Markosamo
Messages : 948 Date d'inscription : 26/01/2011
| Sujet: Cancer : guérison interdite Sam 22 Oct 2011 - 10:39 | |
| La France détient, hélas, le triste record de la persécution des thérapeutes non-orthodoxes. Mais si un de vos proches est décédé d’un cancer, alors l'histoire qui suit risque de vous rendre triste et très en colère contre les autorités. Gaston Naessens est un brillant biologiste français, né à Roubaix, et aujourd'hui réfugié au Québec. Son « crime » est d'avoir voulu inventer un produit anti-cancéreux, diffusé dans près de 80 pays, le 714-X. Il existe de nombreux témoignages de guérisons de cancers, y compris au stade terminal, pour le 714-X. Il est par ailleurs prouvé depuis 1978 que ce produit est dépourvu de toute toxicité ou effet secondaire. Mais en tant que patient Français ou Belge, vous n'y avez pas droit.
Je vais vous présenter tous les détails de cette affaire incroyable, qui est une gêne pour les autorités médicales, et pour les autorités tout court (avec de tels enjeux, une intervention de la présidence de la République pour stopper les persécutions contre ce chercheur eût été la moindre des choses).
Mais avant cela, je dois préciser que ce message n’a pas pour but de vous recommander de prendre du 714-X. Ce n’est pas la vocation de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle que de recommander des traitements. Nous ne donnons pas de soins médicaux, et nous n’avons pas à nous prononcer sur la validité scientifique de tel ou tel médicament. Peut-être même le 714-X pourrait-il ne pas être efficace.
Si nous avons jugé important de vous parler de Gaston Naessens et du 714-X, c’est parce qu’il s’agit d’un cas absolument emblématique, à nos yeux, des souffrances qui s’ensuivent lorsque des citoyens sont privés d’accès à un traitement par l’arbitraire du pouvoir.
En revanche, si vous souhaitez plus d’informations sur Gaston Naessens et le 714 X, des sources documentaires sont indiquées à la fin de l’article. Cela vous permettra d’apprécier par vous-même l’intérêt de cette découverte. Le récit n’invente rien, aussi incroyable qu’il puisse paraître par moments. Il existe d’ailleurs de nombreux cas de persécutions similaires, ou pires encore. Le passage reproduit ci-dessous est un extrait [1] de « Savant maudits, chercheurs exclus » de Pierre Lance, paru aux éditions Guy Trédaniel en 2010 (2ème édition). Nous le reproduisons avec l’aimable autorisation de l’éditeur.
Prenez un fauteuil confortable et surtout… solide.
Bonne lecture !
Augustin de Livois Institut pour la Protection de la Santé Naturelle « Savants maudits, chercheurs exclus », de Pierre Lance
Extrait du Tome II, Gaston Naessens.
« Gaston Naessens est né en 1924 dans une famille bourgeoise du Nord de la France. Alors qu’il étudie la physique, la chimie et la biologie à l’Université de Lille, éclate la seconde Guerre Mondiale. Gaston Naessens est évacué vers le sud de la France. En juin 1945, il est diplômé de l’Union Scientifique. C’est une structure créée pendant la guerre par des professeurs de Lille réfugiés à Nice. A la fin des années quarante, il applique son esprit inventif à trouver le moyen d’agir directement sur les cellules cancéreuses. En fait, il cherche à influer sur les processus permettant la prolifération des tumeurs. En 1949, Gaston Naessens parvient à mettre au point un médicament dont l’objectif est d’enrayer l’aspect « fermentation » des tumeurs cancéreuses. Ce produit transformait la l écithine des tissus en lysocithine. Fabriqué par un laboratoire suisse, ce médicament fut vendu par les pharmaciens, en France et en Suisse, de 1950 à 1960.
Mais Naessens, dont rien n’arrête la créativité, a mis au point un nouveau microscope grâce auquel il établit lui-même des diagnostics de cancer. Après quoi il prescrit son produit alors appelé le GN-24, lequel se révèle extrêmement efficace sur les sarcomes, des cancers qui se déclarent dans les tissus conjonctifs. C’en est trop pour les autorités médicales, qui considèrent le cancer comme leur « chasse gardée ». (Gaston Naessens est diplômé de biologie, non de médecine, NDLR). Elles passent à l’attaque du trop talentueux franc-tireur.
