Voici un bon article que j'ai trouver, et a vous faire partager pour avoir vos avis.

Yannick Le Guern, président de Golden Brain : "comme l'or, l'Art a depuis toujours été un élément essentiel de diversification".

On attend généralement d'un placement qu'il offre les caractéristiques suivantes : liquidité, rentabilité, sécurité relative. Investir dans l'art peut aujourd'hui répondre à cette triple exigence. La gestion d'un patrimoine global, son rendement et sa résistance en cas de crise requièrent une grande diversification. L'art comme l'or a depuis toujours été considéré comme un élément essentiel de diversification. Les fonds d'investissement, banques et particuliers s'intéressent aujourd'hui à ces placements passion apportant intérêt financier, taxation favorable et retour plaisir.

Mais comment investir et dans quelles oeuvres ? Où acheter : en galerie, aux enchères, aux artistes ? Selon quels critères ? A quel prix ? Qu'est-ce qui fait qu'une oeuvre voit sa cote multipliée par 2, 10 ou 100 en cinq ans ? Repérer les oeuvres disposant de hauts potentiels de rendement est souvent inaccessible aux néophytes. Mieux vaut, dans ce cas, investir dans des fonds ou des sociétés qui constituent des collections d'oeuvres d'art à leur place, tout en assurant la promotion des artistes dans lesquels elles investissent. Ce type de sociétés, très répandues dans les pays anglo-saxons commencent à se développer en France. Si la société est performante, on peut attendre des taux de retour sur investissement allant jusqu'à 25 à 35 % par an. En investissant en direct dans une PME, vous bénéficierez en outre du dispositif Tepa qui permet de défiscaliser une partie des sommes placées. L'art est ainsi, plus que jamais, un placement de diversification et de défiscalisation essentiel dans la gestion de patrimoine. Sans oublier, bien sûr, le plaisir de découvrir et de contribuer à faire connaître des artistes qui pourront, qui sait, entrer dans l'histoire de l'art.

je pense que les tableaux ou bien la monnaie papier ne vaudra plus rien dans quelques temps.reste l or,l argent metal,les pierres precieuses et les bijoux.

Citation :

la monnaie papier ne vaudra plus rien dans quelques temps.

Tu parle de fin du monde ou fin du système économique actuel ?

Je pense au contraire que les tableaux, en tout cas des grands maîtres, garderont leur valeur artistique et monétaire. Ils font partis du patrimoine de l' humanité et en cela, ils ont de la valeur. Ce sont de vrais témoignages...

au vu de ce qui s annonce je ne sais pas trop ce qui aura de la valeur je pense vraiment que l or gardera de la valeur.pour le reste je suis prudent je m avance pas.et pour moi ce n est pas la fin du monde c est juste un reequilibrage ce qui se passe.normalement en toute chose et en tout lieu il y a une harmonie et dans ce monde le cote negatif a pris beaucoup trop d empleur il est temps de reequilibrer les choses.apocalypse veut dire revelation et la revelation c est notre place dans l univers,et faire ce qui est juste et non ce que nous voulons egoistement.apres le chaos une ere nouvelle vous avez tout les signes pour le verifier et ce n est que le debut je vous laisse voir la suite.

Même si c'est le chaos sur la terre, le système se reconstruira. Évidemment pas de la même façon, mais l'économie existera toujours, donc les œuvres d'art auront toujours une valeur, car les hommes ont toujours aimé la beauté des choses. Regardez les hommes de la préhistoire, ils dessinaient sur les parois des cavernes, c'est la toute première forme d'art de l'humanité.

Définition de l'art :

Citation :

Une œuvre d’art est un produit purement humain, d'êtres capables de sensibilité, et qui tentent de représenter dans des formes et des structurations d'éléments interagissant une perception construite, réelle ou transcendante.

Et il n'y a pas que les tableaux quand on parle d'art, il y a les statues, le mobilier, la céramique, la tapisserie, photo, etc...

C'est vrai que toute ces chose sont beaucoup plus dure à transporter que des pièces d'or et d'argent

Marché de l'art : "Il faut avoir du Chinois"


Ce 22 mai, une oeuvre de l'artiste Qi Baishi était vendue pour 46,5 millions d'euros: un record pour une peinture contemporaine chinoise, révélatrice de la nouvelle place du géant asiatique sur le marché de l'art. Quelques pistes d'analyse avec Gérard Sousi, universitaire spécialiste de l'art contemporain.

