a2zeiss Administrateur
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| Sujet: Les Rothschild conduisent la « Symphonie Rouge » Lun 22 Nov 2010 - 16:01 | |
| (Source: InfoGuerilla)
par Henry Makow Ph.D., rédigé le 9 novembre 2003.
Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique. Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.
Une preuve choquante est l’interrogatoire en 1938 par la police staliniste (le NKVD) d’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovsky, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline.
La transcription des 50 pages de son interrogatoire, intitulée « The Red Symphony (la symphonie rouge) » n’était pas censée devenir publique. Elle confirme que les Rothschild (Illuminati) planifiaient d’utiliser le communisme pour établir une dictature mondiale au profit des élites richissimes.
C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler, et ensuite pourquoi ils ont cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.
Christian Rakovsky était un ancien initié communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux.
En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement soviet de l’Ukraine. Il défendit avec succès la zone pour les bolcheviks pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925.
Rakovsky appartenait à la puissante faction Trotskyste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup de membres de cette faction furent tués lors de la purge par Staline du parti communiste en 1937.
INTERROGATOIRE NOCTURNE
Les circonstances de son interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques.
Que pouvait bien dire Rakovsky pour sauver sa vie ?
Rakovsky semble utiliser la tactique qui consiste à « tromper en disant la vérité. » Il gagne la confiance en révélant la vérité, mais il en omet quelques aspects. Il essaye d’impressionner son interrogateur en disant que lui et Trotsky représentent une puissance invincible qu’il appelle « L’Internationale Financière Capitalo-Communiste. »
Il confirme que le « mouvement révolutionnaire » était conçu pour gagner du soutien en prétendant servir la morale de l’humanité et les idéaux collectifs. Toutefois, le but réel était de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie.
« Révolution » signifiait réellement « renversement » de la civilisation occidentale.
« La chrétienté est notre seul vrai ennemi puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences » dit Rakovsky (Griffin, page 264).
La paix est « contre-révolutionnaire » puisque c’est la guerre qui trace la route pour la révolution.
Rakovsky, dont la langue était déliée grâce à une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par « ils » ou « eux », Il en était membre mais ne faisait pas partie du premier cercle.
Il explique que l’Ordre des « Illuminati » est une société secrète maçonnique dédiée au communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de « la seconde conspiration anti-chrétienne de cette ère, le gnosticisme » (page 249).
COMMENT CE RECIT PASSIONNANT FIT SURFACE
L’interrogateur était un des agents stalinistes parmi les plus intelligents, Gavriil Kus’min connu sous le nom de « Gabriel ». A part lui et un technicien fiable caché, le docteur Jose Landowsky était la seule autre personne présente. Enrôlé par le NKVD pour aider « à délier les langues des détenus », le docteur Landowsky était écoeuré par les nombreuses tortures dont il fut témoin. Toutefois, l’interrogatoire de Rakovsky fut cordial. Le docteur Landowsky doutait que le doux euphorisant qu’il versa dans le verre de Rakovsky eut beaucoup d’effet. L’interrogatoire de Rakovsky, conduit en français, dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin. Ensuite, Kus’min ordonna à Landowsky de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.
Le contenu laissait tellement rêveur que Landowsky mit un carbone de plus pour lui-même. « Je ne suis pas désolé d’avoir eu le courage de faire ça » écrivit-il (page 279). (Les Bolcheviks avaient tués le père de Landowsky, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917).
Plus tard, un volontaire fasciste espagnol trouva le manuscrit sur le cadavre de Landowsky dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la seconde guerre mondiale. Il le rapporta en Espagne où il fut publié sous le titre « Sinfonia en Rojo Mayo » en 1949. Le texte complet de « The Red Symphony » a été mis en ligne par Peter Myers.
http://users.cyberone.com.au/myers/red-symphony.html
http://www.onnouscachetout.com/forum/index.php?s=&act=ST&f=73&t=8296&st=1120&#entry134863
La transcription fut publiée en anglais en 1968 sous le titre « The Red Symphony: X-Ray of Revolution. » Vous pouvez la trouver dans l’ouvrage de Des Griffin « Fourth Reich of the Rich » (1988). Je recommande ce livre et tout ce que ce brillant auteur a écrit.
REVELATIONS
Rakovsky donne à son interrogateur une vision étonnante des coulisses de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde.
« L’argent est à la base du pouvoir » dit Rakovsky, et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.
Le « Mouvement Révolutionnaire » était une tentative par Mayer Rothschild et ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.
Selon Rakovsky, « les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs de ce premier communisme secret… Marx et les plus hauts chefs de la première Internationale… étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par le Premier Ministre anglais Disraeli, qui était aussi sa créature, et nous a été laissé [dans le roman de Disraeli 'Coningsby'] » (page 250)
Nathaniel Rothschild (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie chrétienne [orthodoxe] des Romanov. A l’aide de ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança la partie japonaise dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut à l’origine de la première guerre mondiale (Trotsky était derrière le meurtre de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchevique de 1917. Rakovsky dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (pages 251-252)
Le mouvement ouvrier juif (le Bund) était un instrument des Rothschild. La « faction secrète » du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et fournit les dirigeants pour la Révolution Russe. Alexandre Kerensky, le premier ministre Menchevik en était un membre secret (page 253).
Leon Trotsky était censé devenir le leader de l’URSS. Trotsky, un juif, épousa la fille d’un des plus proches associés de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et intégra « le clan. »
Malheureusement, des communistes « nationaux » comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotsky et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan des Rothschild.
La première guerre mondiale était censée se terminer comme se termina la seconde. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une république populaire.
Trotsky fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotsky le fit achever par Levin, le docteur juif de Lénine.
A ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotsky tomba malade et Staline fut en position de prendre le pouvoir. Dans ces circonstances cruciales, les Trotskytes prétendirent supporter Staline et infiltrèrent son régime en vue de le saboter.
Rakovsky caractérise Staline comme un « Bonapartiste », un nationaliste par opposition à un international communiste comme Trotsky.
« C’est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais il s’en sert, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les gaulois… » (page 257) |
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