Menacé des foudres de la justice pour exercice illégal de la médecine, Naessens suspend ses traitements aux malades. Ceux-ci l’attaquent à leur tour pour non-assistance à personne en danger. Gaston Naessens est pris entre le marteau et l’enclume. Il tombe deux fois sous le coup de la loi : une première fois parce qu’il soignait des malades sans avoir le diplôme de docteur en médecine, délit prévu par l’article 372 du Code de la Santé ; une seconde fois parce qu’il a refusé de soigner ces mêmes malades qui sont en danger de mort, délit poursuivi par l’article 63 du Code pénal…
En juin 1956, perquisition chez Naessens et saisie des ampoules de son remède. Mais l’Inspecteur de la Santé publique lui en laisse une quantité suffisante pour ses patients en cours de traitement. Le 15 mars 1957, seconde perquisition et, le 28 mars, on pose les scellés sur son matériel et sur la porte de son laboratoire. Il ne peut plus soigner ses malades. Tout cela parce qu’une de ses patientes, qu’il avait soignée en 1953, avait eu la malencontreuse idée d’aller voir un médecin et de lui parler de Naessens. Ce dernier raconte : « Entre-temps, le médecin qui m’avait dénoncé avait continué à bourrer de morphine la malade qui avait eu le tort de ne pas s’en tenir au verdict fatal qu’il avait émis, et d’essayer de guérir hors des règles officielles. La malheureuse a eu ainsi 4308 ampoules de morphine. (…) Elle a tenu un an et dou ze jours avant de succomber à cette intoxication massive. Pourtant, ce n’est pas son médecin qui a été poursuivi et que l’on a empêché d’exercer ; c’est moi... »
Naessens habite alors à Chelles (Seine-et-Marne), où les malades abandonnés viennent le supplier de les traiter. Il est contraint de les renvoyer. Ceux-ci alertent le ministre de la Justice. Quinze jours plus tard, n’ayant pas de réponse, ils organisent une manifestation et distribuent des tracts ainsi libellés : « Vous qui êtes abandonnés par ceux qui ont le monopole de la médecine officielle, vous qu’un juge d’instruction sans pitié empêche de recevoir des soins indispensables, venez manifester votre volonté de vivre, le mardi 16 avril 1957, devant le ministère de la Justice, 13, place Vendôme. » Au jour dit, la police disperse les manifestants… (…)
Au début des années cinquante, Gaston Naessens était déjà persuadé de l’existence de micro-organismes qu’il ne pouvait pas apercevoir au moyen des microscopes classiques. Soucieux de confirmer son intuition, il se lance lui-même dans la mise au point d’un microscope très spécial, avec le concours d’artisans opticiens de Leitz, en Allemagne. Par la suite, il perfectionnera encore l’appareil grâce à des procédés électro-magnétiques. Cette performance fera l’étonnement des professionnels de l’optique et témoigne à elle seule du génie de ce chercheur polyvalent. (…)
En 1952, son microscope inégalable lui a donc permis d’observer des corpuscules différents des virus et des bactéries, que personne n’avait pu voir avant lui. Il leur donne le nom de somatides. (…)
Poursuivant méthodiquement ses recherches, il multiplie les expériences et il s’aperçoit, en 1959, qu’en injectant à des chevaux des cultures de somatides de cancéreux, il suscite chez les animaux une forte réaction immunitaire. Et il obtient chez des souris un effet anti-cancéreux en leur injectant une gamma-globuline qu’il extrait du sang des chevaux traités. Il vient de découvrir l’Anablast, qui va le rendre célèbre dans le monde entier.
Naessens obtient en 1961 un brevet pour l’Anablast, et dépose à l’Académie des sciences de Paris, le 3 juillet 1963, une publication scientifique portant le numéro 14405. De nombreux médecins français, consciencieux et honnêtes, se désespérant de ne pouvoir guérir certains cas de cancer, se décident à prescrire l’Anablast à quelques-uns de leurs patients. Ils obtiennent le plus souvent d’excellents résultats et l’intérêt pour le produit de Naessens se développe rapidement, jusqu’au jour où un journal britannique, en janvier 1964, annonce qu’un chercheur français a mis au point un traitement anti-cancéreux qui fait merveille. La nouvelle, aussitôt reprise par de nombreux médias, fait le tour du monde en quelques jours. Gaston Naessens est à l’époque installé en Corse, et l’île voit débarquer quelque dix mille personnes impatientes de recevoir le médicament-miracle. Alors commence vraiment « l’affaire Naessens ».
Affolé, le gouvernement français expédie en Corse 350 gendarmes pour « rétablir l’ordre ». Les autorités contraignent Naessens à déclarer publiquement qu’il ne lui est plus possible de fabriquer l’Anablast. Le chercheur ne résiste pas à l’injonction (…) et rentre aussitôt à Paris, en espérant que ce tintamarre va obliger les officiels de la médecine à reconnaître la valeur de l’Anablast, car son médicament et lui-même font alors les gros titres de toute la presse.
