Lorsque qu'on essaie d'appréhender le monde quantique, plusieurs sentiments apparaissent alors. D'un coté la certitude que les principes déduits de l'application mathématique ne peuvent être que réels et avérés. D'un autre coté l'incertitude sur le comment les choses se passent, issue du manque de mots et de représentations mentales que peut nous offrir notre cerveau pour appréhender ces concepts.

Notre cerveau a du mal dans ce domaine , et c'est normal. Quel bénéfice pour sa survie peut-il trouver dans le fait de savoir comprendre qu'un électron peut tourner sur lui même à la fois a gauche et à droite ou a savoir si le boson Z° viole la parité ?
Feynman disait lui même : personne ne comprend réellement la mécanique quantique.

Quel bénéfice pour sa survie? Survie . Darwinisme . Evolution.

Tous les états quantiques qui peuvent se manifester survivent pendant un laps de temps plus ou moins long. Ceux qui survivent le plus longtemps sont les plus stables, les plus forts , ceux qui ont le moins de chance de disparaître en une fraction de seconde. Il se passe alors comme une sélection naturelle choisissant les états les plus stables, éliminant les superpositions d'états incapables de perdurer.

Meme s'il ne permet pas de tout appréhender d'une manière claire , notre cerveau à le mérite de pouvoir invoquer et corréler plusieurs idées simultanément, permettant à plusieurs mondes , celui quantique et notre macrocosme, de se rejoindre et de se lier un peu plus intimement à nos yeux qu'ils ne le sont déja.

Et puis notre cerveau est surement aussi en train de garder les chemin neuronaux et les impulsions électriques les plus aboutis, se perfectionnant graduellement, tendant à une compréhension du monde et de ses lois la plus claire possible.

intuitif a écrit:

Lorsque qu'on essaie d'appréhender le monde quantique, plusieurs sentiments apparaissent alors. D'un coté la certitude que les principes déduits de l'application mathématique ne peuvent être que réels et avérés. D'un autre coté l'incertitude sur le comment les choses se passent, issue du manque de mots et de représentations mentales que peut nous offrir notre cerveau pour appréhender ces concepts.

Notre cerveau a du mal dans ce domaine , et c'est normal. Quel bénéfice pour sa survie peut-il trouver dans le fait de savoir comprendre qu'un électron peut tourner sur lui même à la fois a gauche et à droite ou a savoir si le boson Z° viole la parité ?
Feynman disait lui même : personne ne comprend réellement la mécanique quantique.

Quel bénéfice pour sa survie? Survie . Darwinisme . Evolution.

Tous les états quantiques qui peuvent se manifester survivent pendant un laps de temps plus ou moins long. Ceux qui survivent le plus longtemps sont les plus stables, les plus forts , ceux qui ont le moins de chance de disparaître en une fraction de seconde. Il se passe alors comme une sélection naturelle choisissant les états les plus stables, éliminant les superpositions d'états incapables de perdurer.

Meme s'il ne permet pas de tout appréhender d'une manière claire , notre cerveau à le mérite de pouvoir invoquer et corréler plusieurs idées simultanément, permettant à plusieurs mondes , celui quantique et notre macrocosme, de se rejoindre et de se lier un peu plus intimement à nos yeux qu'ils ne le sont déja.

Et puis notre cerveau est surement aussi en train de garder les chemin neuronaux et les impulsions électriques les plus aboutis, se perfectionnant graduellement, tendant à une compréhension du monde et de ses lois la plus claire possible.

Désolé, mais ça fait trop "mauvaise vulgarisation" ce que tu dis x)
sans doute l'intention est bonne, mais je doute que tu connaisses grand chose en physique quantique,
vu comme tu la présentes.
J'ai plus l'impression que tu veux "philosopher" à ce sujet ^^

Bref, je fais juste une petite précision.
Ce n'est pas que notre cerveau ai du mal à se représenter la physique quantique,
c'est que celle ci prend un autre chemin.
Un de mes profs l'a qualifié "le surréalisme de la science" pour ceux qui connaissent le mouvement surréaliste en peinture (j'ignore si dans les autres courants il y aussi ce mouvement ^^).

Par exemple, tu envoies deux boites à deux endroits, dans l'une d'elles tu mets un objet.
La logique dira que l'objet est dans l'une d'elle, même si on ne sait pas dans laquelle elle est, ça seul celui qui l'a mit le sait.
Nous on pourra confirmer en ouvrant.
Or la physique quantique dit que d'office l'objet a une probabilité d'existance, qui fait qu'il se trouve dans les DEUX boites à la fois.

Ce genre de procédé mathématique va contre beaucoup de vision.
Elle n'est accepté que parce qu'on voit des résultats, qu'on penne à expliquer faut dire..
Et faut savoir aussi qu'il y a plusieurs écoles de la physique quantique.

Sinon une petite précision, l'électron ne tourne pas sur lui même,
il faut pas parler de cette image, qui est fausse dans la théorie.
Le spin est un effet "similaire" au fait de tourner, mais n'est en rien un mouvement comme on l'entend.
D'ailleurs en physique quantique il n'est plus question d'un électron qui tourne autour du noyau,
donc comment pourrait il tourner sur lui même ^^

à Howran :

je prends note de la critique et je vais y répondre.
D'abord le but ici n'est pas d'expliquer la physique quantique, l'entreprise serait trop longue laborieuse et prétentieuse de ma part et j'en serais incapable. Par contre certes je ne suis pas physicien quantique mais il me semble avoir saisi les notions de ce domaine.
Je voulais ici introduire le darwinisme quantique et oui peut etre plus philosopher car je n'ai pas la pretention de donner un cours de physique quantique.

Tu dis ce n'est pas notre cerveau qui a du mal a se la représenter et ensuite tu parle de la logique qui tendra a penser une chose. Contadictoire un peu.

Bien sur que l'electron ne tourne pas et je sais ce qu'est un spin, seulement aucune image n'est vraie en physique quantique, il faut donc parfois quand meme en trouver une qui s'en rapproche.

Quant à l'explication du monde quantique avec l'image de l'objet qui se trouve dans les deux boites à la fois, pour moi c'est ca de la mauvaise vulgarisation.