonctionne comme un bi ordinateur quantique dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les PLASMONS comme base des circuits neuraux et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés comme générateurs de changements dans la polarité magnétique. L’expression « allumer les neurones du cerveau » peut paraître erronée puisque, en fait, ces neurones sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Ainsi, en état de méditation profonde, lorsque les ondes ALPHA et THETA parcourent le cerveau entier, il est probable que l’être humain et la planète entrent en résonance. Selon R.A.MILLER, c’est « un transfert d’énergie et d’information qui est incrusté dans un champs magnétique. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérissons (par magnétismes) semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes ALPHA ».
D’ailleurs l’histoire nous apporte des preuves anthropologiques et culturelles que les hommes depuis la nuit des temps, se sont intuitivement synchronisés avec la RS ou Résonance Planétaire. Ces traces se retrouvent par exemple dans certaines pratiques rituelles, dans les états de transe du rythme des tambours chamaniques, ou de la plupart des danses extatiques, dans le balancement et l’inclinaison rythmiques des pratiquants des religions juive et musulmane lorsqu’ils psalmodient leurs prières ; on le retrouve aussi dans les danses sacrées hindou et les célèbres MUDRA. Nous pourrions multiplier encore les exemples, comme celui, très significatif, des danses de guérison qui induit la fréquence d’énergie de guérison, c’est-à-dire un esprit de guérison, un esprit plus étendu qui relie les hommes à la nature et à la planète dans une interconnexion dynamique corps/esprit/terre/galaxie. En 1998, C.H.ANDERSON découvrit le phénomène très courant du POS (Son Oscillatoire Persistant) un « son » généré à l’intérieur surtout lors de déshydratation ou de maladie, où il devient plus fort ; ce son ressemble à un bourdonnement d’insecte et Anderson l’attribue au REM (Rapid Eye Mouvement), à l’état de stress post-traumatique, mais surtout au rythme normal ALPHA de 10 Hz. La RS est 20 000 fois moins puissante que le champ magnétique terrestre. Il y a des milliers d’années, le champ magnétique terrestre était beaucoup plus fort et la RS, cette voix de la planète était aussi plus forte, moins diluée par la pollution EM et nos ancêtres pouvaient l’entendre. Il est même probable que notre système nerveux s’est développé au fil de l’évolution, par l’action de la RS. C’est ce que semblent indiquer nos 4 ondes cérébrales car, sauf l’onde Delta (du sommeil profond) elles tombent dans les même gammes de fréquences. L’onde Delta occupe la bande de 1 à 3 Hz. Or, les signaux de fréquences inférieures à 3 Hz passent plus facilement à travers la Terre qu’à travers l’Atmosphère. Un autre chercheur, JEROSLAV NOVAK a démontré que la RS et le champ EM ELF ont une influence sur les organismes vivants et que la RS varie en fonction des rythmes circadiens et d’autres cycles temporels. Pour lui, le paramètre biologique constitue un faible signal qui nécessite d’être amplifié 100 000 fois ; malgré tout, les changements biologiques sont bien en relation avec les variations de la RS. Autre observation intéressante de Novak, les sujets souffrant de troubles du sommeil et de fibromyalgie ont un taux de magnétite dans le fluide de l’oreille interne, supérieure à la normale. Chez 80% des sujets observés, ce sont les femmes qui ont les taux les plus élevés, car elles sont plus sensibles aux influences d’énergies subtiles que d’autres ne perçoivent pas. Comme l’audition humaine normale se situe entre les fréquences de 60 à 20.000 Hz, les signaux inférieurs à 60 Hz doivent être perçus soit par la magnétite contenue dans l’oreille interne, soit directement par le cerveau. Autre chose importante à rappeler : chacune des 7 RS occupe une bande de 1 Hz, c’est-à-dire que chaque RS a une largeur de 1 Hz. La 1ère bande de RS se produit à une fréquence de 7,83 Hz, c’est-à-dire dans l’intervalle entre les 2 fréquences Alpha et Thêta. Il en existe en tout 4 : ALPHA, BETA, DELTA et THETA.
Il y a 5 groupes de fréquences d’ondes cérébrales liées à notre activité mentale :
- Les ondes Delta de 0 à 4 Hz sont les ondes les plus lentes mais aussi les plus hautes en amplitude. Elles se produisent lorsqu’une personne est en état de sommeil profond, sans rêve, ou dans la plus profonde méditation. Ces ondes « suspendent » la vie extérieure et apportent une paix profonde. Certaines fréquences de ces ondes déclenchent la production d’une hormone de croissance favorable à la guérison et à la régénération, on comprend pourquoi le sommeil profond est réparateur et essentiel au processus de guérison. En fait, le principe général est que la fréquence prédominante du cerveau est d’autant plus basse en termes de pulsations par seconde que la personne est détendue, et d’autant plus élevée que la personne est agitée.