C’est le professeur Denoix, directeur de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy de Paris, qui examine des échantillons de l’Anablast. Quelques jours après les avoir reçus, il déclare que le produit n’a aucune valeur. Et il ajoute que les somatides de Naessens ne sont que des « figures myéliniques » connues, des artéfacts de coloration des frottis sanguins. Naessens est sidéré. Il affirme qu’il est impossible de démontrer quoi que ce soit sur la valeur de l’Anablast en un si court laps de temps et en conclut, que le Professeur Denoix, grand patron de la cancérologie, a émis son opinion sans procéder à la moindre étude scientifique sérieuse. Mais le procureur de la République décide que Gaston Naessens sera traduit en justice au motif de pratique illégale de la médecine. L’instruction va durer tr ois mois, durant lesquels, on s’efforce de rassembler les preuves de la « culpabilité » de Naessens.
Or en 1964, un citoyen canadien du nom de René Guynemer, dont le fils est gravement malade, écrit à Naessens pour lui demander de venir soigner son enfant. Et il arrange une rencontre entre Naessens et l’Ambassadeur du Canada à Paris. Guynemer et l’ambassadeur Jules Léger exhortent Naessens à quitter la France et à venir s’installer au Canada, où, lui assurent-ils, il pourra continuer ses recherches sans être inquiété. (…)
Cependant son entrée au Canada ne se fait pas dans la discrétion souhaitée, bien au contraire. Le tapage médiatique est énorme et tout le monde attend la guérison du petit Guynemer. Malheureusement l’enfant, atteint de leucémie, décède en juillet 1964, alors que Naessens se montrait très confiant dans sa guérison. Que s’est-il donc passé ?
L’enfant était hospitalisé à l’Hôpital Ste Justine. En juin 1964, le chercheur prépare son Anablast sous la surveillance du Dr Armand Frappier. Naessens confectionne 88 ampoules du médicament. Il en remet 50 pour analyse au Dr Frappier et 38 autres au Dr Royer, directeur de Ste Justine, lesquelles sont destinées au traitement du jeune patient. Les journaux annoncent que le petit Guynemer reçoit la première injection le 17 juin. Mais parallèlement, le collège des médecins déclare que l’Anablast n’a aucune valeur, tout en assurant que l’inoculation du produit sera poursuivie « pour des raisons humanitaires ». (…). Le 4 juillet, le petit Guynemer décède. L’opinion publique, tenue en haleine par la presse, attend des explications qui tardent à venir. Et pourquoi n’a-t-on pas autorisé Naessens à être présent lors des injections ? Mais, quelque temps plus tard, les 38 ampoules qui auraient dû servir à traiter l’enfant sont rendues à Naessens ! (…). Gaston Naessens affirme avoir identifié une substance émise par les tumeurs, substance qu’il nomme le « facteur cocancérigène K ». Il s’agirait d’une enzyme ayant pour fonction de paralyser les cellules T4, qui sont les « patronnes » de notre système immunitaire. Cette mise hors jeu des T4 étant obtenue, les tumeurs peuvent facilement tirer du corps tout l’azote qui leur est nécessaire sans être combattues par les globules blancs et les lymphocytes. Les cellules cancéreuses ayant en outre une forte attirance pour le camphre, Naessens utilise celui-ci comme porteur de l’azote destiné aux cellules cancéreuses. Dès lors, étant gavées d’azote par le 714-X, elles n’émettent plus le facteur cancérigène K qui paralysait le système immunitaire. Celui- redevient aussitôt opérationnel et l’effet obtenu serait très rapide et spectaculaire. Ce résultat a été notamment confirmé par un médecin belge, le Dr Florianne Piers, qui a pu témoigner de l’action thérapeutique majeure du médicament, puisque le 714-X a été bénéfique aux sept patients qu’elle soigne ainsi depuis six mois et qui ont tous retiré des effets salutaires des produits, sans le moindre effet secondaire.
Selon Gaston Naessens, grâce à son médicament, le pourcentage de rémissions des cancers en phase terminale est de 25 %. Il passe à 50 % pour les cancers avancés, et atteindrait 100 % pour les cancers primaires qui n’ont pas encore fait de métastases. On comprend qu’un vent de panique saisisse les industriels de la cancérologie traditionnelle à la seule idée que de telles statistiques puissent se vérifier. Leurs florissantes entreprises sombreraient dans un maelström boursier si jamais le médicament Naessens était agréé. Sans parler des carrières de « grands professeurs » qui passeraient tout d’un coup à la trappe.