La Chine s'est hissée à la première place du marché des enchères de l'art en 2010, selon le classement d'Artprice, détrônant les Etats-Unis et la Grande-Bretagne qui dominaient le marché depuis 50 ans. Cette même année, dans le top 10 des artistes mondiaux en termes de produit de ventes annuel, figurent quatre Chinois. Parmi eux, Qi Baishi (1864-1957), dont une des oeuvres a battu ce 22 mai le record mondial de vente pour une peinture contemporaine chinoise, est révélateur de la nouvelle place de la Chine.

Le marché de l'art Chinois en chiffres

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  1ère place du marché des enchères de l'art en 2010, selon Artprice.
  
  4 artistes Chinois dans le top 10 des artistes mondiaux (en terme de produit de ventes annuel), selon Artprice.
  
  33% des recettes mondiales du marché des enchères de l'art, contre 30% pour les Etats-Unis, selon Artprice.
  
  46,5 millions d'euros pour une peinture de Qi Baishi (1864-1957), le 22 mai à Pékin.

Gérard Sousi, universitaire fondateur de l'association Art et Droit, souligne cependant que ces chiffres sont à relativiser: "Artprice ne comptabilise que les ventes aux enchères de Fine Art (peinture, installation, sculpture, dessin, photographie, estampe), le reste du marché est très opaque". Il y a également un manque de transparence de la part du gouvernement chinois: "On peut craindre que les chiffres communiqués soient biaisés". Mais au-delà de ces précautions, l'évolution est réelle. Facteurs économiques, socio-culturels, juridiques, Gérard Sousi apporte des clés d'analyse.

Une première explication est à trouver dans la bonne santé de l'économie chinoise. "On observe un lien évident entre le marché de l'art et la croissance économique", analyse l'universitaire. Or, le PIB chinois se porte bien. Il a été peu touché par la crise, contrairement aux Etats-Unis ou à l'Europe, et atteint 10% en 2010. Les 2000 milliardaires (en Yuan) Chinois représentent autant d'acheteurs et collectionneurs potentiels: "Pour les nouveaux riches, l'arrivée sur le marché de l'art est vue comme un acte de spéculation".

"on observe un lien évident entre le marché de l'art et la croissance économique"

Un autre argument économique réside dans l'intérêt, pour des spéculateurs internationaux, d'acheter des oeuvres d'art chinoises afin de diversifier l'origine des acquisitions et de diviser les risques. A l'heure actuelle, il semble qu'il faille, comme le suggère M. Sousi, "avoir du Chinois dans son portefeuille"...

L'identité socio-culturelle de la Chine est également un facteur favorisant l'essor d'un marché de l'art florissant. Le nationalisme est exacerbé: "Des mécènes chinois auront tendance à soutenir des artistes chinois", et un phénomène d'émulation sociale s'observe également: "c'est à celui qui achètera le plus et le mieux [...] 'J'achète cher, donc je suis' est un crédo très répandu...". Enfin, la libération politique, même si elle reste relative, a favorisé une création pléthorique, qui est clairement identifiée à l'étranger. Le gouvernement a également une politique culturelle qui favorise l'intérêt artistique: "aujourd'hui, la plupart des musées sont gratuits en Chine".

"Il faut avoir du chinois dans son portefeuille".

D'un point de vue juridique, des mesures protectionnistes favorisent les oeuvres nationales. "Il y a une taxe à l'importation des produits de 33%, qui favorise l'achat national. Les maisons de vente d'art internationales sont même interdites de vente en Chine! Elles sont toutefois présentes à Hong Kong" rappelle Gérard Sousi. Pour l'heure, l'absence de règles juridiques nationales constitue, paradoxalement, un atout: la dynamique commerciale économique n'est pas entravée par une réglementation. "L'art est dans le package de l'exportation des biens chinois".

L'art Chinois est donc "à la mode". Et au vu de l'économie mondiale, on peut penser que la tendance sera plus que saisonnière.