Messages : 4426 Date d'inscription : 02/05/2009 Age : 39 Localisation : Partout
Sujet: Documentaire Viols d'enfants: la fin du silence Dim 26 Juin 2011 - 10:17
Viols d'enfants: la fin du silence
Ce reportage fut diffusé le 27 mars 1999, tard dans la soirée; dans le cadre de l'émission "Paroles d'enfants" sur FR3, présenté par Elise Lucet. Il fut réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponnier et Cécile Toulec.
Le reportage met en relief l'existence probable d'un réseau pédophile qui bénéficierait de protections au sein des instances dirigeantes de la justice et de la politique française. En fin d'émission, se tient un débat, modéré par Elise Lucet.
Ce document reste peu connu du grand Public, bien qu'il ai été diffusé sur une chaine publique. 'Débordement' rendu possible, probablement par la détermination de Mme Lucet, toujours d'une grande (im)pertinence dans sa tenue du débat.
Les intervenants au débat:
La députée socialiste de Seine Maritime, Frédérique Bredin. La thérapeute familiale, Martine Nisse. Le commissaire de la sureté departementale des Hauts de Seine, Jean-Yves Leguennec. La substitut du procureur au tribunal d'instance de Bobigny, Martine Bouillon. Le député au Grand Conseil du canton de Vaud et délégué du Comité International pour la Dignité de l'Enfant, Georges Glatz.
Ce dernier explique comment fonctionnerait l'économie lucrative de ces réseaux pédophiles, il évoque des snuff-movies sur DVD d'enfants violés et tués vendus 20 000 francs Suisses sous le manteau.
Dès le lendemain de sa diffusion, Mme Bouillon est attaquée suite à ses déclarations (certes hâtives) sur l'existence de charniers d'enfants en région parisienne. Elle sera mutée en province au tribunal de grande instance d'Amiens sous prétexte d'atteinte à la délicatesse. Au passage, le Haut Magistrat qui lui a assigné l'ordre de mutation, Jean François Burgelin, a été mis en examen par la suite pour pédopornographie mais a été blanchie. Mme Bouillon se refuse depuis à tout commentaire sur cette affaire déclarant seulement qu'elle "a des personnes à protéger ".