- Les ondes Thêta de 4 à 7 Hz. Ces ondes se produisent le plus souvent dans le sommeil, dans les états de méditation profonde (corps endormi et esprit en éveil) ; cela permet l’accès aux souvenirs et à la concentration mentale interne. En ondes Thêta, nous sommes en retrait du monde extérieur et plus concentrés sur le paysage mental. Ces ondes sont liées au mystère ou à un état « crépusculaire », au rêve éveillé. Méditer avec Thêta augmente la créativité et diminue le stress, aiguise l’intuition et les dons de perception extra sensorielle.
- Les ondes Alpha de 7 à 12 Hz. Ces ondes peuvent induire un état de relaxation et de concentration mentale ; elles sont présentes dans le rêve et la méditation, légère, les yeux fermés. Au fur et à mesure que davantage de neurones sont engagés dans cette fréquence, les ondes Alpha circulent à travers tout le cortex induisant la relaxation mais pas la méditation. Avec les ondes Alpha, nous commençons à accéder à la richesse créative qui se situe sous notre conscience éveillée. C’est la porte qui ouvre sur des états de conscience profonds. Ces ondes favorisent la coordination mentale globale, le calme, l’attention, la conscience intérieure.
- Les ondes Bêta de 12 à 25 Hz. Ces ondes correspondent à notre état normal lorsque l’attention est orientée vers les tâches cognitives et le monde extérieur. Rapide, l’activité Bêta est activée lorsque nous sommes alertes ou parfois même anxieux, ou engagés dans la solution de problèmes, une prise de décision, le traitement de l’information, la concentration ou l’activité mentale. Pour certains chercheurs, (et les plus récents travaux vont dans ce sens) la fréquence Bêta de 14 Hz serait la clé de l’acte de cognition.
- Enfin les ondes Gamma de 25 à 60 Hz qui modulent la perception et la conscience (et disparaissent lors d’une anesthésie) ; elles correspondent au traitement de l’information provenant de différentes zones du cerveau et impliquant la mémoire, les facultés d’apprentissage, etc…
En fait, l’homme est un être complexe, plus électromagnétique que chimique (c’est aussi le cas pour l’univers) et sensible aux champs électromagnétiques naturels et artificiellement provoqués. Dans la vie même, tous les processus biologiques sont fonction des interactions des champs électromagnétiques qui constituent le lieu entre le monde des formes et les schémas de Résonances ; ils stockent les configurations et les modèles d’information. Le pont qui relie les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales se situe dans l’hélice de l’ADN humain qui s’est structuré dans l’environnement Terrestre. Dans « l’homme étoile » Yvon Combe dit très justement que l’existence de nos organes vitaux ne dépend pas que des réactions biochimiques qui s’y passent par milliards à chaque seconde..bien avant de devenir des molécules organiques douées du pouvoir de la vie, les éléments simples qui composent ces même molécules sont douées d’énergie polarisée, de forces rotatives orientées, de champs immatériels sensibles qui répondent à l’énergie de la pensée.
Le corps humain est rempli de bien d’autres choses, qui n’est pas de la chimie..Il est aussi rempli de l’énergie magnétique et électrique qui priment avant toute forme de vie organisée, . de la conscience d’être et de la pensée humaine qui sont déjà là avant sa création.
Enfin on sait maintenant depuis les travaux de Schumann et Haimsworth, que grâce notamment à la fameuse RS ou « Résonance de Schumann », il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps-esprit, cette RS pouvant être considérée à juste titre comme « la voix de la planète ». Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique de notre corps sont étroitement entrelacés. Ainsi, nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes influençant ainsi notre équilibre, les schémas REM, la santé, la concentration mentale.Il semble que les ondes RS régulent nos horloges internes, agissent sur les schémas Sommeil/Rêve/Eveil/Sécrétion Hormonale. En fait, les rythmes et les pulsations du cerveau humain sont le reflet de ceux de la cavité terrestre qui fonctionne comme un conducteur d’ondes. Cette cavité terrestre est une cavité « résonante » formée par l’ensemble Ionosphère/croûte terrestre qui émet une onde de 7,5 cycles par seconde c’est-à-dire d’une fréquence de 7,5 Hz qui est précisément la fréquence de résonance des structures cérébrales des mammifères dont l’homme fait partie. Même constat dans le rapport entre l’énergie, l’information et le vivant.
Pour parler de l’énergie du vivant, la médecine actuelle cite beaucoup les sucres et calcule tout en calories. Or, l’on sait que le rendement (% de l’énergie transformée en travail) d’une machine à vapeur ne peut dépasser 30%, les 70% restant seraient donc dégagés sous forme de chaleur ce qui, dans un organe vivant, créerait d’énormes troubles (oedèmes, hyperthermies, sudations intenses.) entraînant la mort. Donc le vivant utilise d’autres énergies comme l’électrique et le magnétique. En effet, chaque être est parcouru de courants électriques et baigne dans ses propres champs magnétiques étudiés en MBE (Médecine Bio Energétique) dont le père fut C.LAVILLE. Mieux encore, tous les organismes vivants font des transmutations à bas niveaux d’énergie, c’est-à-dire pratiquement sans dégager de chaleur comme l’a montré KERVRAN en 1960. Or, ces réactions de fusion (Mn25+H1=Fe26) correspondent à celle de la bombe à hydrogène dont on ne sait toujours pas contrôler le dégagement d’énergie et de chaleur. De plus, la matière vivante vibre de façon différente de la matière inerte et crée ses propres champs magnétiques spécifiques.
