Voici donc comment cette soirée s'est déroulée :

7:00, observation du phénomène par les personnes dans la piscine.

7:15, la direction de l’hôtel appelle la police.

7:30, un agent arrive sur le toit de l'hôtel et aperçoit l'objet à son tour.

7:50, l'agent (François Huppé), qui est sur les lieux, appelle sont commandant.

8:10, le commandant (Robert Masson) du Service de police de la communauté urbaine de Montréal (SPCUM) arrive sur les lieux, il contacte les aéroports de Mirabel et de Dorval. Le commandant demande aux tours de contrôles s'ils voient quelque chose dans le ciel du centre ville de Montréal. Les contrôleurs lui répondent qu'il n'y a qu'un avion cargo à 6400 pieds. Le commandant voit cet avion, mais l'objet est au dessus.

8:40, le commandant appelle, la base militaire de St-Hubert, pour voir si eux le voient. Au terme de leur entretient, le commandant à la ferme conviction que le contrôleur lui a caché certaines informations.
Le commandant appelle alors la Gendarmerie royal du Canada (GRC), le ciel étant de juridiction fédérale.

9:10, le journaliste (Marcel Laroche) du quotidien Montréalien la Presse arrive sur les lieux et prend plusieurs photos.

9:25, un agent fédéral fut dépêché à l'hôtel sans tarder. L'agent fédéral appelle l'armée.
15 à 20 minutes après l'appel de l'agent fédéral, le commandant du SPCUM entend passer au dessus de l'hôtel deux F16 ou F18, l'agent fédéral lui dit qu'ils prennent des photos.

Cette observation dura environs 3 heures.

Les photos prises ce soir là, par le journaliste (Marcel Labroche) furent envoyées au docteur Richard Hans de la NASA. Il confirma que l'objet était quelque chose de solide à trois dimensions et d'un diamètre de 540 mètres.

Il est malheureusement impossible à ce jour de connaître l'état des vols de reconnaissances de l'armée canadienne, de plus tous les rapports d’observations de l'ovni rédigés par la police municipale ainsi que ceux de la GRC sont devenus dés le lendemain officiellement inaccessibles car deux agents du Commandement de la défense aérienne de l’Amérique du Nord (NORAD) ont eu un mandat pour rapatrier tous les constas disponibles concernant cette apparition dans le ciel des Montrealais ce soir là.

Ce qui mit fin à l'enquête.