la suite :
http://institut-protection-sante-naturelle.eu/newsletter/cancer-guerison-interdite |
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samskaraa
Messages : 1006 Date d'inscription : 27/03/2011 Age : 42
| Sujet: Re: Cancer : guérison interdite Sam 22 Oct 2011 - 11:04 | |
| Merci Markosamo on connaissait aussi l'histoire du dr Gernez, j'ai vu ceci l'autre jour sur le site du LLP: " Une très bonne nouvelle nous arrive de l’équipe du Dr GERNEZ, la création d’une association portant son nom : L’APAG ou Association Pour André GERNEZ Cette association a pour ambition de faire connaitre les travaux assez extraordinaires du Dr GERNEZ. Il serait fastidieux de les citer tous ici, ceci a déjà été fait dans d’autres vidéos (voir impérativement les documentaires Le scandale du siècle 1 et 2). On se bornera aujourd’hui au seul cancer responsable de près de 150.000 morts par an et de plus de 320.000 nouveaux cas ! La situation est gravissime et une action aussi efficace doit exister. Voilà un livret de 50 pages publié ce septembre 2011 dans lequel les Dr J. Lacaze et J.-C. Meuriot nous expliquent clairement et simplement la cure de prévention active du cancer. Voici le bon de commande de cette brochure (2€80) http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/77/25/21/BonCommande.pdf qui contient le bon d’adhésion. Il est essentiel d’adhérer en masse à cette structure historique qui forcera les autorités à reconnaitre l’importance des découvertes du Dr GERNEZ. Le prix de l’adhésion n’est pas fixe et à l’appréciation de chacun sachant qu’une telle structure engrange des frais importants selon le nombre d’adhérents (Papier, timbres, publications, web…). La santé de nos familles et proches est en jeu. Faire tourner l’information à vos carnets d’adresses. N’hésitez pas à leurs proposer vos compétences : Webmaster, publication,… etc. URL du site : http://www.gernez.asso.fr/ URL du Dr J. LACAZE : http://www.jacques-lacaze.com/ " http://www.lelibrepenseur.org/ |
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chenepointu
Messages : 24 Date d'inscription : 07/12/2011 Age : 45
| Sujet: + et - Lun 12 Déc 2011 - 21:03 | |
| Il n'y a pas de remède miracle pour le cancer, mais des remèdes existent pour presque chaque cas.
Mais comment faire pour ne pas s’attirer les foudres de l'Olympe ? Sauvez ce qui est déjà déclaré et classifié ? Mener une petite vie tranquille est largement préférable au statut de gibier des autorités.
L'édifice médical du anti-cancer est beaucoup plus puissant que le système bancaire. Et il n'y a pas de pitié car leur fond de commerce est bien le cancer.
Guérir un malade de cancer en phase terminale sans pouvoir faire passer ça pour le compte d'un accident ou du hasarde est suicidaire car ce n'est pas le résultat qui compte mais la loi qui interdit tout acte ,,médical,, aux personnes non-autorisés (sans les compétences et les diplômes prévus pour).
Il ne faut pas rêver : le serment de Hytpocrates est requis...... |
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chenepointu
Messages : 24 Date d'inscription : 07/12/2011 Age : 45
| Sujet: Re: Cancer : guérison interdite Lun 12 Déc 2011 - 21:26 | |
| Une petite observation : Si en paroles tous ceux qui sont concernés par le cancer (notamment les malades) donneraient tout pour leur guérison en réalité personne n'est disposé a gaspiller le moindre sou pour quelconque remède. Pour tous le remède semble être un dû. C'est juste un constat après avoir connu pas mal de malades de cancer qui ont refuse a payé même un modique prix symbolique pour des remèdes qui aurait pu les sauver tout en payant des fortunes à des charlatans diplômés. Ils sont tous partis avec leur convictions mais sans conclusion. (plus de temps) Chacun est maitre de sa vie, mais c'est bizarre quant on vois nos proches dans ce même circuit. On croit toujours que c'est différent et c'est toujours pareils. |
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chenepointu
Messages : 24 Date d'inscription : 07/12/2011 Age : 45
| Sujet: Re: Cancer : guérison interdite Mar 13 Déc 2011 - 12:47 | |
| Je ne trouve pas ce ,, maintenant,, mal place. Je le trouve juste mas assez soutenu. J'en suis sur que ils ont tous besoin d'argent maintenant car ceux qui sont concernés ont de vraies besoins. Pourtant les dons ne sont pas demandés par les malades mais par les spécialistes et les experts média. Et il n'y a pas de honte de constater la réalité. Le tout est présenté sur le principe suivant : Donner est un devoir moral, demander des garanties est une honte car vous est seulement un grain de sable sur une plage devant la mer. La mer est bien sur : l’immensité de bonnes intentions des ceux qui encaissent pour le compte des autres. Simple mais efficace. |
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