Pour nous, la Terre est un être vivant ; comme chez tout être vivant, la partie la plus importante qui lui donne vie et qui est le starter de son organisation biologique, est la partie la plus subtile, la moins visible : l’atmosphère qui l’entoure. C’est cet espace protecteur qui est le catalyseur qui donne la vie à la Terre par l’intermédiaire des particules ionisantes de la Troposphère qui s’organisent en champs d’énergies de très haut potentiel électrique. Cette activité électrique donne naissance au chaud et au froid, sec/humide, pression/dépression, aux orages et aux éclairs. Des éclairs qui forment tout autour de la Terre un Réseau Electrique nécessaire aux échanges ciel/terre sous forme d’informations électriques polarisées. Le Pr. LEROY considérait que « l’univers est un immense édifice formé d’étages vibratoires » Pour le Pr. TOURNAIRE « tous les corpuscules (électrons, protons, neutrons.) sont des singularisations de l’énergie ». En fait, les mondes physiques et psychiques sont solidaires parce qu’ils sont de même essence ; pareil pour l’homme dont le psychisme est parent du psychisme de la matière, puisque que esprit et matière sont les faces opposées et complémentaires de la même énergie.
Koenig, un élève de Schumann, après avoir pris des relevés de signaux RS, observa la grande ressemblance du signal diurne de la RS avec le rythme Alpha et de l’onde RS ultra longue de 3 Hz nocturne avec le rythme Delta du sommeil. Ce constat permit à Koenig de postuler que les ondes cérébrales ELF avaient évolué de façon à utiliser les signaux naturels de son côté. B.LOMETREE enregistra 2 signaux anormaux se situant dans la gamme Delta : l’un à 0,9 Hz, l’autre à 1,82 Hz. Ces ondes d’énergie sont sans doute ce que l’on appelle les ondes ALFVEN, des micro pulsations dans le plasma magnétosphérique. Selon LOMETREE, l’atmosphère serait un milieu favorable au mélange des signaux ; lorsque 2 signaux se mélangent, on obtient la somme, la différence et la fondamentale ; ces signaux se produisent à des fréquences ultra basses et répondent à certaines lois acoustiques. Ainsi, nous sommes réellement connectés à notre planète, et la Terre et notre Corps/Esprit sont en relation harmonique. Le champ isoélectrique de Basse Fréquence de la Terre, le champ électromagnétique de la Terre et le champ électrostatique qui émerge de notre corps sont étroitement entrelacés. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, influant notre équilibre, les schémas REM, la santé et la concentration mentale. Il semble que les ondes RS régulent également nos horloges internes agissant sur les schémas Sommeil/Rêve/Eveil/Sécrétion Hormonale. De plus, les rythmes et pulsations du cerveau humain sont le reflet de ceux de la cavité terrestre qui fonctionne comme un conducteur d’ondes. Et ces RS sont fluctuantes tout comme les ondes cérébrales.
Toutes ces relations électromagnétiques sont trop complexes pour pouvoir être étudiées ici, même sommairement. Il fallait toutefois évoquer leur rôle car elles affectent notre mental, la structure générale et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et notre esprit. Tout porte à croire que la santé humaine est liée aux paramètres géophysiques par le biais de la RS dont les signaux naturels ont une influence sur l’évolution du modèle des ondes cérébrales. De ce fait, les champs électriques produits par les techniques modernes exercent une influence sur notre santé, notre psychisme, et peuvent constituer des éléments tendant à modifier l’homme et la vie même sur notre planète.
Dans le cas des ondes ELF par exemple, on s’est rendu compte que ces ondes de faible puissance avaient une énorme influence sur l’homme, tout comme les ondes électromagnétiques. En effet, tout organisme vivant réagit à ces signaux connus sous le nom d’ondes : ondes Delta (0 à 4 HZ), Thêta (4 à 7 Hz), Alpha (7 à 12 Hz), Bêta (12 à 25 Hz) et Gamma (25 à 60 Hz). Le cerveau réagit aux impulsions de certaines fréquences, à des sons de vibrations. Le son est mesuré en Hertz ou cycles par secondes ; chaque cycle d’une onde étant une seule pulsation du son. L’oreille humaine peut recevoir les ondes de 16 Hz à 20.000 Hz mais pas les très basses fréquences dont nous ne percevons que les rythmes. Les fréquences de nos ondes cérébrales indiquent dans quel type d’activités notre cerveau est engagé, car le cerveau utilise sa propre gamme de vibrations pour communiquer en mode interne ou avec le reste du corps. Ces ondes classées par fréquences et ces fréquences prédominantes de nos ondes cérébrales indiquent dans quel type d’activité notre cerveau est engagé.
Source : http://www.neotrouve.com/?p=996[u]